Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
24 juillet 2010 6 24 /07 /juillet /2010 19:56

 

      Shavouah tov lé Koulam

Et pour commencer la semaine.......

 

Deux roquettes Qassam sur Ashkelon 

 

 

 

Publié le:  07.24.10, 17:26 / 
 

              http://www.ynet.co.il/articles/0,7340,L-3924383,00.html

 

 

Deux roquettes Qassam sont tombés en terrain découvert dans la région côtière d'Ashkelon. Aucun blessé ou dégât n'a été signalé. (Tova Dadon)

 

Partager cet article
Repost0
21 juillet 2010 3 21 /07 /juillet /2010 06:00

 

 

Les 5 raisons de la souffrance des Palestiniens à Gaza entre les mains du Hamas   
 

 

La qualité de vie des Palestiniens à Gaza s'est détériorée considérablement depuis que le Hamas, soutenu par l'Iran, a repris le pouvoir dans un coup d'État sanglant contre le Fatah, dirigé par l'Autorité Palestinienne (AP) au mois de juin 2007. [1] Le Hamas – désigné comme une organisation terroriste par l'Union européenne, les États-Unis, Israël, le Canada et l'Australie [2] – a privé son peuple des droits élémentaires et a créé un régime qui met en danger ses propres citoyens.[3] Entre temps, cela fait quatre ans que le Hamas retient prisonnier le sergent israélien Gilad Shalit et a refusé au Comité International de la Croix Rouge de lui rendre visite, en violation de la Convention de Genève. [4] Ci-après sont énoncées cinq raisons selon lesquelles le peuple de Gaza souffre sous le joug du Hamas.

1. La perte de vies humaines et de biens palestiniens en raison des attaques continues de roquettes du Hamas contre Israël. La campagne du Hamas qui dure depuis des années et qui consiste à tirer des roquettes, des missiles et des mortiers sur Israël a incité Israël à lancer l'Opération Plomb Durci, une opération défensive à Gaza, de décembre 2008 à janvier 2009, au cours de laquelle plus de 1 300 Palestiniens ont été tués. D’ailleurs, plus de 2 600 bâtiments, ainsi que des routes et d'autres infrastructures, ont été détruits ou sévèrement endommagés. [6] Malgré les efforts des Forces de Défense Israéliennes (FDI) pour minimiser les victimes civiles, [7] le Hamas a rendu l'opération plus dangereuse pour les Palestiniens,en utilisant fréquemment les civils comme boucliers humains. [8] Des preuves filmées, des témoignages de témoins oculaires et les rapports des services secrets israéliens montrent que le Hamas avait l'habitude de stocker des armes dans les mosquées, utilisait les hôpitaux comme quartiers général de commandement et mettait en danger la population civile palestinienne de Gaza de façon globale. [9] En revanche, les FDI lançaient des prospectus et laissaient des messages en arabe sur les téléphones portables des civils de Gaza leur recommandant de quitter les maisons dans les zones de combat. [10] L'opération défensive a réduit de 90 pour cent le nombre de roquettes, de missiles et mortiers tirés sur Israël en provenance de Gaza. [11]

Les tentatives continues du Hamas pour faire passer des armes en contrebande dans le territoire et le refus de libérer le sergent Gilad Shalit ont également conduit Israël à maintenir le blocus sur Gaza tout en permettant l'accès à l'aide humanitaire. Toutefois, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a annoncé le 20 juin qu'il allégeait les restrictions sur Gaza et que toutes les marchandises civiles seraient autorisées à entrer, bien que les interdictions demeurent sur les articles à double usage qui pourraient être utilisés à des fins militaires. [12]

2. La violente prise de pouvoir de Gaza par le Hamas et la persécution des opposants politiques. Lorsque le Fatah - parti politique du président de l'Autorité Palestinienne Mahmoud Abbas - fut renversé par le Hamas en juin 2007 - plus de 150 Palestiniens furent tués et au moins 700 blessés. Les atrocités commises par le Hamas consistaient à jeter les opposants des toits, les rendant infirme en leur tirant dans les genoux, et à attaquer des hôpitaux. [13] Dans les mois qui ont suivi la victoire du Hamas, ses forces armées continuaient à utiliser la violence pour réprimer le Fatah. [14] Le Hamas a augmenté sa brutalité contre le Fatah pendant et après l'Opération Plomb Durci, a exécuté et torturé les activistes du Fatah qu'il accusait de collaborer avec Israël. [15]

Le Hamas a récemment rejeté une offre de Mahmoud Abbas pour discuter d'un plan qui mettrait fin à la violence permanente entre les deux groupes. [16] La rivalité entre le Hamas et le Fatah a également conduit à une panne de courant à Gaza, parce qu'aucun des deux groupes ne payaient les factures d'électricité. [17] " Si ce n'était pas la présence d'Israël entre la Cisjordanie et la Bande de Gaza, le Fatah et le Hamas enverraient très probablement des terroristes suicidaires et des roquettes l'un sur l'autre, " a dit le correspondant au Jerusalem Post, Khaled Abu Toameh. [18]

3. L'endoctrinement par le Hamas des jeunes enfants dans une idéologie violente par ses réseaux de camps d'été. Chaque été, le Hamas organise des camps pour les enfants leur infiltrant la haine d'Israël et des Juifs. [19] En 2009, le Hamas a dirigé 700 camps de 120 000 enfants palestiniens. [20] Les camps, similaires à des camps militaires, apprennent aux enfants la manipulation d’armes, les exercices de marche, les chansons anti sionistes et anti américaines, et à idolâtrer le martyre. [21] La majorité des victimes sont de jeunes Palestiniens en raison de leur participation directe dans la violence contre Israël. [22]

Le Hamas et d'autres groupes extrémistes ont accusé l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) – l'organisation d'aide de l'ONU pour les Palestiniens – de corrompre la jeunesse palestinienne en gérant des camps d'été laïques, qui incluent des cours de sports et de droits de l'homme. Un porte-parole du Hamas a dit que les camps de l'UNRWA étaient une " attaque barbare contre nos enfants … dont l'objectif est de corrompre leur morale avec des drogues et autres. "[23] En mai et en juin 2010, des groupes musulmans impliqués dans le jihad ont vandalisé deux camps de l'UNRWA à Gaza, dirigée par le Hamas. [24] Un porte-parole du Fatah a accusé le Hamas d'une des attaques.[25] Cliquez ici et  pour en savoir plus sur les récentes attaques contre des camps d'été de l'UNRWA.

4. La mise en vigueur par le Hamas d'une moralité islamique stricte et la répression des femmes.Conformément à ses racines d'un mouvement religieux fondamentaliste basé sur la Fraternité Musulmane, [26] le Hamas a progressivement imposé la Sharia (la loi religieuse islamique) aux Gazaouis, malgré les déclarations précédentes par les dirigeants du groupe qu'ils ne le feraient pas.[27] Dans le cadre de sa campagne de " vertu ", le Hamas a arrêté, ces derniers mois une journaliste palestinienne parce qu'elle riait sur une plage publique et qu'elle ne portait pas de voile sur la tête.[28] Le Hamas interdit aux femmes de rouler en motocyclette avec des hommes et a interdit aux hommes de travailler dans les salons de coiffure pour femmes.[29] Le Hamas envoie des " patrouilles de modestie " pour contrôler les voitures à la recherche d'hommes qui conduisent avec des femmes célibataires avec lesquelles ils n'ont aucun lien de parenté.[30] Le Hamas a fermé un certain nombre de cybercafés, de salles de cinéma et de bars fréquentés par les jeunes à Gaza.[31] Par opposition, la ville de Ramallah gouverné par l'AP a une vie nocturne qui se développe rapidement.[32]

5. Les tentatives répétées du Hamas pour empêcher l'aide humanitaire de parvenir à ses citoyens.Bien qu'Israël ait livré plus d'un million de tonnes de nourriture et d'autres provisions à Gaza depuis le mois de janvier 2009,[33] le Hamas a attaqué les carrefours frontaliers entre Israël et Gaza, y compris celui de Kerem Shalom par lequel près de 200 camions chargés d'aide humanitaire entrent dans Gaza chaque semaine.[34] En 2009, l'UNRWA a suspendu toute aide à Gaza parce que la police armée du Hamas a volé des couvertures et de la nourriture destinées au peuple palestinien.[35] Plus récemment, Israël s'est proposé de livrer de l'aide en provenance d'une flottille illégale en route vers Gaza qu'il a interceptée le 31 mai, mais le Hamas a détourné le chargement, retardant sa livraison de tout un mois.[36] L'aide comprenait 20 camions chargés d'équipement médical, de vêtements, de couvertures et de jouets. [37] 

Références

Partager cet article
Repost0
20 juillet 2010 2 20 /07 /juillet /2010 19:19
blocus
 

Fabien et Aschkel

pour aschkel.info et lessakele  

 

 

Les Gazaouis contre l'allègement du Blocus - Vidéo

 

Dans quelques temps la communauté internationale serait encore capable d'accuser Israel d'avoir a cause de cet allègement empêcher les gazaouis se s'épanouir économiquement.

 

 

Les Gazaouis critiquent l'allègement de l'embargo (Reportage France 24, 2mn40)
   "Quelques semaines après l'allègement du blocus de Gaza, les supermarchés de la Bande sont remplis de ces nouveaux produits [alimentaires] israéliens. Mais beaucoup de consommateurs locaux disent que ce n'est pas le genre de changement qu'ils espéraient. La présence de ces nouveaux produits dans les rayons n'impressionne pas Dina, une cliente régulière de ce magasin. Dina Malouh : "Je crois que nous avons besoin de matériel concret plus urgent. Si ce matériel entre dans Gaza, les gens verront la différence. Mais ces produits ne font pas une grosse différence, parce que tout le marché est plein de produits alimentaires."
    Une vision à laquelle font écho les habitants de Gaza, notamment Jamal al-Khodari, président du comité populaire contre le siège. Il a comparé l'allègement du blocus à une entreprise de relation publique israélienne, qui ne répond aucunement aux réels besoins des gens. Jamal al-Khodari :"3500 entreprises ont complètement fermé. 140.000  ouvriers ont perdu leur emploi... Nous avons besoin de matériel pour travailler et pour remettre sur pied les entreprises. Voilà ce dont nous avons besoin. et non pas que de la nourriture"
    Dans le sud de la ville de Rafah, ce vendeur du marché des tunnels fait aussi partie de ceux qui se plaignent du récent changement, mais pour des raisons différentes. C'est ici que des Gazaouis viennent acheter des fournitures ménagères, comme ce refrigérateur illégalement importé d'Egypte par les tunnels. Et ce dernier doit être vendu à perte, parce que les biens israéliens remportent rapidement le marché, étant moins chers et de meilleure qualité, ce qui n'est pas bon pour les affaires d'Ibrahim. Ibrahim Abu Said : "J'essaie de me débarrasser de ces produits égyptiens aussi vite que possible, pour les remplacer par des produits israéliens. Tous mes clients viennent me demander ce que j'ai reçu venant d'Israël. Plus personne ne veut désormais de biens égyptiens."
    Le Gazaoui moyen peut préférer les biens israéliens aux produits égyptiens, néanmoins personne ici ne pense que la nouvelle politique a fait une différence significative dans la vie locale. La reconstruction et la liberté de mouvement sont ce qui est demandé à Gaza, et non pas plus de nourriture."

Partager cet article
Repost0
19 juillet 2010 1 19 /07 /juillet /2010 11:59

 

 

 

Le Hezbollah sème un vent antifrançais au Liban-Sud

Merci à G.

Par Georges MALBRUNOT
19/07/2010 | Mise à jour : 07:36
Réactions (65)
Le leader du Hezbollah, Hassan Nasrallah, en 2008.
Le leader du Hezbollah, Hassan Nasrallah, en 2008. Crédits photo : ASSOCIATED PRESS

La milice encourage la population à manifester contre le contingent français de la Finul.

«La main qui touchera à l'armement de la résistance sera coupée.» Sur l'affiche, l'homme fort du Liban-Sud, Hassan Nasrallah, chef du Hezbollah («le Parti de Dieu»), lance cet avertissement dans la langue de Molière. Pour que le message soit bien compris des soldats français de la Force des Nations unies au Liban (Finul), qui patrouillent à Kirbet Slem, bourgade encaissée dans la vallée du wadi al-Ahjir. Une voie de pénétration privilégiée par les miliciens chiites pour se rapprocher de la frontière avec Israël.

Partant du fleuve Litani, les combattants pro-iraniens se sont longtemps infiltrés en toute discrétion vers le Sud, profitant des nombreuses crevasses du relief pour y acheminer des roquettes, avant de les lancer sur la région de Kiriat Shmona, au nord de l'État hébreu.

Après la guerre de l'été 2006 entre Tsahal et le Hezbollah, les Français ont hérité de ce secteur sensible, véritable paradis pour la guérilla. Le déploiement des chars Leclerc, équipés de capteurs, permet de repérer tout mouvement suspect à quatre kilomètres à la ronde. De nombreuses caches d'armes ont ainsi été vidées. Mais la pression de la Finul s'est ensuite relâchée. Le Hezbollah en a profité pour consolider sa présence. Israël s'en est alarmé. Ce qui a provoqué le retour de la Finul. «Mais les soldats avaient perdu le contact avec la population et, quand les habitants les ont vus revenir, ils se sont dit que c'était sur injonction israélienne», relève Timor Goksel, qui fut porte-parole de la Finul pendant plus de vingt ans.

 

Passivité de l'armée libanaise

 

Dans son échoppe ornée des portraits des leaders du Hezbollah, Ibrahim énonce les griefs antifrançais, que l'on entend désormais dans de nombreux villages : «Les Français pénètrent avec leurs blindés dans les ruelles. Ils violent notre intimité. Ils prennent des photos et, une semaine après, on voit qu'Israël diffuse d'autres photos de villages du Sud. On se dit qu'il y a quelque chose entre eux et Israël», ajoute ce commerçant durant la journée, qui se transforme en combattant la nuit. Comme beaucoup de jeunes du Sud, où le Hezbollah est partout et nulle part à la fois.

Le 3 juillet, après une première série d'incidents qui n'avait pas visé uniquement le contingent français, dans le village voisin de Touline, un convoi militaire français a été violemment attaqué à coups de bâtons et de jets de pierre. Des habitants sont parvenus à prendre le contrôle des véhicules, avant d'humilier les Casques bleus en les désarmant.

Loin d'être spontanée, comme l'assure la population de Touline, l'embuscade avait été minutieusement préparée par le Hezbollah. Au volant d'une Mercedes, un milicien suivait la patrouille française, téléphone portable à l'oreille, pour renseigner ses hommes et piéger le convoi de la Finul dans un cul-de-sac. Juste avant de repartir, un des assaillants lança à un Français : «On vous prévient, à partir de maintenant, la situation a changé.» En clair : on ne veut plus de vos patrouilles intrusives.

Face aux menaces d'Israël, qui accuse le Hezbollah de s'être puissamment réarmé depuis 2006, le «Parti de Dieu» veut être libre de se préparer au prochain conflit. Quitte à violer la résolution 1701 de l'ONU, qui donne davantage de moyens à la Finul pour prévenir l'acheminement d'armes au sud du Liban.

Aujourd'hui, «le Hezbollah cherche à reprendre le contrôle clandestin de la zone, afin de pouvoir réagir quand et où il veut», analyse l'ancien patron de la Finul, le général Alain Péllégrini, qui prépare un livre sur la Force. L'incident de Touline montre que le Hezbollah dispose de solides renseignements sur la Finul et qu'il peut quadriller le secteur à sa guise. Tout cela sans sortir la moindre arme à feu. De quoi inquiéter les Occidentaux. D'autant que la milice bénéficie d'une certaine passivité de l'armée libanaise.

 

Un attentat est redouté

 

Trois jours avant le déclenchement des manœuvres onusiennes début juillet, à Beyrouth, le ministère de la Défense conseilla à la Finul de ne pas se déployer sur le terrain. «Je répétais aux Français qu'ils devaient faire attention», affirme de son côté Nabil Fawaz, le maire de Tibnine.

L'activisme français dérange le Hezbollah. Certaines de ses armes restent dissimulées sous les mosquées et les terrains de football. Mais, contrairement aux Israéliens, les experts militaires occidentaux ne pensent pas que le Hezbollah ait introduit une quantité importante de munitions au Sud depuis 2006. Sa priorité est au nord de la zone Finul et du fleuve Litani. Le «Parti de Dieu» y a camouflé ses armes les plus sophistiquées, venues d'Iran et de Syrie, y compris dans les zones chrétiennes.

Son rapprochement avec Walid Joumblatt lui a également permis de grignoter du terrain, en secteur druze, au nord-est de la zone Finul, offrant aux logisticiens de la milice une très utile continuité territoriale à partir de la plaine de la Békaa, limitrophe de la Syrie, jusqu'à ses bastions du Liban- Sud. Dans cette nouvelle zone d'influence, le Hezbollah envoie aussi des messages clairs : au printemps, l'attaché de défense hollandais s'est fait arrêter à un barrage clandestin tenu par des miliciens chiites et sa voiture a été fouillée.

Officiellement, entre les Français et le Hezbollah, l'incident est désormais clos. Sur le terrain, on a fumé le «narguilé de la paix» lors de la finale de la Coupe du monde. À Beyrouth, des diplomates ont rencontré des représentants du «Parti de Dieu». Mais personne n'est dupe. «Si les Français ne changent pas leur comportement, il y aura une autre réaction», assure Hola Ibrahim, de Kirbet Slem. Sous-entendu : un attentat contre le contingent français ne serait pas à exclure.

 

Partager cet article
Repost0
18 juillet 2010 7 18 /07 /juillet /2010 18:59

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Critique interne en Turquie du régime islamique qui permet au Hamas et aux Frères Musulmans de mener des activités de propagande politique sur le sol turc, et d'inciter l'opinion publique à la haine contre Israël et l'Occident. En fond : un appel téléphonique du Premier ministre turc Tayyip Erdogan au dirigeant du Hezbollah Hassan Nasrallah.

Points principaux de l'article critique dans le journal turc Hurriyet

1. Le 5 juin 2010, le journal turc Hurriyet a publié un article critiquant le parti turc AKP au pouvoir ("Justice et Développement"), vilipendant la politique du régime qui permet au Hamas et aux Frères Musulmans de mener des activités de propagande politique sur le sol turc (Pour le texte intégral de l'article voir l'Annexe I). Hurriyet est un journal laïc, le plus lu en Turquie, et appartient à un conglomérat de presse qui subit les pressions du régime d'Erdogan. L'auteur de l'article, Soner Cagaptay, est le correspondant d'Hurriyet aux Etats-Unis. C’est un chercheur attaché à l'Institut de Washington et y dirige le programme de recherche turc.

2. L'article critique le parti AKP qui diffuse des sentiments anti-israéliens et antioccidentaux depuis son arrivée au pouvoir, outre la violation de la liberté de la presse en Turquie. Selon l'article, cette politique se manifeste par la diffusion d'une propagande de haine contre Israël et l'Occident. Il note que sous le régime de l’AKP, la Turquie a commencé à accueillir des conférences du Hamas et des Frères Musulmans sur son sol. Ces conférences participent à l'importation du combat violent du Hamas contre Israël et son idéologie dans le débat politique turc interne.

 

 

Lire la suite ICI

Partager cet article
Repost0
18 juillet 2010 7 18 /07 /juillet /2010 05:32

 

 


 

 

 

 

 

 

 

Le 18 Juillet 1994, attentat contre le Centre

communautaire juif à Buenos Aires, l'AMIA.

 

 

 

 

DETAILS.

102 personnes trouvent la mort. Une organisation terroriste proche de l’Iran prend la responsabilité de l’attentat.

En 2002, le New York Times publie un témoignage selon lequel Téhéran avait versé 10 millions de dollars au président Menem pour qu'il fasse dévier l'enquête.

Le 25 octobre 2006, la justice argentine a, en la personne du procureur fédéral de Buenos Aires, Alberto Nisman, officiellement accusé le gouvernement iranien et le mouvement libanais Hezbollah d'être responsable de l'attentat. Les services secrets israéliens et certains services occidentaux attribuent la planification de l'attentat à Imad Mougniyah, membre du Hezbollah, qui fut assassiné le 12 février 2008 dans un attentat à la voiture piégée à Damas.

Un mandat d'arrêt international pour "crimes contre l'humanité" a donc été délivré le 9 novembre 2006 par le juge fédéral Rodolfo Canicoba Corral à l'encontre de l'ancien président Hachemi Rafsandjani et de sept autres fonctionnaires et diplomates iraniens dont l'ancien ministre de l'Information et de la Sécurité, Ali Fallahian, l'ancien ministre des Affaires étrangères Ali Ar Velayati, deux autres anciens diplomates et un ancien responsable de la sécurité du Hezbollah.

Londres a arrêté et relâché l'ex-ambassadeur iranien Hadi Soleimanpour, pour manque de preuves.

 

Partager cet article
Repost0
14 juillet 2010 3 14 /07 /juillet /2010 17:43

 

SANS COMMENTAIRES !!!

 

Merci Judah

 

did/New TV (Lebanon) - July 4, 2010 - 01:52
 
Partager cet article
Repost0
14 juillet 2010 3 14 /07 /juillet /2010 11:46

 

 

 

Analyse : jouer la dissuasion
Par YAAKOV KATZ
13.07.10

J.POST

 

 

 

 

La décision de Tsahal de rendre publiques cartes, photos et vidéos des positions du Hezbollah au Sud-Liban est évidemment risquée. Le mouvement chiite sait maintenant que l'armée connaît ses cachettes et il pourrait très bien décider de les déplacer à d'autres endroits. Tsahal a pesé le pour et le contre avant de finalement décider, mercredi 7 juillet, qu'elle avait plus à gagner qu'à perdre en diffusant ces informations.

Un véhicule de la FINUL, pris pour cible dans le Sud-Liban.
Photo: AP , JPost

Plusieurs raisons expliquent ce geste. D'une part, il faut rappeler les efforts systématiques de dissuasion de l'Etat hébreu face à un Hezbollah de plus en plus armé. Le découragement engendré par la seconde guerre du Liban en 2006, ainsi que par l'assassinat du commandant militaire du groupe, Imad Moughniyeh, en 2008, constituent une force qu'il faut sans cesse renouveler. Ainsi, la publication d'informations sensibles collectées par l'armée permet de faire savoir au Hezbollah qu'elle sait exactement ce qu'il fait et où.

Le deuxième argument de Tsahal est d'ordre diplomatique : lancer, à quelques semaines du quatrième anniversaire de la seconde guerre du Liban, une campagne pour informer la communauté internationale du réarmement massif du Hezbollah et ses conséquences. En juin, le général Yossi Heiman, à la tête du département de planification stratégique, s'est rendu aux quartiers généraux de l'ONU à New York et a présenté l'ensemble de ces informations aux délégués des Nations unies.

Quelques semaines plus tard, le responsable des services de renseignements de la région Nord exposait les mêmes preuves au commandant de la FINUL (Forces intérimaires des Nations unies au Liban), Alberto Asarta Cuevas. "Le monde doit comprendre que le Hezbollah prend délibérément position dans des zones fortement peuplées. Et une telle stratégie a des conséquences", explique un autre officier.

Le Hezbollah a peur

L'armée a déjà fait savoir, par le passé, qu'elle riposterait de manière disproportionnée à toute nouvelle attaque du Hezbollah et que chacun des 160 villages où se trouvent actuellement les membres du groupe sera ciblé. Quoi qu'il en soit, la publication de toutes ces informations reflète, de manière plus générale, une autre théorie aujourd'hui largement acceptée par Tsahal : le rapport Goldstone serait une conséquence de l'échec israélien à préparer le monde à ce qui allait se produire en cas d'incursion à Gaza. Le même problème s'est posé lors de l'incident du Mavi Marmara, le 31 mai dernier. Là encore, l'armée a reconnu qu'elle aurait dû préparer le public, avant l'opération, à toutes les éventualités, y compris des morts.

Tout cela ne veut pas dire qu'une guerre contre le Hezbollah risque d'éclater demain, mais seulement que Tsahal s'y prépare. De sources militaires, les risques de conflit cet été restent minces. Et pour cause : le Hezbollah a peur de l'ampleur de la riposte israélienne. Et il craint surtout les conséquences que pourrait avoir une nouvelle guerre sur son rôle, désormais prépondérant, au sein du Liban.

Partager cet article
Repost0
14 juillet 2010 3 14 /07 /juillet /2010 04:41

 

Adapté par Aschkel

http://elderofziyon.blogspot.com/2010/07/follow-libyan-ship-live.html

Pour © 2010 aschkel.info et © 2010 lessakele

 

Le navire lybien Amalthée  essaie t'-il de forcer le blocus de Gaza ou entend-il se diriger

à El Arish, en Egypte?

Vous pouvez suivre ses mouvements, de minute en minute,

 ICI


Voici la photo la plus récente de son parcours:

Depuis son GPS est éteint, pourquoi ?

 

Comme vous pouvez le voir, il semble s'être dérouté vers l'Egypte depuis que la marine israélienne ait pris contact avec lui il ya quelques heures.

L 'Egypte se dit prête a l'acceillir mais le Capitaine peut encore changer d'avis, cependant Tsahal a prévenu.

Des informations contradictoires se succèdent, la capitaine ayant nié avoir changé de cap (jpost), un moteur serait même endommagé.


Au moins un des passagers aspire a mourir en "martyr"

 

 

 

Partager cet article
Repost0
13 juillet 2010 2 13 /07 /juillet /2010 14:13

 

 

http://www.israel7.com/2010/07/

Le Directeur des Renseignements Généraux allemands, Heinz Fromm, affirme « qu’aujourd’hui, les groupuscules néonazis et les milieux musulmans en Allemagne ont la même opinion concernant les Juifs: c’est l’ennemi. » Lors d’une interview accordée au magazine « Der Spiegel », Fromm analyse « l’approche identique qu’ont aujourd’hui les milieux de l’extrême-droite allemande et les cercles musulmans concernant Israël et les Juifs ». Il établit certes une différence entre l’origine « raciste » de l’antisémitisme néonazi et le caractère « politique » de la haine des milieux musulmans, mais il constate que « de nombreuses passerelles existent entre ces deux groupes, et que les deux sont d’accord pour dire que ‘les Juifs ont trop de pouvoir et qu’il faut les combattre’ ».

Fromm se dit surtout « inquiet de l’ampleur que prend ce phénomène et de la recrudescence des actes antisémites, malgré une législation très sévère et une forte volonté affichée des autorités de faire respecter la loi et l’ordre « .

Le mois dernier, un groupe de jeunes musulmans a attaqué à coups de pierres le groupe israélien de danses « Haverim » lors d’un Festival à Hanovre. Ces Musulmans, pourtant de fraîche date en Allemagne, ont scandé le sinistre cri « Judenraus! » (« Dehors les Juifs! »). Les agresseurs, une trentaine environ, étaient d’origine libanaise, palestinienne, irakienne, iranienne et turque.

Au mois de mai, le feu avait été mis à une ancienne synagogue de la ville de Worms. Sur les lieux, les incendiaires avaient laissé des tracts pro-palestiniens. L’alliance islamo-nazie se porte bien.

Partager cet article
Repost0

Traducteur/translator

 

 

France  ISREAL  English

Recherche

logo-lien-aschkel-copie-1.jpg

 

France  ISREAL  English
Traduire la page:
By
retour à l'acueil

------------------------------------- 

 

Communication and Information

 

Vous souhaitez 

- proposer un article ?
 - communiquer une info ?

Contactez la rédaction

bOITE-a-mail.jpg

-------------------------------

 

Nous remercions par avance tous ceux

qui soutiendront le site Aschkel.info

par un don

icone paypal

Paiement sécurisé


Consultez les dossiers

Archives

Mon livre d'or

 

 Livre_dor

 


 

Visites depuis la création du site


visitors counter

Catégories