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19 septembre 2010 7 19 /09 /septembre /2010 10:52

 

 

 

Le raid contre AQMI au Mali trahit une coordination défaillante

 

Al Qaeda est soupçonné du rapt de 5 français dans la région, mais les autorités nient qu'il y ait un rapport entre les deux faits. L'armée malienne prétend avoir repris le contrôle des zones d'affrontement, après avoir permis aux armées voisines de venir régler leurs comptes avec les terroristes, sur son propre territoire. On a évoqué la mise en service de l'aviation pour nettoyer les nids des Islamistes. 

Cette réplique faisant suite à un précédent raid, le 22 juillet, auquel les forces françaises ont participé, éliminant au moins 7 Islamistes, et tentant de remonter vers le lieu où Michel Germaneau était pris en otage, des témoins, sur place, ont évoqué la possibilité que ce soit à nouveau le cas. Ce que nie vigoureusement un porte-parole du Ministère, à Paris. 

 

Gad, Pour © 2010 lessakele et  © 2010 aschkel.info

 

 

Otages français : un "soutien" français dans les actions sur le terrain ?

france-info

Difficile de savoir ce qui se passe exactement depuis deux jours dans le nord du Mali, dans la zone où auraient été transférés les sept otages - cinq Français et deux Africains - enlevés jeudi au Niger. Un porte parole du gouvernement nigérien interrogé par l’envoyé spécial de France Info parle d’actions "coordonnées avec un soutien français". Les Mirages basés au Tchad auraient pu fournir un appui aérien.

France Info - Le désert du nord du Mali où se dérouleraient les combats

Le désert du nord du Mali où se dérouleraient les combats
©REUTERS/ Yves Herman

Des combats ont opposés l’armée mauritanienne à des membres d’un groupe d’Al Qaïda au Maghreb islamique sur le territoire du Mali, sans la participation des soldats de ce pays, mais avec son “soutien à notre action légitime” selon le ministère mauritanien de la Défense.

- Ces combats sont-ils liés aux derniers enlèvements ?Le porte-parole du gouvernement nigérien Laouli Danda, qui a répondu aux questions de l’envoyé spécial de France Info Sébastien Paour, semble le penser : “On ne peut pas exclure de liens avec ce qui se passe actuellement en territoire malien et l’enlèvement de nos sept otages mais nous ne pouvons pas tiré cette conclusion pour l’instant. ”

- Y a t-il eu aussi un soutien des Français dans la tentative d’interception des présumés ravisseurs des otages ? Là, le porte-parole du gouvernement nigérien, est catégorique : “Nous avons un certain nombre de pays avec lesquels nous partageons les mêmes frontières et nous avons engagé des actions coordonnées avec eux, avec un soutien français affirme Laouali Danda.

 

 

 

 

 

La Mauritanie confirme les affrontements avec Al Qaida 
Date : 18/09/2010

 

mauritanie-web

 

Nouakchott (PANA via Mauritanie-web)- L'Agence mauritanienne d'information (AMI, gouvernementale), a confirmé samedi les affrontements qui opposent depuis vendredi soir sur le territoire malien l'Armée mauritanienne et à des éléments présumés membres d'Al Qaida au Maghreb islamique (AQMI).

Selon AMI, qui confirme également le bilan de douze "terroristes" tués, contre deux tués et quatre blessés du côté mauritanien, la situation "est parfaitement sous le contrôle" de l'Armée mauritanienne.

Les combats auraient pour théâtre la localité de Erch Hendi (Hassi Sidi au nord Mali), qui se trouve dans la région de Tombouctou, à une centaine de kilomètres du chef-lieu de la région, selon des sources indépendantes.

 

 

 

Al-Qaïda au Maghreb islamique suspecté de détenir des ressortissants français enlevés au Niger

opex360

18 septembre 2010 – 11:13

Il étant environ 2 heures du matin, dans la nuit du 15 au 16 septembre, quand un groupe armé composé probablement d’une vingtaine d’hommes parlant le tamachek (la langue des Touaregs), a enlevé 7 personnes (5 Français, 1 Togolais et 1 Malgache) travaillant pour Areva et Saton, une filiale du groupe Vinci, à Arlit, une ville minière située dans une zone riche en uranium, au nord de Niamey, au Niger.

Ce pays a une grande importance stratégique pour la France. Le groupe Areva, numéro un mondial du nucléaire civil, extrait du sous-sol nigérien près de 40% de son uranium, lequel alimente un tiers des centrales françaises.

Ce rapt intervient alors que des mesures de sécurité supplémentaires avaient été prises par Areva après l’annonce de la mort de Michel Germaneau, retenu en otage par al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI). Depuis, le groupe français a appelé ses employés à quitter les sites miniers où ils travaillent pour être rapatriés en France.

Bien que cette prise d’otage n’a pas été encore revendiquée, les soupçons se portent sur AQMI. Ces derniers sont confortés par la destination prise par le convoi de prisonniers, lequel a pris la route du Mali, plus précisément dans une zone où le réseau terroriste est bien implanté.

Si AQMI est bien derrière ce raid, cela veut dire que l’organisation est passé des menaces aux actes. Après une opération militaire franco-mauritanienne menée cet été contre l’un de ses bases au Mali, et au cours de laquelle il avait perdu 7 combattants, le réseau terroriste avait juré de se venger.

L’enlèvement des employés d’Areva et de Satom pourrait alors être considéré comme une déclaration de guerre contre la France puisque cela montrerait qu’al-Qaïda au Maghreb islamique est déterminé à s’en prendre aux intérêts stratégiques français.

La situation est suivie de près par les services de renseignements, notamment par la DGSE et la DRM. L’on peut imaginer qu’un des satellites d’observation Hélios a été positionné au-dessus de la zone où les otages ont été emmenés et que des Atlantique II de la Marine nationale, basés à N’Djamena, ont été mobilisés. Aux moyens techniques vont certainement s’ajouter les efforts en matière de renseignement d’origine humaine, notamment avec les Touaregs, qui connaissent très bien la région, même s’il est possible qu’il y ait certaines complicités de quelques uns d’entre eux avec AQMI.

Par ailleurs, l’armée mauritanienne a lancé, depuis le 17 septembre au soir, une nouvelle offensive contre la branche maghrébine d’al-Qaïda dans le nord du Mali. Après une pause, de violents combats ont repris ce jour, à l’aube, à Raz-El-Ma, à 235 km à l’ouest de Tombouctou. Apparemment, cette opération n’a aucun rapport avec la prise d’otage des salariés d’Areva et de Satom 
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16 septembre 2010 4 16 /09 /septembre /2010 18:56

 

 

 

Reuters/lepoint.fr/

 

Brice Hortefeux fait état d'une menace terroriste renforcée

 

 

Aricle associé :

>Interview :B.Squarcini, patron de l’antiterrorisme français, ne cache pas son inquiétude pour le proche avenir

 


PARIS (Reuters) - Brice Hortefeux a indiqué jeudi que la menace terroriste s'était accrue au cours des derniers jours et des dernières heures en France.

Le ministre de l'Intérieur s'est rendu sous la Tour Eiffel, évacuée mardi soir en raison d'une fausse alerte à la bombe.

Il s'exprimait quelques heures après l'enlèvement d'un groupe de sept personnes, dont cinq ressortissants français, dans le nord du Niger, région où opèrent des activistes d'Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), et au surlendemain du vote interdisant la burqa en France.

"Un faisceau d'indices datant de ces derniers jours et de ces dernières heures démontrent que la menace terroriste est à un niveau élevé", a déclaré le ministre.

"Face à cette menace terroriste, la vigilance est renforcée. Ce qui explique que nous soyons toujours en plan Vigipirate rouge, mais plan Vigipirate rouge renforcé".

Interrogé sur la nature de la menace qui vise la France, le ministre s'est contenté de préciser que cette dernière était "aujourd'hui incontestablement à un niveau élevé. La menace s'est réellement renforcée ces derniers jours et ces dernières heures", a-t-il poursuivi.

RÉUNION PLACE BEAUVEAU

Brice Hortefeux a précisé avoir tenu jeudi matin à son ministère une réunion avec les responsables des services du renseignement et de la lutte contre le terrorisme.

Plusieurs responsables des services de sécurité ont mis en garde contre des risques d'attentat après l'annonce en juillet de la mort de l'otage français Michel Germaneau dans le Sahel.

Des militaires français avaient tenté, en coopération avec leurs homologues mauritaniens, de le libérer le 22 juillet dernier, mais l'opération s'était soldée par un échec.

L'AQMI, qui avait perdu six de ses membres dans l'assaut, avait promis dans un communiqué de se venger.

"A l'ennemi d'Allah Sarkozy, je dis: vous avez manqué une occasion et ouvert la porte de l'horreur dans votre pays", pouvait-on lire dans ce texte mis en ligne.

L'inquiétude s'est renforcée depuis l'anniversaire des attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis.

Le gouvernement français a adapté, début août, son plan antiterroriste Vigipirate,

Le dispositif actuel de sécurité destiné à prévenir les menaces ou à réagir face aux actions terroristes est au niveau rouge, l'avant-dernier sur l'échelle de gravité des risques, depuis les attentats de Londres en 2005.

Tout en le maintenant à ce niveau, le gouvernement a décidé de renforcer la vigilance devant les lieux de culte sensibles, les sites touristiques, les espaces accueillant de grands événements, les grands magasins et les centres commerciaux.

La Tour Eiffel et ses environs ont été évacués mardi soir à Paris après une alerte à la bombe. La procédure faisait suite à un appel anonyme reçu qui s'est révélé sans fondement.

L'enquête, confiée à la brigade criminelle, a permis d'établir que le coup de fil avait été passé d'une cabine téléphonique proche de la gare de Lyon.

Pierre Sérisier avec Gérard Bon, édité par Yves Clariss
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16 septembre 2010 4 16 /09 /septembre /2010 17:32

 

 

Il est indubitable que la tension remonte dans la bande de Gaza après une période d’accalmie relative qui a permis, pour un temps seulement, à la population du Néguev occidental de mener une vie à peu près normale. Depuis plus d’une semaine, les terroristes ont repris leurs tirs sur les agglomérations du sud du pays, sans faire fort heureusement ni victimes ni dégâts matériels. 

Cette situation a incité les services de sécurité à redoubler de vigilance et ils ont donc décidé de renforcer leur présence dans la région. En outre, la police a confirmé que les trois obus lancés mercredi sur les localités juives du sud contenaient du phosphore. L’officier de la sécurité du conseil régional d’Eshkol Micky Lévy, a indiqué qu’il était connu que le Hamas possédait ce type d’armements. 

Le chef d’état-major Gaby Ashkenazy, qui a rencontré les élèves d’une yeshiva préparant au service militaire (Meh’ina) dans la localité d’Eli, en Samarie, a confirmé l’escalade dans les attaques contre des cibles israéliennes. Il a ajouté que Tsahal était toujours prêt à riposter et à intervenir en cas de nécessité. 

« C’est par l’attaque qu’on peut se mesurer au terrorisme et aux tirs de missiles et de roquettes, a-t-il affirmé. Nous ne pouvons permettre à l’ennemi de tirer sur les habitants d’Israël. Nous avons le devoir de défendre nos citoyens, même si les tirs proviennent de zones où la population est dense. Nous devons toucher les commandos qui tirent sur nous. C’est un droit naturel dont nous avons usé lors de l’opération Plomb Durci ».

De son côté, le porte-parole de l’armée israélienne, a indiqué: « Tsahal ne tolérera aucune tentative visant à porter atteinte aux citoyens et aux soldats de l’Etat d’Israël. Il continuera à agir avec détermination et force contre tout acte de terrorisme à l’encontre l’Etat d’Israël ». Il a ensuite pointé du doigt le Hamas, rappelant que Tsahal considérait l’organisation terroriste comme responsable de tout ce qui se passait dans la bande de Gaza.

par Claire Dana-Picard

israel7.

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16 septembre 2010 4 16 /09 /septembre /2010 05:45

 

 

 

 

Attaques depuis Gaza : des bombes au phosphore ont frappé Israël

 

 

 La police confirme que deux obus de mortier tirés mercredi sur le Conseil Régional d’Eshkol étaient des bombes au phosphore, et explique que ce n’est pas la première fois ; les résidents du Sud d’Israël sont confrontés à des tirs de barrage de roquettes et de mortiers ; la force aérienne réplique en bombardant  des cibles à Gaza et tue un Palestinien.

 

Ilana Curiel

Adapté par Marc Brzustowski

Pour © 2010 lessakele et  © 2010 aschkel.info

Publié le : 

 15. 09.10, 19:15 / Israel News

 

 

Au moins deux des neuf obus de mortiers tirés mercredi dans l’enceinte du Conseil Régional d’Eshkol étaient des bombes au phosphore, a confirmé la police, après avoir initialement refusé de corroborer une plainte émise à ce sujet par l’officier responsable de la sécurité de la zone.

 

 

Les sapeurs de la police ont examiné et identifié les deux bombes au phosphore. Selon la police, de tels engins de provoquent pas plus de dégâts qu’un obus de mortier classique.

 

Miki Lévy, l’officier chargé de la sécurité du Conseil Régional d’Eshkol, a prétendu que de telles charges de munition n’avaient jamais encore été utilisées par les Palestiniens, mais la police a expliqué que ce n’était pas la première fois que des bombes au phosphore avaient été tirées depuis Gaza.

 

 

Les communautés du Sud d’Israël se sont trouvées prises sous le feu depuis mercredi matin, alors que les terroristes de Gaza ont élevé l’intensité de leurs attaques à la roquette et au mortier contre les résidents du Neguev.

 

 

Les forces de sécurité étaient à la recherché, mercredi matin, d’une roquette Qassam qui avait apparemment explosé dans la nuit de mardi dans la zone industrielle du sud d’Ashkelon, d’après un communiqué de Tsahal.

 

 

C’était la première fois depuis plus d’un mois que les terroristes de Gaza tiraient sur la ville.

 

 

Vers midi mercredi, l’armée de l’air a répliqué en bombardant la bande de Gaza ; selon les sources palestiniennes, au moins une personne a été tuée et deux autres ont été blesses Durant un raid sur le sud de Gaza du côté de Rafah.

 

 

L’Associated Press rapporte que Tsahal a pris pour cibles des tunnels de contrebande palestiniens, tuant un Palestinien qui travaillait dans le tunnel. On l’a ensuite identifié comme étant Wajdi al-Qadi, âgé de 21 ans, de Rafah.

 

Plus tôt mercredi matin, deux obus de mortiers ont explosé dans le Conseil Régional d’Eshkol. Une autre explosion a été entendue dans la même zone, autour de midi, qu’on a cru être le résultat d’un autre tir de mortier. Plus tard, trois autres obus de mortier ont explosé dans le Neguev.

 

On n’a mentionné ni blessé ni dégâts durant ces attaques.

 

Par Hélène Pages

Le doute n’est plus permis. Les obus de mortiers tirés de la bande de Gaza contenaient bien du phosphore, gaz hautement toxique. C’est le porte-parole de la police, Micky Rosenfeld, qui a confirmé l’information, le 15 septembre. « Une équipe de la police a examiné une partie des obus de mortiers tirés aujourd’hui (le 15 septembre) et deux des neuf engins contenaient effectivement du phosphore », a-t-il confirmé. Et ce n’est pas une première. La police a confirmé que des roquettes contaminées au phosphore avaient déjà été tirées contre Israël.

Haïm Yalin, à la tête du Conseil régional d’Eshkol où les obus au phosphore ont fini leur course, a réagi avec vigueur à l’annonce de la police : “Ces armes ont été bannies par la Convention de Genève. Elles causent des brûlures mortelles. Ici, c’est une zone agricole et nous sommes dorénavant obligés d’expliquer aux agriculteurs comment faire face à ces nouveaux risques. »

Yalin compte, par ailleurs, envoyer un courrier aux Nations Unies concernant la situation précaire des civils dans la ligne de mire des roquettes en provenance de Gaza. « Aussi longtemps que l’entité iranienne qui a pris place dans le bande de Gaza continuera à exister, nous serons à la merci des roquettes. Il y a 50 000 habitants dans cette région (Eshkol) qui aspirent à la paix et à une vie normale. Nous sommes des civils, des agriculteurs, des étudiants, tous attaqués sans discrimination », poursuit-il.

Les attaques en provenance de Gaza ont encore rythmé la journée du 15 septembre. Trois obus de mortiers ont fini leur course dans la région d’Eshkol, l’après-midi. Peu de temps auparavant, quatre roquettes avaient déjà rompu la tranquillité précaire de la zone.

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15 septembre 2010 3 15 /09 /septembre /2010 19:42

 

 

 

 

Les autres documents

Banniere documents speciaux

 

 

Attaques terroristes contre les citoyens d'Israel - rapport mensuel officiel d'Août 2010

 

Par Aschkel  

pour aschkel.info et lessakele

 

Autorisé à la diffusion

 

Pas un seul jour ne se passe sans que des attaques terroristes ne se produisent contre les citoyens de l'Etat d'Israël.

 

Et personne n'en parle.

 

Lorsque nous disons « chaque jour », parfois même, plusieurs attentats terroristes sont planifiés le même jour. Certains, seulement, émergeront dans les médias, lorsqu'il y aura du "sang à la Une", surtout si une malheureuse "victime" palestinienne (l'islamikaze, notamment) peut être comptabilisée dans les statistiques morbides, auxquelles on fait bien dire ce que l'on veut leur faire dire...

 

Ce rapport ne révèle que les faits dûment constatés, et non les attentats multiples qui ont été déjoués par les services intérieurs d'Israël.

Voir le Document :

Attentats terroristes sur Israel 08-10 Doc AschkeletGad Attentats terroristes sur Israel 08-10 Doc AschkeletGad

 

Voir le précédent rapport (07) :  Actes de terreur sur Israel 07-2010 Doc AschkeletGad ICI 

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15 septembre 2010 3 15 /09 /septembre /2010 10:48
Gaza : les tirs se poursuivent sur Israël
Par YAAKOV KATZ ET fr.jpost
15.09.10

Deux obus de mortier et deux roquettes ont été tirées depuis la bande de Gaza, mercredi matin. La veille, le Hamas promettait une nouvelle vague de violence en vue de faire dérailler les pourparlers de paix.


PHOTO: AP , JPOST

Les deux obus de mortier ont frappé la région d'Eshkol, au sud de Jérusalem. Ni blessés ni dégâts matériels n'ont été rapportés. Quant aux deux roquettes, tirées quelques heures avant, elles se sont abattues au sud d'Ashkelon, sans faire de blessés ni de dégâts matériels.

Mardi, un Palestinien a été tué et au moins quatre blessés par des tirs israéliens. L'armée ripostait à une attaque terroriste dans le nord de la bande côtière. De sources militaires, une unité postée près de la barrière de sécurité avait été prise pour cible et a alors immédiatement ouvert le feu.

"Le Hamas est responsable"

Ahmed Jaabari, à la tête de l'aile militaire du Hamas, a publié un rare communiqué, mardi, dans lequel il menace d'intensifier les attaques en Israël.

Dimanche, trois Palestiniens ont été abattus après avoir pointé un RPG en direction de soldats israéliens. L'armée a ensuite reconnu que deux des victimes - un homme de 91 ans et son petit-fils - étaient des civils innocents, impliqués dans aucune activité terroriste.

Les tirs de roquettes ont sensiblement augmenté dans la bande de Gaza depuis la semaine dernière. Au ministère de la Défense, plusieurs responsables estiment que les violences s'intensifieront, tant que dureront les pourparlers de paix. Quels que soient les auteurs des attaques, le Hamas sera tenu pour responsable, précise toutefois le commandant de la division militaire de Gaza, Eyal Eisenberg. "La bande de Gaza est contrôlée par le Hamas, qui est une organisation terroriste... Nous le tenons responsable de tout ce qui se passe dans l'enclave."

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15 septembre 2010 3 15 /09 /septembre /2010 07:15

 

 

Un retrait de Tsahal de Cisjordanie: Lieu de refuge pour des groupes extrémistes!? 
 

14/09/2010 
Col. Richard Kemp  |jcpa-lecape

 

 

- Pour pouvoir accorder la moindre chance de succès, tout mouvement de révolte ou groupe terroriste a nécessairement besoin d’un lieu de sûreté pour y opérer. Israël est parfaitement conscient du phénomène et du fait que des groupes hostiles auront le champ libre et pourront contrôler les terres qui jouxtent à ses propres frontières, au sud du Liban, et dans la bande de Gaza. Toute initiative similaire à céder complètement le contrôle aux Palestiniens de Cisjordanie ou une partie de Jérusalem entraînerait un risque immense. 

- Certains argumentent qu’un Etat moderne de haute-technologie peut surveiller les activités hostiles hors de ses frontières. Mais la surveillance et la collecte des renseignements contre un réseau extrémiste agissant dans le secret, profondément ancré, et opérant au sein d’une population dense, demeure une mission compliquée et une cible difficile à cerner. Aucun service de renseignements au monde ne pourra garantir un taux de réussite élevé contre tel objectif. 

- L'idée qu’une force internationale, soit une force de l’Otan, remplacerait la présence de Tsahal en Cisjordanie, soulève un nombre de questions très sérieuses. Qui seront ses membres et combien de temps resteront ces troupes sur le terrain? Certaines nations ne sont pas toujours préparées à mettre leurs troupes sous danger excessif. Au Liban, pour exemple, en 1983, des bombes suicidaires ont tué 300 soldats et ont conduit au retrait des forces françaises et américaines. Et à Madrid, l’attaque d'Al-Qaïda à conduit au retrait des forces espagnoles de la campagne en Irak. Justement, comment pourrons nous être certains que l’électorat de ces pays contributeurs au maintien de la paix, permettrait à leurs forces de se déployer en Cisjordanie, dans ces conditions et pressions. 

- Dans quelle mesure une mission de l’Otan obtiendrait-elle l'assurance de pouvoir permettre à Israël de protéger son propre peuple?



Enfin, toute mission de l’OTAN qui échouera en Cisjordanie encouragera et renforcera les djiadistes de poursuivre leur activités de plus belle à travers le monde.

Le conflit du Vietnam fut un exemple classique de l’utilité du refuge. Plus récemment, dans la campagne de l’Irak, les extrémistes sunnites se sont enfuis en trouvant un lieu de sûreté en Syrie. Damas demeure leur base principale et la plaque tournante pour un soutien logistique et une voie directe pour les kamikazes pour pouvoir s'exploser quotidiennement en Irak. L'Iran aussi sert de refuge aux Shiites insurgés qui attaquent fréquemment les forces de coalition. Les Gardes de la Révolution islamique et le Hezbollah sont également responsables de la formation et de l’organisation des attentats en fournissant des explosifs, des armes et des munitions.

Au mois de mars dernier, le général américain Petraeus, a révélé devant le comité des Relations étrangères du Sénat que Téhéran permet aux dirigeants d’Al Qaïda de voyager librement entre le Pakistan et l’Afghanistan, utilisant efficacement le territoire iranien comme refuge sûr, tout en leur permettant également de tenir des réunions en Iran pour planifier les attaques terroristes contre les Etats-Unis et d’autres cibles occidentales.

La suprématie inégalée sur le plan technologique de l’armée américaine a échoué contre la capacité des Talibans de poursuivre la contrebande de munitions et infiltrer des groupes de combattants à travers la frontière afghane. Dans le cas d'Israël, on ne peut compter sur le soutien de la Jordanie ou sur son efficacité dans la lutte contre les activités des extrémistes, rappelons qu'ils cherchent également à déstabiliser le régime jordanien, une étape importante, selon eux, pour poursuivre la lutte armée jusqu'à la destruction d’Israël.

L’Otan emploie un effort considérable pour coordonner les mesures de sécurité transfrontalières avec le gouvernement Pakistanais. Cela parfois réussit. Certains membres du gouvernement pakistanais ont des objectifs différents, en soutenant les Talibans quand cela leur convient, ou du moins en fermant les yeux. Toutefois, ce pays souffre d’une aggravation dangereuse de la part de ses propres Talibans qui ont l’intention de faire tomber le gouvernement actuel, un objectif partagé par les dirigeants d'Al-Qaïda. Le départ des forces de l’Otan de l’Afghanistan, aggraverait la situation et permettrait qu'un Etat doté de l’arme nucléaire tombe un jour entre les mains des extrémistes.

Je n'exclue pas l'idée dans son principe qu’une force internationale, tel que l’Otan remplace la présence de Tsahal en Cisjordanie pour pouvoir maintenir la paix. Toutefois, cette idée soulève un certain nombre de questions très graves. Cela concerne, les pays, le temps de présence des troupes et toutes les difficultés à rassembler ces forces. Face à une opinion publique hostile à un engagement militaire extérieur et dangereux, certaines nations refuseront de participer à cette aventure pour également essayer de développer et maintenir de bonnes relations avec toutes les parties et tous les antagonistes. Les exemples sont nombreux et nous les avons mentionnés pour le Vietnam, l'Irak, le Liban ou l'Afghanistan et nous avons évoqué l'attaque d'Al-Qaïda à Madrid qui a conduit au retrait des forces espagnoles de la campagne irakienne. Le seul succès de l’Otan fut au Kosovo. 

Des forces néerlandaises ont combattu vaillamment et efficacement en Afghanistan. Ils ont été courageux et ils ont eu de nombreuses victimes, mais Srebrenica ne pouvait être oubliée! En 1995, plus de 8000 civils ont été massacrés sous les yeux des casques bleus néerlandais. Pour conclure, je ne voudrais pas exclure la possibilité d’un retrait de Tsahal de la Cisjordanie, ou son remplacement par une force de l’Otan, mais avant que cela ne puisse être sérieusement envisagé, nous devons résoudre plusieurs questions fondamentales. Elles sont essentielles pour l’Otan, pour l’Occident dans son ensemble, et pour tout le Moyen- Orient. 

Cet article est basé sur les propos du Colonel Richard Kemp, ancien commandant des forces britanniques en Afghanistan, lors d'une conférence du JCPA- CAPE tenue à Jérusalem. 
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13 septembre 2010 1 13 /09 /septembre /2010 19:15

 

 

 

 

 

 

 

 

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La commission du Conseil des Droits de l'Homme de l'ONU chargée d'enquêter sur les événements de la flottille a envoyé des équipes en Jordanie et en Turquie. La méthodologie et la terminologie utilisées augurent d'une haute probabilité de conclusions biaisées aux dépends d'Israël, dans la description et la signification des événements à bord du Mavi Marmara.


Lire la suite :  Enquête ONU Flotille Doc AschkeletGad ICI 



Lire aussi : Les armes et la préparation des terroristes de l'IHH  armes du Mavi du Marmara DocAschkeletGad ICI





 

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13 septembre 2010 1 13 /09 /septembre /2010 06:52

 

 

 

Terrorisme: "La menace n’a jamais été aussi grande"

Le plan Vigipirate rouge est en vigueur depuis 2005 et les attentats de Londres. Cette situation est-elle appelée à perdurer? 
Il faut être clair. Notre pays, à cause de son histoire, de son engagement en Afghanistan, de prises de positions fermes en matière de politique étrangère et de débats de société comme la loi sur le voile intégral, fait l’objet d’un intérêt très particulier de certains mouvements islamistes radicaux. Pour le moment, ils ne s’en sont pris qu’à nos intérêts à l’étranger...

Concrètement, à quel niveau de menace la France est-elle confrontée? 
Nous sommes aujourd’hui au même niveau de menace qu’en 1995. S’il y a des militaires dans les aéroports, des barrières devant les écoles et des sacs poubelles en plastiques, ce n’est pas pour rien. Tous les clignotants sont dans le rouge. Notre dispositif nous permet de pouvoir anticiper et de neutraliser préventivement des projets terroristes. Vous dire que nous sommes infaillibles, non. Que nous faisons énormément d’efforts, oui. Aujourd’hui, compte tenu des signalements qui nous sont transmis par nos partenaires étrangers et de nos propres observations, il y a des raisons objectives d’être inquiets. La menace n’a jamais été aussi grande.

Quel genre d’attentats craignez-vous? 
Tous les scénarios sont envisagés. On sait depuis longtemps qu’Al-Qaida cherche à fabriquer des bombes virales mais ne parvient pas à isoler les virus ni à les faire durer. Selon nos analyses, la menace en France est triple: le français converti qui se radicalise et monte son opération seul; Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI) qui dépêche un commando pour commettre un ou des attentats en France; et les djihadites, ces Français qui partent en Afghanistan ou au Yémen, demain en Somalie et qui reviennent clandestinement, aguerris, pour poursuivre leur combat sur le sol français.

Il y a donc de jeunes Français qui se battent contre des soldats français en Afghanistan? 
Je ne sais pas ce qu’ils font exactement là-bas – il nous revient que le Français ne serait pas très apprécié, contrairement au Kurde, notamment, sur les théâtres d’opérations – mais une dizaine se trouvent actuellement sur zone.

Craignez-vous une réaction d’Aqmi à l’opération de juillet pour libérer l’otage Michel Germaneau? 
A cause de la date butoir de l’ultimatum et parce qu’il n’avait plus de médicaments, il fallait tenter cette opération de la dernière chance pour le sauver. C’était d’ailleurs une opération qui a fait d’énormes dégâts chez l’adversaire. Mais nous n’avons pas besoin des communiqués du chef d’Aqmi, Abdelmalek Droukdal, pour savoir que nous sommes visés. Dans la bande sahélienne, de plus en plus élargie, le Français est une cible. Pourquoi croyez-vous que nous avons dissuadé le Paris- Dakar de s’y rendre ? Pour l’instant, les islamistes ont fait ce qui était le plus facile pour eux: attaque de notre ambassade et assassinats de touristes en Mauritanie, enlèvement de ressortissants au Mali et au Niger… Mais on s’attend à avoir des attentats sur notre territoire. N’oubliez pas qu’Aqmi est une franchise d’Al-Qaida: ils essaient de suivre les mêmes objectifs que la maison mère.

Avez-vous plus de craintes à cause de la date symbolique du 11 septembre? 
C’est vrai que les Américains sont inquiets à l’approche de cette date. De plus, ils doivent gérer cette polémique sur la construction d’une mosquée à New York, près de Ground Zero. Sans parler du pasteur fou qui veut faire des autodafés du Coran… Mais il faut aussi prendre en compte le contexte international : la remontée de la tension entre Israël et l’Iran, le retour du Hezbollah sur la scène internationale, l’approche du procès du Tribunal spécial pour le Liban, où nous avons des soldats au sein de la Force des Nations unies au Liban (Finul). La menace du terrorisme fondé sur le fanatisme religieux est assez lourde, nous n’avons vraiment pas besoin du retour d’un terrorisme à support étatique…

Les leçons du 11-Septembre ont-elles été retenues? 
Oui. Les Etats-Unis ont compris qu’ils étaient vulnérables non seulement à l’extérieur de leurs frontières mais aussi sur leur sol. Et la tentative d’attentat de décembre 2009 sur le vol Amsterdam-Detroit – avec ce jeune Nigérian qui a pu prendre l’avion et même choisir un siège juste audessus du réservoir central de l’appareil – démontre que, quel que soit le niveau de riposte, la menace est toujours d’actualité.

Et en France? 
Le Président a voulu une réforme du renseignement intérieur. Elle a été opérée il y a deux ans avec la fusion DST-Renseignements généraux. Quelques mois plus tard, nous avons opéré une seconde réforme, plus discrète, qui consiste en un rapprochement opérationel avec la DGSE. La communauté française du renseignement parle aujourd’hui d’une seule voix. Les notions de menaces extérieures et intérieures sont dépassées. Aujourd’hui, les renseignements, il faut aller les chercher très loin et ils ont une incidence directe sur notre territoire. Dès qu’un clignotant s’allume au sein du service extérieur, il pense au retour en sécurité intérieure.

Il y a donc de jeunes Français qui se battent contre des soldats français en Afghanistan? 
Je ne sais pas ce qu’ils font exactement là-bas – il nous revient que le Français ne serait pas très apprécié, contrairement au Kurde, notamment, sur les théâtres d’opérations – mais une dizaine se trouvent actuellement sur zone.

Craignez-vous une réaction d’Aqmi à l’opération de juillet pour libérer l’otage Michel Germaneau? 
A cause de la date butoir de l’ultimatum et parce qu’il n’avait plus de médicaments, il fallait tenter cette opération de la dernière chance pour le sauver. C’était d’ailleurs une opération qui a fait d’énormes dégâts chez l’adversaire. Mais nous n’avons pas besoin des communiqués du chef d’Aqmi, Abdelmalek Droukdal, pour savoir que nous sommes visés. Dans la bande sahélienne, de plus en plus élargie, le Français est une cible. Pourquoi croyez-vous que nous avons dissuadé le Paris- Dakar de s’y rendre ? Pour l’instant, les islamistes ont fait ce qui était le plus facile pour eux: attaque de notre ambassade et assassinats de touristes en Mauritanie, enlèvement de ressortissants au Mali et au Niger… Mais on s’attend à avoir des attentats sur notre territoire. N’oubliez pas qu’Aqmi est une franchise d’Al-Qaida: ils essaient de suivre les mêmes objectifs que la maison mère.

Avez-vous plus de craintes à cause de la date symbolique du 11 septembre? 
C’est vrai que les Américains sont inquiets à l’approche de cette date. De plus, ils doivent gérer cette polémique sur la construction d’une mosquée à New York, près de Ground Zero. Sans parler du pasteur fou qui veut faire des autodafés du Coran… Mais il faut aussi prendre en compte le contexte international : la remontée de la tension entre Israël et l’Iran, le retour du Hezbollah sur la scène internationale, l’approche du procès du Tribunal spécial pour le Liban, où nous avons des soldats au sein de la Force des Nations unies au Liban (Finul). La menace du terrorisme fondé sur le fanatisme religieux est assez lourde, nous n’avons vraiment pas besoin du retour d’un terrorisme à support étatique…

Les leçons du 11-Septembre ont-elles été retenues? 
Oui. Les Etats-Unis ont compris qu’ils étaient vulnérables non seulement à l’extérieur de leurs frontières mais aussi sur leur sol. Et la tentative d’attentat de décembre 2009 sur le vol Amsterdam-Detroit – avec ce jeune Nigérian qui a pu prendre l’avion et même choisir un siège juste audessus du réservoir central de l’appareil – démontre que, quel que soit le niveau de riposte, la menace est toujours d’actualité.

Et en France? 
Le Président a voulu une réforme du renseignement intérieur. Elle a été opérée il y a deux ans avec la fusion DST-Renseignements généraux. Quelques mois plus tard, nous avons opéré une seconde réforme, plus discrète, qui consiste en un rapprochement opérationel avec la DGSE. La communauté française du renseignement parle aujourd’hui d’une seule voix. Les notions de menaces extérieures et intérieures sont dépassées. Aujourd’hui, les renseignements, il faut aller les chercher très loin et ils ont une incidence directe sur notre territoire. Dès qu’un clignotant s’allume au sein du service extérieur, il pense au retour en sécurité intérieure.

-leJDD.FR (Interview de Bernard Squareini- Patron de l'antiterrorisme français)

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12 septembre 2010 7 12 /09 /septembre /2010 06:40

 

3000 drapeaux érigés en hommage aux victimes de la barbarie islamiste 

Drapeaux érigés par les étudiants et employés de l'Université Pepperdine à Malibu en Californie, le 10 septembre 2010. Environ 3 000 drapeaux ont été érigés vendredi pour rendre hommage aux victimes du 11septembre 2001.

 

 

 

 


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