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15 juin 2010 2 15 /06 /juin /2010 05:38

 

Israël ne permet pas que des voyous détruisent des vies juives

Inscription sur la pancarte que tiennent deux jihadistes : "Exterminons les cafards sionistes, Association des Penseurs Islamiques" (photo reprise du blog Jewlicious)
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Chaim Potok a dit un jour "Il n'y a plus de Juifs gentils". Il y en a, bien sûr, des millions. Mais ce qu'il voulait dire est clair. La prochaine fois qu'un voyou armé d'un pistolet essaye de détruire des vies juives, il lui faudra compter avec des Juifs qui ne resteront pas immobiles à attendre la balle et qui savent eux-même utiliser des armes. Et c'est cette logique, plus que tout, qui sous-tend Israël. Chaque fois que l'armée israélienne se bat contre le Hamas ou le Hezbollah ou le Jihad islamique, elle envoie le message qu'Israël a été créé pour être un refuge sûr pour les Juifs.

Israël n'est pas une nation fondée sur la force brute, mais c'est est une nation composée d'individus qui, lorsqu'ils voient d'autres à la merci de brutes et de sadiques, sauront se défendre. Chaque fois que quelqu'un verse des larmes pour un combattant du Hamas abattu ou pour une bombe humaine mise hors de combat ou pour un lanceur de missiles prêt à tuer des enfants avant qu'il puisse lancer ses missiles, je me dis à moi-même qu'ils n'auraient pas versé une seule larme pour l'homme chancelant dans la fosse ou pour celui qui essaye d'arrêter de crier pendant que le rasoir lui caresse le cou."



 

Une bombe humaine palestinienne prête au martyre déclare à la télévision du Hamas: "... et nous savons qu'il n'y de sang qui nous est plus doux que le sang des Juifs." 
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14 juin 2010 1 14 /06 /juin /2010 20:12

 

 

 

 

 

Articles associés

 

Trafic d'armes iranien : une traque sans fin

Francop (saisie d'armes): 

 

 

Derrière le sucre, les armes du Terrorisme

Ces prises de vues sont extraites d'une vidéo réalisée par Tsahal lors d'une saisie d'armes à bord d'un convoi humanitaire, en 2009. Elles prouvent combien Israël a raison de s'opposer au libre passage de convois, de quelque nature qu'ils soient, y compris humanitaires. Ils peuvent passer, mais après une fouille en règle.

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Ouverture des caisses et découvertes d'armes derrière des sacs de sucre. Cliquez sur le cliché pour visionner la vidéoarmes_dissimulees_2_ashdod_2009.jpg

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© Flix

 

Mis en ligne le 8 juin 2010, par Menahem Macina, sur le site France-Israël.org



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© Flix

 

Mis en ligne le 8 juin 2010, par Menahem Macina, sur le site France-Israël.org

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14 juin 2010 1 14 /06 /juin /2010 18:33

postedeveille.

 

 

La flottille de Gaza, l'IHH, les djihadistes du Waziristan et l'Iman de la mosquée de Ground Zéro

L'organisation turque IHH, commanditaire de la flottille de Gaza, a entretenu des liens avec le terrorisme à la fin des années 1990 . Il semble que ce soit encore le cas aujourd'hui.

Le navire amiral de la flottille, le Mavi Marmara, a aussi été financé par l'ONG Perdana, présidée par l'ancien président despotique de Malaisie et antisémite notoire, Mohamad Mahathir . L’imam Feisal Abdul Rauf, qui est derrière le projet de mosquée près de Ground Zero, est un personnage clé de Perdana (1)

 

Les fous d'Allah risquent de provoquer une conflagration planétaire si le monde libre ne s'attaque pas de manière résolue à la théologie fasciste et sanguinaire qu'ils veulent imposer au monde entier.

___________________________________

 

Des djihadistes turcs au Waziristan répondent aux accusations contre l'organisation humanitaire IHH impliquée dans la flottille pour Gaza
Ackbar2Dans le sillage de la controverse sur l'organisation humanitaire turque Insani Yardim Vakfi (IHH), qui était l'un des principaux commanditaires de la flottille d'aide à Gaza, des djihadistes turcs combattant avec les talibans pakistanais au Waziristan viennent d'apporter leur point de vue. Le 7 juin, le contingent combattant étranger de langue turque « Taitaful Mansura » a publié un communiqué où il déclare que l'IHH s'était présentée comme un intermédiaire pour le financement et le recrutement de moudjahidines pour les fronts de Tchétchénie et d'Afghanistan. Mais le groupe accuse IHH d'avoir détourné ces ressources et d'agir au profit d'agences de renseignements turques. 

Selon Taitaful Mansura, IHH « était sincère au début [mais] a par la suite été utilisée par le MIT (Organisation nationale du renseignement) et par le département de guerre psychologique de l'état major général turc, afin de prévenir l'émergence d'un mouvement de moudjahidines susceptible de constituer une menace pour le gouvernement turc.

 

Les moudjahidines tchétchènes et turcs qui ont pris part aux opérations en Afghanistan sont parfaitement au courant des activités et des projets de cette organisation. Aucun des dons qu'elle a collectés et qu'elle prétendait avoir remis aux moudjahidines n'a été reçu par ces derniers... Nous, organisation Taitaful Mansura de l'émirat islamique d'Afghanistan, considérons que cette organisation n'est qu'un fardeau pour les moudjahidines. » Taitaful Mansura a par ailleurs accusé IHH de fomenter des querelles et des dissensions entre divers chefs moudjahidines.

Source : Turkish Jihadists in Waziristan Respond to Charges Against Gaza Flotilla Charity IHH, par Evan Kohlmann, Counterterrorism Blog, 12 juin 2010 Traduction par Hachebé pour Poste de veille

 

 

USA : L'imam derrière le projet de mosquée à Ground Zero lié à la flottille de Gaza

Un rebondissement dans l'affaire du projet controversé de mosquée près de Ground Zero.

Feisal_Abdul_Rauf_(1) 

Le New York Post rapporte ce qui suit :

L'imam derrière le projet de mosquée près de Ground Zero est un membre éminent d'un groupe qui a aidé à parrainer les militants pro-palestiniens qui se sont violemment affrontés avec des commandos israéliens en mer cette semaine.

L’imam Feisal Abdul Rauf est un personnage clé de l’organisation Perdana Global Peace, selon son site web. À ce jour, Perdana est le plus important donateur (366.000 $) du Mouvement Free Gaza, l’un des principaux organisateurs de la flottille de six navires qui ont tenté, lundi, de forcer le blocus israélien de la bande de Gaza gouvernée par le Hamas.

Les efforts en vue d'obtenir des commentaires de l’imam Abdul Rauf hier ont été infructueux.

L'ONG Perdana est présidée par Mohamad Mathir, ancien premier ministre de Malaisie. Mahathir a déjà déclaré que les Juifs « ont toujours constitué un problème dans les pays européens. Il a fallu les confiner dans des ghettos et les massacrer périodiquement. Mais ils sont restés malgré tout, ils ont prospéré, et ils ont pris en otages des gouvernements entiers », ajoutant que  «même après leur massacre par les nazis, ils ont survécu et continuent à représenter pour le monde entier une source de problèmes encore plus graves».

Ceux qui croient que la mosquée près de Ground Zero vise à favoriser le dialogue interreligieux se font des illusions !

Source : Imam unmosqued, NY Post, 5 janvier 2010
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14 juin 2010 1 14 /06 /juin /2010 17:05

 

 

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FRÈRES MUSULMANS
DE LA GUERRE FROIDE À LA GUERRE SAINTE DES FRÈRES MUSULMANS

Par Robert Dreyfuss

Adaptation  français par

Point de Bascule Canada le 1er juin 2010


Première partie

>>De la Guerre froide à la Guerre sainte des frêres musulmans 1/2

 

 

Une fois de plus, ce fut la Guerre froide qui sauva Ramadan et son mouvement. Cette fois, sa destination était l'Allemagne, un allié du fondamentalisme islamique durant la période nazi. Lorsque l'Égypte et la Syrie établirent des relations diplomatiques avec l'Allemagne de l'Est, l'Allemagne de l'Ouest voulut créer des liens avec les oppositions dans ces deux pays - notamment avec les Frères musulmans. Ramadan, condamné à mort en Égypte, obtint l'aide de l'Allemagne de l'Ouest pour se réfugier à Munich. Quelques années plus tard, il s'installa à Genève, centre des intrigues de la diplomatie internationale. C'est là qu'il fonda le Centre islamique de Genève, qui allait servir de base et de quartier général des Frères musulmans en Europe dans les années à venir.

Allié de Washington contre Nasser, Ramadan bénéficia ainsi d'une décision fatidique des États-Unis dans les années 50 et 60. Au lieu d'appuyer le nationalisme arabe de Nasser, les États-Unis commirent leur plus grosse erreur au Moyen-Orient depuis la Deuxième Guerre mondiale. Ils firent cause commune avec la monarchie réactionnaire de l'Arabie saoudite. Dès les années 50, Washington encouragea cette monarchie à établir un réseau d'États islamiques et d'organisations islamistes, contribuant ainsi à jeter les fondations sur lesquelles al-Qaida devait se dresser. Le Centre islamique de Ramadan profita largement de cette politique et il reçut de généreux subsides de l'Arabie saoudite.

Le centre devint aussitôt un lieu de rencontre et d'intrigues pour tous les islamistes du monde musulman. Il devint également une maison d'édition des brochures et livres des islamistes. L'objectif était de promouvoir l'idéologie des Frères musulmans, reconnaît Hani Ramadan, l'un des fils de Saïd Radaman, qui prit la direction du centre après la mort de son père. «La création du Centre islamique devait réaliser le rêve de mon père, c'est-à-dire créer un centre qui pourrait répandre les idées de Hassan al-Banna.» dit-il «un endroit où les étudiants des pays arabes pouvaient se rencontrer et être endoctrinés.» Selon Richard Labeviere, un journaliste français, qui a écrit sur les liens entre les Frères et le terrorisme, Saïd Ramadan s'est servi de Genève comme base pour l'expansion internationale des Frères. Le groupe a même créé une banque en Suisse, Al Taqwa, qui a même des bureaux aux Bahamas. Après les attentats du 11 septembre, 2001, Washington a inscrit Al Taqwa sur la liste des organisations qui ont financé le terrorisme.

Cette période de la vie de Ramadan incite à se poser une autre question. Travaillait-il pour la CIA lorsqu'il se rendit aux États-Unis en 1953? La famille Radaman le nie, mais des documents des Archives nationales de la Suisse mis au jour par Sylvain Besson, journaliste au quotidien Le Temps, révèlent que les autorités suisses estimaient dans les années 60 qu'il était «un agent de renseignements des Anglais et des Américains». En juillet 2005, le Wall Street Journal, après d'intenses recherches dans les archives de la Suisse et de l'Allemagne affirmait: « Des éléments historiques laissent croire que Saïd Ramadan travaillait pour la CIA.» Des documents provenant des archives du Service de renseignement de l'Allemagne de l'Ouest, découverts par le Wall Street Journal révèlent que Ramadan voyageait avec un passeport diplomatique de la Jordanie fourni par la CIA, que «ses dépenses étaient payées par les Américains» et que Ramadan travaillait étroitement avec un comité de la CIA, le Comité américain de Libération contre le Bolchevisme qui opérait Radio libre d'Europe et Radio Liberté ( deux organisations paravents de la CIA) dans les années 50 et 60. Toujours selon le Wall Street Journal, en mai 1961, un agent de la CIA rencontra Ramadan pour planifier « une campagne de propagande contre l'Union Soviétique».

Le Centre islamique de Genève n'était que le début des ambitions de Ramadan. En 1962, il aida à créer une organisation plus puissante, la Ligue du monde islamique, qui devait devenir le système nerveux central de l'internationalisme wahhabite. «Mon père n'a pas été seulement l'un des pères fondateurs de la ligue» dit Hani Ramadan, «c'est lui qui en eut l'idée pour la première fois».

Disposant des généreux capitaux de l'Arabie saoudite, la Ligue envoya des missionnaires, imprima de la propagande, finança la construction de mosquées et d'associations dominées par le wahhabisme, de l'Afrique du Nord à l'Asie centrale, et même hors du monde musulman. Selon Gilles Kepel, politologue, spécialiste français de l'islam radical, la Ligue servit de canal pour acheminer des capitaux saoudiens aux islamistes les plus radicaux, comme la Société islamique du Pakistan,les djihadistes afghans et les Frères musulmans. «La Ligue identifiait les bénéficiaires potentiels, les invitait en Arabie saoudite, et leur fournissait des recommandations qui devaient leur assurer les largesses de riches donateurs privés: un membre de la famille royale, un prince ou un homme d'affaires ordinaire.» Kepel écrivit dans son livre: Jihad. Expansion et déclin de l'islamisme: «La Ligue était dirigée par des membres de la classe religieuse de l'Arabie saoudite....et des oulémas du sous-continent indien reliés aux Écoles Deobandi ou au parti fondé par Mawdudi.» Le mouvement Deobandi, un mouvement ultra-orthodoxe fondé en Inde, a joué un rôle crucial dans la multiplication des madrasas (écoles coraniques) au Pakistan d'où sont sortis les talibans.

En 1970, les Frères et Ramadan se sentirent totalement vengés quand Nasser mourut et qu'Anwar Sadat, qui avait été membre des Frères dans sa jeunesse, devint président de l'Égypte! Un an après l'élection de Sadat, Ramadan retourna en Égypte à la tête d'une délégation des Frères musulmans organisée et financée par l'Arabie saoudite, afin de convaincre Sadat de rétablir l'organisation des Frères, illégale depuis 17 ans.

À cette époque, Sadat essayait de rompre les liens avec l'Union soviétique afin de placer son pays, le plus puissant pays du monde arabe, dans l'orbite des États-Unis et de l'Arabie saoudite. Mais Sadat n'avait pas de base politique réelle et il dut chasser de nombreux admirateurs des idées de Nasser de postes importants au sein du gouvernement. Il demanda aux Frères musulmans de l'aider à créer une nouvelle base d'appuis, et le mouvement saisit sa chance.

Durant les années 70, le mouvement islamiste égyptien s'étendit frénétiquement, prenant le contrôle d'institutions clés et engendrant de nombreuses organisations qui en retour, appuyèrentle djihad antisoviétique de la CIA en Afghanistan dans les années 80. Ces volontaires créèrent une nouvelle organisation, le djihad islamique, qui devait s'affilier à Al-Qaida. Et en 1981, les radicaux se retournèrent contre leur protecteur: un islamiste assassina Sadat durant un défilé télévisé de l'armée.


 

Même s'il exerçait une grande influence au Moyen-Orient dans les années 60 et 70, Ramadan était pratiquement inconnu en Occident.Les Américains entendirent parler de lui pour la première fois à cause d'un meurtre bizarre commis à Washington. Ce meurtre se révéla être le premier acte de terrorisme islamique auxÉtats-Unis. Le 22 juillet 1980, un jeune homme, vêtu comme un postier, sonna à la résidence d'Ali Akbar Tabatabai, un ex-conseiller de la presse à l'ambassade iranienne à Washington. Après la chute du shah d'Iran, en 1979, Tabatabai avait créé la Fondation pour la libération de l'Iran et était devenu l'un des principaux adversaires du régime de l'ayatollah Khomeini. Le jeune homme qui sonna à porte, tira plusieurs coups de feu sur Tabatabai qui mourut.

révolution de Khomeini, avait également rencontré le fugitif à Genève, et avait organisé son évasion avec la complicité de l'ambassade iranienne en Suisse. Il avait même téléphoné au fils de Khomeini pour s'assurer que Belfield y serait bien accueilli en Iran. On découvrit plus tard que Belfield avait parlé à Ramadan avant d'accepter un emploi de gardien de sécurité à l'ambassade d'Iran à Washington. Selon The New Yorker, Belfield reçut cinq mille dollars du gouvernement iranien pour ce meurtre.

Belfield et Ramadan se rencontrèrent pour la première fois en juin 1975 aux États-Unis où Ramadan était en tournée. La première rencontre eut lieu dans une chambre d'hôtel. Par la suite, Ramadan passa trois mois à la modeste résidence de Belfield, à Washington. Ramadan passait son temps à lui raconter des histoires de djihad et le jeune Américain en vint presque à vouer un culte à l'Égyptien. Selon un compte rendu de cette relation publié par le Washington Post, Belfield devint «le secrétaire personnel de Ramadan, son émissaire et son serviteur dévoué. Radaman devint son chef spirituel pour la vie.» Ramadan dit à Belfield que s'il devait recourir à la violence pour soutenir la révolution islamique, «il n'en serait pas marqué émotionnellement - qu'une fois accompli, l'acte violent serait oublié.» Belfield devait raconter au The New Yorker: «Que le ton de Ramadan était tranchant. Et pour moi, c'était comme un ordre auquel il fallait obéir».

De l'Iran, Belfield devint une sorte d'émissaire de Ramadan. Il entra même en contact avec Muammar Qaddafi, le leader de la Libye au nom de Ramadan; plus tard il livra une lettre de Ramadan au président afghan Burhanuddin Rabbani. Pendant deux ans, Belfield servit en Afghanistan parmi les djihadistes combattant contre l'occupation soviétique.

Durant les années 80 et 90, les régimes de Khomeini en Iran et la dictature islamiste de Zia ul-Haq au Pakistan étant solidement établis, le djihad afghan toujours en cours et les Frères musulmans devenus une puissante opposition clandestine en Égypte, en Syrie, en Palestine et ailleurs, on pouvait constater que le travail préliminaire de Saïd Ramadan avait porté fruit dans tout le Moyen-Orient. Mais, l'influence de Ramadan qui prenait de l'âge devenait moins importante, et en 1995, il mourut à l'âge de 69 ans. Son fils Hani prit la relève de la direction du Centre islamique de Genève alors que son autre fils, Tariq, professeur en Suisse, évita le radicalisme de son père en public. En 2004, l'Université Notre-Dame l'invita même à venir y enseigner, mais il fut interdit d'entrée parce que ministère de la Sécurité intérieure refusa de lui accorder un visa.

Aujourd'hui, l'héritage de Saïd Ramadan est visible partout. Les Frères demeurent une société internationale secrète et puissante, qui travaille à établir des Républiques islamiques gouvernées selon leur vision de l'islam du 7e siècle. Ils ont profité de l'appui de l'Iran et des potentats arabes du pétrole pour créer une infrastructure politique puissante qui s'étend de l'Égypte à la Syrie (où leurs activités clandestines violentesmenacent le régime nationaliste et séculier de Bashar al-Assad) et qui est l'une des causes du chaos qui sévit en Iraq, où l'opposition sunnite est orientée vers le fondamentaliste à cause, entre autres, du Parti islamique iraquien, une branche des Frères musulmans.

Malgré un bilan aussi défavorable, les Frères comptent encore des défenseurs chez les analystes américains. Par exemple, les professeurs John O. Voll et John L. Esposito de l'Université Georgetown, deux spécialistes de l'islam, en parlent comme d'une organisation islamique modérée qui rejette la violence et l'extrémisme. Ces deux ‘experts' ne manquent pas de souligner que certains officiels Américains considèrent que les Frères «comme d'importants alliés potentiels dans la guerre contre le terrorisme». De même, Reuel Marc Gerecht, un ex-agent de la CIA, maintenant membre de l'American Enterprise Institute, un organisme néoconservateur, soutient dans son livre, The Islamic Paradox, (2004), que même si les Frères prenaient le pouvoir en Égypte et supprimaient la démocratie, «les États-Unis s'en tireraient mieux avec les Frères qu'avec l'actuelle dictature séculière.» De la théocratie alliée des États-Unis en train d'émerger à Bagdad aux islamistes ultraconservateurs du Pakistan, la fascination mortelle des États-Unis pour le fondamentalisme continue. 

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14 juin 2010 1 14 /06 /juin /2010 16:51

 

 

 

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FRÈRES MUSULMANS
DE LA GUERRE FROIDE À LA GUERRE SAINTE DES FRÈRES MUSULMANS

Par Robert Dreyfuss

Adaptation  français par

Point de Bascule Canada le 1er juin 2010

 

À l'automne de 1953, une rencontre très particulière a eu lieu à la Maison Blanche entre le président Dwight D. Eisenhower et un jeune agitateur du Moyen-Orient. Une photo montre le président, âgé alors de 62 ans, debout, les poings serrés comme s'il voulait défendre avec fermeté un point de vue. À ses côtés, un Égyptien au teint olivâtre, portant un habit gris, la barbe bien taillée, serrant un paquet de feuilles derrière le dos, et fixant avec intensité le président. Il n'a que 27 ans, mais déjà il a plus de dix ans d'expérience au sein de l'islam violent et militant, du Caire à Amman et à Karachi. Près de lui, des membres d'une délégation d'érudits, de mollahs et d'activistes de l'Inde, de la Syrie, du Yémen, de la Jordanie, de la Turquie et de l'Arabie saoudite, certains vêtus d'habits, d'autres portant des costumes traditionnels.

Ce visiteur n'était nul autre que Saïd Ramadan, un important idéologue d'un groupe clandestin d'islamistes, connu sous le nom des Frères musulmans. Aux côtés du président, Ramadan a l'allure d'un homme respectable, d'un invité bienvenu.

Officiellement, Ramadan se trouvait aux États-Unis pour assister à un colloque sur la culture musulmane, à l'université de Princeton, coparrainé par la librairie du Congrès. L'événement avait eu lieu en août avec tout le décorum souhaitable dans le hall Nassau de l'université.

Le compte rendu de l'événement laisse penser que l'événement était le résultat fortuit de la présence d'un grand nombre de personnalités du Moyen-Orient en visite aux États-Unis. On peut y lire que: «Durant l'été de 1953, un nombre particulièrement important d'érudits musulmans éminents se trouvaient aux États-Unis». Mais ces visiteurs n'avaient pas traversé l'océan Atlantique par hasard. Le colloque était organisé par le gouvernement américain, financé par lui et les participants avaient été choisis en fonction des services qu'ils pouvaient rendre. Les organisateurs de la conférence s'étaient rendu au Caire, à Bahrain, Beyrouth, New Delhi et d'autres villes pour y sélectionner des participants. Comme beaucoup d'entre eux, Saïd Ramadan, un idéologue intransigeant et pas du tout un érudit, visitait les États-Unis, tous frais payés.

Une note de service, désignée confidentielle et qui est maintenant accessible, donne une idée du but du projet. « En surface, la conférence apparaît comme un rassemblement d'érudits. C'est l'impression qu'on veut donner. » Le vrai but, souligne la note est «de rassembler des personnalités dont l'opinion peut avoir du poids dans des domaines comme l'éducation, la science, le droit, la philosophie et inévitablement la politique.....On s'attend notamment à que ce colloque donne élan et direction à un mouvement Renaissance de l'islam.» À cette époque, les États-Unis commençaient à s'intéresser de près aux affaires du Moyen-Orient, et les islamologues et universitaires américains se demandaient dans quelle mesure l'islam politique pouvait servir à étendre l'influence américaine dans la région.

Il peut paraître étrange de considérer une société secrète, responsable d'assassinats et d'actions violentes, comme un signe précurseur d'une renaissance de l'islam. Mais une telle vue cadrait parfaitement avec la politique américaine de l'époque où à près tout ce qui s'opposait au communisme pouvait être considéré comme un allié possible. Tous les officiels de la CIA ou du Secrétariat d'État, qui étaient en fonction au Moyen-Orient entre la fin de la Deuxième Guerre et la chute du communisme soviétique, et que j'ai interrogé, m'ont dit que l'islam était alors considéré comme une barrière à l'expansion soviétique et l'influence du marxisme auprès des masses.«Nous pensions que l'islam pouvait faire contrepoids au communisme» affirme Talcott Seelye, un diplomate américain, qui, a rendu visite à Saïd Ramadan alors qu'il était en poste en Jordanie au début des années 50. «Il nous apparaissait comme un élément modéré et positif». De fait, ajoute Hermann Eilts, un autre diplomate américain en fonction en Arabie Saoudite vers la fin des années 40, les officiels Américains au Caire «rencontraient régulièrement» Said Ramadan, ainsi que Hassan al-Banna alors chef des Frères musulmans et «nous le trouvions tout à fait ouvert à nos idées».

Quarante ans après la visite de Saïd Ramadan à la Maison Blanche, les Frères musulmans sont devenus les inspirateurs et modèles de nombreux groupes islamistes de l'Arabie Saoudite à la Syrie, de Genève à Lahore - et Ramadan, son organisateur international en chef, s'est transformé en agent qui a joué un rôle dans presque toutes les manifestations de l'islam politique. Les islamistes purs et durs du Pakistan ( voir "Among the Allies," page 44 ) dont les compères ont formé les talibans en Afghanistan et qui ont aidé al-Qaida depuis les années 90, ont pris pour modèles les Frères musulmans. Le régime des ayatollahs en Iran est sorti d'une société secrète, appelée les Fervents de l'islam, une filiale des Frères musulmans dont le chef dans les années 50 était le mentor de l'ayatollah Ruhollah Khomeini. Le Hamas, une organisation terroriste palestinienne, a d'abord été une branche des Frères musulmans. Le Djihad islamique égyptien dont les membres ont assassiné le président Anwar Sadat en 1981 et qui a fusionné avec al-Qaida en 1990, est né des Frères musulmans dans les années 70. Et plusieurs des chefs afghans, fers de lance du djihad anti-soviétique dirigé par la CIA dans les années 80 et qui ont aidé Ben Laden à construire son réseau «d'Arabes afghans» ancêtres d'al-Qaida, étaient membres des Frères.

Il n'est pas exagéré de dire que Saïd Ramadan est le grand-père idéologique d'Osama ben Laden. Mais Ramadan de même que les Frères musulmans et leurs alliés islamistes n'auraient jamais pu planter les graines qui ont donné naissance à al-Qaida s'ils n'avaient pas été considérés comme des alliés des États-Unis durant la guerre froide et s'ils n'avaient pas été appuyés secrètement ou ouvertement par Washington. Ramadan lui-même, des documents le prouvent, a travaillé pour la CIA.

Les États-Unis et ses partenaires comme l'Arabie Saoudite et le Pakistan n'ont pas créé l'islam politique radical, dont les prémisses théologiques ont été formulées dès le 8e siècle. Mais prenons l'exemple d'un mouvement plus près de nous. En Amérique, le fondamentalisme chrétien remonte à 1840 et l'évangélisme de droite n'était qu'une force désorganisée jusqu'au 20e siècle. La droite religieuse n'avait pas de vrais chefs politiques et très peu d'influence sur le monde réel avant l'émergence de la Moral majority, la Christian coalition et l'arrivée, vers la fin des années 70, de porte-parole comme Jerry Falwell, Tim LaHaye et Pat Robertson. Pareillement, la droite islamique n'est devenue un mouvement politique qu'avec des individus comme al-Banna, Saïd Ramadan et d'autres penseurs. En tolérant, et dans certains cas, en aidant ces activistes, les États-Unis ont contribué à donner à l'islamisme structure et direction, le transformant en une tornade politique mondiale.

 

Saïd Ramadan naquit en 1926 à Shibin el Kom, village situé à une quarantaine de miles au nord du Caire. Il rencontra al-Banna et se joignit à son mouvement alors qu'il n'avait que 14 ans. Six ans plus tard, diplômé de l'université du Caire, il devint le secrétaire personnel de al-Banna et son bras droit. Un an plus, Ramadan fut nommé rédacteur en chef d'Al Shihab, le journal des Frères musulmans et il épousa la fille de al-Banna, ce qui lui permettait d'aspirer légitimement à la direction de l'organisation.

Ramadan devint l'ambassadeur itinérant de al-Banna, ce qui lui donna la possibilité d'établir de nombreuses relationsà travers le monde. En 1945, il se rendit à Jérusalem (alors sous contrôle britanniques) où l'on pouvait discerner les signes avant-coureurs de la guerre qui allait éclater entre les Arabes et les Juifs. Durant les années qui suivirent, Ramadan fit la navette entre Jérusalem, Amman, Damas et Beyrouth pour y établir des filiales des Frères musulmans. À cette époque, la Palestine était un territoire sous contrôle britannique: en fait une région pauvre et quasi désertique, peuplée d'Arabes et de Juifs en guerre. Ramadan prêcha l'islam militant dans les mosquées et dans des campus et participa à la formation de groupes paramilitaires composés de jeunes hommes opposés au colonialisme britannique et à l'immigration sioniste. Dès 1947, il y avait déjà 25 filiales des Frères musulmans en Palestine, comptant de 12 mille à 20 mille membres. En 1948, Ramadan aida les Frères à mobiliser des combattants contre l'armée juive qui luttait pour la création de l'État d'Israël. Comparées aux forces armées égyptiennes et syriennes, les forces des Frères étaient numériquement et militairement insignifiantes, mais cette participation symbolique contribua à augmenter le prestige de l'organisation dans les années qui suivirent.

même à en devenir le secrétaire général. Le Pakistan, le premier pays à imposer la charia, la loi islamique, devait attirer de nombreux idéologues fondamentalistes et devenir une sorte de deuxième pays pour Ramadan. Le gouvernement inexpérimenté donna à Ramadan la possibilité de prêcher à la radio nationale et le premier ministre Liaquat Ali Khan écrivit la préface de l'un de ses livres.

Au Pakistan, Ramadan travailla en étroite collaboration avec un jeune islamiste nommé Abul-Ala Mawdudi, qui avait fondé la Société islamique: mouvement très semblable aux Frères musulmans. Comme il l'avait fait en Palestine, Ramadan aida Mawdudi à organiser une phalange paramilitaire d'étudiants fanatisés pour lutter contre la gauche pakistanaise. Connue par ses initiales en ourdou, IJT, elle s'inspirait des escadrons fascistes de Mussolini. Ses membres, souvent armés, attaquèrent des étudiants gauchistes sur les campus. «Les lancements d'œufs furent suivis d'agressions plus graves, particulièrement à Karachi» écrivit Seyyed Vali Reza Nasr, un spécialiste de ce mouvement. Le IJT forma une génération de radicaux qui prirent le pouvoir au Pakistan en 1977 sous la direction du dictateur général Zia ul-Haq. Ils soutinrent le djihad en Afghanistan, et protégèrent al-Qaida. Ils représentent toujours une menace pour le régime actuel.

Entre ces voyages au Pakistan, Ramadan travailla également avec des fondamentalistes arabes, particulièrement des Palestiniens et des Jordaniens, qui fondèrent le Parti de la libération islamique. Ce parti devait donner naissance à de nombreuses branches en Asie centrale. Dans les années 90, le parti - connu maintenant sous le nom arabe Hizb ut-Tahrir, et soutenu par l'Arabie saoudite - est devenu une importante formation radicale alignée sur al-Qaida. Elle a maintenant des cellules à Londres, en Allemagne et dans d'autres pays européens. Alors qu'il était en Jordanie dans les années 50, Ramadan aida à y fonder une branche des Frères musulmans, qui, comme au Pakistan, devait s'en prendre aux nationalistes de gauche.

Mais les efforts de Ramadan en Palestine, en Jordanie et au Pakistan n'étaient que des escarmouches avant l'affrontement beaucoup plus sérieux qui allait se produire en Égypte au milieu des années 50 avec le président égyptien Gamal Abdel Nasser. Nasser, un militaire charismatique acquit un statut légendaire du jour au lendemain en renversant en 1952 le gouvernement monarchique dissolu lors d'un coup d'État. En réclamant l'indépendance de l'Égypte et en demandant aux Britanniques de quitter leurs bases militaires et de céder la gestion du canal de Suez, voie commerciale stratégique, Nasser devint un héros pour des millions d'Arabes - et il fit peur à la Grande-Bretagne et aux États-Unis, surtout parce que son nationalisme menaçait leurs intérêts pétroliers dans le Golfe (le premier ministre britannique Anthony Eden envisagea même de le faire assassiner).

Les Frères voyaient en Nasser un détestable laïc, ayant abandonné l'islam et trop disposé à coopérer avec les communistes. En 1954, un des Frères musulmans tira huit coups de feu sur lui. Nasser réprima l'organisation, arrêtant plusieurs de ses chefs. Ramadan, alors ministre des Affaires étrangères de l'organisation, était en Syrie, cherchant à monter les esprits contre Nasser. En 1954, Nasser retira à Ramadan son passeport égyptien. Mais son exil ne devait pas durer longtemps.

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14 juin 2010 1 14 /06 /juin /2010 14:27

 

Par David

source : terrorism-info

En mi 2005 Israel se retire de la Bande

en Juin 2007 les terroristes du 'Hamas s'imposent aux élections. Un blocus est décrété

en Fin 2008 c'est  l'opération "Plomb durci".


Il est facile de comprendre d'après ce schéma ce qu'il adviendrait si le blocus était levé.





Voici comment ont évolué les tirs de roquettes et de mortiers sur Israël depuis 2001:

Islamiste Hamas

Le maintien du blocus a eu pour conséquence d’éliminer la quasi-totalité des tirs de roquettes et de mortiers.

Le blocus de Gaza: mission accomplie !

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14 juin 2010 1 14 /06 /juin /2010 11:09
Guysen - 14 juin
Le policier grièvement blessé à l’abdomen dans l’attentat à l’arme automatique perpétré ce matin près d’Hébron, a succombé à l’hôpital Hadassah d’Ein Kerem, malgré les soins prodigués très rapidement. Trois policiers avaient été blessés dans une fusillade des Palestiniens sur leur véhicule au carrefour d’El-Fawar, au sud-ouest d’Hébron. L’un d’entre eux a été grièvement touché à l’abdomen, le second sérieusement blessé à l’épaule, et le troisième plus légèrement. Les deux policiers grièvement et sérieusement blessés dans l’attentat à l’arme automatique près d’Hébron, ont été évacués en hélicoptère vers l’hôpital Hadassa d’Ein Kerem. Le troisième policier a été transporté en ambulance à l’hôpital Soroka de Béersheva. D’importantes forces de Tsahal sont dépêchées sur place, ainsi qu’un hélicoptère pour évacuer les blessés, quisont pour le moment soignés à l’infirmerie de la brigade de Judée.

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14 juin 2010 1 14 /06 /juin /2010 08:25

Brève par Aschkel

Pour Aschkel.info et Lessakele

ynet.co.il

 

Attentat près d'Hébron : deux policiers évacués d'urgence en hélicoptère

 

Levez les barrages, vous aurez la terreur et le sang !

 

des tirs au sud d'Hébron, quatre policiers ont été blessés

 

 

Les terroristes ont tiré sur une voiture de police non loin de al - sud Fawar de Kiryat Arba. Les quatre occupants de la voiture ont été blessés, dont deux grièvement, et deux très légèrement. Les forces de sécurité tentent de traquer les tireurs

 

(צילום ארכיון: עטא עוויסאת)


 

Une importante force sécuritaire a été mise en place, a Beith 'Hagai sur la route 60, 2 terroristes ont été abattus, les 2 autres sont blessés, ils étaient 4 au total et ont tiré alors qu'ils étaient en embuscade a bord de leur voiture contre une patrouille de police.

 

Le Maire d'Hébron Zvika Bar accuse la levée des barrages, depuis les forces de sécurité font face à une véritable vague de terreur.


Les policiers ont été l'objet d'une tentative de meurtre délibérée, ce barrage a été levé il y a 3 semaines, alors que tous savaient que cet endroit est un hâvre pour les terroristes.

Ces derniers mois il y a eu quatre attaques par armes à feu, sur les routes de Judée-Samarie contre les forces de sécurité, mais aussi des civils, la dernière en date est celle du Rav Meir Chai, plus tôt sur la route 90, deux policiers avaient été pris pour cible dans leurs voitures.


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13 juin 2010 7 13 /06 /juin /2010 00:22

 

 

 

— Reportage de la chaîne allemande publique SWR qui devrait servir de leçon de journalisme à ces médias qui insistent pour qualifier d' "humanitaire' la flottille de Gaza affrétée par des islamistes radicaux

 

 

 

 

 

 

 

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12 juin 2010 6 12 /06 /juin /2010 22:21

 

Par Aschkel pour

Aschkel.info et Lessakele

 

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Encore une manipulation de reuters sur une photo de l'agression 

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Robert Mackey du York Times  a identifié la personne qui a pris les photos qui ont été coupées par Reuters, c'est un  journaliste turc : Adem Ozkose

Adem Ozkose un Observateur neutre !


Son activité : Journaliste et écrivain de livres islamistes

Son Hobby fidèle "supporter" de l'IHH, vous savez cette ONG si soucieuse des droits de l'homme et des "Gazaouis" en particulier.

Un de ses patrons Reuters qui ne s'embarasse pas de lire les CV de ses intervenants.


Adem Ozkose Avec deux de ses associés


Un de ses potes du Djihad Islamique







 Il titrera un de ses article "Les talibans ont gagné le coeur du peuple"






Et avec la brave parlemantaire du 'Hamas Umm Nidal qui remercie Allah que trois de ses fils aient tué 7 civils israéliens.
Un témoignage  publié car emprunt de tellement d'émotions pour cette merveilleuse héroine !


les articles écrits par Ozkose ne sont pas simplement des rapports sur les groupes terroristes - ces articles sont la promotion de l'idéologie jihadiste.

 

 

 

 

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