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20 août 2011 6 20 /08 /août /2011 21:36

 

 

Les sanguinaires palestiniens assassinent les civils israéliens - Beer Sheva ville meurtrie

 

 

Sa 20/08 – 21.25

Grad sur Béersheva : un mort, 4 blessés graves

L'un des blessés transportés à l'hôpital Soroka de Béersheva à la suite du tir de roquette Grad, a succombé à son arrivée à l'hôpital. Quatre autres personnes sont grièvement atteintes, 2 autres sérieusement et plusieurs autres personnes sont sous le choc. L'un des blessés graves a été amputé Guysen 

 

lumiere explosion explosion gif 1 gif 

 

Terrorisme palestinien - Bilan effrayant des dernières 24 h contre les civils Israéliens commis par ceux à qui l'on s'apprête à offir un état

 

ICI triangle bas

 

Attaques palestiniennes

 

פגיעת גראד בבית מגורים בבאר-שבע (צילום: הגולש מיכאל קרביץ)

 

Grad a touché une maison d'habitation à Beer - Sheva (photo: Michael surfeur Kravitz)

 

Grad a touché une maison d'habitation à Beer - Sheva (photo: Michael surfeur Kravitz)

 


 

 


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20 août 2011 6 20 /08 /août /2011 19:01

 

 

Terrorisme palestinien - Bilan effrayant des dernières 24 h contre les civils Israéliens commis par ceux à qui l'on s'apprête à offir un état

 

ICI triangle bas

 

Attaques palestiniennes

 

 

 

 

Hamas, Liban, Égypte, Autorité palestinienne, : les grandes manœuvres contre Israël

Hélène Keller-Lind -desinfos

samedi 20 août 2011


La provocation du Hamas avec les attentats d’Eilat et tirs de roquettes simultanés ne pouvait rester sans réponse. Une réponse ensuite qualifiée de « crimes de guerre » et autre slogans en dépit de la pluie de roquettes sur les populations du sud d’Israël. Le Liban dirigé par le Hezbollah bloque une résolution des Nations unies. L’Égypte, entraînée dans cette affaire par le Hamas, accuse Israël....pendant ce temps Assad tire tranquillement à l’arme lourde contre les Syriens. Rien n’a été laissé au hasard....

Hamas : les provocations

Quel qu’ait été le groupe terroriste ayant perpétré la série d’attentats en territoire israélien au nord d’Eilat, le Hamas, qui tient la Bande de Gaza d’une main de fer et y bafoue les droits de l’homme est pleinement responsable. Et savait que la série d’attentats terroristes perpétrés en territoire israélien au nord d’Eilat et qui visaient surtout des populations civiles – 2 bus et voitures civiles – ne pourraient rester impunis. Des tirs de roquettes depuis la Bande de Gaza ont d’ailleurs accompagné ces attentats dès le départ, pour se poursuivre tout au long de la nuit et de la journée ayant suivi ces attentats. Causant terreur dans les villes israéliennes visées et faisant des blessés. Dont 3 Palestiniens à Ashdod, d’ailleurs, traités par le Magen David Adom au même titre que tout blessé.

Et le Hamas, qui a tiré sans arrêt des roquettes délibérément sur des centres de population israéliens depuis le début, prend pour prétexteles tirs ciblés israéliens – qui visent uniquement des terroristes et les atteignent ainsi que des sites terrorises comme des fabriques d’armes ou tunnels de contrebande ou tunnels d’infiltration en Israël - pour crier au « crime de guerre » et justifier la poursuite de leurs tirs. L’Autorité palestinienne n’est pas en reste puisque ses représentants, Saëb Erekat ou Nabil Shaath accusent Israël d’être coupable de « punition collective » ou « d’agresser Gaza pour détourner l’attention de sa crise interne... »( sic).

Abbas, rhétorique anti-israélienne habituelle et Conseil de Sécurité

« Mahmoud Abbas demande une réunion d’urgence du Conseil de Sécurité pour évoquer les frappes aériennes contre la Bande de Gaza, « rapporte l’agence palestinienne Wafa

D’ailleurs, à propos des répliques israéliennes aux tirs de roquettes et attentats, un porte-parole du Fatah – parti de Mahmoud Abbas – déclarait que « l’agression israélienne sur des civils palestiniens à Gaza est une preuve évidente que le but du premier ministre israélienBenyamin Netanyahou est de provoquer une explosion de la région pour échapper à sa crise interne. » Le Fatah « considère les attaques israéliennes contre Rafa, au sud de la Bande de Gaza, qui ont causé la mort de dix Palestiniens, comme faisant partie de la série d’assassinats perpétrés contre des civils palestiniens. » Et peu importe que ces « civils » soient très majoritairement membres d’organisations terroristes...

Osama al-Qawasmi, dans un communiqué duministère de l’Information et de la Culture ( sic) palestinien, poursuivait avec la rhétorique habituelle : « l’agression israélienne contre les Palestiniens de Gaza montre que les forces d’occupation n’ont aucun respect pour la vie et la dignité palestiniennes ou pour le droit international. » Et soulignait que prendre pour cible des quartiers résidentiels et des endroits sûrs ( ? ) est un acte terroriste, en appelant au monde pour qu’il intervienne immédiatement pour protéger les Palestiniens de la Bande de Gaza qui sont la cible de la vengeance de l’occupation militaire. » Déclarations diffusées par l’agence de presse palestinienne Wafa

Le Liban, sous la coupe du Hezbollah, bloque une condamnation des attentats réclamée par Israël

Quant au Liban, il vient de bloquer unedemande de condamnation des attentats faite par Israël au Conseil de Sécurité, menaçant d’utiliser son droit de véto si les répliques israéliennes ne sont pas condamnées dans le même temps Liban où Mahmoud Abbas vient de se rendre pour lui demander son aide au Conseil de Sécurité en septembre lors de la présentation de la demande palestinienne de création d’un État : c’est le Liban – contrôlé désormais par le Hezbollah un mouvement terroriste surarmé et qui refuse de livrer les assassins d’Hariri au Tribunal spécial international - qui présidera alors le Conseil de Sécurité ( !) Un Liban où les «  réfugiés  » palestiniens sont des citoyens de deuxième classe , ce qui semble ne déranger personne. Mais le Premier ministre libanais – proche du Hezbollah terroriste – a promis d’examiner la question – paroles, paroles – mais, surtout, a donné à la représentation palestinienne au Pays du Cèdre le statut d’ambassade.

L’Égypte rappelle son ambassadeur en Israël, convoque l’ambassadeur d’Israël eu Caire et exige des excuses

Côté égyptien, le déboulonnage d’Hosni Moubarak qui maintenait une paix froide avec Israël avait de quoi inquiéter. Inquiétudes justifiées, on le voit. En effet, selon l’agence de presse palestinienne Maan News, l’Égypte rappelle son ambassadeur en Israël « pour protester contre la mort de 5 policiers égyptiens à la frontière - entre l’Égypte et Israël – lors d’attaques contre des militants palestiniens » En réalité ces « militants » étaient des terroristes ayant participé aux attentats d’Eilat. Et les circonstances de leur mort ne sont pas claires. Côté israélien on évoque un attentat suicide. Par ailleurs, l’ambassadeur d’Israël au Caire a été convoqué par le gouvernement égyptien qui exige des excuses pour les propos tenus parEhoud Barak qui, lors des attentas perpétrés par des terroristes gazaouis passés par l’Égypte, avait déclaré que l’Égypte perdait le contrôle du Sinaï.

En effet, le Sinaï a été le théâtre d’opérations islamistes dirigées contre des forces de l’ordre et commissariats égyptiens ou contre un pipeline qui amène du Gaz en Israël – attaqué 5 fois entre février et juillet -. Des Islamistes avaient d’ailleurs profité des troubles de janvier pour s’évader de prison. Le tout sur fond de guerres de clans Une situation qui a provoqué l’envoi detroupes égyptiennes, avec l’accord d’Israël,pour tenter de rétablir l’ordre.

Au moment de la parution les tirs de roquettes – plus de 40 pour l’heure - et tentatives d’infiltration palestiniens se poursuivent, provoquant des répliques israéliennes...

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19 août 2011 5 19 /08 /août /2011 17:18

 

 

 

Objectif des arabo-palestiniens - Au moins c'est dit !

 

Par Shraga Blum

 

Les dirigeants de l’Autorité Palestinienne disent ouvertement en langue arabe ce qu’ils entendent faire d’Israël à l’avenir, même s’ils savent qu’à l’ère d’Internet, tout se sait très rapidement dans le monde entier. Et pourquoi se gêneraient-ils puisque les dirigeants israéliens, tous gouvernements confondus continuent à les soutenir à bout de bras et les considérer comme « partenaires pour la paix ».

A l’occasion du récent voyage du chef terroriste Abou Mazen au Liban, l’un de se adjoints a été interviewé à la télévision libanaise. Les paroles qu’il a prononcées laissent pantois par leur « sincérité » et leur limpidité, et comme d’habitude, on se pose la question s’il y aura des oreilles pour les entendre.

Le responsable terroriste a notamment dit « que l’idée des deux Etats était en fait destinée à faire s’effondrer l’Etat d’Israël ». Et d’expliquer comment l’Autorité Palestinienne compte procéder: « Lorsque les Juifs auront quitté la Judée-Samarie et Jérusalem, ils se rendront compte que toutes les histoires sur la soi-disant terre promise au soi-disant peuple élu n’étaient que des fables. Et à ce moment-là, nous passerons à l’étape suivante ». No comment.

 

Superbe bonne foi des terroristes en col blanc de l'AP

 

Le dirigeant terroriste du Fatah, Nabil Shaat, adjoint d’Abou Mazen s’est lancé dans une attaque d’Israël sans précédent. Sans faire la moindre référence aux attentats de jeudi qui ont fait huit morts israéliens, Shaat a par contre condamné de la manière la plus ferme l’élimination des commanditaires des attentats, Abu Awad Nayreb et ses deux lieutenants. Pour cet homme dont la place serait en prison dans le meilleur des cas, « Netanyahou a choisi volontairement d’embraser la situation afin de faire diversion sur le mouvement de protestation qui secoue la société israélienne » (sic) !!
Le terroriste en complet-cravate a également accusé Israël « de souhaiter l’escalade de la violence afin de faire échouer la démarche palestinienne devant l’ONU au mois prochain ». « Mais la folie israélienne n’arrêtera pas la détermination des Palestiniens, bien au contraire », a-t-il rajouté.
Il est ensuite revenu sur les mantras de « crime des guerre », accusant l’Etat juif « de vouloir saboter les efforts sincères de l’Autorité Palestinienne d’éviter tout affrontement armé » !!
Très actif sur le plan médiatique, Shaat est intervenu sur de nombreux canaux « pour dire la vérité (sic) sur ce qui se passe depuis jeudi dans le sud d’Israël et à Gaza depuis jeudi et quelles sont les intentions réelles des Israéliens dans leurs attaques» et appelle la communauté internationale « à stopper l’agression israélienne ».
Nabil Shaat a à de nombreuses reprises indiqué « que la lutte palestinienne contre Israël devait se faire aujourd’hui de manière non-violente…mais seuleme

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16 août 2011 2 16 /08 /août /2011 16:39

 

ANALYSE-A-LA-UNE

 

Un tournant stratégique, pour la « Résistance » anti-israélienne ?

 

 

par Marc Brzustowski

 

Pour © 2011 lessakele  et © 2011 aschkel.info

 


 

La guerre alaouite contre le peuple syrien, et, désormais, palestino-syrien, avant de passer aux Libanais (?), est l’art de faire le vide autour de soi, même parmi ses plus fervents supporters :


 

Yasser Abed Rabbo Photo: Ori Porat

 

Le Secrétaire-Général de l’OLP, Yasser Abed Rabbo vient de déclarer « crime contre l’humanité » la razzia opérée par les Forces d’Assad contre le camp de réfugiés d’Al-Rami al-Filistini, en banlieue de Lattakieh. D’après le témoignage de militants locaux des droits de l’homme, on a vidé le camp de ses près de 10 000 résidents, sur ordre, puis les a déférés dans un stade, à la chilienne. Plusieurs morts, dont des enfants, sont à déplorer ; d’autres, plus combatifs ont fait front et, au moins 19 de ces hommes armés auraient été tués.

 

Les soutiens constants du régime syrien, pour des raisons tactiques et rhétoriques évidentes, tâchent de mettre de l’eau dans leur vin et en appellent à des « réformes ». Changements que, par effet de levier, Assad ne peut absolument pas mettre en place, pour la bonne et simple raison qu’au bout du compte, cela reviendrait à signer sa destitution en suspend, à plus ou moins court terme. L’autre point, c'est que les Syriens, tous groupes confondus, n’en peuvent plus de Bachar et ne le supporteraient pas une minute de plus au pouvoir…

 

 

Les opérations d’autodestruction massive syriennes sont entrées dans un processus, pourtant planifié au sommet : il équivaut à une machine folle qui tourne sur elle-même et tire dans le tas, sans qu’il n’y ait d’autre finalité que d’en finir avec tout ce qui bouge autour… En langage commun : du ball-trap.  Autant dire que, sur le plan politique, arrive toujours un moment où, on se tire dans le pied et perd jusqu’à la dernière once de soutien extérieur. Même chez des fanatiques accomplis comme les Mollahs d’Iran, Nasrallah ou l’OLP. Le Hamas n’a pas pipé mot. Il se contente de laisser échapper quelques missiles Grad contre Beersheva, presque au même moment. Lapsus qui ne révèle rien d’autre qu’un profond désarroi.

 

La Turquie, par le truchement d’Ahmet Davutoglu, Ministre des Affaires extérieures, a déclaré qu’elle n’avait plus rien... à déclarer au régime de Damas. C’était, là, son « dernier mot ». Le changement de ton observé dans le fief du Hezbollah ou à Téhéran correspond au souci de ne pas jeter le bébé de l’armement lourd avec l’eau du bain de sang orchestré par Assad. Les chi’ites d’Iran et du Liban se contenteraient bien d’un accommodement avec les Turcs. L'objectif visé? Par-dessus tout, préserver l’existence du front de la Muqawama (la « résistance » anti-israélienne), quitte à amener le boucher damascène à quelques concessions.

 

Cette manœuvre tactique a un besoin absolu de l’élément-clé palestinien dans son discours et ses parades guerrières, dont le sort reste à débattre avec le camp sunnite, divisé selon les influences ottomanes et saoudiennes. Autrement dit, Assad vient de perdre son atout-maître, condition de sa survie, suscitant l’intérêt de ses proches alliés et voisins : sa position de leader du « front du refus », même si c’est par procuration, en prête-nom de dépôt pour Hezbollah et Gardiens de la Révolution.

 

Lattakieh n’est, pas non plus, n’importe quel port des rives syriennes. C’est, précisément, le site choisi par les émissaires du clan Assad et le Général Qassem Souleimani pour y implanter une base militaire facilitant l’afflux d’équipements et d’armes, pour la survie du régime ; et, par extension, pour la guerre contre Israël depuis le Liban. Autant dire que s’il s’agissait de ne pas attirer l’attention, et d’y ménager les réfugiés servant de chèvre dans le « grand jeu » syro-pasdaran, c’est raté.

 

Malgré les confessions au journal britannique Telegraph d’anciens officiers de la police secrète, la Mouqabarat, passés en Turquie, les snipers iraniens, juchés sur les toîts des villes principales, ont su rester discrets aux yeux de l’ONU. Ces récits recoupent les nombreux témoignages d’officiers et soldats déserteurs, souvent sunnites, qui racontent leur dilemme : tirer sur les siens dans la foule ou être tué par les siens, dans l'armée.

 

L’irrationalité paranoïaque du mauvais fils Bachar, puisque n’ayant pas su marcher dans les pas de son père, dans le domaine des massacres loin des caméras et portables, le conduit un peu plus vers la sortie. Que peut-il faire, en effet ?

 

José-Luis Zapatero est allé jusqu’à lui offrir l’immunité diplomatique dans un exil doré, mais la proposition s'est avérée un château en Espagne. S’il peut continuer d’ignorer les pressions occidentales, forcément « mal intentionnées », peut-il se justifier aux yeux des membres inquiets de l’Axe ? Il les entraîne à un trin d'enfer dans l’impasse où il se trouve, sans marche-arrière possible. Ils ont l’apanage du double-langage, consistant à le soutenir concrètement par l’afflux de troupes mercenaires et d’armes ; et à l’appeler à l’impossible « réforme », sur un ton qui n’est pas sans rappeler le futile Obama. Mais ils ne pourront éponger toutes ses dettes de jeu avec la mort, surtout si elles touchent des minorités telles que les Palestiniens de Syrie.

 

Ce faisant, il aura d’autant plus de mal à participer au grand show de fin septembre, en convaincant ses hôtes de se lancer, comme lors du jour de la Naqba, à l’assaut des frontières d’Israël. Il use jusqu’à la corde le vieux filon de l’antisionisme, en s’en prenant lui-même à cette « poule aux œufs d’or », qui justifie que les régimes les plus crapuleux et sanguinaires demeurent impassibles, ce qu’ils ont toujours été. S’il octroit un traitement de faveur à ces mêmes réfugiés, il n’en sera que plus discrédité aux yeux des autres syriens, dont la majorité sunnite, ou les Kurdes, ses propres autonomistes. Ils auront, alors, beau jeu de dénoncer les massacres sélectifs dont ils sont la proie, à la notable exception des "invités" de première classe : les Palestiniens.

 

Il devient d’autant plus plausible qu’un gang d’officiers à la solde de l’Iran et du Hezbollah, tente le coup de théâtre final : le mettre sur la touche ou le liquider, lui et ses proches, pour offrir au monde un spectacle tout en réformes de superficie, dans le seul but de sauvegarder les meubles et acquis du « Front du refus » de tout compromis avec Israël. Il suffirait d'un tour de clé à cet automate destructeur, ordonné par le "Guide Suprême"... Gardez-moi de mes amis, mes ennemis, je m’en charge…

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16 août 2011 2 16 /08 /août /2011 08:54

Etat palestinien à l’ONU: Le Premier ministre israélien adresse des lettres personnelles à plus de 40 chefs d’Etat


http://fr.ejpress.org/article/nouvelles_hors_d


Mis à jour: 15/août/2011 22:30
"Avant la rencontre de l'Assemblée générale de l'ONU, je vous demande de vous pposer à la reconnaissance unilatérale d'un Etat palestinien. Peu importe le chemin que les Palesti
niens choisissent, leur demande à l'ONU constitue une tentative pour éviter des négociations qui sont fondées sur des compromis mutuels. Il viole également les accords existants entre les deux côtés et met en doute la possibilité de négociations directes, ce qui est la seule façon de résoudre le conflit ", affirme le Prem




 


JERUSALEM (EJP)---Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a envoyé des lettres personnelles à plus de 40 chefs d'Etat pour les exhorter à voter contre la demande palestinienne de reconnaissance d’un Etat en septembre à l'ONU, selon les médias israéliens.


"Avant la rencontre de l'Assemblée générale de l'ONU, je vous demande de vous opposer à la reconnaissance unilatérale d'un Etat palestinien. Peu importe le chemin que les Palestiniens choisissent, leur demande à l'ONU constitue une tentative pour éviter des négociations qui sont fondées sur des compromis mutuels. Il viole également les accords existants entre les deux côtés et met en doute la possibilité de négociations directes, ce qui est la seule façon de résoudre le conflit ", affirme le Premier ministre dans sa lettre.


Certaines de ces lettres ont été ont été remises par des ministres, dont Moshe Yaalon , qui a visité le Pérou et le Brésil, Dan Meridor, qui a visité le Mexique et la Jamaïque et Yossi Peled, qui s'est rendu au Guatemala, au Costa Rica et en Uruguay,  selon le quotidien Yedioth Aharonoth.

Le Gouverneur de la Banque d'Israël, Stanley Fischer, a remis personnellement la  lettre du Premier ministre au nouveau président de Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara Alassane, qu’il connait personnellement.
 


Netanyahou a également abordé la question au téléphone avec plusieurs dirigeants étrangers 


Le  ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman et son adjoint, Danny Ayalon, ont eux aussi rencontré des dirigeants d’autres pays et ont eu des  conversations téléphoniques avec plusieurs chefs d'Etat, membres de parlements, et ambassadeurs.

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15 août 2011 1 15 /08 /août /2011 23:08

 


Mikhaïl Marguelov
16:58 15/08/2011
MOSCOU, 15 août - RIA Novosti

Moscou soutient les Palestiniens dans leur volonté de demander à l'Onu de reconnaître un Etat de Palestine, mais les Palestiniens doivent se réconcilier entre eux et poursuivre leurs négociations avec Israël, a indiqué lundi le sénateur russe Mikhaïl Marguelov. 

"Le règlement du conflit par des efforts unilatéraux de l'une des parties est impossible. Par ailleurs, le manque de consensus entre le Hamas (au pouvoir dans la bande de Gaza) et le Fatah (dominant la Cisjordanie) entravent les négociations, tout en dévalorisant la demande d'adhésion palestinienne à l'Onu", a déclara à RIA Novosti M.Marguelov, président de la Commission pour les Affaires internationales du Conseil de la Fédération (chambre haute du parlement russe).

Et d'ajouter que la Russie ne soutiendrait l'initiative des Palestiniens que si leur demande d'adhésion à l'Onu ne se substitue pas à leurs négociations avec l'Etat hébreu.

Le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a fait savoir qu'il présenterait le 20 septembre prochain lors de l'Assemblée générale de l'Onu à New York la demande d'adhésion à part entière du futur Etat de Palestine aux Nations unies et ce, malgré l'hostilité d'Israël et des Etats-Unis, insistant sur la nécessité de négociations directes entre les parties pour mettre fin au conflit au Proche-Orient et permettre l'instauration d'un Etat palestinien.

Brièvement relancées en septembre 2010 sous l'égide de Washington, les négociations israélo-palestiniennes se sont enlisées depuis dix mois.

Washington menace en outre de faire usage de son droit de veto au Conseil de sécurité.

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15 août 2011 1 15 /08 /août /2011 11:34

 

http://haabir-haisraeli.over-blog.com/article-de-la-place-tahrir-a-ramallah-20-septembre-la-grande-manipulation-81594468.html

 

Les palestiniens ont annoncé que leur demande de reconnaissance d'un état palestinien sera presentée le 20 septembre. En attendant ils se lancent dans une campagne de communication afin de faire sortir en masse la population dans les rues - et pas seulement en Judée-Samarie - mais sans violence : "ce qui s'est passé en 2000 ne se reproduira pas, nous avons tourné la page et sommes passés à un autre stade".

 

 

 

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Depuis le mois dernier en Israel on est occupé avec le mouvement de protestation sociale et il semblerait que le sujet de "l'état palestinien" ne soit plus à l'ordre du jour du public israelien. Mais pendant ce temps là, a Ramallah, même pendant le ramadan, les palestiniens travaillent avec force et conviction à l'approche du prochain mois. Hier ils ont annoncé que leur demande sera presentée a l'ONU le 20 septembre.

 

Le demande sera presentée lors de la cérémonie d'ouverture générale de l'ONU qui aura lieu à New york le mardi 20 septembre. Pendant quelques jours les dirigeants de différents pays défileront sur la scène pour faire leurs discours, et les palestiniens souhaitent qu'Abou Mazen fasse son discours historique le vendredi 23 septembre.

 

Les palestiniens ont une bonne raison de choisir ce jour pour le discours de leur dirigeant. Ces derniers mois, le vendredi est devenu le jour des manifestations dans le monde arabe, et les palestiniens espèrent que ce jour la, dans toutes les capitales du monde arabe (et même occidental), la population sortira dans les rues pour soutenir la reconnaissance de l'état palestinien. Ils espèrent que ce jour-là, le "kikar tahrir" se transformera en "kikar Palestine". Pour ce faire, l'OLP va se lancer dans les prochains jours dans une campagne de soutien mondial aux aspirations palestiniennes.

 

 

Si on demande aux palestiniens si, d'après eux, le fait qu'Avigdor Lieberman dirige le Ministère des Affaires Etrangeres les aide dans leurs demarches, ils repondent "d'une certaine manière, vous autres Israéliens êtes responsables de septembre", déclare un cadre officiel de l'AP impliqué dans la préparation du processus auprès de l'ONU. "Si par exemple Shlomo Ben-Ami avait été Ministre des Affaires Etrangères, il nous aurait été beaucoup plus difficile de faire tout ca".

 

Le retard dans la présentation de la demande palestinienne auprès de l'ONU a engendré des rumeurs cette semaine qui insinuaient que les palestiniens allaient annuler le processus. Saeb Erekat, un des acteurs principal de l'AP, s'est empressé de nier ces rumeurs.

 

צילום: AFP

Saeb Erekat

 

Pour les palestiniens : "nous sommes arrivés a un point de non retour en ce qui concerne le mois de septembre. Même si d'un coup débutait une négociation entre nous et Israël, nous n'avons pas d'autre choix que d'aller jusqu'au bout". D'après un autre cadre de l'AP, la raison pour laquelle ils ont pris du retard est due a une discussion interne sur la demarche : est-ce qu'il faut d'abord se tourner vers le conseil de securité qui est celui qui peut valider la décision, mais là, ils se trouveront face au veto americain, ou vers le conseil général où ils trouveront beaucoup plus de soutien mais dont les décisions ne sont que déclaratives?

 

Apparemment, les palestiniens ont choisi la première option, pricipalement parce que le Liban tiendra la présidence du conseil de securité en septembre. Cela ne leur garantit, bien sûr, rien du tout et l'ombre du veto americain plane toujours au dessus d'eux, mais quand un pays ami siège sur le trone de la présidence, c'est un bon point de départ, même si ce n'est que subjectif. Demain Abou Mazen se rendra en visite a Beyrouth et le sujet du mois de septembre sera le sujet principal des discussions de ce voyage.


 

Extrait traduit de http://www.ynet.co.il/articles/0,7340,L-4107364,00.html par David Goldstein.

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14 août 2011 7 14 /08 /août /2011 12:37

 

http://haabir-haisraeli.over-blog.com

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Les aveux palestiniens sur cette vidéo, par la bouche même de Nabil Shaat, responsable des relations étrangères au sein du Fatah - sur la chaine ANB TV (chaine libanaise) le 13 juillet 2011 : "nous n'accepterons jamais une solution à deux états pour deux peuples", "que l'initiative soit française ou américaine, nous ne l'accepterons pas !"

 

 

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14 août 2011 7 14 /08 /août /2011 12:26
Les Palestiniens sont-ils prêts pour une
nouvelle Intifada?


Par Khaled Abu Toameh


Par Aschkel & Marc Brzustowski


© 2011 aschkel.info et © 2011 lessakele 

 

 


 12 août 2011 at 5:00 am

http://www.hudson-ny.org/2343/palestinians-preparing-another-intifada

 

Il n'est pas encore certain de voir l'Autorité palestinienne mettre en œuvre son plan, en Septembre, visant à demander la reconnaissance à l'ONU d'un "Etat palestinien" le long des lignes de 67.

 

Cependant il est évident que les dirigeants de l'AP se sont récemment entretenus de la nécessité d'une escalade des "manifestations populaires" contre Israël.

 

Abou Mazen – M.Abbas, se dit opposé à la lutte armée, principalement parce que selon lui elle serait contre-productive et inefficace, mais il a exprimé son plein soutien à une "intifada populaire" en Judée-Samarie.

 

Abbas aimerait voir plus d’Arabo-palestiniens rejoindre les manifestations hebdomadaires contre les implantations et la barrière de sécurité. Lui et d'autres ont exprimé leur déception devant le fait que le nombre de gauchistes étrangers et de juifs d'extrême-gauche soient plus nombreux a participer aux manifestations contre la sécurité des citoyens israéliens, que les Arabes palestiniens eux-mêmes.


 

 

Les représentants de l'AP souhaitent voir les masses arabo-palestiniennes marcher vers les barrages militaires israéliens et les implantations, même après septembre, indépendamment que l'offre étatique ait réussi ou non.


Si l'ONU ne vote pas en faveur d'un Enième état arabe édifié, celui-ci sur les terres ancestrales juives, l'AP espère que des dizaines de milliers d'Arabo-palestiniens descendront dans les rues pour "célébrer" l'indépendance et le retrait israélien aux lignes de 1967, conformément avec la nouvelle résolution.

 

 

Et si la tentative de reconnaissance d’un Etat échoue pour quelque raison que ce soit, y compris un possible veto américain, l’Autorité Palestinienne souhaite d’autant plus que les Arabo-palestiniens descendent dans les rues pour manifester contre les Américains et Israël.

 

Selon un quelconque de ces deux scenarios, des affrontements éclateront entre les Arabo-palestiniens et les forces de défense d’Israël aux barrages et aux entrées des implantations.


“L’Intifada populaire” que l’Autorité Palestinienne cherche à mettre sur pied risqué alors de se détériorer rapidement en une confrontation à grande échelle, identique à celle qui a dégénéré en septembre 2000.


Un soulèvement populaire signifie que les Arabo-palestiniens jetteront des pierres et des bombes incendiaires sur les soldats et les résidents des implantations. Cela veut dire que des Arabo-palestiniens pourraient être tués si la vie des soldats ou des résidents sont mises en danger.


Le chemin qui va de là à la résurgence des attentats terroristes arabo-palestiniens est très court. Le Fatah dispose toujours de miliciens prêts à ouvrir le feu « pour défendre les Palestiniens contre l’agression israélienne » [selon la terminologie de l’AP]. Les forces de sécurité arabo-palestiniennes pourraient très vite rejoindre les combats contre Israël dès que les incidents seront hors de contrôle.


Et puis, il y a le Hamas, dans la Bande de Gaza, qui continue de dire que seule la lute armée, et non l’ONU, apportera un Etat aux Arabo-palestiniens. Le Hamas s’est même moqué des propositions de l’Autorité Palestinienne concernant une Intifada « pacifique » et sans armes contre Israël.


Dans tous les cas de figure, aussi bien l’Autorité Palestinienne que le Hamas accuseront Israël et les Etats-Unis d’être à l’origine du nouveau cycle de violence, comme ils l’ont toujours fait par le passé. Israël sera accusé d’avoir refusé toutes les exigences palestiniennes, en particulier, celles concernant les territoires. Les Etats-Unis, d’un autre côté, seront accusés d’être du côté d’Israël et de faire échec aux efforts palestiniens pour édifier leur Etat.


La seule façon d’éviter des scenarios aussi sinistres est de faire clairement comprendre à l’Autorité Palestinienne que sa tentative de proclamation unilatérale d’un Etat, qui ne semble même pas provoquer l’adhésion de nombreux Palestiniens, pour des raisons diverses et variées, risque de plonger la région dans un nouveau cycle de violence et d’effusions de sang. L’Autorité Palestinienne doit comprendre qu’il spécule en jouant à un jeu dangereux en s’embarquant dans cette aventure.


Une nouvelle Intifada ne provoquera pas seulement des dégâts pour Israël, mais aussi pour l’Autorité Palestinienne et ses dirigeants. La Seconde Intifada, qui a éclaté en 2000, a sapé les fondements de l’Autorité Palestinienne et a conduit à la destruction de la plupart de ses institutions et de ses forces de sécurité. L’Autorité Palestinienne est susceptible de creuser sa propre tombe en encourageant les Arabo-palestiniens à se lancer dans une nouvelle Intifada.


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9 août 2011 2 09 /08 /août /2011 11:16

Par Isabelle Kersimon - Lundi 8 août 2011 à 14:16


http://www.guysen.com


 

L’ancien leader du Fatah à Gaza, Mohammed Dahlan, est accusé par le parti au pouvoir en Judée-Samarie de corruption et de meurtre. La liste des griefs qui lui sont reprochés rappelle les procès staliniens, et les dessous de l’affaire révèlent que M. Dahlan est un homme gênant.

 

 

Une commission d’enquête palestinienne vient de conclure que l’ancien membre du Fatah Mohammed Dahlan, révoqué du comité central du parti, serait impliqué dans « l’empoisonnement » de l’ancien président de l’Autorité palestinienne Yasser Arafat, dit Abou Ammar. Elle soutient qu’il aurait demandé à un officier chargé de la sécurité de brûler les boîtes de médicaments du défunt leader de l’OLP.
 

Cette commission avait été mise sur pied pour examiner des allégations selon lesquelles M. Dahlan aurait ourdi un coup d’Etat contre Mahmoud Abbas, l’actuel dirigeant de l’Autorité palestinienne.


 

C’est à la demande de ce dernier que M. Dahlan a été exclu du comité central du Fatah, et c’est pour faire appel de cette éviction que l’accusé s’était présenté à Ramallah, où il a été arrêté.
 

Pourtant, l’excellent journaliste arabo-israélien Khaled Abu Toameh écrivait fin juillet que l’Autorité palestinienne ne disposait d’aucune preuve – et pour cause - au moment de la comparution de l’accusé devant un tribunal disciplinaire pour un « procès » tenu à huis clos.
 

Quelques heures avant son retour, l’Autorité palestinienne s’était livrée à une quinzaine d’arrestations, dont son collaborateur le plus proche et nombre d’officiers travaillant au sein des forces de sécurité palestiniennes. Selon le journaliste, tous les membres du Fatah arrêtés sont des loyalistes venus s’installer depuis Gaza (où la répression à leur encontre a donné lieu à de véritables massacres et règlements de compte au moment de la prise de pouvoir du Hamas, en 2007) à Ramallah ces dernières années.
 

La commission d’enquête a publié un rapport de 118 pages rédigées par quatre hommes forts du Fatah de Mahmoud Abbas et signé par le président de la commission anticorruption  Azzam Ahmad.
 

Le Jerusalem Post a été informé qu’un proche de Mahmoud Abbas a fait parvenir le rapport à Al-Jazeera,. Il est, depuis lors, en consultation libre sur nombre de sites internet arabophones d’information.
 

Ce rapport accuse notamment Mohammed Dahlan d’avoir contribué à empoisonner Yasser Arafat. Le rapport d’enquête stipule que M. Dahlan aurait approché un officier de sécurité de l’Autorité palestinienne quand Yasser Arafat était hospitalisé à l’hôpital militaire de Percy à Clamart, en banlieue parisienne. Il lui aurait demandé de brûler les boîtes de médicaments du patient après utilisation. De nombreux associés du défunt leader palestinien auraient corroboré ces allégations.
 

Dans sa jeunesse, M. Dahlan s’est opposé au vieux routard de la cause palestinienne, dont il attendait une redistribution des pouvoirs au sein du leadership, qui n’a jamais vu le jour.
 

C’est une première. Jamais le leadership palestinien n’avait accusé l’un des siens d’être impliqué dans « l’assassinat » d’Abu Ammar.
 

Jusqu’à présent, l’Autorité palestinienne et les autres mouvances tenaient Israël pour responsable de la mort de Yasser Arafat à l’âge de 75 ans, en novembre 2004, après une agonie de treize jours.
 

Des sources médicales civiles et militaires proches du dossier avaient fait état, selon les journaux Le Monde et Le Canard enchaîné, d’une altération du sang, et de lésions des cellules hépatiques sans cause alcoolique. Elles avaient évoqué une consommation excessive par le corps des plaquettes servant à la coagulation du sang se traduisant, chez les personnes âgées, par une infection grave ou un cancer.
 

Tous les experts s’étaient accordés, à l’époque, après examen minutieux, à réfuter la thèse de l’empoisonnement.

Le gouvernement français s'était montré très respectueux eu égard aux causes du décès, évitant par là de relayer d'autres informations qui auraient mis à mal l'image du défunt leader en laissant  penser que ses symptômes correspondaient au dernier degré d'une infection par le VIH.
 

La veuve d’Abu Ammar avait exigé le secret, gardant par-devers elle le dossier médical de son feu mari et contribuant sans doute ainsi à la naissance d’un mythe ignorant délibérément les déclarations des médecins. Lesquelles n’ont pas dissuadé le journal Libération, par exemple, le 31 mars 2009 encore, de relayer en un court communiqué la conviction palestinienne de l’empoisonnement de Yasser Arafat par Israël.
 

Cet assassinat supposé commis par « les sionistes » est devenu l’un des chevaux de bataille idéologique de tout ce que la planète compte de conspirationnistes, et M. Dahlan est considéré comme un homme de main des Israéliens, voire de la CIA.
 

M. Dahlan se serait en effet proposé pour gérer la Bande de Gaza après le retrait israélien en 2005, négociant sa prise de contrôle en échange de la paix et de la sécurité aux frontières de l’Etat juif.
 

Il est critiqué pour ses prises de position politiques n’épargnant pas non plus les dirigeants du Hamas – à qui il reproche de ne pas avoir de programme politique et de laisser les Palestiniens vivre dans la précarité. Le Hamas l’a accusé d’avoir fait arrêter et torturer des centaines de ses militants, et d’avoir fomenté un attentat contre le leader Ismaïl Haniyeh.
 

Lorsqu’il a quitté Gaza, il a participé aux opérations de sécurité contre des terroristes du Hamas en Judée-Samarie.
 

Autrement dit, il ne manque pas d’ennemis au sein des deux factions palestiniennes rivales.
 

Le rapport de la commission du Fatah l’accuse d’être derrière une série d’assassinats d’officiels palestiniens, dont celui de Hisham Mekki, président de la Palestinian Broadcasting Corporation, et des responsables du Fatah Kamal Midhat et Hussein Abou Ajweh.
 

Il est accusé d’avoir fomenté un coup d’Etat militaire contre Mahmoud Abbas, et de se procurer des armes auprès de trafiquants israélo-arabes.
 

Il est également accusé de conspirer et de recruter des agents civils et des officiers de sécurité pour son propre compte, organisant des réseaux d’espionnage dans divers bâtiments ministériels et sécuritaires.
 

Les officiels de Ramallah n’ont pas confirmé ni infirmé les éléments de ce rapport.
 

Les proches de M. Dahlan soutiennent que la controverse avec M. Abbas a éclaté après que l’homme en accusation ait réclamé une enquête sur la somme de 1,3 milliard de dollars déposés sur le compte du Fonds d’investissement palestinien.
 

La majeure partie de ces fonds auraient disparu lorsque Mahmoud Abbas a succédé à Yasser Arafat en janvier 2005.
 

D’autres soutiens de M. Dahlan expliquent que Mahmoud Abbas lui garde une rancune tenace parce qu’il a dénigré les « fils de riche » du président de l’Autorité palestinienne.
 

Samir Mashharawi, un responsable du Fatah originaire de la Bande de Gaza et longtemps proche de M. Dahlan a indiqué que la discorde entre ce dernier et Mahmoud Abbas était de nature personnelle, et que l’actuel président de l’Autorité palestinienne le lui avait personnellement confirmé.
 

M. Abbas lui aurait dit : « Votre ami a la langue bien pendue et il nous a dénigrés, mes fils et moi-même. Il a dit que je contrôle la Bande de Gaza et que je l’ai négligée ces quatre dernières années. »
 

Pour M. Mashharawi, Mahmoud Abbas est entré en guerre contre M. Dahlan pour détourner l’attention de l’échec de sa politique : « Abbas cherche à fuir cinq ans d’échec dans la gestion de l’Autorité palestinienne », a-t-il déclaré, ajoutant que le raid sur la villa de M. Dahlan à Ramallah était destiné à le liquider.
 

« Ils espéraient déclencher une riposte armée des hommes de main de M. Dahlan, pour que la police puisse ouvrir le feu. Leur but était de tuer M. Dahlan, puis de déclarer qu’il avait pris part à un complot destiné à renverser le président de l’Autorité palestinienne. Heureusement, M. Dahlan est resté très calme pendant le raid; même quand ils ont fouillé sa chambre de manière provocante », a-t-il assuré.

Une chose est à peu près certaine : Mohammed Dahlan représente un bouc-émissaire idéal à l'heure de la réconciliation Hamas-Fatah.

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