Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
19 août 2010 4 19 /08 /août /2010 12:57

 

 

 

Gaza : l'ONG Help Doctors accuse le Hamas d'avoir saisi son matériel

mercredi 18.08.2010, 16:05 La Voix du Nord

Régis Garrigue, président de l'ONG Help Doctors - PHOTO LA VOIXRégis Garrigue, président de l'ONG Help Doctors - PHOTO LA VOIX

L'ONG française Help Doctors, présidée par le médecin urgentiste lillois Régis Garrigue, a accusé ce mercredi le mouvement islamiste Hamas qui contrôle la bande de Gaza d'avoir saisi du matériel et les dossiers médicaux dans son dispensaire de Khan Younès (sud de la bande de Gaza) qu'il avait fait fermer en juin.

 

Selon un communiqué de Help Doctors « quatre hommes du ministère de l'Intérieur ont pénétré mardi matin dans le dispensaire et ont emporté matériel informatique, téléphone, chaises, matériel de bureau et des dossiers médicaux en refusant par la suite de donner la moindre raison sur cette intervention. »

L'ONG rappelle que 16 juin, le dispensaire avait été fermé par ordre de la police. Help Doctors souligne que ce centre spécialisé dans le traitement des maladies chroniques avait depuis son ouverture le 30 avril « reçu près de 5.000 patients et offert la gratuité des soins aux diabétiques ».

L'ONG dénonce une « décision injuste qui met en péril la santé de certains malades » et qui constitue une « violation du droit international humanitaire ».

« Nous avons déjà perdu des milliers d'euros de médicaments qui n'ont pu être donnés avant échéance et maintenant on nous apprend la perte de 50 000 euros de matériel d'analyse qui ont été payés par les ville de Lille et de Dunkerque », souligne le président de Help Doctors Régis Garrigue. « Nous sommes inquiets pour notre personnel et les 800 malades réguliers qui attendent des soins vitaux », ajoute-t-il.

L'ONG rappelle qu'en décembre 2008 - janvier 2009, Help Doctors était présente au coeur de Gaza pour opérer et soigner de nombreux blessés palestiniens lors de l'opération dévastatrice israélienne « Plomb durci ».

Les autorités du Hamas, qui contrôle la bande de Gaza depuis son coup de force de juin 2007, n'étaient pas joignables dans l'immédiat mercredi.

Partager cet article
Repost0
17 août 2010 2 17 /08 /août /2010 20:54

 

 

 

Deux soldats blessés près de Gaza - 2 roquettes tirées
Par YAACOV KATZ ET JPOST 
17.08.10

Les accrochages entre l'armée et des terroristes palestiniens le long de la frontière de Gaza se sont intensifiés mardi, quand deux soldats israéliens ont été légèrement blessés par le feu d'un mortier, à côté de la barrière de sécurité du sud de Gaza.


PHOTO: JPOST

Les soldats blessés ont été évacués par hélicoptère à l'hôpital Soroka de Beersheva.

Les forces de défense ont répliqué. La brigade Salah al-Din a revendiqué les tirs mardi.

Cette brigade est le bras armé du groupe terroriste gazaoui, Comités de Résistance Populaires (CRP).

L'incident de mardi s'est produit là où un soldat israélien avait été légèrement blessé lundi, lors d'accrochages avec des Palestiniens locaux.

Le soldat, de la division blindée, venait d'intercepter deux Palestiniens en train de planter des explosifs près de la barrière de sécurité.
.
Plusieurs soldats avaient alors ouvert le feu, tuant l'un des Palestiniens. Ces derniers ont alors répliqué au sniper. L'Israélien blessé a également été évacué à Beersheva.

Après l'incident, deux roquettes ont été tirées sur Israël depuis Gaza, explosant à Eshkol, dans l'ouest du Néguev. Ni blessés ni dégâts matériels ne sont à déplorer

Partager cet article
Repost0
17 août 2010 2 17 /08 /août /2010 20:45
Merci a mes amis Ari et Shira de MAOZ
pour l'envoi de cette vidéo


Dernière Vidéo pour Maoz traduite en Français
pour le centre MAOZ-ISRAEL, aschkel.info et lessakele.
Vidéo en anglais

 

 


 

 

Partager cet article
Repost0
17 août 2010 2 17 /08 /août /2010 13:20

 

 

 

Par opex360

Les menaces proférées contre la France par al-Qaïda au Maghreb islamique ne sont pas nouvelles mais elles prennent un tour nouveau avec le raid manqué du 22 juillet contre un de ses camps, au cours duquel 6 de ses militants ont été tués par les forces mauritaniennes, renforcés par des militaires français, qui comptaient sur cette opération pour retrouver Michel Germaneau, alors l’otage aux mains de cette organisation radicale et dont la mort a été annoncée depuis.

Dans un communiqué diffusé par les sites de la mouvance islamiste, AQMI a qualifié le président Sarkozy « d’ennemi de Dieu ». « Vous avez raté votre chance et ouvert les portes des troubles dans votre pays (…) Je ne dis pas que ce sera aujourd’hui ou demain ou après-demain, mais cela arrivera » a ainsi affirmé Abou Anas al-Chanqiti, un dirigeant du réseau terroriste, en évoquant le raid du 22 juillet.

L’organisation a également appelé les membres des tribus dont étaient issus ses combattants tués lors de l’opération franco-mauritanienne de « mener des représailles contre les traîtres apostats, les enfants et agents de la France chrétienne ».

Ce message fait suite à celui lancé le 2 août dernier par le chef de la branche mauritanienne d’AQMI, El Khadim Ould Semane, actuellement en prison à Nouakchott. « Je dis aux infidèles et croisés français (…) que nous ne resterons jamais tranquilles tant que le sang français n’aura pas été versé » avait-il déclaré.

Face à cela, le plan Vigipirate a été ravivé en France pour la période comprise entre le 2 août et le 15 septembre. Selon Matignon, cette décision a été prise « eu égard à l’emplification de la menace islamiste pesant sur les ressortissants et les intérêts français dans la zone sud du Sahel et dans la péninsule arabique, et considérant que le niveau de cette menace demeure élevé sur le territoire national ».

Techniquement, Vigipirate reste au niveau rouge mais « les lieux de culte sensibles, les sites touristiques symboliques, les espaces accueillant de grands évènements, les grands magasins et les centres commerciaux devront faire l’objet d’une vigilance particulière ».

Par ailleurs, AQMI a exécuté un collaborateur des douanes maliennes, enlevé le 10 août dernier avec un militaire, dans la région de Kidal, dans le nord du Mali. Le groupe terroriste se serait en fait vengé de sa participation, en 2006, à un raid au cours duquuel le second de Moktar Belmoktar, un de ses chefs, avait été tué.

Quant au militaire malien, il aurait été libéré ce 16 août, après avoir été sollicité pour rejoindre les rangs de l’organisation, qui détient toujours deux otages espagnols et dont la vie est menacée.

Enfin, selon un militant de haut rang d’AQMI de nationalité algérienne, arrêté en 2006, l’organisation terroriste, bénéficierait au Mali de soutiens de responsables locaux corrompus et de chefs de tribus. Ces derniers fourniraient des armes et aideraient à cacher les combattants islamistes.

Ainsi, selon son témoignage, des responsables gouvernementaux maliens auraient bu régulièrement le thé dans des camps d’AQMI au cours de « visites de courtoisie » aux responsables du réseau terroriste. Toujours d’après cet ancien responsable, Mokhtar Belmokhtar, aurait reçu, de la part d’un officier de l’armée malienne, deux mitrailleuses lourdes en échange d’une voiture tout-terrain.

Partager cet article
Repost0
16 août 2010 1 16 /08 /août /2010 05:07

 

 

 

Le N° 2 d’Al-Qaïda met de l'huile sur le feu entre la Turquie et Israël
Par Laure Kravitz - Dimanche 15 août 2010 à 21:51

Guysen Internationa news


© AFP/SITE

Le numéro deux d’Al-Qaïda, Ayman al-Zawahiri, a dénoncé les "liens" qu'entretient la Turquie avec Israël ainsi que son rôle en Afghanistan, dans un enregistrement audio diffusé sur des sites islamistes.
 
"Le changement se produira quand le peuple turc aura demandé à son gouvernement de cesser de coopérer avec Israël, de le reconnaître et d'envoyer ses troupes pour tuer des musulmans en Afghanistan", a dit un homme identifié dimanche comme Ayman al-Zawahiri par le centre de surveillance des sites internet islamistes SITE dans cet enregistrement.
L'authenticité de ce message n'a pu être vérifié dans l'immédiat.
Le gouvernement turc "semble sympathiser avec les Palestiniens, faisant des déclarations (dans ce sens) et en (leur) envoyant de l'aide. Mais en réalité, il reconnaît Israël, avec qui il fait du commerce, mène des entraînements militaires et partage des informations", a-t-il affirmé.
Les relations entre la Turquie et Israël, proches alliés notamment sur le plan militaire, se sont détériorées depuis la fin 2008 avec l'offensive meurtrière de l'Etat hébreu à Gaza.
Elles ont connu une nouvelle crise lorsque des commandos israéliens ont donné l'assaut le 31 mai à une flottille humanitaire internationale pour Gaza, tuant neuf passagers turcs.
Mais Zawahiri estime que tout en "faisant des déclarations critiquant les crimes israéliens contre les musulmans de Gaza (...), elle (la Turquie) commet des crimes similaires contre les musulmans en Afghanistan".
La Turquie entretient 1.835 soldats au sein de la Force internationale d'assistance à la sécurité (Isaf) de l'Otan et dirige des unités mixtes de combattants et d'ingénieurs pour la reconstruction dans une province afghane.
En Afghanistan, les forces turques "assument la direction de (...) l'Otan participant au meurtre de musulmans et brûlant leurs villages et maisons", a accusé Zawahiri.
"Votre gouvernement joue un rôle fondamental en coopérant avec les Etats-Unis dans sa guerre contre l'islam. Il a arrêté plusieurs moujahidine (combattants) et les a remis à l'Amérique où ils sont torturés et condamnés à de longues années de prison", a-t-il ajouté.
Le peuple turc doit "s'opposer à ces crimes commis par votre gouvernement et votre armée contre l'islam et les musulmans", a-t-il ajouté, estimant que "la Turquie laïque nous livre aux ennemis de l'islam".
L'agence de presse turque Anatolie a rapporté le 8 août l'arrestation en Turquie de 15 personnes soupçonnées de liens avec Al-Qaïda.
La police turque opère régulièrement des coups de filet dans les milieux des partisans présumés d'Al-Qaïda depuis des attentats meurtriers à Istanbul en novembre 2003 dont la responsabilité avait été imputée à une cellule turque d'Al-Qaïda.
Zawahiri s'en est également pris à l'Iran, l'accusant de collaborer avec les "croisés" en Afghanistan et en Irak.

Le numéro deux d'Al-Qaïda, dont la tête a été mise à prix par Washington pour 25 millions de dollars, avait fait des déclarations similaires contre le gouvernement turc dans un message diffusé sur internet en juillet, appelant le "peuple turc" à "assumer sa responsabilité en forçant son gouvernement à arrêter de reconnaître ceux qui ont occupé la terre de Palestine".

G.I.N  avec agences
Partager cet article
Repost0
15 août 2010 7 15 /08 /août /2010 20:42

 

 

 

 

Israël voit le Hezbollah se réarmer au Sud-Liban

http://www.journalmetro.com/monde/article/603642-

 

MATTI FRIEDMAN--, THE ASSOCIATED PRESS
Publié: 15 août 2010 08:01
Mis à jour: 15 août 2010 08:07

Israël voit le Hezbollah se réarmer au Sud-Liban

Quatre ans après la guerre qui l'a opposée au Hezbollah, l'armée israélienne affirme que la milice chiite amasse armes et combattants dans les villages du Sud-Liban, se mêlant à la population et construisant un réseau secret de bunkers, d'entrepôts et de postes de commandement en préparation d'une nouvelle guerre.

Aucune des deux parties n'a donné de signe de l'imminence d'un conflit. Si Tsahal détaille aussi ouvertement ses informations sur les préparatifs supposés du Hezbollah, c'est dans deux buts: d'abord montrer l'étendue de ses renseignements; ensuite et surtout, dans le cas où une nouvelle guerre éclatait et faisait de nombreuses victimes civiles, en reporter d'avance la responsabilité sur le Hezbollah.

Depuis 2006, le Parti de Dieu a changé de stratégie. Ses hommes et ses armes ont quitté les zones boisées pour les villages, affirme l'Etat hébreu, qui l'accuse de vouloir utiliser les civils comme boucliers humains.

Depuis le mont Adir, qui surplombe la frontière avec le Pays du Cèdre, une femme officier du Commandement du Nord israélien montre le village libanais d'Aïta el-Chaâb. Elle affirme que le Hezbollah a installé plusieurs postes dans des bâtiments civils dans le centre du village. Selon elle, des dizaines de miliciens peuvent passer d'un site à l'autre grâce à des tunnels.

Le bourg abrite aussi un réseau de caches où sont entreposées des armes importées d'Iran via la Syrie, rapporte encore la femme officier, dont Tsahal refuse que son nom soit publié pour raisons de sécurité. Les armes sont cachées dans des garages, des sous-sols ou enterrées dans des jardins, affirme-t-elle.

Toujours selon elle, 5.000 hommes du Hezbollah opèrent actuellement dans la zone tampon située entre la frontière et le fleuve Litani. Selon l'accord de cessez-le-feu de 2006, aucune activité paramilitaire n'est censée avoir lieu dans cette bande, large de 5 à 30km selon les endroits.

Partager cet article
Repost0
15 août 2010 7 15 /08 /août /2010 17:35

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

Centre Meir Amit d'Information

sur les Renseignements et le

Terrorisme

Par le Dr Reuven Erlich

11 août 2010

 

 

Un réseau d'anciens membres du Fatah à Gaza (Al-Ahrar), a annoncé la création de sa branche militaire

 

 

Un réseau d'anciens membres du Fatah dans la bande de Gaza (Al-Ahrar), soutenu par le Hamas, a annoncé la création de sa branche militaire. Les drapeaux des Etats-Unis et d'Israël ont été incendiés pendant les cérémonies d'inauguration, tandis qu'un représentant de l'organisation turque IHH a félicité les participants par vidéoconférence.

 

1. Un réseau d'anciens activistes du Fatah se présentant comme le "mouvement palestinien d'Al-Ahrar" ("Les hommes libres") a récemment annoncé la création de sa branche militaire. Al-Ahrar est un réseau fondé peu après le coup militaire du Hamas (Juin 2007) par des anciens membres du Fatah. Il est dirigé par Khaled Abu Hilal, l'ancien porteparole du gouvernement de l'AP mené par le Hamas établi après les élections législatives.

2. Le réseau, qui ne reconnaît pas la direction d'Abu Mazen, soutient la lutte armée comme moyen de mettre un terme à "l'occupation israélienne" de la Judée-Samarie et de la bande de Gaza. Il a été soutenu par le Hamas dès sa fondation - selon nous dans le cadre des tentatives effectuées pour prendre le contrôle du Fatah ainsi que des luttes de pouvoir palestiniennes internes. Son activité politique jouit d'une large couverture dans les médias affiliés au Hamas (comme le journal Felesteen) ; nous pensons également que ses activités militaires sont soutenues et dirigées par le Hamas.

 

 

Lire la suite du Document :  CES Fatah-hamas Aza Doc AschkeletGad CES Fatah-hamas Aza Doc AschkeletGad

Partager cet article
Repost0
12 août 2010 4 12 /08 /août /2010 18:09

 


 

 

Attaques terroristes contre les citoyens d'Israel - rapport mensuel Juillet 2010

 

Par Aschkel  

pour aschkel.info et lessakele

 

Autorisé à la diffusion

 

Pas un seul jour ne se passe sans que des attaques terroristes ne se produisent contre les citoyens de l'Etat d'Israël.

 

Et personne n'en parle.

 

Lorsque nous disons « chaque jour », parfois même, plusieurs attentats terroristes sont planifiés le même jour. Certains, seulement, émergeront dans les médias, lorsqu'il y aura du "sang à la Une", surtout si une malheureuse "victime" palestinienne (l'islamikaze, notamment) peut être comptabilisée dans les statistiques morbides, auxquelles on fait bien dire ce que l'on veut leur faire dire...

 

Ce rapport ne révèle que les faits dûment constatés, et non les attentats multiples qui ont été déjoués par les services intérieurs d'Israël.

Voir le Document

Actes de terreur sur Israel 07-2010 Doc AschkeletGad Actes de terreur sur Israel 07-2010 Doc AschkeletGad


Partager cet article
Repost0
10 août 2010 2 10 /08 /août /2010 04:08

La bonne blague !

 

Nasrallah dévoile des « images israéliennes » représentant le site du meurtre de Hariri
10.08.2010

lorientlejour

Durant deux heures et demie d'affilée, le numéro 1 du Hezbollah a fourni à son public une pléthore d'indications, dont des images de reconnaissance israéliennes du site de l'assassinat de Rafic Hariri, prises avant le drame. Tout en cherchant à montrer du doigt Israël, Hassan Nasrallah a passé en revue l'historique de l'espionnage israélien au Liban, qui, selon lui, n'est qu'un « prélude pour l'exécution d'une opération ».


C'est à partir d'aujourd'hui seulement que le public libanais et international saura si le secrétaire général du Hezbollah a été convaincant ou non, et si, comme il a insisté à le dire, « l'image du parti chiite » qu'il cherche vraisemblablement à restaurer aura bénéficié de cette conférence de presse tant attendue localement et internationalement. Le leader chiite s'exprimait par vidéoconférence devant des journalistes et des hommes politiques réunis dans un complexe appartenant au parti chiite dans la banlieue sud de Beyrouth.
Bien que conscient qu'il « ne détient pas des indications concluantes » mettant en cause Israël, Hassan Nasrallah affirme qu'il n'en espère pas moins que les faits relatés, avec des éléments audiovisuels à l'appui, soient pris en considération par une commission libanaise qui serait mise en place pour éluder le mystère de l'assassinat de l'ancien Premier ministre.
S'il affirme au passage qu'il ne demandera pas à Saad Hariri de renoncer au Tribunal spécial pour le Liban, encore moins à l'acte d'accusation, il indique clairement qu'un des objectifs de cette démonstration est de restaurer l'image du parti chiite, à l'issue d'une « guerre d'opinions publique », comme il dit.
Avançant ses pions un par un, Hassan Nasrallah a tenu à dévoiler ses cartes progressivement, en commençant par des révélations concernant un espion israélien, Ahmad Nasrallah, qui fournissait aux services de sécurité de Rafic Hariri de fausses allégations concernant un complot d'assassinat que le Hezbollah serait en train de fomenter contre l'ancien Premier ministre. Arrêté par les autorités libanaises en 2000, Ahmad Nasrallah a été ensuite relâché avant d'aller se réfugier en Israël où il recrute actuellement des espions libanais pour le compte d'Israël.
La seconde partie développée par le secrétaire général a été axée sur les accusations lancées par l'État hébreu en direction du parti chiite, étayées par les différentes déclarations faites par les responsables israéliens depuis le 14 février 2005. « Depuis cette date, les Israéliens se sont empressés de nous montrer du doigt, leurs accusations ayant été ensuite relayées par le Der Spiegel », a-t-il dit.
Quant au motif, il se résume par l'adversité de l'État hébreu au Hezbollah, « qu'il cherche à anéantir ou à désarmer à chaque fois qu'il en a l'occasion ».
Le chef du Hezbollah a passé en revue les techniques utilisées à cette fin « qui nous aideront à mieux comprendre les preuves avancées », a-t-il dit, en citant les missions de reconnaissance, réalisées principalement à l'aide des drones, ou MK, les équipements d'écoute et de surveillance ainsi que les réseaux de téléphonie mobile, les renseignements obtenus sur place par le biais des espions ou des commandos, et, enfin, les éléments logistiques, c'est-à-dire les armes et les explosifs.
Hassan Nasrallah s'est ensuite attaqué au dossier des espions, en décrivant leur mission dans ses moindres détails. De Phillipos Hanna Sader, chargé de surveiller la résidence du chef de l'État Michel Sleiman à Jbeil, jusqu'à Fayçal Mokalled, qui introduisait des explosifs au Liban, en passant par Saïd el-Alam dont la mission consistait à surveiller les déplacements de Samir Geagea et de Saad Hariri, Mahmoud Rafeh, qui a à son crédit quatre opérations d'assassinat et qui a facilité l'infiltration au Liban de plusieurs Israéliens, bref, autant de personnages qui n'ont malheureusement pas retenu l'attention de la commission d'enquête internationale, déplore Hassan Nasrallah.
« La commission d'enquête internationale est-elle jamais venue interroger Mahmoud Rafeh sur ces Israéliens et sur ce qu'ils sont venus faire au Liban ? » s'interroge-t-il avant de lancer un appel aux responsables les invitant à mettre en place un comité chargé de réunir les aveux faits par cette pléthore d'agents pour les analyser. « Celui qui cherche véritablement la vérité sur l'assassinat de Rafic Hariri devrait commencer par là », a-t-il dit.

Survols de surveillance
Le secrétaire général du Hezb a ensuite attaqué la dernière partie de son discours, fondée sur des images de reconnaissance aériennes, un domaine dans lequel l'État hébreu excelle, a-t-il fait remarquer. Après avoir présenté un film vidéo sur l'affaire Ansariyeh de septembre 1997 dans laquelle le commando israélien s'est fondé sur des images de reconnaissance prises à l'aide des drones et interceptées par le Hezbollah, un autre exemple a été avancé, vidéo à l'appui également, montrant les opérations de surveillance israélienne de Ali Dib, un cadre du parti, ainsi que celles de Mahmoud el-Majzoub, que l'État hébreu a réussi à assassiner.
Deux exemples démonstratifs qui devaient servir à l'orateur de parvenir à son objectif principal, à savoir la vidéo montrant des images de reconnaissance israéliennes du site de l'assassinat de Rafic Hariri, prises avant le drame.
Sayyed Nasrallah a précisé qu'elles avaient été prises par un avion de reconnaissance de type MK. « Quand on prend ce genre d'images, c'est généralement une introduction pour l'exécution d'une opération », a-t-il estimé.
Les images montrent les routes proches du Parlement au centre-ville de Beyrouth, de la résidence de Rafic Hariri ainsi que celle longeant le front de mer, près duquel ce dernier avait été assassiné en 2005. Elles ne sont pas datées et ne présentent pas une marque israélienne claire. D'autres images retracent également le parcours de l'ancien Premier ministre jusqu'à sa résidence à Faqra, avec une insistance particulière sur les tournants, propices à l'exécution d'un assassinat, dans la mesure où le conducteur du véhicule est censé ralentir à ce niveau. Le dignitaire chiite n'a pas manqué de relever que la commission d'enquête internationale représentée par le procureur Daniel Bellemare pourrait obtenir, si elle le désirait, le plan retraçant les activités de ces drones et leurs itinéraires « en les demandant à Israël ou à un pays ami ».
Dernier argument avancé par le secrétaire général toujours en guise de preuve, la présence, la veille de l'assassinat de Rafic Hariri, d'un autre espion, Ghassan el-Jidd, dans la localité du Saint-Georges. Le parti en avait informé les forces de l'ordre, mais l'espion avait déjà fui le pays.
Hassan Nasrallah a conclu en disant ne pas détenir de preuves « concluantes » sur une implication d'Israël dans cet assassinat, mais que ces « données » pouvaient servir à parvenir à la vérité sur le meurtre de l'ancien Premier ministre.
En réponse aux questions des journalistes, le secrétaire général a insisté sur le fait que si le TSL devait ignorer la piste israélienne, ou les indications avancées par le parti, ce serait une preuve par mille que cette instance est « politisée ». À la question de savoir pourquoi il ne soumet pas ses données au TSL, il a affirmé qu'il « n'avait malheureusement pas confiance » dans ce tribunal. Cependant, a-t-il précisé, si le gouvernement libanais charge un comité ad hoc pour vérifier ces faits, il les lui soumettra.
Prié de dire pourquoi ces données n'avaient pas été auparavant remises à la commission d'enquête, il a répondu que les images satellitaires de l'activité aérienne n'ont pu être tirées au clair et décodées que récemment. À la question d'un journaliste qui se demandait pourquoi Israël, qui avait planté ses espions depuis longtemps au Liban, n'avait pas assassiné plus tôt Rafic Hariri, il a répondu que le contexte régional et international ne s'y prêtait pas encore. Quant à la question de savoir s'il allait à l'avenir coopérer avec le TSL, Hassan Nasrallah s'est abstenu de répondre, affirmant qu'il révélera sa position au lendemain de la fête du Fitr. Et d'indiquer enfin qu'il détient encore d'autres indications relatives à ce dossier, qu'il dévoilera par la suite.
Partager cet article
Repost0
9 août 2010 1 09 /08 /août /2010 19:53

 

 

Centre d'Information sur les

Renseignements

et le Terrorisme

 

Un juriste turc spécialiste en droit international, émet une critique acerbe sur les organisateurs du Mavi Marmara.

 

Le journal d'opposition turc cite un juriste turc spécialiste en droit international, émettant une critique acerbe sur la conduite des organisateurs du Mavi Marmara. Selon lui, Israël a contrevenu à la loi internationale, mais la conduite des organisateurs turcs a donné à Israël la légitimité d'arraisonner le navire.

 

L'article dans Ilk Kurşun se termine par une critique acerbe du Premier ministre turc :

"Nous espérons que l'arrogant Sultan Fatih (Mehmet le Second, un sultan ottoman vénéré par les Turcs, qui a conquis Constantinople des Byzantins en 1453), Recep [Tayyip Erdogan], s'informera directement des événements véritables qui surviennent dans le monde et ne nous traînera pas dans la boue du Moyen-Orient. "

 

Lire la suite

  CES Affaire M.Marmara Doc AschkeletGad CES Affaire M.Marmara Doc AschkeletGad

Partager cet article
Repost0

Traducteur/translator

 

 

France  ISREAL  English

Recherche

logo-lien-aschkel-copie-1.jpg

 

France  ISREAL  English
Traduire la page:
By
retour à l'acueil

------------------------------------- 

 

Communication and Information

 

Vous souhaitez 

- proposer un article ?
 - communiquer une info ?

Contactez la rédaction

bOITE-a-mail.jpg

-------------------------------

 

Nous remercions par avance tous ceux

qui soutiendront le site Aschkel.info

par un don

icone paypal

Paiement sécurisé


Consultez les dossiers

Archives

Mon livre d'or

 

 Livre_dor

 


 

Visites depuis la création du site


visitors counter

Catégories