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11 septembre 2010 6 11 /09 /septembre /2010 20:39
LA MENACE TERRORISTE EN FRANCE
EST "AU MÊME NIVEAU QU'EN 1995",
ESTIME BERNARD SQUARCINI

Reuters

LA MENACE TERRORISTE EN FRANCE EST "AU ...

 

La France, ajoute-t-il, "fait l'objet d'un intérêt très particulier de certains mouvements islamistes radicaux" qui s'explique notamment par son histoire, sa présence militaire en Afghanistan ou le débat sur le voile intégral.

"Nous sommes aujourd'hui au même niveau de menace qu'en 1995", assure le patron du contre-espionnage en référence à l'année de l'attentat commis à la station de RER Saint-Michel à Paris.

"Tous les clignotants sont dans le rouge", poursuit-il.

Bernard Squarcini ajoute que la menace qui pèse sur la France est triple.

"Le Français converti qui se radicalise et monte son opération seul; Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) qui dépêche un commando pour commettre un ou des attentats en France; et les djihadistes, ces Français qui partent en Afghanistan ou au Yémen, demain en Somalie et qui reviennent clandestinement, aguerris, pour poursuivre leur combat sur le sol français", énumère-t-il.

Henri-Pierre André pour le service français

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8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 11:29

Le Shana tova des sanguinaires 

 

Une demi-heure avant l'arrivée des enfants: des obus de mortier sont tombés près des jardins d'enfants


La vague de tirs depuis la bande de Gaza se poursuit, et c'est un miracle s'il n'y a pas eu de victimes cette fois: ce matin, plusieurs obus de mortier ont explosé près des jardins d'enfants de plusieurs kibboutzim du Shaar Hanegev (Conseil régional d'Eschkol près de Sdérot et d'Aschkélon). De légers dommages ont été causés. Selon un des  résidents du kibboutz : «Quand vous voyez la bombe, en plein milieu des édifices, vous comprenez qu'une catastrophe aurait pu se produire."

Shmoulik Hadad

Posté le:  08:09:10, 07:57

Adapté par Aschkel

Pour aschkel.info et lessakele.

http://www.ynet.co.il/articles/0,7340,L-3951506,00.html

 


Les tirs de projectiles depuis la bande de Gaza continuent, c'est un miracle, une chance cette fois que de nombreux enfants n'aient pas été blessés.

 

 

Les Palestiniens ont tiré ce matin (mercredi)  des obus de mortier, obus qui ont explosé près du nord de la bande de Gaza sur des maternelles de plusieurs kibboutz du Shaar Hanegev (Conseil régional). Personne n'a été blessé, les impacts causant de légers dégâts. Les Forces de l'Armée sont arrivées rapidement et ont localisé l'endroit des impacts.  

 

Les jardins d'enfants du kibboutz fonctionnent les vendredis et veilles de fêtes, comme d'habitude, mais heureusement les obus de mortier ont été lancés une demi-heure avant que les enfants n'arrivent.



Les forces militaires et l'impact (Photo: Roy Âge)

 

«Nous avons entendu une très forte déflagration", a déclaré un résident du kibboutz, "je me suis réveillé. La bombe a explosé à environ 100 mètres de ma maison. En raison de l'explosion, les alarmes de voiture ont commencé à retentir", «C'était très effrayant, mais quand on voit la bombe, en plein milieu des structures d'habitation, on comprend qu'une grande catastrophe aurait pu se produire."

 

Janina, a amené son fils peu de temps après la chute de la bombe. Comme de nombreux autres parents :  «Le retour à la normale, il n'y a pas le choix - nous avons une fête aujourd'hui. Aujourd'hui, vous pouvez voir beaucoup  de visages  qui ne sont pas heureux, mais le bâtiment est protégé et tout le monde a amené les enfants. Nous avons entendu l'explosion, malheureusement, pour ces obus, il n'y a pas d' alerte rouge comme pour les roquettes Qassam, et en fait, nous savons quand un projectile tombe quand nous entendons l'explosion. C'est le plus effrayant, car cela peut tomber n'importe où. Pour les missiles, c'est à peu près calme, mais ici  presque chaque jour, il tombe des obus de mortier, cela arrive tout le temps. "

 

La nécessité d'une protection

Les bâtiments sont protégés des toits aux parois latérales, tout comme d'autres structures protégées dans toute la région. Les kibboutz de la région, ont récemment fait l'objet d'entretiens avec des agents de la sécurité sur la question de la protection des structures, y compris les murs.


Pendant ce temps, les enfants ne sont pas sortis dans la cour(Photo: Roy Âge)

 

Selon les responsables de la sécurité, il a été décidé que, dans les maternelles, tout se déroulera comme d'habitude ce matin, mais les enfants resteront dans les bâtiments protégés pendant plusieurs heures.

 

Hier soir, les habitants de Sderot ont été réveillés par l'alerte rouge à 2 heures du matin, peu après qu'ait eu lieu une explosion à la suite d'un tir de roquette. Il n'y a pas eu ni victimes ni dégâts.

 

 

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8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 06:16

 

 

Le Hezbollah... et l’enfer

En Iran, les ayatollahs ordonnaient le viol des filles avant de les exécuter, pour les empêcher d’aller au paradis. Au Liban, le Hezbollah veut nous priver de la terre et du paradis

mardi 7 septembre 2010 - 12h28, par Randa Al Fayçal - Dubaï

Logo MédiArabe.Info

Farès Khachane est un journaliste libanais très engagé. Il fut proche de Rafic Hariri et à ce titre, il fut menacé depuis l’assassinat de l’ancien Premier ministre. Périodiquement, il se réfugie à Paris ou dans d’autres pays. L’opposition libanaise, hostile au Tribunal international spécial pour le Liban, l’accuse d’avoir soutenu les faux témoins. Il a publié, hier, un point de vue exceptionnel que nous reproduisons ici.

Ce point de vue intervient alors que le Premier ministre libanais, Saad Hariri, fils de Rafic Hariri, a déclaré hier s’être« trompé en accusant la Syrie du meurtre de son père » (des propos qui restent incompris par ses électeurs et, ses partisans ainsi que ses élus).

Dans ces conditions, la manœuvre du régime de Bachar Al-Assad serait sur le point de réussir : Damas cherche à se« laver les mains des assassinats politiques au Liban », en les attribuant uniquement au Hezbollah. Or, ce dernier refuse de jouer le rôle du bouc émissaire et terrorise les Libanais pour les contraindre à oublier le Tribunal international. Toutefois, le procureur du Tribunal international, le juge canadien Daniel Bellemare, n’a pas encore rédigé ses actes d’inculpation et rien, à ce stade, ne confirme l’innocence de la Syrie ni la culpabilité du Hezbollah.

En effet, la Syrie faisait la pluie et le beau temps au Liban qu’elle occupait avec 35.000 soldats. Il est inconcevable que le Hezbollah, ou toute autre organisation terroriste ou résistante, puisse commettre un tel acte terroriste sans l’aval de l’occupant, théoriquement responsable de la sécurité de l’occupé. Pour éviter la justice internationale, la Syrie devrait non seulement trouver et sacrifier un responsable de l’assassinat de Hariri, mais devrait aussi changer de politique, tant au Liban qu’en Irak et en Palestine. Elle devrait ainsi cesser ses ingérences dans les pays voisins et mettre un terme à son opposition au processus du paix. Mieux encore, Damas est sollicité pour rejoindre les négociations : la visite du roi Abdallah II de Jordanie hier à Damas, et la mission à venir de Jean-Claude Cousseran, l’attestent. Mais en acceptant une telle issue, la Syrie devrait se rebeller contre son allié iranien, lâcher le Hezbollah, et se montrer docile avec l’AIEA, l’Agence internationale s’inquiètant des ambitions nucléaires syriennes... Le Tribunal international peut, à cet égard, « aider Damas à franchir le pas ».

Pour échapper à un tel scénario, le Hezbollah terrorise les Libanais. C’est dans cette complexité que Farès Khachane a publié son point de vue, sur le site« Youkal.net ». Traduction :

Le Hezbollah... et l’enfer

« - Il n’y a pas, chez le Hezbollah, des assassins… Pourtant, le Parti de Dieu sème la terreur ; 
- Il n’y a pas, chez le Hezbollah, des non-religieux… Pourtant, ses partisans et alliés utilisent un langage ordurier ; 
- Il n’ y a pas, chez le Hezbollah, des partisans qui s’opposent à la souveraineté et à l’indépendance du Liban... Pourtant, ils répètent tous ce que leur dicte l’Iran ; 
- Il n’y en a pas au sein du Hezbollah, que des pacifistes... Pourtant, ses militants n’hésitent pas à utiliser les armes y compris contre leurs propres alliés pour leur infliger une bonne leçon ; 
- Les membres du Hezbollah condamnent le confessionnalisme et le sectarisme... Pourtant, leur chaîne de télévision Al-Manar se fait un point d’honneur d’appliquer à la lettre les instructions de Wilayat Al-Faghih ; 
- Il n’existe pas, parmi les partisans et alliés de Hezbollah, qui ne prétendent l’indépendance... Pourtant, ils répètent tous ce que leur dicte la “salle d’opérations et de commandement” du parti ; 
- Il n’existe pas, parmi ceux qui défendent le Hezbollah, qui ne prétendent dire la vérité… Pourtant, ils sont tous passés maîtres en désinformation et falsification ; 
- Il n’existe pas, parmi le peuple libanais, qui ignore toute la vérité concernant le Hezbollah… Pourtant, nombreux sont ceux qui le couvrent, qui prétendent le connaitre et qui lui expriment leur adoration ; 
- Le général Michel Aoun a “vendu son adoration” en expliquant aux Chrétiens que le Hezbollah fait peur, et qu’il vaut mieux gagner son affection et l’utiliser comme soutien. “Car un allié qui terrorise est plus utile qu’un allié faible” (les Sunnites, NDLR) ; 
- Le député Walid Joumblatt est resté prisonnier des menaces sécuritaires jusqu’à ce qu’il remette son destin aux mains du Hezbollah ; 
- Des marionnettes politiciennes vivant de “mendicité” ont commencé, sur ordre du Hezbollah, à menacer de mettre dans les coffres des voitures tous ceux qui ne suivent pas le Hezbollah. Ils ont menacé d’écraser ses opposants et de les annihiler (des propos de Wiäm Wahhab et Nasser Kandil notamment... NDLR).

Tout cela n’est qu’un infime exemple de la réalité politique libanaise. La réalité est que Hassan Nasrallah humilie les leaders nationaux qui refusent de se taire. La réalité est qu’il menace la stabilité et que des dizaines d’officiers de l’armée regardent “terrorisés” l’homme de la télévision, voient ses miliciens faire main basse sur les rues et semer mort, destruction et corruption. La réalité est cette politique de terreur vise à obliger ses victimes à venir lui demander pardon et à s’excuser pour avoir eu des sursauts de dignité et lui admettre s’êtres égarés...

Les serviteurs du Hezbollah et de sa politique sont bien protégés… Ils sont armés jusqu’aux dents, alors que leurs adversaires sont tout simplement des “espions d’Israël” auxquels on doit infliger le châtiment suprême en leur dressant les potences dans tous les coins de rues ! Les serviteurs du Hezbollah sont devenus hyper riches (Michel Aoun et Gebran Bassil, NDLR)… Ceux qui n’avaient pas de quoi manger sont devenus propriétaires d’immeubles et de médias, alors que les adversaires sont accusés de corruption… et d’être trop riches ! Les sbires du Hezbollah ne quittent plus les plateaux de télévision et les antennes de radio, nous engorgeant d’informations fabriquées de toutes pièces, alors que quiconque a le culot de réclamer le droit d’un martyr ou d’une victime devient la cible des flèches empoisonnées de cette “chorale des menteurs”.

La réalité politique impose à tous d’accepter cette situation en silence. Au nom de cette réalité politique, le slogan “Beyrouth démilitarisé” devient une farce, une ineptie, alors que la Palestine sans les Juifs et sans Israël est une “partie de plaisir”...

Quant au Tribunal international (TSL), ses travaux peuvent commencer mais ne doivent jamais aboutir. Le Hezbollah accuse le TSL d’être politisé alors qu’il dépêche ses émissaires auprès des leaders politiques du monde entier leur enjoignant d’intervenir afin de bloquer l’acte d’accusation. Il demande au TSL d’examiner la piste israélienne prétendant avoir des preuves. Et quand le TSL accepte de les examiner et réclament ces preuves, il annonce qu’il ne reconnait pas ce tribunal et refuse de collaborer. Le Hezbollah exige de la justice libanaise, paralysée et incapable d’intervenir même dans la banlieue sud de Beyrouth, une enquête sérieuse sur l’implication d’Israël dans l’assassinat de Rafic Hariri… La justice libanaise n’a qu’à obtempérer, aveuglément à la sommation prononcé par Hassan Nasrallah !

La réalité est que le peuple libanais rêvait de passer de l’anarchie à un Etat de droit. Il est désormais réduit en robots et il lui est demandé d’oublier son droit à la vérité et à la justice. Le Liban devient ainsi un théâtre de marionnettes qui doit obéir à Hassan Nasrallah dès qu’il apparait à la télévision.

Que faire ?

Hier un ami m’a offert un livre écrit par un Iranien qui a trahi la Révolution islamique et, comme il se doit, le livre est interdit au Liban. Les premières pages m’ont empêché de dormir. On y apprend en effet que la Révolution islamique est la mère de toutes les révolutions, qu’elle est le guide du Hezbollah libanais, et que le Hezbollah n’est autre que la Révolution islamique au Liban. On y apprend aussi que les bourreaux doivent violer les filles avant de les exécuter, car les vierges vont impérativement au Paradis… Les Ayatollahs iraniens, maîtres à penser du Hezbollah, ordonnaient ainsi le viol des jeunes filles avant de les exécuter pour les empêcher d’aller au Paradis ! Exactement comme le Hezbollah au Liban, qui continue à lapider Rafic Hariri et tous les martyrs de la Révolution du Cèdre dans leurs tombes. Entre le livre sur l’Iran et nos histoires libanaises, il n’y plus de place au doute : le Hezbollah veut à la fois nous faire perdre la terre et le paradis. Mais malgré cela, au nom du réalisme politique… nous devons accepter. »

Farès Khachane.

Traduction de Randa Al-Fayçal

© Nos informations, analyses et articles sont à la disposition des lecteurs. Pour toute utilisation, merci de toujours mentionner la source« MediArabe.info »

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7 septembre 2010 2 07 /09 /septembre /2010 20:05

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Merci Jean-Patrick

 

Livraisons entre Israël et Gaza : Un obus un camion, un obus un camion ...

Par Jean-Patrick Grumberg

 

 

 

 

Le Major Général  Dangot, coordinateur israélien des activités dans les territoires, vient d’expliquer, devant la commission d’enquête internationale Turkel, que les livraisons de l’aide humanitaire à Gaza dépendent assez précisément des attaques du Hamas et du nombre de bombes qu’ils tirent sur Israël.

 

Chiffres en mains, il explique que de 2006 à 2008, Israël livrait 60 camions par jour d’aide humanitaire à Gaza. En 2008, lorsque les tirs et obus ont commencé à s’intensifier, les livraisons sont tombées à environ 23 camions par jour.

 

Les palestiniens bombardent d'un coté, et de l'autre ils se plaignent auprès des instances internationales que l’aide humanitaire n’arrive pas. Comment voulez vous que les camions prennent la route avec 250 obus et rockets par jour ? Les antisémites m’ont souvent dit que ce sont des petites bombinettes et des pétards mouillés, ces tirs de rockets. Je leur réponds toujours : auriez-vous pris le volant d’un camion dans ces conditions ? Auriez-vous été motivé pour conduire sous les bombes, et apporter des vivres à celui qui vous tire dessus ?

 

Je n’aimerais pas être à la place du responsable du Cogat, l’organisme israélien qui gère les livraisons à Gaza : se lever chaque matin et organiser les livraisons de la journée, tandis que le monde vous accuse de laisser crever les palestiniens et de les étrangler par un blocus inhumain ne doit pas être une fonction facile à assumer, surtout si l'on songe que le voisin égyptien, qui lui, fait un vrai blocus contre Gaza, n'est jamais mis en cause.


- 336 camions d’aide humanitaire, de fuel et d’essence ont été livrés à Gaza le 31 août (112 via Karni + 224 via Kerem Shalom)

- 176 camions d’aide humanitaire sont entrés à Gaza le 30 août 2010 par le point de passage de Kerem Shalom.

- la semaine dernière, 1,074 camions transportant 24,288 d’aide humanitaire et 1,697,598 litres de fuel sont entrés à Gaza.

 

En réponse à ces livraisons, une trentaine de palestiniens se sont réunis près de Bi’lin et ont lancé des pierres sur les forces de sécurité aujourd’hui 3 septembre 2010, et cinquante autres ont brulé des pneus près de la barrière de sécurité (que le monde entier, y compris, il faut le rappeler, une poignée de gauchistes israéliens – qui ne vivent pas à Sderot - veulent nous faire supprimer pour qu’on puisse nous la mettre encore plus profond), et ont jeté des pierres sur les forces de l’ordre. Pour « terminer » la journée, une petite fille de 12 ans a été blessée par des jets de pierres lancées contre la voiture de ses parents, près de Revava.

 

Jean-Patrick Grumberg

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5 septembre 2010 7 05 /09 /septembre /2010 05:46

 

5/09/1972 - Massacre aux JO de Munich de la délégation israélienne par des terroristes palestiniens

 

5 septembre 1972. Au cours des jeux olympiques de Munich, des terroristes du groupe « Septembre noir » pénètrent dans le village olympique et prennent d’assaut le bâtiment des athlètes israéliens.
Ils tuent deux athlètes et prennent en otage les 9 sportifs restant. Les terroristes exigent la libération de 200 prisonniers. Les autorités allemandes commencent des négociations avec les terroristes et acceptent de leur fournir les deux hélicoptères qui doivent les conduire, accompagnés de leurs otages, à l’aéroport militaire de Munich d’où ils doivent s’envoler pour Tunis.
Les tireurs d’élite allemands tentent l’assaut alors que les athlètes sont attachés dans les hélicoptères. Les terroristes ne sont pas tous tués d’un coup et ont le temps de lancer une grenade vers un des appareils et de tirer un feu nourri sur l’autre. Les neuf athlètes meurent dans l’opération. 
11 athlètes israéliens sont morts, le drapeau olympique est abaissé, mais les jeux continueront. Le comportement des Allemands déclenchera des foudres en Israël sur leur capacité et leur volonté de libérer les Israéliens. Les terroristes arrêtés seront libérés quand un avion allemand sera pris en otage. Israël n’entend pas laisser ce crime impuni et plusieurs terroristes impliqués dans cet attentat barbare seront liquidés dans les années qui suivront.

SOUDAIN L'HORREUR

johistoire

    Au petit matin d'une journée qui s'annonce chaude et ensoleillée la nouvelle claque au centre de presse : Un commando de terroristes palestiniens s'est introduit au village olympique et a inversti les appartements occupés par la délégation israélienne au 31 de la rue Connolly. Plusieurs athlètes ont pu s'échapper mais, outre neuf captifs, un dirigeant a été tué et une entraîneur grièvement blessé, il est mort peut-être aussi !
    Aussitôt, c'est la ruée des journalistes vers le village olympique distant seulement de 500 m du centre de presse.
    Un journaliste israélien donne les premières informations :
    "Je m'appelle Aaron Lahan ; M. Lalkin, chef de la délégation m'a téléphoné ce matin qu'il s'était passé quelque chose de grave. A 6h30, je suis arrivé au village et j'ai vu le cadavre de Moshe Weinberg... Ce que je sais c'est que Weinberg a été mitraillé sur son lit.



Moshe Weinberg, 33ans, entraîneur, était l'un des sportifs les plus populaires d'Israël

    En entendant cela un autre Israélien a donné l'alerte mais il s'est fait tirer dessus... Grâce à lui trois sportifs ont pu s'enfuir en pyjama, mais beaucoup d'autres sont prisonniers."
 dit-il.


L'haltérophile Jossef Romano, 33 ans, état originaire de Libye.

    Un journaliste italien qui a voulu escalader une grille se brise une jambe.
    Les journaliste français parviennent à passer le service d'ordre grâce à l'équipe de handball d'URSS, de retour d'entraînement, à laquelle ils se mêlent à la faveur d'une grosse bousculade.
    Bien avant le N°31, où a eu lieu la fusillade et où se tiennent les Palestiniens et leurs otages juifs, la rue Connolly est barrée.
    Dans le grand immeuble qui fait face au petit bloc israélien, la délégation d'Allemagne de l'Est refuse d'évacuer.
    "Nous avons avec nous notre propre police," dit Manfred Ewald, le responsable de l'équipe de RDA à M. Schreiber, chef de la police de Munich, "nous sommes assez grands pour nous défendre tout seuls."
    Schreiber explique à l'Allemand de l'Est que lui et son équipe sont sous sa responsabilité. On négocie et la RDA consent à évacuer, mais une partie de l'immeuble seulement.
    Les 12 000 policiers de Munich sont sur les dents et 25 tireurs d'élite arrivent.
    Deux "command cars", deux chars et deux ambulances s'avancent sous la sortie de l'immeuble. Dans le car téléphonique, on s'affaire. Douze lignes y sont tirées qui fonctionnent sans arrêt. Sur la table, à l'intérieur, le plan du village olympique est minutieusement étudié par Hans Dietrich Genscher, ministre de l'intérieur, Walter Troeger, le maître du village et Manfred Schreiber.
    De temps en temps, un Palestinien apparaît au balcon, visage caché par une cagoule ou par un foulard.



    Dès 13h, les témoins qui se trouvent à l'intérieur pensent que les Palestiniens ne sortiront que de nuit tant sont nombreux et peu discrets les tireurs d'élite disséminés sur les toits. Le monde entier, sens dessus-dessous, est à l'écoute de Munich. On connaît les cinq demandes du commando qui appartient à l'organisation clandestine "Septembre Noir", la branche dure des irréductibles du "Fatah", le mouvement pour la "Libération de la Palestine".

  1. Israël doit remettre en liberté 250 Palestiniens prisonniers dont la liste, transmis aux autorités israéliennes, comprend notamment le Japonais Kozo Okamoto, auteur du massacre de Lod.
  2. Les athlètes israéliens otages des feddayins devront être transportés à bord d'un avion de n'importe quelle nationalité vers une capitale arabe à l'exception d'Amman et Beyrouth.
  3. Une fois les otages arrivés à destination, des négociations s'ouvriront avec le gouvernement ouest-allemand en vue d'obtenir, d'une part la remise en liberté des otages et, d'autre part, le départ sans encombre des auteurs de l'attentat.
  4. Le gouvernement ouest-allemand ne doit pas tenter de libérer les otages par la force, car cela signifierait immédiatement la mort pour les otages.
  5. Ces demandes ne peuvent faire l'objet d'aucune négociation, et si Israël les rejette ou tente de faire traîner les choses en longueur, les feddayins "mettront à exécution leus projets en ce qui concerne les otages israéliens et laisseront Israël supporter la responsabilité de l'affaire en raison de son attitude."


    Mais, comme on pouvait s'y attendre, Tel Aviv, qui s'est tracé comme ligne de ne jamais céder à aucun chantage, ne parle pas un seul instant de libérer les prisonniers palestiniens.
    La situation se bloque, d'autant plus nettement que le commando de Septembre Noir refuse d'échanger ses captifs contre des personnalités allemandes qui se sont portées volontaires.
    Le CIO décide d'interrompre les Jeux Olympiques pour 24h.
    C'est vers 22h que le drame se dénoue dans le sang. Trois hélicoptères décollent du village olympique en direction de l'aérodrome militaire de Fürstenfeldbrück. Ils emportent les Palestiniens, les otages et plusieurs officiels allemands. Chacun des pilotes est surveillé par un homme de Septembre Noir. Pendant le vol les journalistes peuvent aller jusqu'à l'immeuble israélien de la rue Connolly où ils apprennent que le blessé est mort dans l'après-midi. Deux morts déjà !
    A Fürstenfeldbrück où se sont repliés les tireurs d'élite allemands, les hélicoptères atterissent dans l'obscurité. Les tireurs d'élites tentent de tuer les Palestiniens, ces derniers mitraillent les otages puis font exploser un hélicoptère à la grenade. L'action dure 8 minutes. Les neuf otages sont morts et seuls trois Palestiniens blessés survivent.



    Depuis le début de l'après-midi tous les drapeaux sont en berne à Munich.

    Cérémonie funèbre au stade olympique dans lequel s'entassent 80 000 spectateurs.
    Tous les regards sont braqués sur les Israéliens rescapés qui viennent de perdre onze des leurs.



La cérémonie du souvenir a débuté sur l'aire réservée aux athlètes. Mais onze sièges restent vides, ceux des onze victimes.

    Compte tenu du petit nombre de leurs représentants à Munich c'est comme si, une nouvelle fois, un génocide avait frappé les Juifs. On remarque l'absence des représentants des pays arabes, de l'URSS et de l'Allemagne de l'Est.


La délégation israélienne lors de l'ouverture des Jeux le samedi 26 août.

    Le public se méprend sur le sens exact du discours prononcés par MM. Lalkin et Ben Horin, ambassadeur d'Israël à Bonn. On croit qu'ils donnent leur "feu vert" pour la continuation des Jeux Olympiques, or quelques heures plus tard les journalistes interviewent M. Lalkin qui déclare :
    "Notre position est claire, nous sommes pour l'olympisme dont nous estimons immense la portée et la valeur. Mais nous rejetons les Jeux Olympiques de Munich et sommes déçus de les voir se poursuivre compte tenu de ce qui vient d'arriver.
    Cela dit, le CIO est le maître des Jeux et chacune des nations qui y participe, maîtresse de sa décision de poursuivre ou non les épreuves."

    Les journalistes disent alors à M. Lalkin que la sonorisation du stade étant mauvaise, beaucoup ont cru entendre à ce moment-là qu'Israël était pour la continuation des Jeux de Munich.
    "Pour la poursuite du mouvement olympique, oui, pour celle des Jeux de Munich sûrement pas, au contraire." précise-t-il.
    Peu après, suivi de sa délégation, M. Lalkin se rend au deuxième étage du bâtiment administratif où l'attend l'ambassadeur d'Israël en Allemagne et des personnalités allemandes.
    Les deux parties se séparent sans chaleur excessive après que les gerbes aient été déposées devant l'immeuble.
    Les Israéliens ont les yeux rouges et gonflés ou bien cachés derrière des lunettes de soleil. L'un d'entre eux consent à s'exprimer :
    "Nous pleurons onze morts, c'est énorme compte tenu du petit nombre que nous étions à Munich."
    Les journalistes demandent à M. Lalkin comment le commando a pu entrer puisque de l'extérieur la porte ne peut être ouverte sans clé.
    Il regarde cette porte N°3 et répond brièvement :
    "Ce coup a été longuement préparé;"

    Au total, 17 personnes sont mortes : 11 Israéliens, 5 Palestiniens et 1 policier allemand.

    Au 31 de la rue Connolly s'accumulent des gerbes rouges de glaïeuls et d'oeillets.

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5 septembre 2010 7 05 /09 /septembre /2010 05:30

 

 

 

par Yéochoua Sultan

En marge de la reprise des pourparlers destinés, selon les organisateurs et participants, à mettre un terme à la situation tendue entre le monde arabo-musulman et l’Etat d’Israël, de nouvelles attaques terroristes frappent la région. Une roquette a été tirée shabbat matin depuis la bande de Gaza en direction du secteur du Conseil régional d’Eshkol. Ce missile, bien que meurtrier, est tombé dans un terrain inhabité, et n’a donc provoqué ni pertes ni dégâts. Une autre tentative s’est produite dans la nuit de vendredi à samedi, toujours pendant shabbat, mais le missile a atterri du côté de la barrière occupé par le Hamas.

Parallèlement à ce tir de roquette, Tsahal a dû renforcer l’état d’alerte en Judée-Samarie, et le nombre des permissions accordées aux soldats a dû être sensiblement réduit. Les organisations terroristes, qui s’arment librement depuis les différents accords  (Oslo, Hébron, W.) ont déclaré la guerre aux forces de Tsahal, bien qu’elles s’attaquent surtout à des civils désarmés, comme la semaine dernière, lorsque deux couples ont été assassinés alors qu’ils circulaient en voiture. Le cabinet politique du Hamas s’est félicité de ce quadruple assassinat.

Le porte-parole de la branche armée du Hamas en Judée Samarie, chef d’un sous-groupe répondant au nom des unités Az-A-Din al Kassam, a déclaré: «Nos forces sont prêtes pour ne nouvelle étape de la guerre. Une étape de résistance sans compromis, d’appel à la lutte armée frontale.» Le Hamas a fait savoir qu’il s’unirait à douze autres mouvements terroristes pour s’attaquer à Israël. «Jusqu’à présent, nous sommes restés calmes, mais nous sommes prêts à tout développement, a ajouté ce porte-parole.»

israel7

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5 septembre 2010 7 05 /09 /septembre /2010 04:50

 

La censure de you tube !!!

 

Danilette n'a plus l'usage de son compte danilettte qui est bloqué pour 2 semaines. C'est son 2ème avertissement et la prochaine fois il le désactive complètement, pour quelle raison ? Il parait que les vidéos heurtent la sensibilité musulmane, elles sont signalées comme "racistes" !!! Tout simplement parce que Danilette défend Israël !!! Ellea  protesté mais en vain,... 

 

Par Daniletta et Yossi de Netanya

 

danilettta | 4 septembre 2010

Vidéo : Voilà ce qui déclenché des concerts de Klaxons et des réjouissances en "Cisjordanie" et à Gaza...
Qui, dans le monde civilisé peut se réjouir d'un tel malheur ?

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4 septembre 2010 6 04 /09 /septembre /2010 20:46
Explosions dans une cache d’armes du Hezbollah : au moins 5 blessés

 

 

 

Inutile de vous faire remarquer que le dépôt se trouve dans les quartiers d'habitation !

 

 

 

 

 

Un responsable de la sécurité libanaise a déclaré qu’un immense brasier au village de Shihabiya a pu être déclenché par l’explosion d’un dépôt d’armes appartenant au groupe chi’ite.

Roee Nahmias, agences

Publié le: 

03. 09.10, 14:30 / Israel News

 

 

 

 http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3948971,00.html

 

Adaptation : Marc Brzustowski

 

Pour © 2010 lessakele et  © 2010 aschkel.info

 


 

Des responsables de la sécurité libanaise ont déclaré vendredi que plusieurs explosions ont provoqué un immense brasier dans un village du Sud-Liban. (Officiellement) Selon eux, cinq personnes ont été blessées dans l’incident.

 

 

Une source dans l’armée a précisé que les explosions semblent avoir été déclenchées par l’explosion d’un dépôt d’armes appartenant au groupe terroristeHezbollah dans le village de Shehabiyeh.

 

 

“Il y a eu bien plus qu’une seule explosion dans une maison à l’extérieur de Shihabiya”, a t-il dit. « En général, (des explosions multiples) signifient qu’il s’agissait de (détonations de) munitions », a-t-il ajouté.

  

 

La chaîne d’information Al-Jazeera a rapporté que les explosions se sont produites dans un dépôt d’armes situé dans une maison de trois étages d’un agent opérationnel du Hezbollah.

 

 

 

Les forces de l’armée libanaise sont alors arrivées sur place et ont établi un cordon sécuritaire autour de la zone.

 

 

Shihabiya se situe à environ 15 kms (10 miles) à l’Est de la ville côtière de Tyr, près de la frontière Sud du Liban avec Israël.  

 

 

 

Le Sud-Liban est un bastion du Hezbollah, qui a mené une  guerre  de 34 jours contre Israël en 2006.

 

Selon la résolution 1701 de l’ONU, qui a mis un terme à ce conflit, la zone du Sud du Litani est censée être interdite à l’installation de dépôts d’armes.

 

L’été dernier, une explosion du même type avait ébranlé un autre dépôt d’armes du Hezbollah dans le village de Khirbet Silim, à environ 10 miles (15 kms) au nord de la frontière. Israël avait alors déposé une plainte à l’ONU, dénonçant que le fait d’entreposer des armes au Sud du Litani constituait une violation flagrante de la résolution 1701.

 

 

 

AP, Reuters ont contribué à ce reportage.

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3 septembre 2010 5 03 /09 /septembre /2010 08:35
Treize groupes armés palestiniens jurent d'intensifier les attaques contre Israël
Publié le 2010-09-03 09:45:09 | French. News. Cn



 
 

GAZA, 2 septembre (Xinhua) -- Treize groupes armés palestiniens ont juré jeudi d'intensifier les attaques conjointes et séparées sur les cibles israéliennes, afin d'entraver les négociations de paix israélo-palestiniennes qui doivent débuter jeudi à Washington.

"Les factions ont convenu que tous les moyens sont ouverts à la résistance palestinienne pour combattre Israël dans la phase à venir", a indiqué Abou Obaida, porte-parole de l'aile armée du Mouvement islamique Hamas, en lisant une déclaration des 13 groupes basés à Gaza lors d'une conférence de presse tenue dans la bande de Gaza.

Mardi, des militants du Hamas ont tué quatre  israéliens près de Hébron, en "Cisjordanie". Mercredi, le Hamas a revendiqué la responsabilité d'un autre incident dans lequel des personnes armées ont tiré des coups de feu depuis un véhicule près de Ramallah, blessant deux Israéliens.

Les 13 groupes armés, y compris le mouvement islamique Jihad, le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) et le Front démocratique de libération de la Palestine (FDLP), qui ont participé à la conférence, ont critiqué le fait que les dirigeants palestiniens acceptent les négociations sans obtenir l'engagement israélien de cesser la construction de colonies dans les territoires. 

Le 30 août, les 13 factions se sont réunies "et ont convenu d'amener la résistance palestinienne dans une phase anticipée de coordination de haut niveau pour lutter efficacement contre Israël", a rappelé Abu Obaida.

"L'escalade (de la résistance palestinienne)NDLR -résistance ? intervient pour rejeter tous les projets honteux qui comprennent les concessions dangereuses et pour lutter contre toute conspiration visant les droits des Palestiniens par des négociations malhonnêtes", a-t-il ajouté.

La déclaration appelle également l'Autorité palestinienne (AP) à cesser de sévir contre les partisans du Hamas. Le Hamas a indiqué que jusqu'à 550 de ses partisans ont été arrêtés ces derniers jours.

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1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 10:07

 

 

 

Beth 'Haggai en deuil - portrait des victimes

 

Bet Haggaï, petite localité religieuse de plus de 500 habitants située près de Hébron, a été durement frappée mardi soir par la terrible attaque terroriste qui a couté la vie à quatre de ses résidents. Fondée en 1984, il s’agit d’un village communautaire où vivent de très nombreux enseignants et il y règne une solidarité exceptionnelle. Tout le monde se connaît et s’entraide chaque fois que le besoin s’en fait sentir et les gens sont bien entendu profondément marqués par cette tragédie.

Mais il y a les enfants qu’il faut malgré tout préserver. Cela ne veut pas dire que leurs parents leur ont caché la vérité. Mais il a fallu ensuite les emmener à l’école avec le sourire, pour leur premier jour de classes, qui va être difficile pour eux comme pour leurs professeurs.

Itshak et Talia Imass, âgés respectivement de 47 et 45 ans, font partie des victimes. Ils étaient originaires de Russie mais vivaient depuis de longues années en Israël. Lui se passionnait pour tout ce qui touchait le Har Habayit, le Mont du Temple, et elle avait découvert, depuis quelques temps, le plaisir des promenades du vendredi matin, dans des coins peu connus de la région. Pour tous ceux qui les connaissaient, c’étaient des gens  très idéalistes, qui avaient dû traverser de nombreuses difficultés dans leur vie sans se décourager pour autant. Ils laissent malheureusement six orphelins dont l’aîné est marié.

Kokhava Even-Haïm, 37 ans, mariée et mère d’une fillette de 11 ans, a également été assassinée dans cet attentat. Elle était enseignante dans une école de la localité d’Efrata, dans le Goush Etsion. Elle vivait depuis 18 ans à Bet Haggaï où elle avait suivi son mari, Momi. Ce dernier, bénévole dans l’organisation de secours Zaka, était parmi les premiers sur les lieux du drame et il a alors découvert avec horreur le corps sans vie de son épouse. Le couple, qui n’avait pas réussi à avoir d’autres enfants, donnait sans compter aux jeunes de la localité en réalisant une activité sociale très appréciée.  

Avishaï Schindler, 24 ans, était un jeune marié. Il avait décidé de s’établir à Bet Haggaï avec sa femme qui avait été responsable, plus jeune, du Bné Akiva local. L’un de ses camarades a raconté que le couple s’était parfaitement intégré dans la vie communautaire du Yichouv. « Avishaï était toujours de bonne humeur et plein de vie ».  

Le chef du conseil régional du Har Hébron, Zvika Bar-Haï, a évoqué avec émotion le souvenir des quatre victimes. Il a ajouté: « Bet Haggaï est une localité forte et avec l’aide de D.ieu nous surmonterons cette épreuve.  Et c’est l’occasion pour chacun d’entre nous de faire son examen de conscience, avant les fêtes de Rosh Hashana et de savoir faire aussi la distinction entre ceux qui veulent la vie et ceux qui ne souhaitent que le meurtre et le sang ».  

Et pour le président général du conseil de Judée-Samarie, Naphtali Beneth, la réaction à ces attaques doit être claire. Il a déclaré qu’il fallait riposter en continuant de construire des maisons dans toutes les localités juives. Il a ensuite annoncé que  les travaux reprendraient partout mercredi soir, à partir de 18 heures, trois semaines avant la fin du gel.  

Les obsèques des victimes démarront toutes au village à 11 heures, ce mercredi matin. Itshak et Talia Imass seront ensuite enterrés au Mont des Oliviers, Har Hazeitim, à Jérusalem. Kokhava Even-Haïm sera inhumée à Ashdod. Le cortège funèbre d’Avishaï Schindler passera d’abord devant la maison familiale avant de prendre la direction du cimetière de Petah Tikva.

 

par Claire Dana-Picard

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