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8 mars 2010 1 08 /03 /mars /2010 07:44


israelvalley


 

Portrait de la femme israelienne


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Ronit Elkabetz


La Journée internationale des Droits de la Femme est célébrée ce 8 mars. En Israël aussi, c’est l’occasion de faire un bilan sur la situation des femmes dans la société. En 2010, les femmes sont toujours majoritaires en Israël, même si l’écart avec la population masculine tend à se réduire: dorénavant, elles sont 3,7 millions pour 3,6 millions d’hommes.

La proportion entre les sexes varie selon l’âge. Jusqu’à 36 ans, le nombre des hommes est plus important que celui des femmes. Par contre, la tendance se renverse à partir de 37 ans: les femmes deviennent plus nombreuses que les hommes. La forte proportion d’Israéliennes qui augmente avec l’âge est due à l’espérance de vie plus élevée des femmes: une Israélienne vit 83 ans, contre 79,1 ans pour un Israélien.

L’année dernière, on comptait 46.448 Israéliennes qui se sont mariées: pour 10% d’entre elles, il s’agissait de secondes noces. En Israël, les femmes se marient plus jeunes que dans les pays occidentaux: 24,8 ans contre 28,1 ans dans les pays d’Europe. Cette dernière décennie pourtant, l’âge du mariage en Israël amorce un changement en direction du modèle occidental: il est remonté de 22,4 ans en 1980 à 23,4 ans en 1995 et 24,8 en 2008. En revanche, il subsiste toujours un écart entre l’âge de mariage des juives (25,6 ans) et des musulmanes (21,9 ans).

Côté natalité, on enregistre une certaine stabilité depuis quelques années. 152.500 femmes ont accouché au cours de 2008. Une femme israélienne a 3 enfants en moyenne, soit bien plus que la moyenne des pays de l’OCDE qui se situe à 1,7 enfant par femme. Une des raisons du taux relativement élevé de la natalité en Israël réside dans le jeune âge de la femme lorsqu’elle accouche de son premier enfant: 27 ans, contre 28,5 ans en France, 29,3 ans en Espagne et près de 30 ans en Angleterre.

Dans les universités israéliennes, les femmes sont plus nombreuses que les hommes: en 2009, 56% des étudiants de licence et 58% des étudiants en maîtrise étaient en fait des étudiantes. En Israël, les femmes sont plus nombreuses que dans les pays occidentaux à suivre des études scientifiques, médicales et technologiques.

Sur le marché du travail, la proportion des femmes va en augmentant. En 2009, 52% des femmes de plus de 15 ans participaient à la population active, contre 48% en 2000. Le taux de chômage féminin tend à égaler celui des hommes: pour la première fois depuis des années, le taux de chômage parmi les femmes et les hommes était identique en 2009 (7,6%). Les femmes ont tendance à travailler davantage à temps partiel, et pas toujours de leur plein gré: en 2009, 37% des femmes travaillaient à temps partiel contre 13% des hommes.

Si les femmes ont aujourd’hui accès à tous les métiers, elles sont encore très majoritaires dans les professions traditionnelles et à bas salaires. C’est ainsi que les femmes représentent plus de 70% des salariés employés dans l’enseignement (jardins d’enfants et écoles), la vente, la fonction publique et la petite administration.

Néanmoins, les femmes sont de plus en plus présentes dans les secteurs de pointe; en 2009, près de 89.000 femmes travaillaient dans le high tech, soit 36% des salariés du secteur. De même, les femmes sont de plus en plus nombreuses dans les métiers à majorité masculine, notamment dans la justice, la banque, les affaires et même l’armée. Mais les réussites individuelles ne doivent pas cacher les inégalités de chances entre les sexes.

Quant au salaire, le retard des femmes sur les hommes reste important. En 2008, une femme gagnait 6.077 shekels par mois en moyenne, contre 9.627 shekels pour un homme. Autrement dit, la femme israélienne doit se contenter d’un salaire équivalent à 63% du salaire masculin. Cet écart s’explique aussi bien par la forte proportion de femmes travaillant à temps partiel que par des inégalités entre les sexes en matière de promotion sociale et professionnelle.—

Jacques Bendelac (Jérusalem)


Un recul des droits de la femme dans les territoires palestiniens
 
Source : jpost

L'Irak, le Yémen et les territoires palestiniens, théâtres de conflits internes et de la montée de l'extrémisme religieux, sont les seuls à avoir enregistré un recul des droits des femmes ces cinq dernières années, selon l'étude.

Reste que globalement, les femmes de la région souffrent d'inégalités plus grandes que dans le reste du monde. Les violences à leur encontre restent répandues et souvent impunies. Seules la Tunisie et la Jordanie prévoient des protections spécifiques contre les violences domestiques, et aucun des 18 pays étudiés n'interdit expressément le viol conjugal.

En Irak, les "crimes d'honneur", viols et enlèvements ont augmenté en cinq ans. Lors des crimes d'honneur, les femmes sont souvent tuées par des parents masculins qui les tiennent pour responsables d'atteintes à l'honneur de la famille, notamment en cas d'accusations d'infidélité.

En Iran, depuis l'élection du président Mahmoud Ahmadinejad en 2005, les restrictions vestimentaires et la ségrégation des sexes dans les lieux publics ont été appliquées plus strictement, et les entraves à la liberté d'expression ont conduit à la fermeture de publications féministes. 
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25 février 2010 4 25 /02 /février /2010 12:50


Extrême gauche : Provocations irresponsables

Youli Edelstein, ministre de l’Information et de la Diaspora, a émis de sévères critiques contre l’attitude irresponsable de l’extrême gauche en général et tout particulièrement à l’encontre de l’organisation « La Paix Maintenant » (Shalom Archav). En effet, ce dernier mouvement a qualifié l’effort du gouvernement mené à travers la campagne d’information lancée par Israël pour réhabiliter l’image du pays de « fasciste ».

Le ministre, de retour de Londres où il a été interviewé par un journaliste pro-palestinien, s’est notamment plaint du fait qu’il avait été plus écouté et moins critiqué par ce débattant que par l’association Shalom archav, pourtant elle aussi exposée au risque d’attentat sur le sol israélien.

Dans la même journée, et alors qu’Israël doit faire face à de nouvelles violences palestiniennes suite à l’inscription de sites majeurs de son héritage historico-religieux sur la liste du patrimoine national israélien, un autre acteur bien connu des milieux proches de l’extrême gauche a fait parler de lui ; l’ancien technicien de l’installation nucléaire de Dimona Mardechaï Vanunu, célèbre pour aimer apparaître dans les tabloïds en quête de scandales et cette fois-ci persuadé d’intéresser la commission du Nobel, a écrit une lettre à cette dernière afin de lui demander de ne pas le considérer comme candidat au Prix Nobel de la paix, car il n’accepterait pas une récompense précédemment remise au Président Shimon Pérès, auquel il reproche d’être le fondateur du programme secret nucléaire israélien.

Geir Lundestad, Secrétaire Permanent du Prix Nobel de la Paix, s’est contenté de signaler la réception de cette lettre et d’évoquer brièvement son contenu.

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4 février 2010 4 04 /02 /février /2010 20:25

« Israël Hayom »





Merci cher Arié pour cet article, et je suis d'accord avec toi, chaque matin en allant au travail, Sarah, Mosché, Benyamin, Sarit ou autres toujours sourire et Boker Tov aux lèvres, tendent ce journal gratuit a qui passent devant eux, à la centrale de bus, ou la station de train.....

Et oui ce gratuit propose des articles de qualité, comme tu dis une boufée d'air frais !





Par 
ARIé


Israël Hayom
 est un quotidien israélien gratuit qui connaît une progression spectaculaire. Son tirage vient de dépasser celui de Maariv et le situe en seconde position après Yédiot A’haronot. Lancé en Juillet 2007 par Sheldon Adelson et dirigé par l’excellent Dan Margalit, qui a quitté Maariv pour reprendre la Rédaction du journal

Ce gratuit de qualité, qu’il ne faut pas mettre dans le même sac que les médiocres quotidiens gratuits français, reprend le titre du très populaire journal américain USA Today. A l’inverse de ses trois principaux concurrents, le journal affiche un positionnement de centre droit, proche du Likoud. Il évite néanmoins le sectarisme de ses confrères et laisse d’exprimer les idées de gauche. En soi, l’apparition d’un quotidien israélien qui ne soit pas inféodé à l’intelligentsia isrélienne de gauche, tout en n’étant pas « religieux », constitue une bouffée d’air frais. Ce ne sont pas ses articles qui seront repris par le très anti-israélien Courrier International.

Exemple: au lieu de tirer à boulets rouges, comme ses confrères, sur Sarah Netanyahou, il nous apprend que son jeune fils, Avner 15 ans, a remporté le concours du ‘Hidon Hatanakh (connaissance de la Torah) pour l’agglomération de Jérusalem et qu’il concourra pour le concours national, puis pour le concours mondial. Et nous rappelle que les frères de Sarah ont, en leur temps, remporté le concours mondial. Sarah devait également participer au concours mais l’épreuve a été annulée à son époque pour cause de guerre. C’est pas mal pour un jeune garçon qui n’évolue pas dans une famille « religieuse » pour le moins.

Je vous conseille vivement de consulter le site d’Israël Hayom, disponible et hébreu et anglais: http://www.israelhayom.co.il/en/

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3 février 2010 3 03 /02 /février /2010 09:31




http://media.paperblog.fr/i/179/1794925/imam-expulse-formation-linstitut-catholique-p-L-1.jpeg




Le « ver est dans le fruit ». "Les mots tuent" et conduisent au lynchage. Il y a des années que des revues politiques estimées pour la portée de leurs analyses, comme l’excellent « Controverses » (http://www.controverses.fr/ ), mettent l’accent sur les mutations et décompositions en cours, selon les caprices de la globalisation.


Les intellectuels d’origine juive n'en sont pas prémunis plus que d’autres par les  seules vertus de leur prime éducation. Au contraire, les empathies internationalistes d’antan, après la chute du Communisme, ont laissé orphelins des franges entières de marginaux à la recherche de moyens d’expression contre leurs familles, leurs semblables, leurs religieux, leurs soldats, pensant que le salut ou la faute sont toujours du côté de l’autre, et jamais, comme le sens élémentaire de la responsabilité le voudrait, dans l’examen de ses propres comportements, erreurs de jugements ou approximations, séduction maligne des « solutions » simplistes et vite impraticables.


Ainsi naquirent, au sein même de la société israélienne et dans les diasporas juives, les groupuscules moralisateurs composés « d’alter-Juifs » ou "post-sionistes", qui, le plus souvent, se veulent les fers de lance de ce qu’il faut penser, dire et faire pour mettre à bas « l’ordre ancien », celui de leurs parents, les pionniers, et actuellement, de leurs pairs. Le Palestinisme, sans discernement, y compris dans ses expressions totalitaires, dans l’éducation aux attentats depuis la petite enfance, est devenue leur Doxa, leur Credo, leur cause sacrée par lesquels ils se transcendent et se mettent de la cendre sur la tête, mais surtout, au-dessus de nos têtes à tous : simples passants couverts d'une modique kipa, enfants se rendant à l'école,, une étoile de David au cou, lieux de culte de ce D.ieu qu'il faudrait "tuer", pour  être enfin "libres et fous", dansant nus au crépuscule du Dernier Homme (F.Nietzsche), celui de l'égalitarisme au rouleau-compresseur. La Gauche, en perte de repères en Europe, fait d’eux ses nouveaux hérauts, certaine de la caution implacable qu’ils lui apporte, pour sauver les oripeaux de ce qui subsiste encore d'idéaux réchauffés, après l’effondrement de la barbarie matérialiste du goulag, du NKVD et de la Stasi, à l’Est et le reflux de "l'Europe Rose", tant dénoncée par certains dissidents russes comme la porte d'entrée de toutes les manipulations sémantiques et de la réduction en esclavage.


  Ainsi, parallèlement à un Jihad devenu global, des phénomènes d’hystérie collective justicialiste se développent au sein de toutes les sociétés, mais particulièrement, dans celles les plus en vue sur la scène médiatique, - où des places sont à prendre, des réputations sulfureuses à créer, à coups de « révélations » aussi « scandaleuses » qu’elles sonnent, à l’examen, parfaitement creux-, là où il faut être vu, si l’on veut être celui ou celle qui aura fait déraillé le train de l’histoire moderne. L’émergence de mouvements millénaristes, de type « alter-  (mondialisme/), cohortes de pénitents fustigeant leur camp, l’Occident -dénigré comme le père de tous les crimes, lorsqu'il fut aussi le propagateur des idéaux de liberté-, en croyant se racheter à bon compte un salut sous l'aile protectrice des dictateurs orientaux, n’épargne pas Israël. Bien au contraire, puisque cet état est au cœur de la définition de la nation et de l'identité -qui font débat en France -, concepts que les universalistes confus du « tout est dans tout », veulent à tout prix, abolir. Se battant contre « le Nouvel Ordre Mondial », aux yeux de ces militants anomiques, Israël incarne les principes cardinaux qui ont fait tenir debout les valeurs constitutives de la Loi (celle du Sinaï), colonne vertébrale de l'humanité depuis  5000 ans, qui font que l’homme s’est péniblement émancipé de l’arbitraire et de la barbarie, depuis la préhistoire.


C’est contre ces prophètes du nouveau chaos, sympathisants des derniers tyrans et de l'emploi de la violence terroriste contre les peuples libres, que s’insurge Sammy Ghozlan, responsable du Bureau de Vigilance contre l’Antisémitisme en France, depuis plus de dix ans, et qui voit le phénomène se répandre dans le monde, depuis qu’ils sapent, jour après jour, les fondements de la démocratie israélienne, en dévoyant tous ses principes de l'intérieur, à coups de procédures montées en épingle oude "témoignages" tronqués. Tout dernièrement, il apparaît que  ce sont principalement des ONG dites "israéliennes", financées par l'Union Eurpéenne et de richissimes américains post-modernes, qui ont alimenté la substance même du rapport Goldstone, à charge contre Israël :

 

 

Gad, pour lessakele. et aschkel.info
en collaboration avec :jerusalemplus.tv

 

Lire la suite...<<<< Ecouter


 

 

 


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19 janvier 2010 2 19 /01 /janvier /2010 18:58
Tsahal : Une augmentation spectaculaire du nombre de recrues parmi les Bédouins

Le Chef d’Etat-Major et le dirigeant de la communauté bédouine sont tombés d’accord sur la nécessité d’aider les soldats dégagés de leurs obligations à intégrer le secteur public ; l’armée projette l’établissement d’un prytanée militaire bédouin pour renforcer les valeurs de commandement et l’amour d’Israël.

 

Hanan Greenberg

Adaptation : Marc Brzustowski

Publié le : 

19.01.10, 15:16 / Israel News

http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3836662,00.html

Le chef d’Etat-Major Gaby Ashkénazi et Hassan al-Hayeb, Président du Conseil dirigeant des Bédouins du Nord se sont mis d’accord, lors d’une rencontre à Tel Aviv, lundi, sur le fait que Tsahal œuvrera à faciliter la réintégration des soldats bédouins libérés de leurs obligations dans les forces productives.

Selon les données présentées durant la rencontre, on a constaté, lors des deux dernières années, une augmentation de plus de 200% dans le nombre de Bédouins qui ont rejoint les Forces de Défense d’Israël.

Neuf Bédouins se sont enrôlés dans la Brigade Golani durant le recrutement de novembre 2009. Un responsable de Tsahal a raconté à Ynet que la plupart des Bédouins deviennent pisteurs ou rejoignent des unités de reconnaissance stationnées le long des frontières avec Gaza et l’Egypte.

 Selon cette source, l’augmentation du nombre de recrues parmi les Bédouins peut être attribué à un effort conjoint, de la part des dirigeants de la communauté et de la branche des ressources humaines de l’armée.

 Il a expliqué que Tsahal prévoyait également d’établir un prytanée militaire en direction de la jeunesse du secteur, où « les valeurs telles que le sens du commandement et l’amour d’Israël seront renforcées ».

 L’officier ajoute : “De cette façon nous les préparerons mieux pour le service dans les FDI et réduirons les écarts entre les Bédouins et d’autres secteurs de la société »

Tsahal a également réduit le processus Durant lequel les soldats bédouins se voient accordés les autorisations de sécurité.

Lors de la rencontre avec Ashkénazy, al-Hayeb a demandé à ce que l’armée presse les bureaux du gouvernement afin qu’ils aident les soldats bédouins libérés des obligations à trouver un travail.

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17 janvier 2010 7 17 /01 /janvier /2010 20:07

L’IDENTITE NATIONALE ISRAELIENNE, SON CONCEPT, SES EVOLUTIONS FUTURES


Par Bertrand RAMAS-MUHLBACH,

pourhttp://lessakele.over-blog.fr et www.aschkel.info

 


Ce 10 janvier 2010, le Premier Ministre israélien a décidé de fermer la frontière sud d’Israël qui sépare l’Etat hébreu de l’Egypte pour « préserver le caractère juif et démocratique d’Israël ». Estimant logiquement qu’une immigration massive de personnes africaines était susceptible de remettre en cause cette spécificité, le Premier Ministre a annoncé : « Nous ne pouvons laisser des dizaines de milliers de travailleurs en situation irrégulière s'infiltrer en Israël par la frontière sud et inonder notre pays de clandestins étrangers».

L’exercice par l’Etat d’Israël de sa souveraineté, suppose effectivement une délimitation de son espace étatique et un strict contrôle de ses frontières dont l’étanchéité garantit la protection. Ainsi, et grâce au principe d’intangibilité des frontières, l’Etat est stabilisé, les populations qui demeurent à proximité sont sécurisées, et l’Etat juif est en mesure de faire respecter son intégrité territoriale et son droit inaliénable à une existence indépendante.

Si les membres de la nation juive ont fait le choix de s’autodéterminer en terre d’Israël, c’est pour gérer eux-mêmes leur devenir et partager ensemble les mêmes valeurs et les mêmes repères identitaires ou culturels, historiques. Pour sa part, l’Etat d’Israël nourrit cette identité nationale sur le territoire à travers le mode éducatif, les supports médiatiques et plus généralement par ses actions quotidiennes, de telle sorte que le peuple d’Israël éprouve constamment le sentiment d’appartenance à la même communauté humaine. Bien naturellement, la préservation de cette identité nationale exige de l’Etat d’Israël qu’il exerce un parfait contrôle des flux migratoires.

De même, et dans son rôle de maintien de la cohésion nationale, l’Etat d’Israël prend en charge la sécurité de ses ressortissants et tente autant que faire se peut, de les délivrer du joug de leurs oppresseurs, dans quelque endroit qu’ils se trouvent. Le 13 janvier 2010, un groupe d’israéliens a organisé en liaison avec le Ministre de l’Intérieur Eli Yishai, le rapatriement d’une femme juive (et de ses quatre enfants) résidant dans la bande de Gaza, retenue contre son gré par la famille de son mari arabe qui la maltraitait.

L’identité nationale israélienne s’exprime également par le formidable exemple de spontanéité et de générosité illustré lors de l’envoi à Haïti, d’une délégation composée de médecins et d’infirmières chargés de dresser un hôpital de campagne avec une unité de soins intensifs, une salle d’opération, une pharmacie et un laboratoire, et ce, sans oublier de participer à la recherche de personnes disparues.

Enfin la préservation par l’Etat juif de l’identité nationale peut prendre la forme de décisions de justice qui sanctionnent les ressortissants ayant porté atteinte, par leurs paroles ou leurs actes, à l’Etat juif. Il en a été ainsi ce même 13 janvier 2010, lorsque le sheikh Raed Salah, chef de la branche nord du Mouvement islamique a été condamné à neuf mois de prison outre six mois avec sursis pour émeute et agression d’un officier de police, qu’il a été condamné à indemniser à hauteur de 7500 shekels pour lui avoir craché dessus. Le Président du parti Balad Jamal Zahalkaa certes critiqué cette décision en la qualifiant de persécution politique : « Il s'agit là d'une sentence politique qui est une vengeance politique dont le but est la persécution politique », mais ce responsable politique doit bien comprendre le sens du respect dû à chacun dans la philosophie juive près de six fois millénaire.

 

En fait, les ennemis d’Israël peinent à comprendre qu’Eretz Israël (tout comme le rappelle la déclaration portant fondation d’Israël) « est le lieu où naquit le peuple juif. C'est là que se forma son caractère spirituel, religieux et national. C'est là qu'il réalisa son indépendance, créa une culture d'une portée à la fois nationale et universelle et fit don de la Bible au monde entier ». Il appartient donc naturellement à l’Etat juif de maintenir cette cohésion nationale et d’assurer la transmission aux générations à venir, de ce qui constitue sa spécificité.

L’Etat d’Israël ne doit donc pas tomber dans le piège des pays européens qui ont renié leur spécificité propre en imaginant que les ressortissants du continent n’étaient qu’un agrégat de populations sans identités spécifiques, sans âmes, que l’on n’appréhende qu’au regard de la seule qualité d’agent économique.

Les pays d’Europe ont effectivement choisi collectivement de renoncer à leur souveraineté spécifique en abandonnant leur monnaie, leurs frontières, leur service national, ou encore leur législation propre au profit de législations dont la norme est européenne. Ils ont alors transformé le continent en un vaste espace exclusivement guidé par les règles économiques.

Aujourd’hui, les pays européens découvrent l’erreur qui a peut être été commise par l’abandon de leurs identités nationales respectives et du corpus de valeurs historiques sur lequel ils se sont construits.

Pour essayer de faire machine arrière, le Ministre de l'Immigration français Eric Besson a lancé son grand débat sur la question de l’identité nationale française, pour favoriser la construction d'une vision partagée tout en soutenant que le débat n’est pas uniquement focalisé sur l’immigration et l’Islam. Il en est de même de l’Italie qui découvre l’absence d’homogénéité de ses classes scolaires et qui a décidé, le 8 janvier 2010, de limiter à 30% le pourcentage d’étrangers dans chaque classe. Bien évidemment, l’identité nationale n’est pas un objet de discussion théorique mais bien un concept qui doit être cultivé à chaque instant au sein de la nation...

Plus gênant, les institutions européennes n’entendent pas respecter les identités nationales des différents pays de l’Union à l’instar de la Cour Européenne des Droits de l'Homme (CEDH) qui a déclaré illégales les lois anti-terroristes du Royaume-Uni permettant à la police d'interpeller et de fouiller des personnes sans avoir à prouver qu’elles agissent de manière suspecte. Le ministre de l’Intérieur britannique, Alan Johnson, a fait appel de cette décision mais le problème se situe ailleurs. Il en est de même lorsque la Commission de Bruxelles s’indigne de la réaction du Président de la République Française Nicolas Sarkozy dans sa critique du constructeur automobile Renault qui entend assembler les pièces de la nouvelle génération de Clio électrique en Turquie. Ce modèle européen pourra certainement fonctionner à condition d’instituer, aux côtés de la Déclaration des Droits de l’Homme, une Convention des Devoirs de l’Homme.

En tout état de cause, la disparition des identités nationales européennes pourrait être une opportunité pour accorder la nationalité israélienne aux juifs qui résident dans les pays européens, l’identité nationale israélienne ayant vocation à être partagée par l’ensemble des membres du peuple d’Israël, y compris pour ceux qui vivent en diaspora. Personne ne sera bientôt plus en mesure de suspecter une quelconque double allégeance.

L’IDENTITE NATIONALE ISRAELIENNE, SON CONCEPT, SES EVOLUTIONS FUTURES
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5 janvier 2010 2 05 /01 /janvier /2010 05:58




LES 10 PRINCIPAUX ENJEUX POUR L'ÉCONOMIE ISRAÉLIENNE EN 2010


Israel Valley


economie EXCLUSIF – Que réserve 2010 à l’économie israélienne ? Après une année 2009 bien mouvementée, les défis économiques et sociaux qu’Israël doit relever en 2010 seront déterminants pour la décennie à venir: pauvreté, chômage, eau, logement, débouchés extérieurs, transports publics, gaz, etc. Tour d’horizon.

1. Vaincre la pauvreté

Une société moderne et avancée ne peut se permettre de laisser un citoyen sur quatre vivre en dessous du seuil de pauvreté. C’est le cas d’Israël qui compte 1,6 million de pauvres (24% des Israéliens), dont 780.000 enfants (34% des enfants). De plus, de nombreux Israéliens, qui ne sont pas considérés comme pauvres, risquent à tout moment de sombrer dans la pauvreté: la dernière enquête sociale réalisée par l’Institut de la Statistique révèle que 30% des Israéliens sont exposés au risque de pauvreté, soit plus de 2 millions d’individus. A titre de comparaison, le risque de pauvreté touche seulement 16% des Européens. En Israël, le risque de pauvreté est particulièrement élevé parmi les enfants: 40% d’entre eux courent ce risque.

2. Réduire le chômage

Certes, le taux de chômage s’est stabilisé à 7,7% de la population active à la fin de 2009. Mais pour les 230.000 chômeurs, la stabilisation du chômage n’est pas une consolation. Durant la crise financière mondiale, l’économie israélienne a perdu 50.000 emplois environ. Et ce ne sont pas les 180 jours d’allocations chômage qui permettent au chômeur de faire vivre dignement sa famille. Le gouvernement vient de décider de généraliser la privatisation de l’Agence pour l’Emploi en ouvrant des « centres d’emplois » privés dans l’ensemble du pays. Pour certains experts, la décision est prématurée car la réforme n’a pas encore fait ses preuves.

3. Diversifier les sources d’eau

L’augmentation continue du prix de l’eau n’est pas une solution à la pénurie. Au contraire, vouloir faire payer l’eau « à son juste prix » est une absurdité économique et sociale: l’eau fait partie des produits de base (comme le pain ou les médicaments) dont l’Etat doit prendre à sa charge une partie du financement pour éviter de pénaliser les consommateurs les plus démunis. La solution est connue: l’eau dessalée devrait couvrir au moins 70% des besoins des Israéliens. Cela prendra encore deux ou trois ans, mais il n’y a pas de temps à perdre. Il existe déjà trois usines de dessalement qui fonctionnent (à Ashkelon, Palmahim et Hédéra), et deux autres sont en cours de construction (à Sorek et Ashdod). Selon le programme officiel, le plein rendement des installations ne sera atteint qu’en 2013; à moins que le gouvernement israélien ne décide d’accélérer les procédures: 2010 sera une année cruciale pour prendre les décisions qui s’imposent.

4. Reconquérir les débouchés extérieurs

La crise financière mondiale a porté un coup dur aux exportations israéliennes. On sait que l’économie israélienne est étroitement liée à ses débouchés extérieurs: une baisse des exportations de 13% en un an représente un manque à gagner important pour les entreprises israélienne qui vendent à l’étranger l’essentiel de leur production. Diamants exclus, c’est en Europe qu’Israël a perdu une grande part de ses débouchés extérieurs (- 27%); la perte de débouchés est particulièrement sèche avec certains pays comme l’Italie (- 36%) ou Chypre (- 45%); par contre, la baisse des exportations est limitée vers la France (- 12%) ou l’Espagne (- 20%). En revanche, sur le marché américain, les exportations israéliennes sont restées stables en 2009.

5. Relancer la construction de logements

La mise en chantier de nouveaux logements a baissé de 3% au cours des neuf premiers mois de 2009. La baisse de la construction est particulièrement dramatique dans les régions où la demande est forte, comme Tel Aviv (- 39%). Le rythme de construction (30.000 logements par an) ne permet plus de satisfaire à la demande, ce qui explique l’envolée des prix de l’immobilier. A la fin 2009, le stock de logements à vendre était inférieur de 25% à son niveau de l’année passée. Le gouvernement israélien s’est fixé pour priorité d’accélérer le rythme des constructions en 2010; l’année qui commence devrait voir exploser la « bulle immobilière » qui s’est formée en raison de la pénurie croissante.

6. Défendre le consommateur

La concurrence tant souhaitée par le gouvernement israélien n’a pas encore profité au consommateur. Celui-ci est toujours pris en otage par les banques, les opérateurs de téléphone (fixe ou cellulaire), les chaînes de TV (câble ou satellite), les caisses de maladie, les fonds de retraite, etc. Un client désireux de passer à la concurrence doit affronter une véritable course d’obstacles et payer parfois de lourdes amendes. La protection du consommateur aura encore des progrès à faire en 2010.

7. Achever le tramway de Jérusalem

La construction du tramway de Jérusalem n’a pas fini de faire couler de l’encre. La date officielle d’inauguration avait été fixée symboliquement au 8 septembre 2010 (8/9/10). Mais le consortium international CityPass, qui construit et exploitera le tramway, a déjà déclaré qu’il ne pourra pas respecter les délais prévus. Les commerces qui longent la première ligne du tramway sont handicapés par les interminables travaux et commencent à s’impatienter. Et les Hiérosolymitains ne sont pas les seuls à attendre: à Tel Aviv aussi, la construction du tramway n’a même pas encore démarré.

8. Exploiter les réserves de gaz

Plus de 100 milliards de mètres cubes de gaz naturel attendent sous la mer d’être exploités. Or les infrastructures sont en retard: les usines polluantes de Haïfa attendent d’être relayées par un gazoduc pour pouvoir produire plus proprement. Quant à la Compagnie Nationale d’Electricité, elle vient de signer un contrat avec les sociétés qui exploitent les champ de gaz offshore pour la livraison de 2,7 milliards de mètres cubes de gaz par an, sur une période de 15 ans. Si ce contrat reflète la volonté de la Compagnie d’Electricité de se reconvertir au gaz, et de préférence un gaz israélien plutôt qu’égyptien, il faudra attendre 4 à 5 ans pour pouvoir transporter le gaz: la construction d’infrastructures adaptées devient une priorité nationale.

9. Améliorer les résultats scolaires

Tout au long de la dernière décennie, les résultats scolaires des jeunes Israéliens ont périclité dans les examens internationaux. Dans les matières comme les mathématiques ou les sciences, les petits Israéliens sont devancés par la majorité des pays occidentaux. La faute à qui ? Peu de moyens, des maîtres peu motivés, des outils pédagogiques de mauvaise qualité: sans tout cela à la fois. Les réformes du système éducatif se sont succédé, mais en vain. Il est urgent d’améliorer les performances des petits Israéliens si le pays veut garder son avance en matière de technologie et de recherche scientifique.

10. Adhérer à l’OCDE

L’admission officielle d’Israël à l’organisation internationale est prévue pour le printemps 2010. Israël rejoindra les 30 pays les plus riches de la planète qui ont en commun de prôner la démocratie et l’économie de marché. Cette adhésion va permettre à Israël de redorer son blason international et d’améliorer sa position parmi la communauté financière mondiale. Par ailleurs, Israël bénéficiera d’un cadre international qui lui permettra de comparer, avec d’autres pays semblables, ses expériences en matière d’action publique. Autrement dit, le seul prestige de fréquenter une scène internationale devrait donner un coup de fouet à l’économie israélienne.—

Jacques Bendelac (Jérusalem)

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30 décembre 2009 3 30 /12 /décembre /2009 19:54
7,5 millions d'Israéliens, et moi, et moi, et moi…
Par JPOST.FR 
30.12.09

La population israélienne a atteint 7,509,000 âmes. Tels sont les derniers chiffres publié par le Bureau central des statistiques.

Illustration. 
PHOTO: ARIEL JEROZOLIMSKI , JPOST

Selon ces mêmes données, 5,664,000 Israéliens sont Juifs, soit 75,4 % de la population. Les Arabes représentent 20,3 % des habitants (soit 1,526,000 personnes) et 319,000 personnes (4,3 %) ont été classées dans la catégorie "Autres".

En 2009, la population israélienne a connu une croissance de 1,8 %, toujours selon le Bureau central des statistiques, soit 135,000 individus. Un taux constant depuis 2003.

Les statistiques annoncent également la naissance de 160,000 nouveau-nés en 2009 et 39,000 décès.

Au total, 14,500 nouveaux immigrants se sont installés en Israël en 2009. Un chiffre sensiblement similaire aux données des années précédentes, bien que l'Agence juive ait mentionné mardi qu'il était en légère augmentation cette année.

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24 décembre 2009 4 24 /12 /décembre /2009 17:48

LES AFRICAINS EN ISRAËL

Il y a aujourd'hui 17000 Africains réfugiés en Israël dont 6000 Soudanais

 Festival Panafrica International Vues d'Afrique

Lire aussi chez Bivouac : 

>>>L’Égypte abat les réfugiés soudanais qui tentent de se sauver en Israël

 



Par Simon Deng, soudanais chrétien, ayant échappé, enfant, à l'esclavage, aujourd'hui ardent défenseur des victimes de l'esclavage musulman, honoré par l'ADL pour son activisme anti-esclavage au Kennedy Center de Washington DC.


Article paru dans le 
Jerusalem Post, édition internationale du 11/17 décembre 2009-Traduit par Albert Soued, www.symbole.chez.com/soued pour www.nuitdorient.com

 

En Israël, il y a 2500 personnes comme moi, des chrétiens du Soudan méridional qui ont été persécutés avec brutalité par le gouvernement de Khartoum et qui ont toujours admiré et aimé l'état juif d'Israël. Les Chrétiens du Soudan méridional et le peuple d'Israël partagent beaucoup de choses en commun – héritage spirituel et religieux, le souvenir des oppressions et l'inimitié des pires régimes du Moyen Orient et d'Afrique.


Ancien esclave au Soudan, je me bats aujourd'hui pour 2 causes liées entre elles: l'état d'Israël et l'abolition de l'esclavage dans le monde musulman. Et je dois raconter au peuple d'Israël les souffrances endurées par mes frères soudanais qui parviennent à trouver enfin un refuge en Israël.


D'abord, je dois vous assurer que mes frères en souffrance ne sont pas une menace pour votre pays; bien au contraire, ce sont des amoureux de Sion et des alliés naturels de l'état juif. Bien plus, ils sont prêts à former un pont entre votre pays et l'état libre du Soudan méridional qui attend de naître d'ici à un an. Il y a ainsi 2 raisons pour lesquelles Israël doit recueillir les réfugiés du Soudan, par égard pour eux et par égard pour le peuple d'Israël.


Aujourd'hui, on compte environ 6000 Soudanais résidant en Israël dont 3500 sont des Soudanais musulmans, venant pour la plupart du Darfour. Un pourcentage significatif de ceux-ci ont reçu l'asile politique temporaire. Si Israël n'accorde pas la même protection ou une protection similaire aux 2500 Soudanais Chrétiens, ils seront obligés de rentrer aussitôt chez eux et ils seront soit exécutés, soit jetés en prison jusqu'à la fin de leur vie.


Car selon la loi soudanaise, s'ils ont mis le pied en Israël – considéré
  par Khartoum comme le plus vil ennemi – leur infraction est gravissime.

Cependant après 3 ans dans ce pays, ils sont encore dans les limbes, sans asile, sans savoir s'ils seront expulsés, ni quand, sans perspective. Ils ont simplement un visa de séjour de 3 mois conditionnel, qui les maintient dans un état d'incertitude. Pour un minimum de stabilité, il faudrait étendre le visa à 6/12 mois.


Ces Chrétiens ont fui leur patrie à travers l'Egypte, échappant à une islamisation forcée

et à un probable esclavage. Les crimes contre l'humanité ont une très longue histoire au Soudan.
On oublie que les Chrétiens du Soudan méridional ont subi pendant de très longues années les atrocités du régime central, bien plus que le Darfour.

Entre 1955 et 1972, le régime musulman de Khartoum a assassiné plus 1,5 million de
chrétiens.
Entre 1983 et 2005, 2 millions de plus ont subi le même sort.
Et au moins 100 000 enfants ont été emmenés au Nord pour devenir les esclaves des Musulmans, alors que 7 millions de Soudanais sont partis se sauver dans des camps de réfugiés.

Le gouvernement de Khartoum a toujours discriminé notre région, nous accusant de traitres ou d'agents d'Israël…, ce qui est le pire crime, selon son point de vue.
Paradoxalement, cette accusation nous donnait force et courage, c'était une source d'un orgueil têtu et de résistance, car dans notre pays nous aimons Israël et nous nous identifions avec ce pays, rêvant de visiter la Terre Sainte, comme pèlerins ou comme touristes.


De même, protéger les réfugiés chrétiens du Soudan méridional, c'est aussi dans l'intérêt de l'esprit des Lumières d'Israël.
En 2011, les Soudanais du Sud voteront pour déterminer leur avenir – 2 états indépendants ou un seul Soudan uni. S'ils votent pour une sécession – ce qui est très vraisemblable – ils auront alors une nation indépendante avec un peuple libre, pour la première fois dans leur histoire.


Je les connais bien, je connais leurs dirigeants, 
et je suis très confiant qu'un Soudan chrétien et libre sera un puissant allié d'Israël. Et cette alliance fera tache d'huile en Afrique.


Les 2500 Chrétiens du Sud Soudan résidant en Israël pourraient devenir des liens entre nos 2 nations, un pilier de relations amicales et mutuellement bénéfiques, un phare pour l'avenir.
C'est pourquoi, je demande au peuple d'Israël et à leurs chefs 
d'aider à résoudre la situation légale des réfugiés du Sud Soudan, en leur donnant les moyens juridiques pour qu'ils puissent devenir productifs dans leur patrie d'adoption ou dans leur nouvel état, qui va naître bientôt.

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16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 04:48
Zoom sur les Musulmans d'Israël
Par SYLVIE BERG 
15.12.09
http://fr.jpost.com/ 

Le taux de natalité de la communauté musulmane est sur le déclin. D'après les données publiées par le Bureau central des statistiques (BCS) à la veille de l'Aïd al-Adha, la fête musulmane du Sacrifice, les chiffres sont en baisse constante depuis 2000. Le taux actuel de 2,8 % affiche une chute d'un point entier en comparaison avec l'an 2000 (3,8 %). Pour autant, le taux de croissance de la population musulmane demeure supérieur à celui de tout autre groupe religieux en Israël (Druzes à 1,8 %, chrétiens arabes à 1,3 %, Juifs et autres à 1,6 %).

Illustration. 
PHOTO: ARIEL JEROZOLIMSKI , JPOST

Selon un communiqué de presse publié début décembre, la population musulmane en Israël s'élevait à 1,24 million en 2008, soit une augmentation de 34 000 personnes, par rapport à l'année précédente. Plus grosse concentration musulmane du pays : la capitale et ses quelque 256 000 fidèles de l'Islam. Soit 20,6 % de l'ensemble de leur communauté, et un tiers des résidents de la ville. Deuxième communauté : Nazareth, où 46 000 Musulmans représentent 69,4 % de la population de la ville.

Particularité de la population musulmane israélienne : elle est relativement jeune. 510 000 Musulmans du pays (soit 41,2 % de cette communauté) ont moins de 15 ans. Seuls 3 % (environ 37 000 individus) ont été recensés comme âgés de plus de 65 ans. L'âge relativement jeune de la communauté s'explique par le taux de fécondité (nombre d'enfants à qui une femme donne naissance au cours de sa vie) particulièrement élevé des femmes musulmanes. Cependant, ce taux global est également à la baisse : 3,8 enfants par femme en 2008 contre 4,7 en 2000.

Mais là encore, les femmes musulmanes israéliennes restent plus fécondes que celles des autres communautés - le taux est de 2,9 en moyenne chez les Juifs, 2,5 chez les Druzes, 2,1 chez les Chrétiens - ainsi que leurs voisines de Jordanie, Syrie, Egypte, Maroc, Algérie, Liban, ou Tunisie.

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