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31 mars 2010 3 31 /03 /mars /2010 23:09


 

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JERUSALEM

par  Eli E. Hertz  

 

Adaptation française faite par HANNA  

Première partie ICI

Le domaine public depuis les 42 ans passés. Avec une population totale de presque 750 000 habitants aujourd'hui, séparer Jérusalem Est de Jérusalem Ouest est aussi réalisable et acceptable que celle de diviser Berlin en deux villes à nouveau ou séparer Harlem Est du reste de Manhattan.      
  
Les Arabes demandent une partie de Jérusalem, une ville juive selon toutes les définitions, ce qui prévaut à dire de leur part "ce qui est le mien est le mien", "ce qui est le vôtre est le mien"" voici comment les concepts palestiniens sous-tendent à mettre fin au conflit israélo-arabe. Ce concept est aussi exprimé dans la demande pour le 'Droit au Retour,’ (22) non seulement à Jérusalem - la capitale d'Israël-, mais à l'intérieur de la Ligne Verte’ également. 
Les Fantaisies arabes : Détruire l'Histoire       
  

Les Arabes nient la relation entre les Juifs et Jérusalem ; ils sabotent et détruisent l'évidence archéologique, même à l'endroit le plus saint du Judaïsme - le Mont de Temple.       
  
Les Arabes ont continuellement nié la légitimité de l'attachement des juifs à Jérusalem. Arafat et d'autres chefs arabes ont insisté sur le fait qu'il n'y ait jamais de temples juifs au Mont du Temple. Ils affirment aussi que le Mur Occidental est vraiment un lieu saint Islamique auquel les musulmans ont des droits (23). Les religieux Islamiques qui gèrent le Mont du Temple ont fait preuve d'un manque de respect flagrant et ont eu du mépris pour les preuves archéologiques concernant une présence juive.  
Entre 1999 et 2001, dans une décharge, les Israéliens ont retrouvé, 13 000 tonnes de ce que les musulmans du Waqf ont enlevé et ont jeté, correspondant aux décombres du Mont et son infrastructure, en incluant les restes archéologiques du premier ainsi que du deuxième Temple.       
  
Ces mépris flagrants pour l'héritage juif de Jérusalem - en particulier sur les lieux saints historiques du judaïsme - est une forme beaucoup plus insidieuse de l'intolérance islamique que celles mêmes qui ont motivée les talibans avant de démolir deux gigantesques statues de Bouddha creusées dans une falaise dans Afghanistan. (25)      
  
Les lieux Saints à Jérusalem       
  


Jérusalem, est au centre du conflit arabo-israélien. En fait, deux questions distinctes existent : La question de Jérusalem et la question des Lieux saints.       
  
Jérusalem, paraît-il, est au centre physique du conflit arabo-israélien. En fait, deux questions distinctes existent : La question de Jérusalem et la question des Lieux saints. Sir Elihu Lauterpacht, ancien juge ad hoc sur le banc de la Cour internationale de Justice est un savant réputé et respecté en droit international à l'Université de Cambridge, a dit : 
"Non seulement les deux problèmes distincts : ils sont également tout à fait distincts dans la nature d'un autre. Pour autant que les Lieux saints soient concernés, la question est pour la plupart, une partie d'assurer le respect des intérêts existants des trois religions et de fournir les garanties nécessaires pour la liberté d'accès, de culte, et l'administration religieuse. Les questions de cette nature ne représentent qu'un problème marginal entre Israël et ses voisins et leur solution ne doit pas compliquer les négociations de paix. 
 
"Pour autant que la ville de Jérusalem soit en cause, la question est d'établir une administration efficace sur la ville pouvant protéger les droits des différents éléments de sa population permanente - chrétiens, juifs et arabes - et d'en assurer la stabilité gouvernementale et sa sécurité physique, conditions essentielles pour la ville et ses lieux saints. (26)  
  
Internationalisation de Jérusalem       
  
Le Juge, Sir Elihu Lauterpacht a souligné au cours de son enquête sur les questions d'ordre juridique entourant le statut de Jérusalem et les Lieux saints que la notion d'internationalisation de Jérusalem ne faisait pas partie du mandat international d'origine :       
 
"Rien n'a été dit dans le Mandat sur l'internationalisation de Jérusalem. En effet, Jérusalem en tant que telle n'est pas mentionné, - bien que les lieux saints, soient en soi un fait d'importance maintenant. En 1922 il n'y avait aucune volonté d'identifier la question des lieux Saints à celui de l'internationalisation de Jérusalem. (27 ) 
 
Les dirigeants arabes, y compris les Palestiniens, ont cherché à justifier leur droit à Jérusalem en déformant le sens des résolutions des Nations Unies qui s'appliquent à la ville. La résolution 181 des Nations unies, par exemple, adoptée par l'Assemblée générale en 1947, ne donne qu'une recommandation concernant la transformation éventuelle de Jérusalem et ses environs  en tant que ville internationale, ou corpus separatum. Toutefois, les porte-parole arabes ignorent commodément le fait que la Résolution 181 ait été une recommandation non contraignante.  
Professeur Julius Stone, une des autorités les plus connus du 20e siècle en matière de jurisprudence en droit international, (2 a noté que la résolution 181 "n'avait pas d'effet obligatoire", car elle exigeait dès le départ, l'acceptation par toutes les parties concernées :  
 
"Alors que l'État d'Israël a pour sa part eu la volonté expresse de l'accepter, les autres États concernés l'ont rejeté et ont pris les armes illégalement contre Israël."       
  
Le Juge Lauterpacht a écrit, en 1968 à propos des conditions nouvelles qui ont suivi après 1948 à l'égard des pensées originelles de l'internationalisation de Jérusalem : "Les États arabes ont rejeté le plan de partition et la proposition de l'internationalisation de Jérusalem. 

-Les Etats arabes se sont opposés à l'application de la résolution de l'Assemblée générale. Ils ont cherché par la force des armes à chasser les habitants juifs de Jérusalem, pour parvenir à la seule occupation de la ville. 


- De ce fait, la Jordanie a obtenu le contrôle de la seule partie orientale de la ville, y compris la ville fortifiée. 

- Alors que la Jordanie a permis d'accéder librement aux lieux saints chrétiens, elle a rejeté aux Juifs tout accès à leurs lieux saints. (29) ; Ce fut une rupture fondamentale avec la tradition de liberté de culte religieux en Terre Sainte, qui avait évolué au fil des siècles. Cela a également été une violation flagrante de l'engagement pris par la Jordanie dans l'accord d'Armistice conclu avec Israël le 3 avril, 1949. 


L'article VIII du présent accord appelant à la création d'un comité spécial de représentants israéliens et jordaniens pour formuler des plans concertés pour certaines faits "qui, en tout cas, doivent inclure les éléments suivants, sur lesquels un accord de principe existe déjà...Tel, le libre accès aux lieux Saints ainsi que celui des institutions culturelles et l'utilisation du Cimetière du Mont des Oliviers ". 

- L'U.N. n'a affiché aucune inquiétude sur la discrimination ainsi pratiquée contre les personnes de confession juive. 


Aujourd'hui, Israël a réunifié Jérusalem et a fourni la liberté de culte pour toutes les religions. L'accès à tous les lieux Saints dans la ville y est assuré. Le juge, monsieur Elihu Lauterpracht le confirme.       
 
 Enfin, il convient de noter : Que si la résolution 181 était aujourd'hui en cours de validité (ce qui n'est pas le cas), alors ce serait la disposition de la partie III-D qui stipule qu'après 10 ans, le statut international de la ville pourrait être soumis à un référendum par tous les habitants de Jérusalem concernant un changement dans le statut de la ville - une décision qui, aujourd'hui comme par le passé, aurait été prises à la majorité de la ville.  
 
L'ONU et Jérusalem       
 
Que ce soit l'Assemblée Générale ou le Conseil de Sécurité, ils ont tous deux une influence limitée concernant l'avenir de Jérusalem.
 
Monsieur Lauterpacht a expliqué en 1968 :
 
"L'Assemblée Générale n'a aucun pouvoir à disposer de Jérusalem et n'a pas le droit d'édicter des règlements pour les Lieux saints. Le Conseil de sécurité, bien sûr, conserve ses pouvoirs en vertu du Chapitre VII de la Charte par rapport aux menaces à la paix, de rupture de la paix et d'acte d'agression, mais ces pouvoirs ne s'étendent pas à l'adoption d'une position générale concernant l'avenir de Jérusalem et les Lieux saints. "  
 
À l'origine, l'internationalisation de Jérusalem faisait partie d'une proposition beaucoup plus large et les Etats arabes l'ont rejeté - à la fois à l'ONU et sur le terrain "rejet souligné par l'invasion armée de la Palestine par les forces de l'Égypte, de l'Iraq, du Liban, de la Syrie ainsi que de l'Arabie Saoudite... visant à détruire Israël".  

Le résultat et les conséquences de l'agression arabe ont été très bien décrits par le Professeur et Juge Schwebel, ancien président de la Cour internationale de justice de La Haye :      
"Israël, en agissant de manière défensive en 1948 et 1967, d'une part et ses voisins arabes, en agissant agressivement en 1948 et 1967, d'autre part, a finalement abouti au fait qu'Israël a conqis des territoires sur  la Palestine, en incluant tout Jérusalem. "32 [l'italique par l'auteur]       
 
Les dirigeants arabes se réfèrent à la Résolution 242 des Nations unies en tant que base de leurs revendications sur Jérusalem.       
La résolution 242 a été adoptée après la guerre de 1967, suite à l'agression arabe fomentée par l'Egypte, la Jordanie et la Syrie, Israël a conquis des territoires de l'Egypte, la Jordanie et la Syrie. Toutefois, la résolution n'a jamais mentionné Jérusalem, la Résolution 242 des Nations unies n'appelle pas à un retrait total des territoires conquis, mais simplement un retrait sur des "frontières sûres et reconnues" qui doivent être négociées par les parties concernées. Les Palestiniens arabes ne font pas partis de la résolution.       
Arthur Goldberg, ancien ambassadeur américain à l'ONU (en 1967) qui a aidé à rédiger la résolution, a témoigné au sujet de l'omission de Jérusalem dans la Résolution 242 : 
"Je n'ai jamais décrit Jérusalem comme un territoire occupé. La Résolution 242 ne se réfère nullement à Jérusalem, et cette omission fut délibérée. " 

En conclusion du rôle l'ONU et la loi internationale peuvent jouer dans la détermination de l'avenir de Jérusalem, on peut citer à nouveau le Juge Lauterpacht :       
"(i) les mesures gouvernementales d'Israël par rapport à Jérusalem - tant Nouveau que Vieux - sont légaux et valides.       
(ii) Le futur règlement des Lieux Saints est une question qui doit être tout à fait déterminé séparément de l'administration politique de Jérusalem. L'internationalisation des territoires de Jérusalem est morte – et la possibilité d'une 'internationalisation de Jérusalem n'est pas fonctionnelle. En effet, la reconnaissance de l'intérêt universel des lieux saints situés à Jérusalem et l'adoption de liens entre Israël et la communauté internationale à donner une expression formelle à cet intérêt. "
La Terreur palestinienne dans la Ville de Paix       
 
Les Arabes palestiniens se sont concentrés la plupart du temps en fomentant des attaques terroristes contre des Juifs à Jérusalem, dans l'espoir de prendre la ville par un assaut de kamikazes rendant la vie dans la Cité de la Paix insupportable. Mais cela n'a jamais été une nouvelle tactique de leur part. La stratégie arabe de transformer Jérusalem en champ de bataille a commencé en 1920.       
 
Malheureusement, les dirigeants arabes se tournent souvent vers la violence pour obtenir ce qu'ils ont été incapables de réaliser à la table des négociations. Lorsque les négociations ont échoué à Camp David en 2000, les dirigeants palestiniens à appeler à l’Intifada sur l'esplanade de la Mosquée al-Aqsa, levant une guérilla contre Israël.      
 
Cela a commencé la veille de Rosh Hashanah, le Nouvel An juif, où la foule arabe a jeté des pierres au Mont du Temple sur des fidèles juifs priant au Mur occidental se trouvant en dessous. Cette attaque s'est transformée en une campagne soutenue d'attentats terroristes. Comme la poudre priming pour l'Intifada, les chefs palestiniens ont incité les Palestiniens et les musulmans partout dans le monde avec la fable suggérant faussement que les Juifs aient commencé un assaut sur al-Aqsa lors de la visite d'Ariel Sharon pendant une demi-heure au Mont du Temple (33). La vérité est que les plans des Palestiniens pour une Intifada avaient été élaborés immédiatement après qu'Arafat eut quitté les pourparlers de Camp David.  

 
Pourquoi les Palestiniens concentrent-ils des attaques terroristes sur la Ville de Paix ? Parce que les Palestiniens, en dépit de leur rhétorique, comprennent complètement la signification symbolique et spirituelle de Jérusalem pour les Juifs.       
 
Les attentats suicides - dans les bus publics, les cafés, les centres commerciaux et autres sites bondés au cœur de la ville - depuis les Accords d'Oslo 1993 sont conçues pour faire de la vie des Juifs de Jérusalem un enfer. Les atrocités comme en février et mars 1996 attentats à la bombe dans deux autobus # 18 qui ont tué 26 personnes et celui en 2001 d'un attentat août à la pizzeria Sbarro, 34 qui a tué 15 personnes (dont cinq membres d'une même famille), font partis des Batailles vieilles depuis 120 ans contre Jérusalem, batailles menées en opposition au sionisme par les Arabes.

En avril de 1920, une fureur de trois jours, lancée par des foules d'Arabes religieusement anti-sionistes a fait six morts et 200 blessés dans le Quartier juif. Les attaquants ont vidé des synagogues, yeshivot et ont saccagé des maisons. Les Arabes ont déposé des bombes à retardement dans des endroits publics, cela c'était déjà en février de 1947, ils avaient fait un attentat dans la rue Ben-Yehuda, la voie de communication principale de Jérusalem, faisant 50 morts.       
Cela s'est produit bien avant la déclaration de l'État d'Israël. Au cours des années 1950, les Jordaniens tiraient périodiquement sur les habitations juives depuis les murs de la Vieille Ville. Après que la ville a été réunifiée en 1967, les Arabes ont renouvelé leurs attentats dans la ville en plaçant des bombes dans les cinémas et les supermarchés.       
Le premier attentat terroriste qui a eu lieu en 1968, fut le bombardement du marché ouvert Yehuda de Jérusalem, faisant 12 morts. Les simples faits concernant le comportement des Palestiniens démontrent clairement qu'ils ont renoncé à toute revendication - historiques, religieuses ou politiques - sur la Cité de la Paix.       
 
 
____________________© 2009, Eli E. Hertz Jerusalem 1 2 




This document uses extensive links via the Internet. If you experience a broken link, please note the 5 digit number (xxxxx) at the end of the URL and use it as a Keyword in the Search Box atwww.MEfacts.com       
1 “Jerusalem: A Tale of One City” The New Republic, Nov. 14, 1994. (11362)       
Martin Gilbert is an Honorary Fellow of Merton College Oxford and the biographer of Winston Churchill. He is the author of the “Jerusalem: Illustrated History Atlas” (Vallentine Mitchell) and “Jerusalem: Rebirth of the City” (Viking-Penguin). www.mefacts.com/cache/html/wall-ruling_/11362.htm. (11362)       
2 Ibid.       
3 Ibid.       
4 Psalm 137:5 “If I forget you, Jerusalem , let my right hand”       
5 See Ken Spiro, “Jerusalem: Jewish and Moslem Claims to the Holy City,” at:www.aish.com/Israel/articles/Jerusalem_Jewish_and_Moslem_Claims_to_the_Holy…. (11341)       
6 “The eighty thousand Jews in Palestine, fully one-half are living within the walls, or in the twenty-three colonies just outside the walls, of Jerusalem. This number – forty thousand Jews in Jerusalem - is not an estimate carelessly made. …” Edwin S. Wallace, Former U.S. Consul “The Jews in Jerusalem” Cosmopolitan magazine (1898; original pages of article are in possession of the author).       
7 “JERUSALEM - Whose City?” at: http://christianactionforisrael.org/whosecity.html. (10744)       
8 “Dome of the Rock” at: www.sacredsites.com/1st30/domeof.html. (11342)       
9 See Ken Spiro, “Jerusalem: Jewish and Moslem Claims to the Holy City,” at:www.aish.com/Israel/articles/Jerusalem_Jewish_and_Moslem_Claims_to_the_Holy…. (11341)       
10 Daniel Pipes, “If I Forget Thee: Does Jerusalem Really Matter to Islam,” New Republic, April 28, 1997, at: www.danielpipes.org/article/281. (10746)       
11 See Ken Spiro, “Jerusalem: Jewish and Moslem Claims to the Holy City,” at:www.aish.com/Israel/articles/Jerusalem_Jewish_and_Moslem_Claims_to_the_Holy…. (11341)       
12 Daniel Pipes, “If I Forget Thee: Does Jerusalem Really Matter to Islam,” New Republic, April 28, 1997, www.danielpipes.org/article/281. (10746)       
13 Ibid.       
14 See Ken Spiro, “Jerusalem: Jewish and Moslem Claims to the Holy City,” at:http://www.aish.com/Israel/articles/Jerusalem_Jewish_and_Moslem_Claims_to_t…. (11341)       
15 Dore Gold, “Jerusalem in International Diplomacy,” Jerusalem Center for Public Affairs, atwww.jcpa.org/jcprg10.htm. (10747)       
16 “Jerusalem: A Tale of One City,” The New Republic, Nov. 14, 1994. (11362)       
Martin Gilbert is an Honorary Fellow of Merton College Oxford and the biographer of Winston Churchill. He is the author of the “Jerusalem: Illustrated History Atlas” (Vallentine Mitchell) and “Jerusalem: Rebirth of the City” (Viking-Penguin), at: www.mefacts.com/cache/html/wall-ruling_/11362.htm. (11340)       
17 Ibid.       
18 Ibid.       
19 Dore Gold, “Jerusalem in International Diplomacy.” See: www.jcpa.org/jcprg10.htm. (10747)       
20 For these and more statistics, see “Jerusalem: The City’s Development from a Historical Viewpoint,” at: www.mfa.gov.il/MFA/MFAArchive/1990_1999/1998/7/Jerusalem- The City-s Develo…. (10748)       
21 Rami Yizrael, “The Jewish Quarter in Old Jerusalem in the War of Independence” (in Hebrew), Jerusalem: Ben Zvi Institute at: http://ybz.org.il/?ArticleID=71. (11343)       
22 The Right of Return here refers to Arab demands that Israel allow all the Palestinians who fled in 1948 and left in 1967 – more than four million Arabs by their own estimates – to simply ‘overrun’ Israel demographically.       
23 According to Egyptian Minister of Waqfs (religious endowments) Mahmoud Hamdi Zakzouk: “Jews have no legitimate claim to Al-Buraq Wall,” April 28, 2001. The Western Wall, it is claimed, was the ‘hitching       
© 2009, Eli E. Hertz Jerusalem 1 3
post’ where the Prophet tied his winged steed in “The Night Journey” before ascending into heaven.www.arabicnews.com/ansub/Daily/Day/010428/2001042829.html. (11344)       
24 Mark Ami-El, “Destruction of the Temple Mount Antiquities,” August 2002, Jerusalem Center for Public Affairs, August 1, 2002, at: www.jcpa.org/jl/vp483.htm. (11567)       
25 Dore Gold, “Jerusalem in International Diplomacy.” (10747)       
26 Judge, Sir Elihu Lauterpacht “Jerusalem and the Holy Places,” The Anglo-Israel Association, October 1968. Lauterpracht was Judge ad hoc of the International Court of Justice. He also published Aspects of the Administration of International Justice (1991). He is the Director, Research Centre for International Law at Cambridge University, and Member, Arbitration Panel, World Bank Centre for the Settlement of Investment Disputes.       
27 Ibid.       
28 Professor Julius Stone, Israel and Palestine - Assault on the Law of Nations (Johns Hopkins University Press, 1981). This work represented a detailed analysis of the central principles of international law governing the issues raised by the Arab-Israel conflict. Professor Stone was recognized as one of the twentieth century's leading authorities on the Law of Nations and one of the world’s best-known authorities in both Jurisprudence and International Law. His 26 major works include the authoritative texts Legal Controls of International Conflict, Aggression and World Order, The International Court and World Crisis and The Province and Function of Law.       
29 All citizens of the State of Israel were denied access to the Holy Places under Jordan control.       
30 Draft resolutions attempted to brand Israel as aggressor and illegal occupier as a result of the 1967 Six-Day War were all defeated by the UN General Assembly and Security Council.       
A/L.519, 19 June 1967, submitted by: the Union of Soviet Socialist Republics “Israel, in gross violation of the Charter of the United Nations and the universally accepted principles of international law, has committed a premeditated and previously prepared aggression against the United Arab Republic, Syria and Jordan …” (emphasis added) at:http://domino.un.org/unispal.nsf/9a798adbf322aff38525617b006d88d7/2795fff6b…. (10919)       
A/L. 521, 26 June 1967, submitted by: Albania “Resolutely condemns the Government of Israel for its armed aggression against the United Arab Republic, the Syrian Arab Republic and Jordan, and for the continuance of the aggression by keeping under its occupation parts of the territory of these countries;” (emphasis added) at: www.mfa.gov.il/MFA/Foreign Relations/Israels Foreign Relations since 1947/1…. (10921)       
A/L. 522/REV.3*, 3 July 1967, submitted by: Afghanistan, Burundi, Cambodia, Ceylon, Congo (Brazzaville),Cyprus, Guinea, India, Indonesia, Malaysia, Mali, Pakistan, Senegal, Somalia, United Republic of Tanzania, Yugoslavia and Zambia. ”Calls upon Israel to withdraw immediately all its forces to the positions they held prior to 5 June 1967” at:http://domino.un.org/unispal.nsf/0/76bf6a75b8482d15052566c6006560d4?OpenDoc…. (10918)       
A/L.523/Rev.1, 4 July 1967, submitted by: Argentina, Barbados, Bolivia, Brazil, Chile, Colombia, Costa Rica, Dominican Republic, Ecuador, El Salvador, Guatemala, Guyana, Honduras, Jamaica, Mexico, Nicaragua, Panama, Paraguay, Trinidad and Tobago and Venezuela. “Israel to withdraw all its forces from all the territories (emphasis added) occupied by it as a result of the recent conflict;” at:http://domino.un.org/unispal.nsf/9a798adbf322aff38525617b006d88d7/510ef41fa…. (10920)       
31 Judge, Sir Elihu Lauterpracht, “Jerusalem and the Holy Places,” p. 11.       
32 Professor, Judge Schwebel. What Weight to Conquest? in “Justice in International Law”, Cambridge University Press, 1994.       
33 “What started the al-Aqsa Intifada in September 2000?” at:www.palestinefacts.org/pf_1991to_now_alaqsa_start.php. 10751)       
34 “Suicide bombing at the Sbarro pizzeria in Jerusalem, August 9, 2001,” at:www.mfa.gov.il/mfa/mfaarchive/2000_2009/2000/10/Suicide bombing at the Sbar…. (10752) 

 

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