Si ça parait évident à certains, il semblerait que ce ne soit pas si flagrant pour tout le monde.
Le sage réalisera alors l’absurde de son projet. L’enragé, lui, cherchera toujours d’autres pistes pour traquer Israël.
Shaath, Palestinien "modéré" démontre en quoi une paix véritable est imposible aujourd'hui
Par Barry Rubin
Adapté par Marc Brzustowski
Pour © 2011 lessakele et © 2011 aschkel.info
Avec l’aimable autorisation de Yeru Aharoni
Directeur des Publications/Rédacteur en chef du
Global Research in International Affairs (GLORIA)
Center Interdisciplinary Center
Nabil Shaath a donné une interview fascinante et d'une grande acuité, qu’il vaut la peine d’analyser. Mais, tout d’abord, rappelons-nous que Shaath n’est pas n’importe qui.
Il est, soi-disant, l’archétype du Palestinien modéré. Il fut un temps où les médias occidentaux ridiculisaient une déclaration israélienne affirmant qu’il restait secrètement affilié au Fatah. Lorsqu’Israël accepta de négocier avec des Palestiniens n’appartenant pas à l’OLP, l’OLP mit son nom en avant, bien qu’elle sache pertinemment qu’il ne correspondait pas au profil. Les garants du processus de paix se moquèrent alors du refus d’Israël de l’accepter comme tel.
Depuis 1994, il s’est retrouvé à plusieurs postes de haute importance. Des militants du Fatah qui critiquaient la corruption sous Yasser Arafat, l’ont accusé, de façon crédible, d’avoir détourné beaucoup d’argent de l’Autorité Palestinienne, pour sa famille et lui-même.
Quoi qu’il en soit, il est raisonnable de désigner Shaath comme étant un modéré, puisque n’importe qui, au sein des cercles dirigeants de l’Autorité Palestinienne reste plus modéré que le directoire du Fatah. Et c’est bien ainsi que Shaath s’est présenté dans une interview du 13 juillet 2011:
Cette remarque est, tout autant, dévastatrice. Mais, encore une fois, peut-on croire qu’elle soit répercutée, un jour, dans la plupart des mass-media ? Admettons que vous devriez vous féliciter de lire PajamasMedia [et lessakele/aschkel.info/ pour la VF!] !
Barry Rubin est directeur du Centre pour la Recherche Globale en affaires internationales (GLORIA) et éditeur du journal : la revue des Affaires Internationales et du Moyen-Orient (MERIA). Ses derniers ouvrages sont « le lecteur israélo-arabe (7è édition), La longue guerre pour la liberté : la lutte arabe pour la démocratie au Moyen-Orient (Wiley), ainsi que La vérité sur la Syrie (Palgrave-McMillan). Le site internet du Centre GLORIA est à l’adresse : http://www.gloria-center.org et celle de son blog, Rubin Reports, à :http://www.rubinreports.blogspot.com
La France a inventé le peuple palestinien !
Par Triton
Pour © 2011 www.aschkel.info
Puissances « impérialistes » et pays dépendants.
Sur la reconnaissance de la Palestine
Le journal « Le Monde » (Blog de gilles Paris du 27-07-2011) sur son site internet prône l’initiative populaire en appelant la population à la reconnaissance de la Palestine… « Toi aussi, reconnais la Palestine »
La démagogie est-elle une solution pour la question Israélo-Arabe ?
Parler de décennies en omettant de préciser le refus musulman de reconnaissance de l’Etat juif est une escroquerie intellectuelle et ouvre des voies à une norvégisation de l’Europe…
Il est vrai que les jeunesses européennes et spécialement en France sont… « conditionnées » sous le regard bienveillant de l’éducation nationale et comble de cynisme les fonds pour l’enseignement de la shoah sont manipulés et permettent fréquemment des expos de photos « frelatées » qui enseignent plutôt la « Naqba » et l’antisionisme.
Des experts poussent Paris à reconnaître la création d'un Etat palestinien afp.com
Un rapport d'experts, remis récemment à la présidence française et au Quai d'Orsay, pousse la France à reconnaître en septembre la création d'un Etat palestinien et à dialoguer avec le mouvement islamiste Hamas.
"Il est temps de passer à l'étape de la reconnaissance formelle prévue il y a plus de dix ans", souligne ce document sur "Le printemps arabe" assorti de propositions pour la politique française.
Rappelez-vous pour l’OLP et Arafat la reconnaissance de l’Etat d’Israël qui selon l’ONU est un Etat pour les Juifs était implicite, les experts n’étaient pas disponible en ce temps là !
La France depuis les accords Sykes-Picot a parrainé le démantèlement du Foyer juif en Palestine… les experts antisionistes sont fébriles…
"La situation sur le terrain risquant à terme de faire disparaître cette option (...), la France se doit d'être exemplaire, comme elle l'a été dans le passé en étant finalement suivie, c'est-à-dire de franchir le pas", insistent ses auteurs, membres d'un groupe de réflexion baptisé Avicenne.
On ne peut être plus explicite pour dire que la France a inventé le peuple palestinien… !
La France se doit de représenter la concordance du jugement du Quai d’Orsay les experts étant du …milieu… Il est facile de compter 30 antisionistes… Leur représentation n’a pas de contenu réel et leur vérité ne dépend nullement de la réalité… !
Juger vrai et juger d’une manière pertinente ne sont pas forcément conjugués mais la causalité est motivée !
Le Premier Ministre de Norvège ne se précipite pas, Il est méthodique et voit loin… l’enseignement de la haine est un thème de colonies de vacances… pour les jeunes de 14 à 18 ans si l’on croit les médias… avant la tuerie il a fait siffler Israël… Ils sont précoces ces Norvégiens…
La France et Hachette enseignent l’Histoire à leur manière… l’Expertise et le … Mépris… en tête !
L’Expert favori d’antan du parti socialiste affirme péremptoire et pour une fois il a raison… La morale n’est pas le principe directeur de la démocratie… Ni de la Diplomatie !
Un vrai… triomphe médiatique des experts en mensonge…
Les prises de position de Pascal Boniface prêtent à discussion surtout quand il s’agit d’Israël
…
Je suis estomaqué par tous ces intellectuels et experts qui n’ont pas de scrupules à employer des arguments de mauvaise foi, à énoncer des contrevérités, afin d’emporter l’adhésion. Loin de subir une réprobation générale, on les acclame de plus belle…
Plus grave que ceux qui se trompent, il y a ceux qui trompent : les « faussaires».
Dans tous les cas, tous sont conscients qu’ils sont aux antipodes de l’honnêteté intellectuelle, et ils ne s’en soucient pas pour deux raisons.
La première est que pour eux la fin justifie les moyens.
Celui qui dénoncera les mensonges d’intellectuels médiatiques n’aura pas toujours accès aux médias, ces derniers ne voulant pas se critiquer eux-mêmes…
On fournit à l’opinion publique des produits intellectuellement frelatés et toxiques et on fabrique des leurres idéologiques…
Peut-on encore respirer dans cette Europe où acteurs et entrepreneurs politiques mal à l’aise dans leurs rôles hésitent à dénoncer l’insupportable.
Les rapports interconfessionnels Chrétiens, Juifs et Musulmans ont subit de plein fouet l’invasion et l’influence des islamistes sur le monde musulman…
Depuis le 11 septembre 2001 le monde vit une dégradation incessante des relations entre l’Occident chrétien et l’Islam ce qui n’est pas sans influences sur les communautés juives en général…
Les Non alignés en perte d’influence depuis l’implosion de l'Union soviétique se voient courtisés par différents courants et entendent jouer un rôle accrû sur la scène internationale. A
La Havane, les 118 « Non-alignés », ont approuvé "par consensus" une déclaration finale destinée à "relancer" leur mouvement dominé par la crise au Proche-Orient. Ils se sont finalement alignés sur une position qui se trouve être dominante, la « Détestation des Etats-Unis et d’Israël, dénonçant "les illégalités" d'Israël…, le programme nucléaire iranien a fait l'objet d'un document spécial où les Non-alignés apportent leur appui à Téhéran, au nom du "droit des pays à développer le nucléaire à des fins civiles".
Le droit d’ingérence réservé…ou le colonialisme moderne… colonialisme des idées et des morales…
Hugo Chavez pour le Venezuela, Mahmoud Ahmadinejad pour l'Iran, les dirigeants d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine insistent pour que les Non-alignés se dotent d'un poids international à la mesure de l'envergure de l'organisation. Le président iranien a proposé qu'ils aient un siège permanent au Conseil de sécurité.
Ceci dit on peut et l’ « on doit discuter »… c’est "l'un des éléments-clé de l'architecture moderne… des relations internationales".
Il est entendu une fois pour toutes que les arabes ou les musulmans ont le droit de se prononcer sur la disparition de l’Etat d’Israël et par là même de celle des juifs et il est aussi normal que l’on n’humilie ni ne contrarie les musulmans… !
On demande à la France de s’associer à ce beau monde et de reconnaitre l’Etat Palestinien.
"Les illégalités" d'Israël dénoncées par les non alignés légalisent les enlèvements terroristes et l’assassinat sur le sol israélien.
Claire Guillot « Le Monde » du 16 septembre 2006 excuse les "fauxtographies" des Médias et joue le coup des Blogs menteurs…pour valider les saloperies et les trucages réalisés par des vrais apprentis journalistes et photographes qui ne maîtrisent pas leurs outils de trucages et de retouches face aux professionnels qui eux réussissent les plus sombres affaires de propagande et des manipulations mythiques … Des chefs d’œuvre type Mohamed Al Dura qui réunit à elle seule … le poids des mots et le choc… des photos… !
"Il y a eu un enchaînement d'erreurs humaines, plaide Tom Szlukovenyi, directeur de la photographie chez Reuters. Cette histoire est contraire à tous nos principes et ne s'est jamais produite auparavant."…
Si « le photographe belge Bruno Stevens, qui a beaucoup travaillé sur le Liban, remarque que, souvent, les bloggeurs sont "de mauvaise foi. Ils ne cherchent pas la vérité mais mélangent le vrai et le faux, pour détourner le débat afin qu'on ne parle plus des massacres".
Finalement la seule vraie vérité… Il est plus facile aux vivants d’imiter les morts… que l’inverse !
« Le bombardement de Cana (28 morts dont 16 enfants) est à cet égard exemplaire : en se fondant sur l'omniprésence d'un sauveteur sur les photos - en réalité le chef de la défense civile pour la région de Cana -, les bloggeurs ont fait de cet épisode tragique rebaptisé "Hezbollywood" une mise en scène montée de toutes pièces pour accuser Israël. Alors que Tsahal elle-même a reconnu une bavure dans un rapport d'enquête ! »
Le ou la journaliste passe sous silence qu’avant de passer (28 morts dont 16 enfants) les journaux titraient un massacre… 56 morts… Exemplaire oubli… Le vrai poids des mots… et le faux pour les débats… afin que l’on parle de massacre… devient le point de départ d'une cabale sur Internet : Pauvres «citoyens journalistes" victimes des américains et des israéliens…
Les coups de Claude Angeli (Le Canard du 13-09-2006) volent bien bas, dans cet univers sensible du racisme et du terrorisme qui entoure la milice libanaise, il trouve que les israéliens en rajoute en déplorant la livraison d’armes sophistiquées russes aux Hezbollah « Le Hezbollah aurait dû se contenter d’attaquer les blindés israéliens au cocktail Molotov… ?»…
Monsieur Angeli aurait-il préférer au gaz zircon ou avec les bombinettes artisanales d’Ahmadinejad ?
Morale sauve… Identité de gauche à sauvegarder n’est-ce pas M.Angeli ? Renforcement des chances de plaire… Adaptation et Normalisation… Antipathie… Naturelle… les terroristes dotés bientôt de missiles nucléaires… Artisanaux… Il va sans dire, et comment voulez-vous qu’ils réalisent les desseins d’Ahmadinéjad… avec des flèches peut-être…,
Savoir qui du Monde arabe ou d’Israël sort consolider de cette révolution dite « Printemps », la question ne se pose pas sous cet angle en Israël.
La société civile en Israël est stupéfaite de la puissance de feu qu’acquiert l’organisation terroriste… Hezbollah et Hamas… et que la France s’apprête à consolider !
Il est acquit selon la constitution Tunisienne que les Juifs sionistes ne peuvent plus bronzer idiots sur ses plages… Les juifs sont indésirables selon les retombées du Printemps…
En Egypte on s’indigne et l’on hésite !
Israël joue son existence… et n’est pas prête comme jadis les juifs, au martyre… L’Europe veut garantir sa sécurité… Sécurité toute relative qui a été offerte et a marqué depuis 2000 ans l’existence du peuple juif … par les Empereurs, par les Rois… en Empire Romain en Grèce et en Italie, en Europe Médiévale ou en Babylonie. Dhimi chez les uns et serf chez les autres pour finir finalement massacrés par les hordes sauvages musulmanes et par les non moins féroces croisés…
Revenir à la vieille Europe des « six millions » de Lumières et les voir menacés de s’éteindre dans l’Iran d’Ahmadinejad … Sécurité nous est promise par l’ONU où règnent les 118 engagés derrière ce …Mahdinejad… qui se promet de parfaire le Chef d’œuvre nazi… Irrésistible ascension comme le titre Le Figaro du 23 septembre 2006, qui ne voit plus de moyens de résistivité à Ahmadinejad et Chavez… des « Méchants » un qualificatif qui appelle l’indulgence et la « munichquerie »… Brecht que n’es-tu pas au Figaro…
Dialogue interreligieux ou interculturel c’est absolument sans équivoque pour Ahmadinejad le médiéval, la normalisation ne peut être qu’une conversion volontaire ou imposée… Ajoutez à cela qu’en se dotant des moyens modernes et du nucléaire il n’a que faire de la diplomatie sous l’influence, des moralistes et des idéologues.
Le chef du Hezbollah, le cheik Hassan Nasrallah en accord avec le Président iranien a déclaré qu’il ne croyait pas qu’Israël était "un Etat légal", et veut « libérer la Palestine de la mer jusqu’au fleuve »… !
A la Havane les Non-alignés plaident pour le passage de la rhétorique à l’action. Le Vénézuéla soutiendra l'Iran en cas d'attaque. Hugo Chavez, le président vénézuélien, a tenu à l’affirmer à son …homologue… iranien Mahmoud Ahmadinejad.
« Un autre monde est possible »… ce thème se retrouve dans des textes de diverses organisations du mouvement altermondialiste avec pour but la lutte planétaire contre l’impérialisme occidental.
Ils apprennent vite et ils ont pris le meilleur de l’extrême gauche et du communisme qui rallie les hésitants comme du temps des croisés… l’antijudaisme, aujourd’hui la détestation de l’Etat juif.
Le Chef du Hezbollah promet de vaincre les juifs… Certes le ciel est fermé et la prophétie s'est éteinte et il ne reste plus qu’Ahmadinejad et son «ombre» Nasrallah qui sévissent, des signes d’Apocalypse existent, Castro se réveillera et avec lui Hugo Chavez guérira et les non alignés en formations de combats extraordinaires où la terre entre en convulsions qui se répètent et s'amplifient, où s'entrecroisent les fusées avec des ailes d’anges, les monstres sortis de la mer, les musulmans sortiront… vainqueurs des croisés et d’Israël…
Cette domination s'exercera grâce à la dimension spirituelle…, au poids politique, se mesurera à l'avance technologique Inch Allah… et à la puissance financière de l’entité islamiste. Paroles d’Expert… Ahmadinejad prône aujourd’hui officiellement la réalisation de la Bombe.
Et le Printemps et les Maures…
AH ça ira…ça ira les sionistes à la Mer… AH ça ira…ça ira les Israéliens on les noiera !... Il n’y aura pas de tragédie juive sous le Croissant…
Les Juifs d’aujourd’hui hésitent entre « l’indignation » et le « mépris » !
Pour l’Histoire…
Les …Puissances impérialistes… ne pourront rien sans l’accord d’Israël pour « L’Etat Palestinien » et les pays dépendants non plus… Si les Palestiniens ne s’éveillent pas assez tôt et font la différence entre le réalisme et le souhait… "La situation sur le terrain risque à terme de faire disparaître cette option (...)!
Ni oubli… Ni mémoire, les juifs sont de retour dans l’Histoire qui n’est pas attribuée et qui ne saurait être déniée !
Triton
Visiter Triton http://tsophetriton.blogspot.
Hélène Keller-Lind
http://www.desinfos.com/spip.php?page=article&id_article=26452
mercredi 27 juillet 2011
- Lire la version pour téléphone mobile (iPhone, smartphone, etc.) -
Un salaire mensuel pour les terroristes condamnés et emprisonnés |
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« L’Autorité palestinienne a donné en mai dernier dans une loi sa définition concernant quels Palestiniens sont à considérer comme « prisonniers » et « bénéficient donc de « ratib » ou paiement : « Quiconque est emprisonné dans les prisons de l’occupation [Israël] pour avoir participé à la lutte contre l’occupation. »
[Ch. 1 de la Loi sur les Prisonniers, 2004/19, votée et publiée par le Président et le Gouvernement, Décembre 2004. Le Centre des Prisonniers pour les Etudes, www.alasra.ps, vu 9 mai 2011]
Autrement dit, tous les Palestiniens qui sont en prison en Israël pour avoir commis des actes terroristes font officiellement partie du personnel de l’Autorité palestinienne. Selon cette définition de la loi de l’Autorité palestinienne les voleurs de voitures qui sont en prison en Israël ne percevront pas de salaire, alors qu’un assassin et terroriste appartenant au Hamas ou au Fatah en percevra un. » .
On lit plus loin dans ce rapport : « L’Autorité palestinienne verse également un salaire aux Arabes israéliens condamnés pour avoir commis des actes terroristes contre Israël – le pays dont ils sont citoyens. »
Et on apprend que plus la sentence est longue, plus le dit « salaire » augmente, que les familles des condamnés perçoivent également des versements, que leurs frais légaux sont pris en charge, etc.
Et PMW souligne que, selon l’Autorité palestinienne, les États-Unis, l’UE, la France, la Grande-Bretagne, l’Irlande, la Norvège, le Japon, l’Inde et la Banque Mondiale versent des fonds pour son budget.
Cela est confirmé par l’Autorité palestinienne et représente plus de 5 millions de dollars par mois. Le Congrès américain alerté |
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Le Jerusalem Post avait repris ce Rapport de PMW en une, à l’époque Et le ministre palestinien chargé des prisonniers avait confirmé l’existence de cette loi, ajoutant qu’il en avait toujours été ainsi et que l’Autorité palestinienne a toujours payé des salaires aux prisonniers. Il ajoutait que ces salaires venaient d’être augmentés
Si l’information est reprise aujourd’hui et que la place qu’elle mérite sodahead.com ou warnewsupdates.blogspot.com ou
www.militaryphotos.net - commence à lui être donnée aux États-Unis, c’est que le directeur de PMW est actuellement aux États-Unis où il rencontre des membres du Congrès et donne des conférences de presse. Il leur a livré des chiffres, précisant que l’Autorité palestinienne débourse ainsi plus de 5 millions de dollars par mois pour ce poste
Autre précision, trouvée dans le quotidien officiel palestinien Al-Hayat Al-Jadida par PMW : ce sont 5.500 prisonniers qui touchent ainsi de tels salaires. Le « salaire » moyen étant de 3.129 shekels mensuels, - 635 € environ - soit plus que le salaire d’un fonctionnaire palestinien.
Mis à part qu’il est scandaleux que l’argent des contribuables des pays donateurs soit utilisé pour payer des terroristes, l’aspect incitatoire de ces paiements est évident. On se demande si les assassins des 5 membres de la famille Fogel, dont 2 petits enfants et un bébé, reçoivent ainsi un paiement pour leur forfait. Ce qui expliquerait sans doute en partie que l’un de ces assassins se soit réjoui de ses actes après son arrestation...
Autorité palestinienne - Chantage sur chantage !!!
Aschkel&Gad
Autorité palestinienne – Saëb Erekat déclare : “C’est la faute des Etats-Unis, si l’Autorité Palestinienne est démantelée, car ils refusent de reconnaître un état unilatéral indépendant!”.
Chantage sur chantage, ou l'art de se moquer du monde
Bien, alors reprenons !
L'Autorité palestinienne décide de ne pas négocier avec Israël, cela tout le monde le sait.
Elle emploie tous les stratagèmes possibles et inimaginables pour ne pas s'assoir à la table des négociations, tout le monde le sait encore.Une fois il faut geler les constructions dans les localités juives ; Israël courbe l'échine et consent un gel de 10 mois, les arabo-palestiniens refusent toujours. Dès la fin du gel, l'AP reprend ses accusations et dit qu'elle ne négociera pas tant qu'il n'y pas un gel total de la construction ; vient alors le chantage de la déclaration unilatérale.
“Les Israéliens refusent de négocier, donc nous irons devant l'ONU!” (dixit Abu Mazen). Puis vient l'accord avec les terroristes du 'Hamas qui, eux, plus francs quant à leur but que les corrompus et menteurs professionnels de l'Autorité palestinienne, reconnaissent... seulement vouloir détruire Israël.
Les Américains menacent de couper les vivres pour montrer leur désaccord sur ce rapprochement 'Hamas-Fatah. Vient alors la “pire crise financière de tous les temps”, au sein de l’Autorité, accompagnée de graves accusations de corruption.
Mah'moud Abbas déclare à tout-va, durant sa tournée européenne, qu'il se voit contraint de s'adresser à l'ONU, du fait du refus des Israéliens d'accepter des concessions innaceptables sans contrepartie, évidemment.
Le parrain mafieux Saëb Erekat s'énerve alors, et accuse, cette fois, les Occidentaux de vouloir saboter tous efforts de paix.
Mais quand donc quelqu'un se lévera et dira à ces maîtres-chanteurs ca suffit, “on ne chante plus” !?
Revue de la presse israélienne du service de Presse de l’ambassade de France en Israël
mardi 26 juillet 2011
Des orateurs qui se sont exprimés lors de cette conférence, Erekat a été parmi les plus virulents. « Si les Etats-Unis veulent que l’Autorité palestinienne continue d’exister, le prix est la création d’un Etat palestinien dans les frontières de 1967, avec Jérusalem-est pour capitale », a-t-il déclaré selon le journal al-Ayam. « Mais si les Etats-Unis opposent au Conseil de sécurité leur veto à l’entrée de la Palestine à l’ONU, utilisent l’aide économique accordée à l’Autorité pour faire du chantage politique et laissent tous les pouvoirs à Israël, j’estime que l’Autorité palestinienne n’a plus lieu d’exister ».
Saëb Erekat a appelé à réexaminer le processus de paix que l’OLP mène depuis vingt ans face à Israël. « Laisser la situation telle qu’elle est aujourd’hui sera fatal à la question palestinienne. L’Autorité palestinienne a une mission : l’indépendance. Mon avis personnel est que, si l’Autorité ne peut obtenir l’indépendance, il est préférable qu’elle n’existe pas ».
Saëb Erakat a demandé aux ambassadeurs palestiniens d’organiser de grandes manifestations des communautés palestiniennes à travers le monde le jour où la demande sera déposée à l’ONU et le jour où le président de l’Autorité palestinienne, Abou Mazen, s’exprimera devant l’assemblée générale de l’ONU.
Scoop - Les Israéliens d'accord pour rendre aux "palestiniens" leur Etat dans ses "frontières de 67" par Jean-Patrick GRUMBERG
Palestiniens - L'archéologie au service de la distorsion de l'histoire
Extraits adaptés par Aschkel.
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Mes petites annotations en rouge comme d'habitude
Des archéologues déterrent une ruine des temps bibliques dans la ville de Sichem (rebaptisée Naplouse par les arabes), une excavation interrompue par les deux guerres mondiales et cycles de bouleversement au Moyen-Orient.
L'endroit est un terrain urbain qui a longtemps servi de dépotoir pour les habitants de "Naplouse" et de décharge de vieilles pièces de voiture.
Les archéologues hollandais et palestiniens souhaitent dévoiler le passé historique de la ville de Sichem, et se préparent à ouvrir le site comme parc archéologique l'an prochain.
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Ce projet réalisé sous les auspices du Département des antiquités palestiniennes vise a faire bénéficier les habitants de Naplouse de la richesse des antiquités dans le centre de la ville, habitants ayant été en grande partie durant la dernière décennie en proie au carnage (????)et à l'isolement.
"La population locale commence a comprendre la valeur du site, non seulement sa valeur historique, mais aussi la valeur de sa propre identité déclare Gerrit Van der Kooj de l'Université de Leiden aux pays-Bas qui codirige les fouilles, connu comme le site de Tel Balata
Les populations locales doivent se sentir responsables du patrimoine archéologiques dans leur quartier ajoute- t'il encore.
La ville de Sichem, est sise dans un passage entre les monts Gazirim et Eibal et contrôle la plaine d'Askar à l'est, et fut un important centre régional il y a 3500 ans.
Ce que montre ce qui a été mis à jour sont des formications de pierres massives, ornées de portes monumentales d'un temple avec des murs de 5 verges (mètres) d'épaisseur
Le roi de Sichem, Labaya, est mentionné dans des tablettes cunéiformes retrouvées dans les archives pharaoniques de Tel Al-Armana datées du 14 siècle avant l'ère commune. Ce roi s'était rebellé contre la domination égyptienne et des soldats égyptiens avaient été envoyés pour le maitriser, mais ils échouèrent.
La ville apparait aussi souvent dans le récit biblique. Le patriarche Abraham, par exemple, passa par Sichem, quand D. a promis qu'il donnerait sa terre à ses descendants dans le livre de la Genèse.
Abraham et son fils Jacob, étaient campés devant les murs de la ville quand un prince local cananéen a violé la fille de Jacob Dinah. Les fils de Jacob pour se venger ont saccagé la ville.
Le corps du Fils de Jacob, Joseph a été rapporté d'Egypte plus tard lorsuqe les israélites ont fui l'Egypte et ils l'ont enterré à Sichem.On appréciera la façon dont le tombeau a été plusieurs fois profané, détruit, saccagé...>Après avoir tué des pélerins juifs, les palestiniens ont tenté de mettre le feu et détruire (encore une fois) la tombe de Joseph - Vidéo
Il y a 2000 ans, les Romains abandonnèrent la ville et construisirent une nouvelle ville plus à l'Ouest Flavius Neapolis (signifiant ville ouverte) qui a donné plus tard en arabe Naplouse. En hébreu elle s'appelle encore Sh'hem.
L'identité des habitants de la ville à l'époque reste incertaine. Une théorie postule qu'ils étaient des Hyksos, peuple venu de Syrie du Nord, expulsés ensuite d'Egypte. Selon le récit biblique, la ville était cananéenne et ensuite gouvernée par Israël, mais l'archéologie n'a pas corroboré cela jusqu'à présente explique l'Archéologue hollandais
Les nouvelles fouilles et la création du parc archéologique sont un projet conjoint de l'Office du Tourisme du ministère palestinien et du gouvernement néerlandais et de l'Unesco. Ce projet a débuté l'année dernière et prendra fin avec l'ouverture du parc en 2012
En Israël, l'archéologie a longtemps été une priorité traditionnellement axée sur la découverte dans les profondeurs des racines juives.
Pour les palestiniens dont le département des Antiquités fondé il y a 15 ans, les fouilles démontrent un intérêt croissant dans la découverte du passé antique.
Le ministère emploie 13 travailleurs qui réalisent plusieurs de fouilles de sauvetage sur des zones devant être bâties, dit Hamdan Taha directeur du département. Dix excavations de recherche sont actuellement en cours en coopération avec des équipes étrangères.
"Toutes les périodes de l'histoire locale y compris celle des israélites bibliques font partie de l'histoire palestinienne", déclare H.Taha Ben voyons !!
Des fouilles comme celle de "Naplouse, dit-il "donne aux palestiniens la possibilité de participer à l'écriture de l'histoire ou la réécriture de l'histoire des sources s primaires de la Palestine" Sans honte il le dit carrément !
Sichem |
Monts Garizim et Ebal Située ente le mont Garizim (à gauche) et le mont Ebal (à droite) Sichem est prééminente dans les récits bibliques, commençant avec la promesse de Dieu du pays envers Abraham. Plus tard Jacob retournait ici avec sa famille pour s'installer pendant une courte période. Pendant la Conquête, les douze tribus se réunirent sur ces deux collines pour lire les lois de l'Eternel ainsi que les bénédictions et les malédictions accompagnant obédience et désobéissance. | |
| Mur du Bronze Moyen Vulnérable de location, Sichem fut fortement fortifiée très tôt dans son histoire. Ce mur, construit de pierres cyclopéennes, fut utilisé jusqu'à l'âge du Bronze Récent sans grand changement. Le mont Garizim dans le fond fut l'emplacement du temple samaritain entre les IVe-IIe siècles av. JC. |
Porte du Bronze Moyen Faisant parti des fortifications de la ville lors du second millenium av. JC, cette porte est typique de l'âge du Bronze Moyen, ayant trois séparations et deux chambres. Seule la fondation de pierre reste. Cette porte était vraisemblablement utilisée du temps de Jacob et était certainement la porte principale de la ville du temps d'Abimélec (Juges 9). | |
| Le Sichem Biblique 1. La pays fut promis à Abraham |
Temple de Baal Berith Ce temple fortifié date des périodes de BM (Bronze Moyen) et de BR (Bronze Récent) et possède des murs de 3 m (17 pieds) d'épaisseur. Les excavateurs identifièrent ce bâtiment comme le temple de Baal Berith mentionné en Juges 9. C'est de ce bâtiment que les fonds furent pris pour financer la royauté d'Abimélec et c'est ici que les citoyens de la ville se réfugièrent contre l'attaque d'Abimélec. |
Les négationnistes Alain Juppé, Mah'moud ABBAS et les autres -
Alain Juppé, Ministre des Affaires Etrangères, en émettant des réserves sur le caractère "Juif" de l'Etat d'Israël vient de démontrer soit son ignorance historique, soit une forme de négation de la résolution 181 du 29 novembre 1947 qui vota le partage de la Palestine en un "Etat Juif" et un "Etat Arabe". En revanche il n'émet aucune réserve sur un futur Etat Palestinien qui doit être musulman selon Mahmoud Abbas…
Et et purifiée de toute présence juive !
>Abbas au rassemblement de la ligue arabe "une palestine purifiée des juifs !" -
lire >L'occident soutient une "palestine" judenrein (sans juifs). Par matthew m. Hausman
Hélène Keller-Lind - desinfos
mercredi 20 juillet 2011
Un ministre des Affaires étrangères qui oublie la teneur d’une résolution de l’ONU |
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Un des fonctionnaires zélés du Quai d’Orsay aura-t-il fait remonter la lettre ouverte adressée le 15 juin de cette année par Shlomo Sand à son ministre ? Toujours est-il qu’Alain Juppéreprend les arguments de celui-ci pour dire que l’idée d’État juif lui pose problème, citant à ce propos l’existence d’Israéliens arabes. Ceci dans le cadre de la menace brandie par l’Autorité palestinienne – qui siège sans mandat - de demander la création d’un État palestinien en septembre à l’ONU...Or, si Les États-Unis ont clairement annoncé qu’ils utiliseraient leur droit de veto contre cette demande, la France n’a toujours dit ni oui ni non jusqu’ici...Cette déclaration d’Alain Juppé a donc de quoi inquiéter quant à ce que décidera alors la France.
Le CRIF a réagi diplomatiquement au contenu de cette déclaration, se disant étonné....et rappelant une vérité historique qui n’aurait pas dû échapper au ministre : « dans sa résolution 181 du 29 novembre 1947, l’Assemblée générale des Nations Unies a voté en faveur de l’existence d’un « Etat Juif » et d’un « Etat arabe » sur les 20% de la Palestine mandataire, puisque 80% de ce dernier territoire avait d’ores et déjà été attribués par les Anglais à l’Etat arabe de Transjordanie.
Shlomo Sand, négationniste d’un nouveau genre, enjoint Alain Juppé de voter pour la création d’un État palestinien |
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Mais des historiens sont venus depuis quelque peu brouiller les cartes...parmi eux, ce professeur d’histoire à l’Université de Tel Aviv,Shlomo Sand, auteur d’un ouvrage dans lequel il prétend démontrer que le « peuple juif n’existe pas, » ce qui lui a valu d’être qualifié de négationniste d’un genre nouveau, par Éric Marty notamment
Ce même Shlomo Sand adressait le 15 juin dernier une lettre ouverte « Israël ne peut être réduit à un État juif » à ce même Alain Juppé, rappelant que « la France va se trouver, très prochainement, face à une décision majeure pour l’avenir du Moyen-Orient. En septembre prochain, à l’ONU, elle aura à statuer sur la création et la reconnaissance d’un État palestinien aux côtés de l’État d’Israël. » Et il donnait son point de vue sur la question : « En tant qu’Israélien,j’espère vivement que la France optera sans équivoque pour la reconnaissance et la création de cet État, dans les frontières de 1967, avec Jérusalem-Est comme capitale. Je suis certain que l’avenir d’Israël dépendra d’une évolution positive en ce sens... » Il ajoutait que « aucun dirigeant palestinien respectable ne pourra reconnaître Israël comme État juif et hypothéquer, par là même, les droits fondamentaux des Israéliens arabes ainsi que leur revendication d’une pleine égalité civique et politique. »
[A noter que les Arabes israéliens jouissent de bien plus de droits que les citoyens arabes des pays arabes environnants devenus Judenrien....c’est parce qu’ils n’avaient aucun de ces droits que les Arabes des pays avoisinants ont manifesté ou manifestent encore...au péril de leur vie...]
Ces déclarations de Shlomo Sand sont assorties d’une demande claire à propos de la demande de reconnaissance d’Israël en tant qu’État juif : « je m’adresse à vous, Monsieur le ministre des Affaires étrangères, pour que l’exigence de Netanyahou soit clairement rejetée. » Et, selon lui, ne pas reconnaître en Israël ce qu’il est, à savoir un État juif, serait gage de sécurité car « le futur d’Israël dépendra de la création, à ses côtés, d’un État palestinien, la reconnaissance d’Israël comme État de tous ses citoyens constitue une garantie pour sa sécurité et sa pérennité. » État dans les « frontières » de 67, toujours selon lui.... ( sic !et venant d’un historien qui ne semble pas savoir qu’il ne s’agissait pas de frontières...)
On s’étonne qu’un Israélien, universitaire, de surcroît, ne sache pas ou ne comprenne pas ce qu’est le sens de la demande de Benyamin Netanyahou qui l’a pourtant expliquée encore et encore, démontrant que ce refus de reconnaître Israël en tant qu’État juif est au cœur du conflit et que il ne pourra y avoir de paix tant que les Palestiniens ne reconnaîtront pas « qu’Israël est un État juif, l’Etat-nation du peuple juif »au même titre qu’il y aura « un Etat-nation pour les Palestiniens. » Le Premier ministre donnant pour preuve la durée d’un conflit qui débuta « alors qu’il n’y avait pas de "territoires", pas de soldats israéliens en Judée, en Samarie ou à Gaza, pas de réfugiés pour la moitié de cette période, et Jérusalem était divisée. La moitié était aux mains des Arabes... »
Alain Juppé aurait-il donc puisé ses arguments dans ces écrits d’un Israélien si peu représentatif d’un peuple à qui il dénie toute existence ?
21 juillet 2011
Voici en quels termes une dépêche de l'AFP, en date du 18 juillet 2011, intitulée « L'UE contre un vote sur l'Etat palestinien », résume la position de M. Alain Juppé, ministre français des Affaires étrangères, à propos de l'exigence israélienne d'une mention d'un « É tat juif » (*) :
« […] à Washington la semaine dernière, la Russie, l'ONU, et l'UE ont refusé une proposition américaine qui était "en train de déséquilibrer les paramètres de négociation que l'Europe avait proposé [lire : proposés]", a expliqué Alain Juppé. Entre autres "problèmes", M. Juppé a cité "en particulier la mention d'un État juif". Cette revendication israélienne de reconnaître l'État hébreu comme un État juif inquiète les Palestiniens. "Que je sache, aujourd'hui en Israël, il y a des Juifs mais il y a aussi des arabes [lire : Arabes]", a relevé Alain Juppé. »
À ce compte, je m'étonne à mon tour qu'on parle encore d'un « État français » :
« Que je sache, aujourd'hui en France, il y a des Français mais il y a aussi des Arabes. »
© Menahem Macina
Par Menahem Macina - debriefing 15/10/2010
En complément de l'article de Shmuel Trigano "Le refus palestinien d'un Etat juif".
Passages repris de : Résolution adoptée sur le rapport de la Commission ad hoc chargée de la question palestinienne – Résolution 181 (II) ONU, novembre 1947.
J'ai mis en rouge toutes les expressions « Etat juif » (21 en tout).
[Ne pouvant renverser cette évidence, l'Autorité Palestinienne, éprise de paix, comme ils disent, exprime son désir de destruction de cet Etat juif, sans prendre garde, dans son délire, qu'elle entérine l'expression en l'illustrant de l'Etoile de David! (Menahem Macina)]
PLAN DE PARTAGE AVEC UNION ÉCONOMIQUE
Première partie : Constitution et gouvernement futurs de la Palestine
A. Fin du mandat, partage et indépendance
1. Le Mandat pour la Palestine prendra fin aussitôt que possible, et en tout cas le 1er août 1948 au plus tard.
2. Les forces armées de la Puissance mandataire évacueront progressivement la Palestine ; cette évacuation devra être achevée aussitôt que possible et en tout cas le 1er août 1948 au plus tard.
La Puissance mandataire informera la Commission aussi longtemps à l'avance que possible de son intention de mettre fin au Mandat et d'évacuer chaque zone. La Puissance mandataire fera tout ce qui est en son pouvoir pour assurer, à une date aussi rapprochée que possible, et en tout cas le 1er février 1948 au plus tard, l'évacuation d'une zone située sur le territoire de l'État juif et possédant un port maritime et un arrière-pays suffisants pour donner les facilités nécessaires en vue d'une immigration importante.
3. Les États indépendants arabe et juif ainsi que le Régime international particulier prévu pour la Ville de Jérusalem dans la troisième partie de ce plan commenceront d'exister en Palestine deux mois après que l'évacuation des forces armées de la Puissance mandataire aura été achevée et, en tout cas, le 1er octobre 1948 au plus tard. Les frontières de l'État arabe, de l'État juif et de la Ville de Jérusalem seront les frontières indiquées aux deuxième et troisième parties ci-dessous ;
4. La période qui s'écoulera entre l'adoption par l'Assemblée générale de ses recommandations sur la question palestinienne et l'établissement de l'indépendance des États juif et arabe sera une période de transition.
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B. Mesures préparatoires à l'indépendance
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9. ………………….
Les Arabes et les Juifs résidant dans la Ville de Jérusalem qui auront déclaré sous cette forme leur intention de devenir citoyens - les Arabes, citoyens de l'État arabe, et les Juifs, citoyens de l'État juif -auront le droit de vote dans l'État arabe et dans l'État juif, respectivement.
Les femmes auront le droit de vote et seront éligibles aux Assemblées constituantes.
Pendant la période de transition, aucun Juif ne pourra établir sa résidence sur le territoire de l'État arabe envisagé, et aucun Arabe ne pourra établir sa résidence sur le territoire de l'État juif envisagé, sauf autorisation spéciale de la Commission.
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Chapitre 2 : Droits religieux et droits des minorités
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8. Aucune expropriation d'un terrain possédé par un Arabe dans l'État juif (par un Juif dans l'État arabe) ne sera autorisée, sauf pour cause d'utilité publique. Dans tous les cas d'expropriation, le propriétaire sera entièrement et préalablement indemnisé, au taux fixé par la Cour suprême.
Chapitre 3 : Citoyenneté, conventions internationales et obligations financières
1. Citoyenneté
Les citoyens palestiniens résidant en Palestine, à l'extérieur de la Ville de Jérusalem, et les Arabes et Juifs qui, sans avoir la nationalité palestinienne, résident en Palestine à l'extérieur de la Ville de Jérusalem, deviendront citoyens de l'État dans lequel ils résident et jouiront de tous les droits civils et politiques, à partir du moment où l'indépendance aura été reconnue. Toute personne de plus de dix-huit ans pourra, dans le délai d'un an à dater du jour où l'indépendance de l'État sur le territoire duquel elle réside aura été reconnue, opter pour la nationalité de l'autre État, étant entendu qu'aucun Arabe résidant sur le territoire de l'État arabe envisagé n'aura le droit d'opter pour la nationalité del'État juif envisagé, et qu'aucun Juif résidant dans l'État juif envisagé n'aura le droit d'opter pour la nationalité de l'État arabe envisagé. Toute personne qui exercera ce droit d'option sera censée opter en même temps pour sa femme et ses enfants de moins de dix-huit ans.
Les Arabes résidant sur le territoire de l'État juif envisagé et les Juifs résidant sur le territoire de l'État arabe envisagé qui ont signé une déclaration affirmant leur intention d'opter pour la nationalité de l'autre État pourront participer aux élections à l'Assemblée constituante de cet État, mais non aux élections à l'Assemblée constituante de l'État où ils ont leur résidence.
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F. Admission comme membre de l'Organisation des Nations unies
Lorsque l'indépendance de l'État arabe ou de l'État juif, telle qu'elle est prévue dans le présent plan, sera devenue effective et que la déclaration et l'engagement prévus dans le présent plan auront été signés par l'un ou l'autre de ces États, il conviendra d'examiner avec bienveillance sa demande d'admission comme Membre des Nations unies conformément à l'article 4 de la Charte des Nations unies.
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Deuxième partie : Frontières
A. L'État arabe
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La région de l'enclave arabe de Jaffa comprend la partie de la zone urbaine de Jaffa se trouvant à l'ouest des quartiers juifs situés au sud de Tel-Aviv, à l'ouest du prolongement de la Rue Herzl jusqu'à son croisement avec la route de Jaffa à Jérusalem, au sud-ouest de la section de la route de Jaffa à Jérusalem se trouvant au sud-est de ce croisement, à l'ouest des terres de Miqve Yisrael, au nord-ouest de la municipalité de Holon, au nord de la ligne reliant l'angle nord-ouest de Holon à l'angle nord-est de la municipalité de Bat Yam. La Commission des frontières réglera la question du quartier de Karton en tenant compte notamment du fait qu'il est souhaitable que l'État juif comprenne le plus petit nombre possible des habitants arabes de ce quartier et le plus grand nombre possible de ses habitants juifs.
B. L'État juif
La partie nord-est de l'État juif (Galilée orientale) est bornée au nord et à l'ouest par la frontière du Liban, et à l'est par la frontière de la Syrie et de la Transjordanie. Ce territoire comprend tout le bassin de Houla, le lac de Tibériade, tout le sous-district de Beissan, la frontière se prolongeant jusqu'à la crête des monts Gilboa et à l'oued Malih. A partir de là, l'État juif s'étend vers le nord-ouest, borné par la frontière qui a été indiquée pour l'État arabe.
La partie juive de la plaine côtière s'étend à partir d'un point situé entre Minat el Qila et Nabi Yunis, dans le sous-district de Gaza ; elle comprend les villes de Haïfa et Tel-Aviv, Jaffa constituant une enclave de l'État arabe. La frontière orientale de l'État juif coïncide avec celle qui a été indiquée à propos de l'État arabe. La région de Bersabée comprend tout le sous-district de Bersabée, y compris le Néguev et en outre la partie orientale du sous-district de Gaza, mais à l'exclusion de la ville de Bersabée et des zones indiquées à propos de l'État arabe. Elle comprend aussi une bande de territoire qui s'étend le long de la mer Morte, de la frontière du sous-district d'Hébron-Bersabée à Ein Geddi, comme il a été indiqué à propos de l'État arabe.
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Troisième partie : Ville de Jérusalem
C. La Ville de Jérusalem
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8. Liberté de passage et de séjour ; contrôle des résidents Sous réserve de considérations de sécurité, et compte tenu des nécessités économiques telles que le Gouverneur les déterminera conformément aux instructions du Conseil de tutelle, la liberté de pénétrer et de résider dans les limites de la Ville sera garantie aux résidents ou citoyens de l'État arabe et de l'État juif. L'immigration et la résidence à l'intérieur des limites de la Ville pour les ressortissants des autres États seront soumises à l'autorité du Gouverneur agissant conformément aux instructions du Conseil de tutelle.
Relations avec l'État arabe et l'État juif
Des représentants de l'État arabe et de l'État juif seront accrédités auprès du Gouverneur de la Ville et chargés de la protection des intérêts de leurs États et de ceux de leurs ressortissants auprès de l'administration internationale de la Ville.
11. Citoyenneté
Tous les résidents deviendront ipso facto citoyens de la Ville de Jérusalem, à moins qu'ils n'optent pour l'État dont ils étaient citoyens, ou que, Arabes ou Juifs, ils n'aient officiellement fait connaître leur intention de devenir citoyens de l'État arabe ou de l'État juif, conformément au paragraphe 9 de la section B de la première partie du présent plan.
13. Lieux saints
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b) En ce qui concerne de pareils lieux, édifices et sites de Palestine à l'extérieur de la Ville, le Gouverneur décidera, en vertu des pouvoirs que lui aura conférés la Constitution de l'un et l'autre États, si les dispositions des Constitutions de l'État arabe et de l'État juif de Palestine relatives à ces lieux et aux droits religieux y afférents sont dûment appliquées et respectées.
Quatrième partie : Capitulations
Les États dont les ressortissants ont, dans le passé, bénéficié en Palestine des privilèges et immunités réservés aux étrangers, y compris les avantages de la juridiction et de la protection consulaires qui leur étaient conférés sous l'Empire ottoman en vertu des capitulations ou de la coutume, sont invités à renoncer à tous leurs droits au rétablissement desdits privilèges et immunités dans l'État arabe et dans l'État juif dont la création est envisagée, ainsi que dans la Ville de Jérusalem.
Au secours ! La pire crise financière de l'Autorité palestinienne de tous les temps !
Par Aschkel - © 2011 www.aschkel.info
Voici donc une Autorité palestinienne corrompue jusqu'à la moelle qui est à bout de souffle, met un bazar pas possible, au risque de faire éclater un grave conflit dans la région, une autorité sans plus de légitimité qui arrivera devant l'Onu, sans le soutien de ses petits copains terroristes du 'Hamas.
Juste une question ? Si l'Etat de "Palestine" devait être reconnu, a combien estimez-vous, le gouffre financier que cela représentera ?
Nous avons l'apéritif, qui a couté la bagatelle de centaine de milliards de dollars ces dernières décennies pour une des plus grandes arnarque de fin du siècle dernier et le début de celui-ci !
Alors bon appetit, pour le plat de "résistance" (terroriste)!
Tous les articles ici
A part, a part bien sur des millions d'aide directe à l'Autorité palestinienne depuis les pays occidentaux sur leur dos de leur contribuables.
Par Jonathan Spyer
Adapté par Marc Brzustowski
Pour © 2011 lessakele et © 2011 aschkel.info
http://www.gloria-center.org/iran-strikes-across-border-into-iraqi-kurdistan/
Combattants du PJAK.
Un conflit frontalier entre l’Iran et la région kurde a subi une escalade significative cette semaine, quand les Gardiens de la Révolution iranienne ont traversé la frontière pour engager le feu contre les groupes de guérilla de l’organisation du PJAK (Parti pour une vie libre au Kurdistan). Les incursions ont commencé samedi dans la nuit. Les combats se sont prolongés pendant presque toute la journée de dimanche. Tard dans l’après-midi de dimanche, un calme sous tension est revenu dans la zone de la frontière.
Les rapports diffèrent, quant aux nombre de victimes et aux zones de combats. L’Agence de presse officielle iranienne (IRNA) a déclaré que cinq membres du PJAK et un gardien de la révolution avaient été tués, dans la zone de Sardasht, une ville kurde près de la frontière. Les Iraniens prétendent également avoir capturé un membre blessé du PJAK. Un Colonel des Pasdaran (CGRI), Delavar Ranjbarzadeh, a fanfaronné devant l’IRNA que le PJAK avait subi « une lourde défaite historique ».
Les rebelles kurdes ont démenti cette version des faits. Le porte-parole du PJAK Sherzad Kamankar a déclaré que 53 Iraniens avaient trouvé la mort dans les affrontements, aux côtés de deux membres du PJAK. Il a ajouté que le PJAK avait réussi à forcer les Iraniens à battre en retraite de l’autre côté de la ligne de frontière. Des sources kurdes rapportent la mort de deux officiers Pasdaran dans les combats, désignant l’un d'entre eux par son nom comme étant le Colonel Halit Sure.
Femmes combattantes du PJAK
Les sources kurdes dans la zone ont aussi confirmé que les bombardements iraniens se sont déroulés en d’autres endroits le long de la frontière. Les zones de Sehit Harun, Sehit Ayhan et Dola Koke, à l’intérieur de la partie gouvernée par les Kurdes d’Irak, se sont trouvées sous un feu nourri.
Autant les sources iraniennes que kurdes ont remarqué un renforcement des forces iraniennes, indiquant la possibilité imminente d’une prochaine escalade. L’IRNA a rapporté la présence de 5000 soldats de troupes iraniennes le long de la frontière. Des sources du PJAK notent que les forces iraniennes sont équipées de blindés, d’équipements lance-missiles et d’hélicoptères dotés de mitrailleuses embarquées.
L’incursion iranienne dans la zone sous contrôle kurde du nord de l’Irak est la phase la plus récente d’un processus d’escalade qui est en cours depuis le mois dernier.
Résistance anti-iranienne kurde
Le 3 juillet, Massoud Barzani, Président du Kurdistan irakien, a mis en garde les Iraniens contre le fait que leurs troupes continuent à perpétrer des opérations transfrontalières. L’Iran a répliqué, il y a une semaine, en accusant le gouvernement Barzani d’avoir alloué 300 000 hectares de terres au PJAK, sans en avoir averti le gouvernement central à Bagdad. Des responsables iraniens ont affirmé que ces terres étaient destinées à être utilisées comme bases d’entraînement et dans le but de lancer des attaques contre l’Iran. Un responsable, cité par l’agence de presse FARS, déclarait que l’Iran « se réserve le droit de prendre pour cible et de détruire les bases terroristes dans les zones de la frontière ». Barzani a démenti qu’aucun terrain ait pu être alloué au PJAK.
La décision iranienne de lancer des frappes au-delà de la frontière, juste à ce moment, selon des analystes, pourrait être lié à la stratégie plus large de Téhéran d’encourager le désordre en Irak comme un moyen de mettre sous pression les USA et l’Occident. Washington est particulièrement vulnérable sur ce front, du fait de l’espoir de l’Administration américaine de mener un retrait d’Irak dans l’ordre, avant la fin de cette année. Les Iraniens sont désireux de rappeler leur vulnérabilité aux Américains.
Plusieurs sources kurdes mettent en avant la préoccupation iranienne quant à la perte éventuelle du principal allié arabe de Téhéran : la Syrie d’Assad. L’assertion est généralement acceptée qu’un soutien ferme de l’Occident à l’opposition syrienne constituerait un facteur décisif qui pourrait provoquer la chute d’Assad. Un tel soutien ne s’est pas encore concrétisé. L’Iran pourrait bien considérer que l’une des façons d’empêcher l’émergence d’un tel soutien serait de rappeler sa propre vulnérabilité à Washington en cas d'éclatement confessionnel et de subversion en Irak.
Les évènements des derniers jours jettent ainsi un éclairage cru sur un élément largement ignoré de la guerre froide en cours entre l’Iran et ses ennemis dans la région. On a remarqué un regain d’activités des groupes terroristes chi’ites soutenus par l‘Iran en Irak centrale et du sud, au cours des dernières semaines. Les actions de tels groupes se sont soldées par la mort de 15 hommes de troupes américains en juin.
Il apparaît désormais que les zones sous contrôle kurde du nord de l’Irak sont également incorporées dans la campagne iranienne de déstabilisation. Semer la pagaille et les conditions d’une crise dans le Kurdistan irakien est d’une valeur stratégique particulière, parce que cette zone s’est avérée être la plus tranquille et la partie la mieux administrée du pays depuis l’invasion américaine.
Le Général de Brigade des GRI, Mohammad Pakpour, a juré d'éradiquer le PJAK. Il a prétendu avoir pris le contrôle de trois bases de ce groupe, ce que celui-ci dément.
La présence de groupes de guérilla anti-iranienne et anti-turque dans la zone frontalière des montagnes de Qandil a posé un dilemme aux autorités kurdes. Totalement conscientes des conditions extrêmement difficiles auxquelles leurs frères kurdes sont confrontés dans ces pays, ils se sont montrés réticents à agir contre ces éléments.
La conséquence est que les bombardements iraniens et les raids aériens turcs font partie intégrante des conditions de vie de ces zones. Cela a continué même lorsque les autorités kurdes ont tenté d’établir des relations normales avec l’Iran et la Turquie.
L’Iran apparaît désormais activer ce front, de façon à poursuivre ses propres objectifs. Les compte-rendu des médias officiels iraniens et des programmes des rebelles kurdes diffèrent largement, sur ce qui s’est exactement passé dans la zone frontalière entre le Kurdistan irakien et l’Iran, au cours de ces derniers jours. Ces compte-rendu s’accordent, cependant, sur au moins un point central : un énorme bain de sang a eu lieu, durant les combats entre les Gardiens de la Révolution et le PJAK, à la suite des incursions iraniennes à travers cette frontière. De plus vastes escalades dans les semaines à venir apparaissent plus que probables.
Au sujet de Jonathan Spyer
Jonathan Spyer est un chercheur permanent majeur au Centre de recherché globale en affaires internationales d’Herzliya, en Israël. Il est l’auteur du « Feu en transformation : le conflit israélo-islamiste (Continuum, 2010) et éditorialiste au quotidien Jérusalem Post. Spyer est détenteur d’un Doctorat en relations internationales de l’Ecole Londonienne d’Economie et d’un diplôme du Master en politiques moyen-orientales de l’Ecole d’études orientales et africaines de Londres. Il a servi au sein d’une unité d’avant-garde au combat, dans les Forces de Défense d’Israël en 1992-3, et a combattu durant la guerre du Liban de 2006. Entre 1996 et 2000, Spyer était employé au Bureau du Premier Ministre d’Israël.