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15 juillet 2011 5 15 /07 /juillet /2011 07:40

Hamas - "Nous ne souffrons d'aucune crise financière à  Gaza à l'inverse des leaders corrompus de Ramallah"

Adapté par Aschkel -  © 2011 www.aschkel.info

http://www.maannews.net/eng/ViewDetails.aspx?ID=404915&utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter

Nous ne savons pas si cette déclaration du 'Hamas vise a affaiblir aux yeux de la population encore davantage les leaders corrompus à Ramallah quoi qu'il en soit il n'ya aucune crise ni financière, ni économique à Gaza, comme nous cessons de le repéter. Nous savons aussi que le 'Hamas a su tirer profit de toutes sortes de trafic et surtout recoit de son parrain iranien des millions de dollars.

Une preuve de plus apportée par le 'Hamas lui-même contre les abrutis des flottilles.

 

Aschkel

 

 

Le gouvernement du 'Hamas à Gaza a confirmé qu'il ne souffre d'aucune crise financière à l'instar des problèmes économiques affectant le leadership base a Gaza.

 

Le ministre des finances du 'Hamas a déclaré qu'il continuerait a payer les salaires des employés comme chaque mois.

 

Les salaires seront payés en temps et en heure.

 

Le ministre a démenti les rumeurs qui circulent à Gaza comme quoi il devrait faire face à une crise financière imminente en expliquant que les impôts collectés dans la bande de Gaza s'élevaient à 70 % de ce qui était nécessaire pour payer les fonctionnaires. Le reste sera fourni par des contributions volontaires et l'aide du gouvernement a-t-il ajouté encore.

 

Il affirme en outre que son ministère paie les salaires de plus de 35 000 officiers militaires et civils pour une valeur de 61 millions de shekels soit environ 20 millions de dollars par mois.

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15 juillet 2011 5 15 /07 /juillet /2011 06:39

 

 

A.Palestinienne/TV - Caricature diabolisant les Américains et les Israéliens responsables de la division du Soudan


Adapté par Aschkel - © 2011 www.aschkel.info

pmw

 

Lire aussi 

Honte à m.Abbas qui soutient le président soudanais accusé de génocide au darfour

Le hamas et hezbollah ont exprimé leur sympathie au président génocidaire soudanais

 

Même si le Génocidaire l'a en travers de la gorge, et se ferait bien un deuxième génocide, il a dû félicité son homologue du sud pour la reconaissance du Sud Soudan reconnu par la Communauté internationale.

Pour rappel Abbas considèrent que toutes les crises du "Printemps arabe" sont une conpiration israélienne evidemment.

Aschkel

lexpress

 

 

La caricature suivante est parue dans le quotidien jordanien Al-Dustour et a été diffusée à la télévision officielle de l'Autorité palestinienne.

Le texte en haut à droite – La division du Soudan.

Un américain et un juif caricaturés de façon grossière boivent à la santé de la division du Soudan dans des gobelets remplis de pétrole.

Le texte dans les deux bulles est une acclamation, de style hourra !

 

M.Abbas avait dans le passé exprimé son opposition à la division du Soudan, que son proche collaborateur avait décrié comme une conspiration israélienne.

 

Dans une lettre au président Omar El BECHIR, le GENOCIDAIRE des Darfouris, Abbas avait déclaré que le leadership et le peuple palestinien avait une foi totale dans la sagesse du président soudanais Omar El Béchir et qu'ils soutenaient l'unité du soudan et de son peuple.

 

Evidemment le 'Hamas avait fait pareille déclaration.

 

L'Autorité palestinienne a fait valoir que la division soudanaise est une conspirration israélienne visant a provoquer une diminution de l'attention de la "cause palestinienne" aux yeux de l'opinion mondiale et de la faire passer pour une question secondaire.

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13 juillet 2011 3 13 /07 /juillet /2011 18:07

 

 

 

 

Le Processus de Paix est bel et bien mort  

 

par Victor Perez.

 

 

D'après le journal Haarets ce serait les Russes qui ont bloqué sur "Etat Juif'

 

 

Le conflit proche-oriental est un sujet qui revient sans cesse à la une du jour depuis plusieurs décennies pour toute une panoplie de raisons. Quelques états se sont de tout temps proposés à être des médiateurs honnêtes, voire à aider et à contribuer à une résolution pacifique.  

   

Il en est ainsi du Quartet, qui comprend les USA, la Russie, l’EU et l’Onu, qui s’est réuni le onze juillet dernier à Washington dans l’objectif de trouver un terrain d’entente a minima entre les Israéliens et les ‘’Palestiniens’’ afin de les pousser vers de nouvelles négociations. Quelques heures plus tard, le Quartet s’est séparé sans qu’aucun communiqué ne soit publié en raison, dixit un haut responsable de l'administration américaine, de l'écart entre les parties.  

  

Aussitôt, Saëb Arekat, le responsable des négociations au nom de l’Autorité palestinienne s’empressa de déclarer à l’AFP qu’« Il n'existe aucune autre option pour quiconque que de soutenir la démarche palestinienne à l'ONU pour demander l'adhésion à part entière de l'Etat de Palestine sur les frontières de 1967 ». «Il est temps pour la communauté internationale de soutenir la tentative palestinienne pour obtenir l'adhésion de l'Etat de Palestine sur les frontières de 1967, parce que cette démarche préserve le processus de paix et le principe de la solution à deux Etats, que ruine Israël ».

 

Il a également ajouté, que « La tentative d'établir une égalité entre la victime palestinienne et le bourreau israélien qui occupe notre terre et de rejeter sur les deux parties la responsabilité de l'arrêt des négociations est faux et injuste ».

 

Mais qu’en est-il réellement ? A lire minutieusement ses dires, l’on s’aperçoit que les ‘’Palestiniens’’ réclament un état dans les « frontières de 1967 » sans qu’aucunes négociations ne soient menées. Un état qui comprendra évidemment la ville millénaire de Jérusalem si chère au seul cœur du peuple juif. Ceci préservera, ose t-il dire « le processus de paix et le principe de la solution à deux Etats, que ruine Israël ».

 

Un processus qu’une déclaration unilatérale onusienne rendra d’une part caduque mais qui, surtout, ne permettra pas de reconnaître son voisin pour ce qu’il est ! A savoir, l’état-nation du peuple juif. Seule raison invoquée par un diplomate occidental concernant l’échec du Quartet : «Les Palestiniens sont censés obtenir les frontières de 1967 avec des échanges de terres et les Israéliens voulaient en retour la reconnaissance d’Israël comme la patrie des Juifs, mais il n’y eu aucun accord sur cette question ».

 

Quelle est donc cette paix qu’Israël « ruine » si la première condition sine qua non et minimale, refusée par l’Autorité palestinienne, n’est autre qu’être reconnu pour ce que la résolution 181 a décidé en 1947 ? A savoir, être un foyer pour le peuple juif ! Refuser ce minimum est-ce préserver le processus de paix ? Bien sûr que non ! En revanche, cela permet de sauvegarder  « le principe de la solution à deux Etats »…. pour un SEUL peuple. Le « droit de retour des réfugiés, descendants compris » au sein de l’état d’Israël étant la carte maîtresse devant renverser la majorité démographique de « l’entité sioniste » avant de rendre les Juifs, de nouveau, apatrides.

 

Seule la mauvaise foi autorise la responsabilité d’Israël dans l’échec du processus de paix. Une mauvaise foi dont on pourra compter ses soutiens lors du vote de l’Assemblée générale de l’Onu pour une reconnaissance de la « Palestine » dans les « frontières de 1967  avec Jérusalem comme capitale ». Des soutiens qui ‘’oublieront’’ que des centaines de milliers de « réfugiés » exigeront, ensuite, leurs retours « chez eux ».

 

Que fera alors la France si elle prend ses responsabilités comme Nicolas Sarkozy s’y est engagé ? Quel crédit aura alors cette ancienne puissance, et tous les autres états qui ont soutenu cette démarche, face à ce qui se révélera n’être rien d’autre qu’un conflit existentiel pour l’état juif ?

 

Oseront-ils réclamer d’autres concessions ?

 

Le processus engagé en 1993 à Oslo est moribond par la seule faute de la partie ‘’palestinienne’’ refusant, depuis 1948 et jusqu’à nos jours, l’existence d’une patrie pour le peuple juif. Il est donc évident que tout gouvernement israélien refusera de se suicider en entraînant son peuple vers une paix éphémère.

 

Aux grandes puissances de le comprendre et d’agir en conséquence.

 

Victor PEREZ ©

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13 juillet 2011 3 13 /07 /juillet /2011 17:21

 

 

Les palestiniens utilisent leurs enfants contre ISRAEL

 

Le Conseil de Sécurité de l’ONU a consacré une réunion à un sujet ô combien important et répandu dans le monde : l’utilisation des enfants dans le cadre de confits armés. Et sur ce thème, Israël a énormément de choses à dire concernant l’utilisation éhontée des enfants par les factions palestiniennes, que ce soit le Hamas ou le Fatah et leurs filiales de mort. Tout le monde a en tête les images de cet enfant palestinien apeuré de 12 ans surpris à un poste de contrôle de Tsahal avec une ceinture d’explosifs sur lui.
Le nouvel ambassadeur d’Israël à l’ONU, Ron Proshor a pu une nouvelle fois faire jouer ses capacités de conviction. Son discours était très clair : les Palestiniens utilisent leurs propres enfants comme boucliers humains, armes de propagande ou pour pratiquer le terrorisme, et considèrent les enfants israéliens comme des cibles de prédilection. Il a notamment rappelé aux délégués présents l’atroce attentat d’Itamar et l’indifférence avec laquelle les assassins ont froidement assassiné les trois enfants Fogel en même temps que leurs parents. Ou encore le tir délibéré d’un missile antichar sur un bus scolaire au mois de mai.
Puis il s’est exprimé sur l’éducation à la haine qui sévit depuis les plus petites classes des écoles palestiniennes ou dans les programmes pour enfants de la télévision, la glorification du terrorisme devant la jeunesse, avant d’aborder le thème de l’utilisation machiavélique d’écoles et de jardins d’enfants (comme les hôpitaux et les mosquées) par les terroristes pour se protéger des attaques de Tsahal durant l’Opération « Plomb Durci ».
Proshor a lancé un appel à la Communauté internationale « au nom de la jeunesse, d’intervenir pour mettre fin à la culture de la haine, de l’antisémitisme et de la violence chez les Palestiniens, afin que naisse une éducation à la paix et la tolérance pour le bien de toute la région »

israel7

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13 juillet 2011 3 13 /07 /juillet /2011 13:21

 

Palestiniens - ils n'accepteront rien à moins de 100%

par Khaled Abu Taomeh

 

Adapté par Aschkel pour  © 2011 www.aschkel.info

 

http://www.hudson-ny.org/2265/palestinians-cannot-accept-less

 

 

Lire aussiPalestiniens et affidés - Une soi-disant frontière peut cacher un but bien plus inavouable !

Les palestiniens sont divisés en deux camps

Celui qui est radical et un autre moins radical ou "modéré" selon les dires de l'Occident.

Le premier, le radical est dirigé par le 'Hamas et autres groupes tel le Djihad Islamique.

Son message est – Nous voulons 100 % de tout Israël et nous ne ferons aucune concessions à Israël. Nous voulons toutes les terres de la Méditerranée jusqu'au Jourdain. Nous voulons détruire et remplacer Israël par un Etat islamique où les juifs pourront vivre comme une minorité.

 

Inutile donc de parler de la possibilité de négociation avec ce camp sur la paix, d'autant que son objectif est clair et assumé celui d'éliminer Israël..

 

.La seule chose dont ce camp accepterait de parler c'est quand et comment le démantèlement de l'Etat Juif se fera pour expulser les israéliens vers d'autres pays.

Le camp le moins radical selon certains et dirigé par L'OLP et constitué par une minorité d'arabes laïques disent aussi qu'ils veulent 100 % mais dans un premier temps exigent les lignes d'avant 1967, c'est-à-dire toute la Judée-Samarie, Gaza, et Jérusalem-Est

Comme les radicaux, ces "moins radicaux" ne veulent pas faire de concessions à Israël sur ses revendications territoriales..

Avec de telles positions, il est difficile de voir comment le processus de négociations pourrait conduire à quelque chose de positif. Les radicaux ne veulent pas négocier avec Israël car ils ne reconnaissent pas son droit à l'existence, les "moins radicaux" disent qu'ils sont prêts a retourner à la table des négociations mais seulement si Israël accepte de concéder par avance 100 % de leurs revendications.

 

Et pourtant même si Israël acceptait toutes leurs revendications le camp des "moins radicaux" n'est pas prêt à s'engager de  mettre fin au conflit, c'est essentiellement pourquoi le sommet de Camp en 2000 a échoué – Y.Arafat n'était pas prêt a signé un document appelant à la fin du conflit même après un accord de paix  signé entre israéliens et palestiniens

 

D'ailleurs aucun des leaders du camp des "moins radicaux".n'oserait signer un tel document de peur d'être dénoncé par son peuple et le reste des pays arabes et islamiques – pour avoir vendu à Israël de la "terre arabe"

 

Par le camps le "moins radical" sait qu'Israël ne pourra accepter ses revendications, les leaders de ce camp ont donc décidé de rester en dehors des pourparlers, et ont plutôt choisi de négocier avec la Communauté internationale au sujet de la création d'un Etat palestinien. Ils préfèrent négocier avec la France, l'Allemagne, la Grande Bretagne, les pays sud américains de la solution à deux Etats


L'autorité palestinienne espère donc aujourd'hui que la Communauté international lui donnera ce qu'Israël n'est pas prêt à lui donner à la table des négociations. L'objectif de l'AP est d'internationaliser le conflit avec l'espoir d'imposer une solution a Israël, c'est la principale raison pour laquelle ce camp a décidé d'aller devant l'ONU en Septembre pour faire reconnaitre un état palestinien sur les lignes d'avant 67.

L'ONU peut approuver la demande de L'AP. Mais ce ne sera qu'une reconnaissance de papier sous la forme d'une autre résolution. La seule et unique façon d'obtenir un état c'est par le biais des négociations directes avec Israël.

 

Les Palestiniens ont de bonnes raisons d'être optimistes sur les négociations avec Israël car une bonne partie des Israéliens, croient à une solution à deux états. Le débat interne israéliens est de savoir combien de terres il faudra encore céder aux palestiniens pour avoir la paix. 

 

 

Par conséquent, il serait sage pour Mah'moud Abbas de laisser tomber ses prétentions étatiques et de revenir immédiatement à la table des négociations.

 

Il a d'ailleurs été averti que son initiative en septembre serait contreproductive pour les palestiniens eux-mêmes et dommageable pour la solution à deux états. Une telle initiative serait aussi dommageable sur le plan financier comme l'ont laissé entendre les Etats-Unis, il est a rappeler également que certains pays d'Europe ne sont pas pour cette initiative non plus. Les palestiniens seraient alors tenus pour responsables d'avoir fait voler en éclat les accords d'Oslo, car en s'engageant dans cette déclaration, les palestiniens violent les accords.

 

Voyant cela Abbas pourrait auprès des siens utiliser cet argument pour reprendre les négociations. Israël étant quant à lui, et l'ayant exprimé plusieurs fois désireux de reprendre les négociations

 

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13 juillet 2011 3 13 /07 /juillet /2011 08:44

Un Quartet sans musique…

 

Dernière mise à jour Mardi, 12 juillet 2011 08:52Ecrit par Luc RosenzweigMardi, 12 juillet 2011 08:52

http://www.radiochalomnitsan.com

 

 

La réunion du quartet hier à Washington n’a donné aucun résultat. Cet organisme composé de l’Union Européenne, de L’ONU, des Etats Unis et de la Russie, chargé du suivi du processus de paix au Proche Orient n’a même pas publié de déclaration à l’issue de cette rencontre. 
 
Cela montre à quel point la communauté internationale est divisée à propos de l’initiative palestinienne d’obtenir, au mois de septembre la reconnaissance par l’ONU d’un Etat palestinien dans les frontières de 1967.

Les Etats-Unis ont annoncé qu’ils mettraient leur veto à toute décision qui ne serait pas issue d’un accord négocié entre Israël et l’Autorité palestinienne. La Russie, elle, soutient pleinement cette reconnaissance. Quant à l’Europe, comme d’habitude, elle est divisée. Berlin et Rome ont annoncé qu’ils ne voteraient pas cette résolution, alors que Londres et Paris pencheraient plutôt en sa faveur.

Tous, pourtant souhaiteraient que le dialogue direct entre Israéliens et Palestiniens reprenne au plus vite. Mais pourquoi faire ? Depuis leur prétendue réconciliation, le Fatah et le Hamas ne sont même pas parvenus à se mettre d’accord sur la constitution d’un gouvernement d’union.

Quelle valeur aurait alors un accord qui pourrait être dénoncé dès sa signature par un Hamas sous l’influence de l’Iran ?

D’autre part, pour que le processus de paix se remette en marche, il est nécessaire que la situation régionale soit un minimum stabilisée. Quelle sera l’attitude vis-à-vis d’Israël d’un gouvernement égyptien issu d’élections démocratiques ? Il n’est pas certain qu’il se situe dans la continuité du régime précédent, car les Frères musulmans, violemment hostiles à l’Etat juif, risquent de jouer un rôle majeur.

Le Liban est passé entièrement sous la coupe du Hezbollah et de ses alliés, et la Syrie est au bord du chaos.

Il n’est même pas certain qu’en son for intérieur, Mahmoud Abbas ne souhaite pas le maintien des forces israéliennes en Judée et Samarie, qui le protègent d’une prise de pouvoir du Hamas…

Mais il est allé trop loin pour reculer, et la résolution palestinienne devrait être soumise à l’ONU en septembre.

Elle obtiendra, certes, une majorité des Etats membres, mais la paix n’aura pas avancé d’un millimètre.
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12 juillet 2011 2 12 /07 /juillet /2011 18:37

Le Quartet appelle à des négociations directes   

  • Les pourparlers face à face seraient mutuellement bénéfiques
  • Le Quartet souhaite favoriser les négociations directes
  • Les Palestiniens doivent décider cette semaine du chemin à emprunter

Réunion du Quartet, le 11 juillet 2011

Jérusalem, le 12 juillet – Le Quartet pour le Proche-Orient s'est réuni lundi dans une dernière tentative pour convaincre les Palestiniens de retourner à la table des négociations avec Israël avant qu'ils ne cherchent la reconnaissance internationale pour un nouvel Etat.

Le nouvel élan israélien pour relancer les pourparlers devance la révélation attendue d'une nouvelle initiative de paix ce lundi par le Quartet pour le Proche-Orient, qui est le soutien officiel du processus de paix Israélo-palestinien.

Israël essaie de relancer les négociations de paix avec les Palestiniens, d'après le vice-ministre israélien des Affaires Etrangères Danny Ayalon, a rapporté la radio israélienne ce dimanche.

« Les actions unilatérales ne sont pas dans le meilleur intérêt des Palestiniens » a-t-il dit, suggérant que les négociations directes sont la meilleure option pour les deux parties.

Israël s'inquiète de la décision du Président Mahmoud Abbas de se joindre à un gouvernement où se trouverait le Hamas, le groupe islamique fondamentaliste soutenu par l'Iran et reconnu comme une organisation terroriste par les Etats-Unis et l'Union Européenne. Le Hamas appelle à la destruction d'Israël.

« Les questions au cœur du conflit doivent être négociées, la base de ces négociations est claire – un Etat d'Israël en sécurité et une Palestine viable », a annoncé vendredi la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton 

L'Autorité Palestinienne a jusqu'au 15 juillet pour déposer une demande de reconnaissance aux Nations Unies lors de la réunion de l'Assemblée Générale de l'ONU à New-York en septembre.

En tant que soutien officiel du processus de paix, le Quartet – Etats-Unis, Union Européenne, Nations Unies, Russie – préconise les négociations directes comme la meilleure façon d'avancer.
Malgré cela, les Palestiniens ont tourné le dos aux négociations face-à-face il y a près d'un an et ont refusé d'y revenir malgré les demandes répétées d'Israël et du Quartet.

Toutes les parties disent souhaiter voir s'établir un Etat Palestinien aux côtés d'Israël, mais les Palestiniens auront un bien meilleur accord en s'asseyant avec leurs homologues israéliens.

Les demandes palestiniennes sur les réfugiés, Jérusalem et les implantations sont des problèmes qui doivent être négociés avec Israël.

En plus de ces questions fondamentales, Israël pense qu'il y aura d'énormes retombées financières positives pour les palestiniens dont une création massive d'emplois comme résultat direct d'une paix durable avec Israël.

L'économie palestinienne en Cisjordanie est en plein essor, en partie grâce à une plus grande coopération sécuritaire avec Israël. Jérusalem affirme que cette tendance pourrait perdurer des suites d'un accord entre les deux voisins.

En avril dernier, le FMI a publié un rapport soulignant que l'économie palestinienne était dépendante de la paix avec Israël.

La Chambre des Représentants américaine a fait écho au sentiment israélien en passant massivement une résolution jeudi dernier –  de 407 voix sur 435 – pressant le Président américain Barack Obama de bloquer les fonds destinés à l'Autorité Palestinienne si celle-ci va de l'avant avec un plan diplomatique unilatéral pour obtenir la reconnaissance d'un Etat aux Nations Unies en Septembre.

La résolution appelle également les israéliens et les palestiniens à reprendre les négociations de paix.

« En adoptant cette résolution, la Chambre établit clairement qu'une véritable paix ne peut venir qu'à travers des négociations entre les deux parties » a déclaré le sénateur démocrate Steny Hoyer.

Les Etats-Unis ont également fait prêter serment à leur nouvel Ambassadeur en Israël, Dan Shapiro, ce vendredi.

A la cérémonie, la secrétaire d'Etat Hillary Clinton a déclaré : “L'amitié entre les Etats-Unis et Israël est profonde. Elle s'enracine dans le partage de valeurs communes qui sont au cœur de l'identité de nos nations respectives.Démocratie, opportunités, tolérance – ces valeurs et d'autres encore sont inscrites dans notre ADN.”

Nous avons constamment travaillé pour soutenir des négociations entre les parties. Et comme l'a dit le Président Obama en mai, bien que les questions fondamentales du conflit doivent être négociées, la base des négociations est claire – un Etat d'Israël en sécurité et un Etat Palestinien viable”, a-t-elle ajouté.

Clinton a aussi souligné les capacités de leader de Shapiro qui a « engagé de nouvelles sanctions contre la Syrie et a désigné la télévision par satellite du Hezbollah [Al-Manar] comme une organisation terroriste étrangère. »

Les Etats-Unis ont également convoqué l'Ambassadeur syrien à Washington pour des entretiens de haut niveau au Département d'Etat sur fond d'accusation du personnel de l'ambassade qui « filmerait et prendrait en photo à des fins de surveillance des participants à des manifestations pacifiques aux Etats-Unis. »

Des officiels américains de hauts rangs ont appelé Obama à rapatrier l'ambassadeur américain en Syrie, Robert Ford, à cause des massacres de civils commis par le Président Bashar El-Assad lors des manifestations en cours.

theisraelproject

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12 juillet 2011 2 12 /07 /juillet /2011 11:45

 

Palestiniens et affidés - Une soi-disant frontière peut cacher un but bien plus inavouable !

 

Et pour allezr dans ce sens, a lire les médias palarabes ou les déclarations on parle de plus en plus souvent de de 1948, comme ce représentant su fatah en Afrique du Sud qui pensent que les arabes n'étaient pas au courant du plan de partition.........

 

 

Sources http://www.israelnationalnews.com/News/News.aspx/145590

Yéochoua SULTANi

Alors que les participants à la flottille aérienne, manifestation médiatique contre Israël, retournent peu à peu dans leurs pays respectifs, personne ne sait, si on s’en tient aux informations diffusées par les grands médias israéliens, pour quelle raison précise ils ont effectué le déplacement. Un journaliste et analyste, David Bedein, donne une explication. Les informations, il les a recueillies sur les différents sites de l’étranger. D’autre part, elles ont été consignées par le Centre d’information des renseignements et du terrorisme, organe officiel.

Tout d’abord, cette ruée sur Israël a été organisée par le mouvement arabe Al-Awada, le retour, qui s’est muni de cartes précises pour remettre en question la présence juive non pas en Judée-Samarie, où la partie semble avoir bien avancé pour la cause promue, mais dans le «petit Israël», et tout particulièrement dans des endroits qui sont devenus avec le temps des villes et villages juifs, et ce après la guerre de 48. Cette manifestation vient donc renforcer l’une des exigences les plus inadmissibles pour Israël, à savoir le transfert de quelques millions d’individus parqués dans des réserves à cet effet, les fameux «camps « palestiniens »», afin de submerger la population juive et la supplanter. Selon Bedein, les organisateurs auraient même localisé des descendants d’Arabes ayant vécu en terre d’Israël avant 48 et ayant réussi à échapper à leur condition, pour vivre en Europe, au Canada ou encore aux Etats-Unis. Les manifestations, si l’opération avait réussi à drainer des milliers de participants, auraient donc consisté à manifester non pas de l’autre côté de la ligne verte, mais bien dans les centres de villes comme Lod, Safed, ou encore Jaffa.

Bedein a rappelé au micro d’Aroutz 7 qu’il avait à une certaine époque interviewé le terroriste Yasser Arafat, et qu’i lui avait posé la question suivante: «Est-ce que les Juifs des implantations pourront rester en place si un Etat « palestinien » voit le jour?» Ce dernier lui avait alors répondu: «Je n’ai pas de problème avec les implantations juives. Elles n’ont pas été fondées sur des terres arabes.» Le criminel avait ensuite défini le problème qui, pour lui, consistait dans les «implantations illégales» qui auraient été bâties sur les ruines de villages arabes après 48.

Pour Bedein, la motivation des organisateurs et participants à la manifestation par avion se concentre sur Béer-Cheva et non pas sur Ariel ou Ma’alé Adoumim. De plus, le Fatah et autres organisations disposent de cartes qu’ils ont l’intention de soumettre à l’Onu pour demander en septembre la reconnaissance d’un Etat sur la base des cartes de 1947, après révision de la déclaration Balfour. Selon lui, les frontières de 67 ne les intéressent pas. Avec cette carte, ils s’octroieraient donc le Néguev et la Galilée, perdus en 48 à la suite de l’offensive des pays voisins d’Israël.

Bedein considère que de telles informations sont importantes pour le public israélien, qui pourrait enfin se réveiller pour comprendre quelles sont les véritables intentions de l’AP. Or, il explique que les médias, pour des raisons politiques, ont intérêt à faire croire au public que la paix dépendrait uniquement de la souveraineté et de la présence juive en Judée-Samarie, ou plus précisément dans les régions qui, du Nord au Sud, ont été récupérées par les Israéliens au cours du déroulement de la guerre des Six jours.  

«Il faut comprendre ce que fait l’Olp depuis plus de 18 ans. Il s’emploie à éduquer et à convaincre qu’il lutte pour le rapatriement de tous les descendants des Arabes qui vivaient sur la terre d’Israël avant 48. C’est ce qu’ils appellent le droit au retour. Dans deux mois, après les délibérations à l’Onu, il est fort possible que les yeux d’Israël se décillent.»

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12 juillet 2011 2 12 /07 /juillet /2011 05:48

Merci Miche

 

 

Le Canada ne reconnaîtra pas la demande de déclaration unilatérale des "Palestiniens" en Septembre à l'ONU.

 

Mike Blanchfield

L'annonce n'est pas surprenante, compte tenu des liens très étroits tissés entre les gouvernements israéliens et canadiens depuis le début du mandat de Stephen Harper, en 2006. La loyauté du Canada envers Washington s'est aussi renforcée pendant cette période.

Les deux pays s'opposent à la reconnaissance d'un État palestinien par l'Organisation des Nations unies.

L'Autorité palestinienne a lancé une campagne le mois dernier visant un vote de création d'un État palestinien lors de l'assemblée générale des Nations unies, en septembre prochain.

 

Le projet est né en raison de la frustration des autorités palestiniennes par rapport au processus de paix. (<< ?????? Drôle de phrase !!! en raison du manque de volonté de négocier de l'AP aurait été plus juste)

La diplomate palestinienne responsable des relations avec Ottawa a affirmé que sa délégation continuerait ses efforts pour convaincre le gouvernement canadien.

«Nous aimerions voir le gouvernement canadien adopter une position neutre, en appui à la création d'un État palestinien, en appui à la reconnaissance de la Palestine en tant que membre à part entière des Nations unies en septembre», a affirmé Linda Sobeh Ali, responsable de la délégation diplomatique palestinienne, à La Presse Canadienne.

Mme Sobeh Ali a aussi indiqué que son gouvernement tentait de convaincre le Canada de reconnaître Israël dans ses frontières pré-1967 (<<<c'est à dire aux lignes de 49,), une position à laquelle Stephen Harper s'est fermement opposé dans le passé, incluant lors du sommet du G8 en mai dernier, en France.

Un porte-parole du ministre des Affaires étrangères du Canada a fait valoir que la position canadienne n'avait pas changé.

Chris Day a plaidé que la seule solution au conflit qui fait rage au Moyen-Orient passera par une entente négociée entre Israéliens et Palestiniens pour créer deux pays distincts.

«L'un de ces pays sera un État juif et devra être reconnu comme tel, alors que l'État palestinien devra être une zone démilitarisée», a-t-il fait valoir.

Les Palestiniens tentent de s'attirer l'appui du deux-tiers des pays membres, soit 128 sur 192, afin que le dossier puisse être transféré au conseil de sécurité. Selon certaines sources, au moins 100 nations seraient déjà acquises à leur cause.

Il y a quelques semaines, la position de Stephen Harper sur les frontières pré-1967 l'avait placé en opposition avec Washington, parce que Barack Obama avait indiqué que ce tracé pouvait servir de point de départ lors de négociations entre les responsables.

M. Obama et son gouvernement s'opposent toujours, toutefois, à la reconnaissance de la Palestine comme un État à part entière par l'ONU.

Une porte-parole du département d'État américain a fait valoir qu'un tel projet n'amènerait pas les deux parties à revenir à la table des négociations.

Le Canada fait valoir le même point de vue.

source

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10 juillet 2011 7 10 /07 /juillet /2011 00:05

 

 

 

Abbas au beau milieu de la tourmente?

Les Palestiniens sont-ils en train de perdre le soutien européen?

Plus de cent parlementaires européens ont signé une lettre ouverte objectant à une déclaration unilatérale d’indépendance palestinienne ; seuls les négociations peuvent apporter la paix, affirme cette lettre, mais les responsables américains admettent que la situation est sombre, déprimante.

 

Ronen Medzini et AP


Adapté par Marc Brzustowski

Pour © 2011 lessakele et © 2011 aschkel.info

 

Publié le: 

.09.07.11, 22:58 / Israel News

http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-4093049,00.html

 

 

Plus de 100 membres du Parlement de l’Union Européenne affirment objecter à une déclaration unilatérale d’un état palestinien en septembre.

 

Dans une lettre adressée à la cheffe de la diplomatie européenne, Catherine Ashton, les parlementaires de plusieurs états et traversant tout le spectre politique soutiennent qu’un geste unilatéral palestinien rendrait la paix encore plus inaccessible.

  

Les signataires dissent être “tous unis par la conviction que seule une solution à deux-états négociée peut mettre un terme au conflit israélo-palestinien”.

 

« Les accords passés entre les parties et les médiateurs internationaux rejettent clairement les actions unilatérales”, Remarque cette lettre, exhortant les deux camps à relancer les négociations immédiatement et insistant sur le fait que « les deux parties devront faire des compromis douloureux pour atteindre un accord ».

 

Seul un retour immédiat aux négociations – pour lesquelles on doit exercer des pressions sur toutes les parties – peut sauver le processus de paix », rappelle la lettre.

 

Le pessimisme américain

 

Cependant, les efforts de l’Administration, cet été, pour relancer les discussions de paix israélo-palestiniennes bloquées, ne mènent nulle part, et une confrontation imminente à l’ONU ne ferait que repousser les perspectives d’une déclaration négociée aux calendes grecques.

 

Des responsables importants du groupe international des faiseurs de paix au Moyen-Orient – les Etats-Unis, l’ONU, l’Union Européenne et la Russie – projettent de se rencontrer lundi à Washington. Le but est de ranimer le processus en augmentant la pression sur les deux camps afin qu’ils retournent négocier.

 

L’Administration Obama plutôt pessimiste? (Photo: Pete Souza)

 

 

Les médiateurs “se réuniront et compareront leurs notes sur là où nous en sommes et feront des préconisations pour aller de l’avant”, a déclaré la porte-parole du Département d’état, Victoria Nuland, vendredi.

 

 

De plus, un responsable américain a décrit en privé comme très sombre, l’atmosphère globale qui entoure le processus de paix israélo-palestinien. Un autre la qualifie de « déprimante ». Ces responsables ont accepté de parler de façon anonyme de ces rencontres confidentielles.

 

Les Etats-Unis et leurs alliés sont tombés dans une impasse sur la question de savoir comment relancer les discussions. Jusqu’à la semaine dernière, les Etats-Unis ont résisté aux appels européens pour que cette réunion ait lieu lundi, pensant qu’il n’y avait strictement rien de nouveau à exposer, disent ces responsables. .

 

Les Etats-Unis en ont conclu que cela ne valait pas la peine de continuer à se battre au cours de cette rencontre, malgré les maigres perspectives de succès, ajoutent ces responsables.

 

L’AP a contribué à ce récit.

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