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21 août 2011 7 21 /08 /août /2011 11:36

haabir-haisraeli.over-blog.com/

 

Depuis vendredi, environ 120 roquettes, missiles (Grad,Qassam) et obus de mortier ont ete tires en direction du territoire israelien, dont 53 pendant shabbat. Ca commence a faire !

 

Et pourtant, de petits miracles se passent tout les jours qui nous en disent long sur le sens de la vie et la verite de notre combat journalier pour vivre sur la Terre d'Israel.

 

Les terrorristes du Hamas nous ont envoyes trois messages tres clairs entre vendredi et samedi

 

Le premier a ete recu vendredi a 08H15 : un missile grad a ete lance sur une yeshiva d'Ashdod, qui servait aussi de synagogue, au moment ou les fideles juifs revenaient a leurs prieres apres avoir deja evacue ce lieu une demi heure plus tot suite a une premiere alerte. Cette attaque a fait une dizaine de blesses - mais il y a eu un vrai miracle, le missile n'a pas explose. Ce miracle nous a epargne des dizaines de morts !

 

 

Le deuxieme, en forme d'avertissement, a ete recu vendredi apres midi : alors que les ashdodiens, dont de nombreux enfants, se preparaient au shabbat en se reposant un peu sur les plages magnifiques de la ville, un missile grad a ete tire le long de la cote. En entendant l'alerte ils se sont precipites dans les abris a dispoistion sur les plages (c'est a dire les toilettes publiques) alors que d'autres se sont tout simplement jetes au sol. Le missile a atteri non loin des plages, mais dans la mer, ne faisant ni mort ni blesse.

 

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Le troisieme a ete recu samedi matin a 05H40 : deux missiles grad ont ete tires sur notre bonne ville endormie en ce beau matin de shabbat. Un missile est tombe dans un terrain vague, le deuxieme sur trois clandestins palestiniens.

 

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Avec ca vous me direz de quel cote vote le bon D.ieu...

 

David Goldstein.

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19 août 2011 5 19 /08 /août /2011 11:11

 

 

Moshé Naftali, soldat de Tsahal, 22 ans, tué au cours des attaques terroristes

IDF

 

Le Soldat qui a été tué aujourd’hui, le Sergent Moshe Naftali, combattant dans la Brigade Golani était originaire d’Ofra en Israël et était âgé de 22 ans. Il a été tué au cours de la triple attaque terroriste qui a eu lieu dans le sud du pays aujourd’hui (jeudi 18 août). 

Le Sergent Moshe Naftali

Le Sergent Naftali  était en chemin pour venir en aide aux passagers du bus qui avait fait l’objet des tirs des terroristes au nord d’Eilat. Il sera enterré demain matin à 10h00 au Mont Herzl à Jérusalem.

Le Sergent Naftali vient d’une famille de sept enfants. Il a récemment terminé sa formation de commandant dans l’Armée Israélienne, et a servi dans l’un des bataillons d’élite de la Brigade Golani.

Ses amis ont raconté à l’équipe du site de Tsahal ce soir que son attachement à la Brigade Golani était très profond. « La seule chose qu’il souhaitait était d’être reçu dans unité combattante et de donner de sa personne pour défendre l’Etat d’Israël ».

Avant de s’engager dans l’armée, le Sergent Naftali a étudié un an dans une école religieuse située à Ramat-HaGolan. Sa mère, Shula, a raconté : « Même si je le voyais peu, je savais, en tant que mère, qu’il combattait courageusement. Je n’ai aucun doute à ce sujet. Mon fils bien-aimé a tout fait avec dévouement et persévérance, et nous sommes fiers de lui. C’était un soldat exemplaire. Il a donné son maximum pour l’État d’Israël, il croyait en lui et  a toujours agi en étant guidé par la foi ».

 

HOMMAGE EGALEMENT à

 

Le combattant Pascal Abrahami de l’Unité spéciale anti-terroriste des Gardes-Frontières, a été tué lors des affrontements de cette journée de jeudi 18 août dans le Sud du pays. Pascal, 49 ans, était le plus ancien combattant de cette unité. Pascal Abrahami, résidant de Jérusalem dans le quartier de Pisgat-Zeev a laissé une veuve et trois orphelins. L’Unité spéciale antiterroriste des Gardes-Frontières fait partie des unités spéciales d’intervention dans le monde comme le GIGN.

Nous avons eu la confirmation par des personnes qui le connaissant que Pacal Abrahami est un ancien Oleh de France, arrivé en Israel en 1977.

Le deuxième combattant est le sergent Moshé Naphtali du Régiment Golani. Moshé, 22 ans, était résidant d’Ofra, une des premières implantations en Judée-Samarie. Il sera inhumé demain, vendredi 19 août à 10h00 au cimetière militaire du Mont Herzl à Jérusalem.

Avec ces deux combattants, six civils ont également été tués lors de cette offensive terroriste au Nord d’Eilat. Leurs noms n’ont pas encore été rendus publics.

La promptitude et la vitesse de réaction des forces de sécurité ont évité que cette tragédie ne soit beaucoup plus grave. Tous les terroristes ont été éliminés.

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19 août 2011 5 19 /08 /août /2011 11:10

 

Lire, sur le sujet :       Le temps de l'Eveil : le Sinaï est bien, déjà, le théâtre du « 3è Jihad »


 

 

L’escalade du Front Sud ou la nouvelle guerre Gaza-Sinaïtique

 

Aschkel & Gad (avec agences)

 

 

Pour © 2011 lessakele et © 2011 aschkel.info 


 

 

D’heure en heure, l’escalade s’étend sur le front-sud. Au matin, vers 8h 10, la yeshiva d’Ashdod est gravement touchée et les sirènes couvrent la ville, ainsi que Gedera : on dénombre au moins 10 blessés  par les éclats de missiles, dont deux très sérieusement à l’abdomen et des destructions matérielles. Les victimes ont été évacuées vers le Centre Médical Kaplan de Rehovot.


 

 

 

Damage to yeshiva building (Photo: Avi Rokach)

 

Les frappes terroristes s’effectuent en, au moins deux coups, d’où la nécessité de rester à couvert. A la première explosion, les jeunes en prière sont partis se mettre à l'abri, mais c’est lorsqu’ils sont ressortis des lieux sécurisés pour constater les dégâts et reprendre l’office que la majorité a été fauchée par une deuxième salve. Ces tactiques destructrices sont mûrement planifiées, comme l’a démontré l’attaque complexe d’hier à Eilat : elles sont fondées sur l’enchaînement de situations pour faire le maximum de victimes, après repérages des comportements-réflexes, d'éléments psychologiques, tels que se lancer à la rescousse d’un groupe sous le feu, envoyer une unité ou des secours en direction de tel site…

 

Damage caused to Ashdod yeshiva (Photo: Avi Rokach)

 

 

Au moins douze roquettes et missiles ont explosé durant la nuit. La sécurité intérieure a dû interdire les rassemblements de plus de 500 personnes au même endroit, à Ashkelon, Netivot, Ashdod, BeerSheva et Ofakim. D’autres explosions ont frappé des terrains vagues au sud de Gedera, et les Conseils de Shaar Haneguev et d’Eshkol.

 

Le Dôme de Fer a repris du service à Ashkelon et Beer Sheva, où le maire a appelé à suivre scrupuleusement les instructions de la sécurité civile. Deux missiles, cadrés sur les centres résidentiels, sur quatre ont été interceptés par celui d’Ashkelon. Les deux autres ont explosé dans des terrains vagues, sortant de l’objectif du système anti-missiles.

 

Les forces aériennes de Tsahal ont répliqué, tout au long de la nuit par des frappes extensives, sur au moins 7 cibles identifiées comme des centres d’entraînement, des installations et des quartiers généraux du Hamas et de ses prête-noms du Jihad islamique ou des Comités Populaires. Si les groupes d’Al Qaeda revendiquent la responsabilité des tirs de missile, rien n’échappe à la supervision de la milice terroriste dominant la bande de Gaza. Sa branche armée des brigades Ez-Al-Din al Qassam revendique sa participation, pendant que la prétendue « vitrine politique » d'Haniyeh nie toute implication. Le double-langage permanent légitime les frappes à deux impacts pour tenter de brouiller ou de confondre la détermination de la réplique.

 

 


La fameuse « Route Philadelphie » évacuée par les forces israéliennes, en accord avec l’armée égyptienne, à l’époque du retrait de Gaza, est devenue le nouvel axe de connexion entre le Jihad du Sinaï et les terroristes gazaouïs. Une bombe humaine a, ainsi fauché plusieurs membres d’un groupe des forces de sécurité d’Egypte. Le problème stratégique ne concerne pas uniquement des « Palestiniens », et les attentats du jeudi 18 relèvent d’une internationalisation du conflit et de tactiques transfrontalières, s’appuyant sur la valeur symbolique forte des cibles israéliennes.

 

Techniquement, l’identification des assaillants se complique encore, lorsqu’on sait que plusieurs témoins ont mentionné des hommes armés en uniforme égyptien, à l'origine des attentats d'hier. De fait, la traque devient plus imprécise, au risque de confondre des forces de sécurité de l’autre côté de la frontière avec les terroristes recherchés.

 

Al Jazeera a signalé un incident de ce type, lors duquel un avion de chasse israélien aurait abattu (par erreur) des officiers égyptiens, effectuant le même travail de l’autre côté de la ligne de séparation entre les deux pays. Seule une investigation précise pourra faire la lumière sur ce qui s’est passé et recadrer les estimations, des deux côtés. En effet, il est de la plus haute urgence que les bases arrière du terrorisme de Gaza dans le Sinaï soient rapidement identifiées et neutralisées si on veut stopper leur rayonnement tranversal.

 

Le Hamas a révélé son vrai visage : celui d’une tête de pont du Jihad mondial. Il n’a qu’un rapport indirect avec des causes nationalistes servant uniquement de prétexte à l’édification du Califat de la Péninsule Sinaïtique, dont la capitale administrative serait Gaza-City.

 

L'actuelle campagne est un mixage tactique de tout modus operandi accumulé et combiné de mémoire terroriste. 

 

 

 


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19 août 2011 5 19 /08 /août /2011 11:02

 

Vidéo - Les terroristes palestiniens continuent d'attaquer les civils israéliens  - Résumé

 

Les terroristes palestiniens ont tiré ce matin une salve de roquette qui a atteint la ville d'Ashdod et touché une école talmudique blessant gravement deux personnes. un résumé de la situation suivra sur le site dans l'heure qui vient.

 

Voici donc à qui la Communauté internationale s'appête à offrit un état, a des factions terroristes plus sanguinaires les unes que les autres qui n'ont aucune gêne a détruire la vie de civils.

 

Le Porte-parole Olivier Rafowicz : « Les terroristes de Gaza continuent d’attaquer les civils israéliens ».

IDF

Roquette tirée depuis Gaza sur Ashdod. Source : Reuters.

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19 août 2011 5 19 /08 /août /2011 00:10

 

 

Le temps de l'Eveil : le Sinaï est bien, déjà, le théâtre du « 3è Jihad »

 

 

 

Par Marc Brzustowski

 

Pour © 2011 lessakele  et © 2011 aschkel.info

 

 

Lu par Aschkel

 

ECOUTER ICI-copie-1

 


Il est déconcertant de soupçonner, durant des mois, les pièces d’un puzzle en train de se mettre en place et de découvrir, trop tard, la survenue d’une tragédie parfaitement planifiée : comme celle d’hier, 18 août, au nord d’Eilat, à la frontière du Sinaï égyptien.

 

A cette heure, on dénombre au moins 8 morts et 41 blessés israéliens (dont dix ce matin à Ashdod), 7 terroristes interceptés et neutralisés, au cours d’une opération qui en comportait une vingtaine. Les autres se sont évaporés dans la nature, jusqu'à se faire sauter en bombe humaine contre un groupe de soldats égyptiens. Le sort de six autres terroristes, dont les 2 chefs du groupe incriminé, les Comités populaires de la Résistance, s'est réglé par une frappe de la force aérienne à Gaza, moins de 6h après le drame. D’autres représailles suivront, suivies de départs de missiles et roquettes depuis Gaza, dans le rayon sud et centre d'Israël, comme ce matin. Mais, sur le plan stratégique, quand est-ce que Gaza, comme pont avancé du terrorisme pourra être, sérieusement, démantelé ? Comment rapidement endiguer ce nouveau Jihad transfrontalier?

 

Depuis le 6 mars, donc, nous évoquions les pourparlers de tout ce que le Moyen-Orient compte de cerveaux jihadistes prêts à activer leurs adeptes : Youssouf Al Qaradawi, Khaled Meshaal, des envoyés du Hezbollah, du Jihad islamique égyptien, les services secrets iraniens, étaient les hôtes d’Omar el Béchir à Kartoum, avec pour objectif, le lancement de la IIIè Intifada. Il y a quelques semaines à peine, un groupe d'al Qaeda parfaitement structuré prenait la ville d’El Arish en otage durant plusieurs heures, en prônant l’établissement du Califat islamique dans la Péninsule. Le gazoduc vers Israël et l’Egypte était, cinq fois détruit.

 

Mardi 16 août, nous relations le lancement d’une offensive anti-terroriste de grande envergure par l’Etat-Major Egyptien. Le danger de ce qui se trame dans ces montagnes est comparable, selon des experts, à l’équivalent d’une nouvelle guerre afghane, avons-nous alors fait remarquer.

 

Mais, il a encore fallu attendre 48 h pour en prendre la confirmation cinglante à travers les informations filtrant de la région d’Eilat. Le type d’attentat multifocal orchestré relève d’un partage de connaissance et de logistique millimétrée pour enclencher une succession d’évènements létaux, au moment même où les forces se mettent sur le qui-vive pour y faire face et riposter. Un seul groupe isolé n’a pu prendre cette organisation minutieuse sous son chapeau sans bénéficier d’appuis et d’expériences, telles qu’elles sont mises à jour en Afghanistan et en Irak. La modélisation rappelle également le harcèlement constant au Sud-Liban durant 18 ans. Comme si ces guerres n’étaient qu’une répétition générale avant transfert de compétences mortifères contre une cible gardée en réserve durant toutes ces années de conflit.

 

Le moment politique choisi ne relève pas seulement de la cogitation de quelques fanatiques des montagnes, ni même de Gaza. Nous approchons de septembre, où Mahmoud Abbas doit occuper la scène de l’ONU, par une déclaration unilatérale. Le Hezbollah se trouve enfoncé dans une crise sans précédent, pris, apparemment, en tenaille entre le Tribunal international et l’isolement diplomatique de son fournisseur Assad. Celui-ci a plus que besoin d'une voie de délestage, pour desserrer l'étau dans lequel il s'est, lui-même enfermé. Dès février, des maîtres es-terrorisme chi'ites libanais et d’autres s’enfuyaient des prisons de Moubarak à travers le Sinaï, à la faveur de la « révolution » soutenue par l’Administration américaine. Certains ont rejoint Beyrouth. Mais, pour y apporter quel message de voie ouverte dans ces régions escarpées, auprès d’autres groupes prêts à passer à l’action ? L'un d'eux, Massaad Abdelrahim Charif, vient juste d'être repris par les forces du Caire, dans le Sinaï, le 17 août.

 

Les armes n’ont jamais cessé de passer par les tunnels sous le gruyère égyptien, avant que son armée ne commence à réagir, sans savoir précisément ce que serait l’étape suivante.

 

Le leadership israélien est face à un dilemme et des constats dont il n’a pas encore mesuré toute la profondeur. Khaled Meshaal souhaite transférer ses quartiers généraux de Damas au Caire. Autant dire qu’il s’agit d’ouvrir un centre de commandement d’une guerre anti-israélienne sans fin, appuyée par le poids politique des Frères Musulmans. La junte militaire est-elle disposée à faire front, face à des foules qui risquent de se retourner contre elle, par soupçon de collaboration avec « l’ennemi sioniste » ?

 

On comprend qu’en désignant Gaza comme la plaque tournante, ce qui est loin d’être faux, Ehud Barak et Binyamin Netanyahou tentent de minimiser les risques : ils circonscrivent, dans un premier temps, la menace à un ennemi déjà connu. Si les frappes sont « trop peu nombreuses », rien ne changera. Au contraire, on peut s’attendre à ce que ça n’aille qu’en empirant. Si elles sont massives, il y aura, comme toujours, focalisation médiatique et dénonciation de l’oppression qu’exercerait Israël en représailles. L’Etat hébreu offrirait alors un dérivatif aux réformes qui piétinent dans le monde arabe et en Egypte. L'offensive nécessaire risque d'offrir une couverture médiatisée, largement relayée par les rédactions orientées, après des décennies de réflexes pavloviens. Elle ne doit pas constituer un écran de fumée aux massacres indistincts que commet Assad contre son propre peuple. Le Hamas aura beau jeu de dénoncer toute « négociation » et même la déclaration unilatérale d’Abbas comme un simple simulacre, sans commune mesure avec la lutte qui, selon lui, devrait être menée, « au nom du peuple palestinien ». Il tentera alors de fédérer, de façon inespérée, mais sans trop de mal, toutes les forces antisionistes que compte la planète. Pour le Jihad, c’est maintenant ou jamais qu’il faut saisir l'opportunité de détourner l’attention des révolutions et reprendre Israël en ligne de mire. La réplique réfléchie doit être à la mesure de ce « coup de théâtre » calculé dans le ciel obscur du « Printemps arabe ».

 

Israël n’a d’autre choix, pour sa propre survie, que de faire comprendre au monde qu’il est hors de question de cohabiter avec des entités qui couvent de tels desseins de destruction massive. Des efforts de coordination minimale, malgré un contexte politique défavorable, doivent être entrepris, au niveau régional. L'Egypte instable est de la partie. Ces mises au point  désigneront clairement l’ennemi commun, dans ses branches armées autant que ses façades politiques, tels que les Frères Musulmans, pères du Hamas et du Jihad Global d’Al Qaeda. Bien évidemment, Israël ne sera, d'abord, ni suivi ni soutenu dans sa résolution. Comme chaque fois, il fera, et comprendra qui veut l'étendue de la tâche qu'il reste à accomplir en vue d'une région authentiquement pacifiée. 

 

L’attentat multiple d’Eilat porte plusieurs signatures et un seul sceau. L’islam radical, sous toutes ses formes et appellations, est entré en guerre contre les démocraties et les aspirations, encore embryonnaires, à la liberté des peuples. Il ne peut y avoir de demi-mesure face à un ennemi rusé, mais totalement déterminé à éradiquer le monde libre. Les détails précis, les méthodes, le "comment" peuvent être discutés, affinés. Mais l'objectif et la détermination pour y parvenir sont inamovibles. Il ne peut y avoir de bon ou de mauvais moment pour le combattre sans rémission, jusqu’à écraser la tête de l’hydre, dans ses ultimes terminaisons nerveuses : au Caire, à Damas, Beyrouth ou Téhéran. Il ne saurait y avoir de repos ni de paix, encore moins de nouvel état dans la région, tant que cet objectif de vaincre la barbarie islamiste, chi’ite ou sunnite, partenaires de bains de sang en séries, n’est pas atteint.

 

 

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18 août 2011 4 18 /08 /août /2011 21:41

 

Israël sous tension en vue de frappes sur Gaza, après l’attentat multiple palestinien 


DEBKAfile Reportage spécial 18 août 2011, 6:09 PM (GMT+02:00)

Par Marc Brzustowski

Pour © 2011 lessakele et © 2011 aschkel.info

 

http://www.debka.com/article/21217/

Tags:  Palestinian terror     Gaza    Israel    Egypt    Eilat    Al Qaeda 

 

 

Bus israélien pris pour cible sur la principale autoroute vers Eilat

 

Jeudi 18 août, Israël connu son premier avant-goût d’opération terroriste coordonnée à la façon d’Al Qaeda, modelée sur des atrocités devenues banales en Afghanistan et en Irak. Les services de renseignement israéliens, l’armée (Tsahal) et la Police ont été pris par surprise, par l’échelle et l’habileté de l’organisation des attaques multiples, qui se sont déroulées près d’Eilat, sur l’autoroute couvrant le sud et parallèle à la frontière égyptienne. Elles ont été menées par des hommes armés des Comités populaires de la résistance et des organisations palestiniennes liées à Al Qaeda, basées à Gaza.

 

Sept (14 aux dernières informations) Israéliens ont été tués, dont deux femmes, et environ 40 blessés Durant les attaques à l’arme à feu, contre deux bus et d’autres véhicules, et par l’explosion d’un dispositif dissimulé sur la route contre un véhicule militaire.

 

Les sources militaires de Debkafile estiment que des experts du Hezbollah chi’ite semblent avoir aidé les terroristes à mettre sur pied leur opération complexe.


Au début de la soirée, le Premier Ministre Binyamin Netanyahou a déclaré que la réponse d’Israël serait « proportionnée à la brèche faite dans sa souveraineté ». Le Ministre de la Défense, Ehud Barak a ajouté : « Les sources de la terreur sont à Gaza ». Il n’a pas spécifié s’il savait si les hommes armés avaient rejoint le théâtre de l’attaque depuis Gaza ou ailleurs.

 

 

Un porte-parole du Hamas a menacé Israël de sévères représailles si Gaza était attaqué. Les installations terroristes du Hamas et d’autres organisations ont été évacuées selon divers rapports et les rampes de lancement de Qassam et Grad déployées et prêtes à tirer.

 

Tsahal estime que le nombre d’attaquants comptant au moins vingt hommes, qu’ils sont venus de la Bande de Gaza et pris position près de la frontière du Sinaï avec Israël, pour attendre le signal d’aller de l’avant. [ ils se seraient, en fait, infiltré par en-dessous un poste égyptien, sur la frontière, par un endroit que les renseignements ne soupçonnaient pas qu’une attaque puisse survenir. Le Shin Bet reconnaît avoir eu vent d’une infiltration imminente, mais qu’il pensait que l’attaque aurait lieu durant la nuit, non en plein jour]

 

 

Le Ministre de la Défense, le Chef d’Etat-Major, le Lieutenant-Général Benny Ganz et le chef du renseignement militaire le Général-Major Aviv Kochavi sont très largement blâmés pour n’avoir pas réussi à mettre sur pied des précautions visant à protéger le Sud, alors qu’ils avaient été prévenus bien à l’avance que l’armée égyptienne était sur le point de se lancer dans des opérations anti-terroristes de grande envergure dans le Sinaï. Des sources au Ministère de la Défense ont admis qu’ils avaient reçu des signes avant-coureurs au sujet d’une attaque terroriste. Il ne dépendait que d’eux de prendre en compte que l’opération Aigle dans le Sinaï égyptien pouvait être exploitée par les terroristes palestiniens ou/et Al Qaeda pour en faire porter les conséquences sur Israël. L’Egypte est susceptible de suspendre sa campagne si Israël réplique contre Gaza.

 

Des responsables américains et israéliens du renseignement rapportaient mercredi soir, 17 août, qu’ils aidaient l’opération égyptienne dans le Sinaï en tenant informé son commandant des mouvements palestiniens et d’Al Qaeda dans le Sinaï.

 

 

Cependant, à peine 12 heures plus tard, l’Amérique, qui maintient un réseau d’équipes de surveillance et des postes d’observation à travers le Sinaï, aussi bien que le renseignement israélien, faisaient tous deux la démonstration de leur perte d’information en temps réel sur les activités terroristes dans la Péninsule.

 

Un attentat complexe, multifocal d’au moins 20 hommes utilisant des armes automatiques, des RPG, des mortiers et des artificiers de dispositifs explosifs déposés sur les routes ne peut pas avoir été une opération improvisée. Elle entraîne une planification de longue haleine. Ses participants ont dû recevoir des instructions détaillées et été emmenés sur les sites des attentats pour se familiariser avec la scène de l’opération.

 

Leurs espions ont dû passer des semaines à observer le trafic des véhicules militaires et civils sur l’autoroute, et sélectionné méticuleusement les cibles. 

 

 

Cependant, aucune de ces activités na éveillé les soupçons. La grande question, c’est comment les hommes armés ont-ils réussi à circuler tout le long des principales routes menant à Eilat sans être détectés. Ont-ils traversé la frontière depuis le Sinaï en voiture sans éveiller l’attention de l’armée israélienne ni de la police des frontières ? Ou leurs complices ont-ils été à leur rencontre avec des véhicules mis à leur disposition du côté israélien ?

 

 

L’attentat lui-même a été méticuleusement conçu pour se poursuivre sur différentes scènes successives.

 

 

D’abord, une cellule de trois hommes a ouvert le feu sur un Bus Egged, sonnant le branle-bas pour les soldats d’Eilat.

 

Une unité israélienne tentant de rejoindre le théâtre de l’opération s’est lancée tout droit sur les explosifs improvisés dissimulés par avance le long de la route. L’explosion a tué ou blessé ses passagers.

 

Après quoi, plusieurs missiles anti-tank, probablement des RPG, a déclenché le feu sur un second bus et touché une voiture civile, tuant 4 personnes.

 

Pendant ce temps, une unité spéciale de la police est parvenue à localiser l’équipe des trois hommes qui ont attaqué le premier bus et les a tué durant un échange de tirs. Deux de ces corps ont été découverts détenant des dispositifs pour déclencher les explosions. Quatre de plus ont été tués au cours de la chasse à l’homme qui s’en est suivi.

 

 

Tsahal a fermé l’accès au trafic de toutes les routes du Sud pour ratisser la région et localiser les terroristes et explosifs perdus de vue.

 

 

Les habitants d’une ville aussi éloignée dans le sud qu’Eilat, la plus importante ville portuaire d’Israël, dans cette région, sont totalement suspendus à l’opération anti-terroriste de Tsahal qui doit venir.

 


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18 août 2011 4 18 /08 /août /2011 17:08
Jeudi 18 août 2011

http://www.europe-israel.org

Grand rassemblement devant l’Ambassade d’Israël dimanche 28 août à 17 H

 

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Europe Israël, la Fraternité Judéo-Noire, la LDJ appellent à un grand rassemblement devant l'Ambassade d'Israël dimanche 28 août à 17 heures, pour protester contre les attentats terroristes ignobles qui ont frappé Israël le jeudi 18 août.

Nous manifesterons notre indignation tous ensembles et appelons tous les citoyens épris de liberté et de démocratie à se joindre à nous pour dénoncer les actes terroristes.

Merci de diffuser cet appel le plus largement possible

 

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18 août 2011 4 18 /08 /août /2011 14:11

Injured being evacuated from attack site (Photo: Herzl Yosef)

 

Au moins 14 israéliens tués, 25 blessés, dont des cas graves, lors d’un attentat multiple près d’Eilat


DEBKAfile Reportage spécial 18 août  2011, 12:46 PM (GMT+02:00)

Tags:  Terror     Eilat    Al Qaeda    Sinai Bedouin    Egypt 

http://www.debka.com/article/21215/

 

 

Bus israélien attaqué près d’Eilat

 

Israël est entré en état d’alerte maximale après une suite d’attentats terroristes qui se poursuivent près de la frontière israélo-égyptienne, au nord d’Eilat, jeudi 18 août, laissant des dizaines de victimes militaires et civiles, dont 7 tués israéliens [dont une famille de 5 et 2 soldats, bilan qui risque d'être plus élevé], plusieurs proches de la mort et cinq soldats en état critique. 25 blessés ont été admis à l’Hôpital Josephtal d’Eilat et bien plus sont sur le chemin. Les assaillants, qui pourraient avoir pénétré depuis le Sinaï ont utilisé des armes automatiques, des roquettes anti-tanks, des mortiers et des engins explosifs le long des routes dans des attentats séparés contre deux bus et des véhicules civils et militaires sur l’autoroute 12, près de la frontière égyptienne du Sinaï.

 

 

Deux des trois terroristes qui ont attaqué les bus ont été tués dans des échanges de tirs avec les forces de la police israélienne. Toutes les autoroutes vers Eilat sont fermées au trafic.

 

Debka a rapporté, plus tôt, que : des forces spéciales de la police ont localisé les hommes armés qui ont pris des bus israéliens pour cible, au nord d’Eilat, la ville et le port les plus importants du Sud d’Israël et sont engagés dans des combats à l’arme à feu.

 

Ces tueurs armés ont d’abord attaqué un bus israélien Egged, au nord d’Eilat, blessant au moins six passagers, jeudi matin. Le bus 392, transportant essentiellement des soldats au départ de Beersheva vers Eilat, s’est retrouvé sous le feu nourri d’armes automatiques, sur l’autoroute 12, alors qu’il passait le check-point de Netafim, sur la frontière israélo-égyptienne du Sinaï. Les attaquants ont sauté d’un véhicule privé qui circulait depuis l’arrière du bus. Le second bus et d’autres véhicules passant ont été attaqués à l’aide de roquettes anti-tank. Un véhicule de l’armée s’est alors embrasé en roulant sur un engin explosif dissimulé le long de la route et un autre s’est retrouvé sous la mitraille.

 

 

Selon des sources militaires de Debkafile : cette semaine, l’armée égyptienne a lancé une opération majeure anti-terroriste contre les Islamistes terrorisant la Péninsule et ses territoires frontaliers. L’attentat terroriste multiple en Israël pourrait être lié à des représailles contre cette offensive égyptienne.

 

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16 août 2011 2 16 /08 /août /2011 14:03

Explosion d'une voiture-piégée à Chiyyah (fief du Hezbollah), d'après une dépêche de NNA. 

August 16 août 2011
 

L'Agence de Presse Nationale (Liban) a rapporté, mardi matin, qu'une explosion s'est faite entendre, à 3h du matin dans la banlieue de Chiyyah, rue Muawwad, située dans la périphérie de Daniyeh, au Sud de Beyrouth (le Fief des quartiers-généraux du Hezbollah). 

 

La dépêche ajoute qu'à la suite de l'explosion, "des militants appartenants à "l'un des partis de la région" ( : le Hezbollah) ont rapidement mis en place un cordon sécuritaire étanche dans la zone de l'explosion". 

Selon cette information biaisée de la NNA, l'explosion serait due à "un moteur de voiture (une Mercedes-Benz) qui aurait explosé", suite à quoi la voiture aurait pris feu. Il n'est cependant fait mention d'aucun blessé... 

 

C'est toutes les semaines la fête à Dahiyeh... spécialement depuis qu'Assad est dans le rouge.

Par Gad 
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16 août 2011 2 16 /08 /août /2011 13:30

 L'équivalent d'une guerre afghane dans le Sinaï? Ou la compromission de l'actuel pouvoir jusqu'à l'atteinte de l'objectif islamiste : le Califat de la Péninsule sinaïtique? 

 

 


DEBKAfile  Reportage exclusif 15, août  2011, 7:12 PM (GMT+02:00)

Par Marc Brzustowski

Pour © 2011 lessakele et © 2011 aschkel.info

 

Tags:  Egyptian mililtary     Sinai    Al Qaeda    gas pipeline    Gaza    Palestinians 

 

http://www.debka.com/article/21209/

 

 

Les troupes égyptiennes sont entrées en force dans le Sinaï

 

Les forces égyptiennes ont entamé une descente sur la Péninsule du Sinaï, dimanche 14 août, pour leur première opération de l’après-Moubarak, visant à en reprendre le contrôle tombé aux mains d’éléments hors-la-loi et terroristes, qui se sont insinués là, à la faveur de la Révolution égyptienne et sont responsables du sabotage du gazoduc égyptien vers Israël, la Jordanie et la Syrie.

 

Lundi, trois brigades de 1700 hommes de l’armée égyptienne, appuyés par des tanks, un nombre équivalent des policiers spécialisés et 3 400 membres du personnel de sécurité conduisaient leurs véhicules à travers les villes du Nord d’El Arish, Cheikh Zuweid et Rafah, qui est divisée entre l’Egypte et la Bande de Gaza. Au cours de leurs premiers affrontements avec les hommes armés de l’Armée de Libération Islamique, l’un d’entre eux a été tué et 11 capturés, dont 4 Palestiniens, selon le communiqué de l’armée égyptienne.

 

Les sources militaires de Debkafile ajoutent que trois officiers égyptiens ont été kidnappés durant les affrontements – et on ne sait pas s’ils ont été tués ou s’ils sont retenus en otages.

 

 

Depuis deux ans, les sources de l’anti-terrorisme de Debkafile ont fait des rapports constants sur la concentration bourgeonnante de cellules d’Al Qaeda et de ses affiliés dans le Sinaï et la Bande de Gaza contrôlée par le Hamas. Les 2 200 hommes de troupe égyptiens maintenus sur place, après le 14 février, afin d’assurer l’ordre et la garde du gazoduc égyptien de gaz naturel en direction d’Israël, de la Jordanie et de la Syrie, ont facilement été submergé. L’installation a été sabotée cinq fois et la fourniture demeure interrompue à cette heure.

 

 

Restaurer un semblant de légalité et d’ordre dans le Nord Sinaï sera la partie facile de la mission de l’armée égyptienne – pour laquelle le Caire a obtenu, par avance, l‘autorisation israélienne, découlant conformément à leur accord de paix.

 

La part vraiment difficile reste à venir, lorsque, dans les semaines à venir, les unités se dirigeront vers le Sud pour débusquer les envahisseurs islamistes, enterrés dans les montagnes du Sinaï central, vers lesquelles ils se sont retirés, la semaine dernière, après avoir mis au courant de l’opération de grande envergure que préparaient les forces égyptiennes.

.

 

Sur les petits chemins étroits et escarpés de montagne, la tâche des soldats sera interrompue en permanence, pour faire face à 2000 hommes puissamment armés et bien organisés des groupes islamistes.

 

 

Le Sinaï central interdit est formé de pics abrupts, allant de 1000 à 2642 mètres de hauteur, couvrant une surface de 21 000 kilomètres-carrés [presque l’équivalent du territoire d’Israël]. Le terrain comporte de profonds Wadis [lit de rivières asséchées], des arbustes denses, une eau naturelle abondante et des espèces animales variées servant de nourriture.

 

En évaluant la situation selon les critères de la guerre en Afghanistan, une force talibane de cette taille contrôlant une région qui fait deux fois la surface de la zone du bastion taliban du Nord Waziristân poserait un défi intenable, même à une armée à grande échelle, comme l’OTAN.

 

Les forces égyptiennes se sont battues plusieurs fois pour le contrôle de ces montagnes, mais ont toujours échoué, terminant leurs opérations par des accommodements de toutes sortes avec les 350 000 membres des tribus bédouines qui offrent un refuge aux Islamistes et partagent les bénéfices de leurs trafics clandestins. Les Tribus se sont toujours sorties de ces arrangements, puisqu’ils conservent la pleine maîtrise de la région.

 

Par conséquent, nos sources militaires s’attendent à ce que cette première vague de forces blindées égyptiennes dans le Sinaï soit suivie par de nouvelles – si jamais les dirigeants du Caire ont sérieusement l’intention de reconquérir la péninsule stratégique et de l’expurger de la présence d’Al Qaeda.

 

Il n’y a, selon nos experts militaires, aucun moyen que cela puisse être réalisé, sans l’appui d’un feu aérien nourri. Les planques terroristes devront être bombardées depuis le ciel et par des hélicoptères de combat, apportant une couverture aux unités blindées, le long des sentiers isolés du Sinaï ; des drones seront nécessaires pour recueillir des renseignements sur les mouvements de l’ennemi.

 

Le Caire devra faire appel à l’autorisation de Jérusalem pour déployer une puissance aérienne dans le Sinaï, pour la première fois depuis que le territoire a été démilitarisé, conformément aux accords de paix.

 

 

Les sources militaire de Debkafile rapportent que l’Armée de Libération islamique – qui a déclaré que son objectif est la conquête de tout le Sinaï et sa transformation en Califat musulman – est un agrégat de cinq groupes terroristes :

 

1. Des tribus bédouines indigènes qui ont des comptes à régler avec l’armée égyptienne ;

2. Des Palestiniens de la Bande de Gaza entraînés dans des sectes extrémistes salafistes qui font partie intégrante d’Al Qaeda.
3. Des centaines d’adhérents du Jihad Islamique égyptien et de la Jamaa al-Islamiya meurtrière, qui se sont évadés des prisons égyptiennes, le 29 janvier, au paroxysme de la révolution populaire qui a renversé Hosni Moubarak. Les anciens multirécidivistes ont tracé en ligne droite vers le Sinaï et constituent, aujourd’hui, le noyau dur opérationnel du mouvement.
4. Des disciples d’Al Qaeda, qui ont fait route vers le Sinaï, après des carrières violentes en Afghanistan et au Pakistan, à la fin des années 1990 et au début des années 2000.

5. Les adeptes de divers ordres soufis et derviches égyptiens.

 


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