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12 août 2011 5 12 /08 /août /2011 09:22

 

 

ONU/UNRWA - Retour de bâton cinglant pour le promoteur du Mythe des réfugiés arabes

 

Adapté par Aschkel - © 2011 www.aschkel.info

http://www.maannews.net/eng/ViewDetails.aspx?ID=412510

 

L'UNRWA a annoncé ce jeudi la suspension de ses coopérations à Djénine en Judée Samarie pour le camp de "Réfugiés" depuis vendredi dernier.

 

L'Unrwa au vu des "menaces contre ses employés et du personnel dans la zone" a qualifié de regrettable cette décision.

 

Selon le communiqué, cette suspension d'activités comprend aussi les services de secours et d'assistance. Un bureau d'assistance pour l'emploi va également fermer.

 

 

La fabrique à réfugiés de l'ONU, et du maintien de la situation des dits descendants des réfugiés a précisé qu'elle ne pouvait pas continuer à offrir ses services dans une atmosphère de "violences et de menaces" ajoutant que ses employés et ses installations étaient en danger .

 

Ceci n'est que le résultat d'avoir créer des générations de gens élevés et éduqués dans un  mythe combinant une culture qui fait l'éloge de la violence, et l'établissement d'un  assistanat forcé leur permettant de recevoir tout gratuitement.

 

Ces Services de secours et d'assistance durent depuis 63 ans, tout de même, dans un "camps de réfugiés" pour  lequel il a été reçu des millions de dollars par l'AP, de différents donateurs, un budget conséquent de l'ONU, qui n'ont servi qu'à entretenir un mythe, une bombe a retardement plutôt. Ces soit disant réfugiés éternels qui n'ont comme culture que la violence et l'assistant, dans un endroit supervisé par l'Autorité palestinienne, n'ont jamais été intégré dans la Société "arabo palestinienne" et servent d'arme contre Israël. 63 ans d'assistance inefficace.

 


Force est de constater que les Occidentaux ont souvent récompensé ce comportement.

 

C'est une des raisons pour laquelle la paix est impossible dans la région.
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6 août 2011 6 06 /08 /août /2011 19:41

Merci à Laly Deray

 

 

ONU - Tant et tant de résolutions anti-israélienne

Par Laly Deray

 

Lire aussi 

Israël doit-il craindre la déclaration unilatérale d'un état palestinien à l'ONU en septembre 2011? Par 'Haim OUIZEMANN

 

Une résolution onusienne pour presque rien, Victor Perez

 

 

 

(… ) Tout au long de l'histoire du pays, les Nations Unies ont maintes fois adopté des résolutions qui, a priori, auraient dû totalement bouleverser la donne du conflit israélo-arabe, mais qui n'ont, finalement, eu aucun impact sur la région. Un tour d'horizon extrait des recherches effectuées par le journaliste (Makor Rishon) Hagaï Segal, et qui devrait contribuer à envisager le mois de septembre avec davantage de sérénité : 

10 décembre 1949. Par une majorité de 38 États contre 14 ( et sept abstentions ), l'Assemblée générale des Nations Unies entérine la proposition australienne d'internationaliser Jérusalem. Le ministre des Affaires étrangères, Moché Charet, ne s’émeut pas. Dans une interview accordée à une radio américaine, il déclare : « Ce que nous allons faire face à ce vote n'a pas d'importance. Ce qui est important, c'est de savoir ce que l'ONU peut faire. Et franchement, je ne vois pas quelle force au monde pourrait empêcher Jérusalem d'être la capitale historique du peuple juif ». 

4 juillet 1967. 99 pays décident, lors d'une réunion d'urgence de l'Assemblée générale, que la réunification de Jérusalem sous la souveraineté israélienne est caduque. Le représentant israélien boycotte le vote, arguant qu'il s'agit là d'une décision qu'il n'appartient qu'à Israël de prendre et la résolution est adoptée à l'unanimité. Sans la moindre retombée pour le pays.

10 décembre 1969. Par 48 voix contre 22 et 47 abstentions, l’ONU adopte une résolution impliquant le retour des réfugiés palestiniens à leurs maisons et réitère les « droits du peuple palestinien sur sa terre ». Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères annonce qu’Israël « ne fait aucun cas de cette résolution ». 

4 novembre 1970. Par une majorité de 57 pays contre 16 et 39 abstentions, l’ONU décide à nouveau qu’Israël doit se retirer de tous les territoires qu’elle a conquis en 1967. (… )
24 novembre 1975. Par 72 voix contre 35 et 32 abstentions, l’Assemblée générale des Nations Unies adopte une résolution assimilant le sionisme au racisme. L’ambassadeur d’Israël à l’ONU, Haïm Herzog, déchire une copie de la résolution et affirme : « Pour nous, il ne s’agit que d’un morceau de papier ». Il déclare ensuite : « Hitler se serait senti ici chez lui ». 
(… )
24 novembre 1976. L’ONU présente un ultimatum à Israël : il doit se retirer de tous les territoires jusqu’au 4 juillet 1977 pour permettre la création d’un État palestinien en Judée-Samarie et à Gaza. Israël doit également accepter le « retour des réfugiés dans leurs maisons » ou tout au moins leur payer des dédommagements. Inutile de dire que le 4 juillet 1977 est depuis longtemps passé et qu’Israël n’a pas obtempéré et ne s’est pas retiré de « tous les territoires ». 

15 novembre 1980. Dans une série de résolutions toutes plus sévères envers Israël les unes que les autres, l’ONU condamne, comme d’habitude, « les activités expansionnistes d’Israël », mais surtout, rejette la résolution 242 et les accords de Camp David entre Israël et l’Égypte ! Pour couronner le tout, l’Assemblée générale menace à nouveau Israël de sanctions économiques. Des menaces qui ne seront jamais réalisées…


16 juillet 1997. Mis à part Israël, les États-Unis et la Micronésie, tous les pays membres de l’ONU condamnent la construction du nouveau quartier de Har ‘Homa, à Jérusalem, et exigent l’arrêt total de la construction au-delà de la ligne verte. Le premier ministre Binyamin Nétanyaou réagit en paraphrasant David Ben Gourion et déclare : « Oum Chmoum » ce qui signifie en gros « L’ONU ? Ce machin ? » 

5 novembre 2009. L’Assemblée générale décide de transmettre les conclusions du rapport Goldstone sur l’opération Plomb durci au Conseil de sécurité afin que celui-ci engage de sévères sanctions contre Israël. Pas de nouvelles depuis. 

En conclusion, si l’Assemblée générale de l’ONU entérine, en septembre, la création d’un État palestinien proclamé unilatéralement, il ne faudra donc pas y voir un gros changement, mais au contraire, un remake des dizaines de résolutions et condamnations qui ont parsemé les relations entre Israël et cette honorable institution. Concrètement sur le terrain, rien ne devrait changer au lendemain de cette proclamation. Dans un tel cas de figure, Israël n’a qu’à faire ce qu’il fait le mieux dans ce genre de situation : attendre que l’orage passe et poursuivre sa route.…

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6 août 2011 6 06 /08 /août /2011 19:31

 

 

Script de la vidéo ICI

 

Indécence et ignominie au sommet Durban III

Par  Guy Milliere 

mercredi 03 août 2011


Voici bientôt dix ans, les Nations Unies ont organisé une réunion internationale censée promouvoir la « lutte contre le racisme » sur la planète.
La réunion eut lieu à Durban, en Afrique du Sud. Elle se transforma en une tout autre chose. Tout le temps de parole ou presque fut consacré à clouer l’État d’Israël au pilori. L’im­mense majorité des discours fut clairement teintée d’un antisémitisme digne de celui du Troisième Reich.
On a peu parlé à l’époque du « sommet de Durban », car, à peine était-il achevé, que survenaient les attentats du onze septembre.

Trouvant qu’on avait trop peu parlé du « sommet de Durban », les Nations Unies ont organisé une deuxième réunion consacrée au même thème. Ce fut la « Durban Review Conference », qui se tint à Genève en 2009. Israël y fut, à nouveau, cloué au pilori et le déferlement de haine antisémite fut, à Genève, aussi virulent qu’à Durban.

Plusieurs pays choisirent de ne pas participer à ce « Durban II » : Israël, bien sûr, mais aussi les États-Unis, le Canada, l’Aus­tralie, l’Allemagne, l’Italie, les Pays-Bas, la Nouvelle-Zélande et la Pologne. La France, elle, participa. L’invité d’honneur à Genève fut un certain Mahmoud Ahmadinejad…

Dans quelques semaines, pour commémorer le dixième anniversaire de la réunion de Dur­ban, les Nations Unies repartent à l’attaque et organisent un troisième sommet.

Les Nations Unies auraient pu le faire coïncider avec l’anniversaire des attentats du onze septembre. La date choisie finalement a été le 21 septembre, et pas le 11. On ne sait si Mah­moud Ahmadinejad sera invité : il semblerait que l’ayatollah Khamenei ne le trouve plus assez radical et assez virulent dans sa haine des Juifs…

On peut se douter qu’Israël sera à nouveau cloué au pilori et que l’antisémitisme sera de la partie.
Pour l’heure, quelques pays ont dit qu’ils refusaient de participer à ce que les chroniqueurs appellent déjà Durban III : Israël, cela va de soi, le Canada, les États-Unis, l’Italie, la République Tchèque.

Il serait nauséabond que la France se prête à nouveau à ce type d’imposture. Il y a des limites à l’indécence et à l’ignominie. Il est inutile et totalement contre-productif de débattre avec des racistes sous prétexte de « lutter contre le racisme », en sachant qu’on n’a aucune chance d’être entendu et qu’on ne pourra pas même placer un mot. C’est même pire qu’inutile : cela équivaut à cautionner.

Mais, plus largement, c’est l’existence, le rôle et le statut des Nations Unies qui se trouvent une fois de plus sous le feu des projecteurs.
Les Nations Unies ont été fondées en un temps où les démocraties constituaient la majorité de leurs membres. Avec pour objectif premier de faire avancer les droits de l’homme sur la planète et de servir de lieu de règlement pacifique des conflits. Et pour objectif second d’endiguer l’Union Soviétique. Depuis la décolonisation, le nombre des pays membres s’est démultiplié, et les démocraties sont devenues minoritaires dans ce qui est désormais un club de dictateurs, de tyrans et de criminels de diverses obédiences.

Les Nations Unies coûtent très cher et ne servent à rien de positif ou de fécond. Au mieux, il en sort des Casques bleus qui comptent les cadavres ou servent de boucliers humains à des organisations terroristes, com­me au Sud-Liban. Au pire, en émanent des rapports falsifiés, de la désinformation ou des discours de propagande.

Comment peut-on accepter que le Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies ait pour membres des pays qui violent sans cesse les droits de l’homme, tels Cuba ou l’Arabie Saoudite ? Que doit-on penser du fait que le directeur général de l’AIEA (Agence générale de l’énergie atomique) ait été pendant douze années un Égyptien proche des Frères musulmans, Mohamed El Baradei ?
L’ONU ne dit en aucun cas le droit international. Ce n’est pas seulement à Durban III que les Occidentaux devraient refuser de participer, c’est aux Nations Unies elles-mêmes. Aux fins de refonder une assemblée de débats où ne pourraient être admis que les pays respectant un certain nombre de principes en matière de démocratie et de droits de l’homme. Autant laisser dictateurs, tyrans et criminels entre eux. Et pourquoi faudrait-il payer la facture de leurs bacchanales ?

 

les4verites

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5 août 2011 5 05 /08 /août /2011 12:41

 

 

 

Refugiés arabes - le mythe savamment entretenu

 

Pour en savoir plus sur les dits "réfugiés"

 

logo unwra

 

 

Source : Le P’tit Hebdo, Israel Ayom – De Nadav Shragay (Traduction : Karine Schwartz).

 

Les responsables sécuritaires prévoient une situation explosive en septembre, due aux attentes disproportionnées des Palestiniens. Lorsqu'ils verront leur espoir déçu, ce sera la troisième Intifada. Des événements, similaires à ceux qui se sont déroulés à la frontière nord, sont attendus, mais, cette fois, à l'intérieur d'Israël. Des milliers de Palestiniens tenteront, sans doute, de pénétrer en Israël.

 

Quatre experts renommés rapportent les circonstances qui ont conduit à la formation du problème des réfugiés palestiniens.

Le professeur Benny Morris est convaincu, que les Palestiniens trompent le monde entier, cherchant uniquement à reprendre Israël. Il déclare : « Israël a bien fait de refuser le retour des réfugiés en 1948. Elle savait déjà qu'ils formeraient une cinquième colonne, et qu'ils seraient majoritaires en Israël. L'argument démographique reste légitime dans de nombreuses communautés du monde. »

Morris pense que Olmert et Beilin ont commis une erreur, en acceptant symboliquement le droit au retour des réfugiés.

Stopper les émeutes

Le professeur Yoshua Porat, a déclaré : « Les Palestiniens n'abandonneront jamais leurs revendications, car c'est une arme efficace contre nous ».

Il affirme qu'Israël ne doit intégrer aucun réfugié ou descendant, au nom d'une « solution au problème palestinien »'. « Il faut stopper les émeutiers palestiniens, affirmer qu'il s'agit d'une population étrangère et hostile, et que nous ne souhaitons pas modifier le caractère national de notre pays ».

Le professeur Raphi Israëli, expert dans l'histoire de l'Islam et du Moyen-Orient, a immigré en Israël du Maroc, en 1950. Il a vécu, des années, dans un camp de transit. Israëli, lui-même ancien réfugié, compare la situation des réfugiés palestiniens à celle des réfugiés juifs : « Deux événements historiques, avec un nombre presque identique de réfugiés ; des milliers d'Arabes qui ont abandonné Israël, contre des milliers de Juifs qui ont quitté les pays arabes ». Il déclare, qu'à la différence des Arabes, nous nous sommes réintégrés en une décennie et demie.

Israëli revient sur l'article 20 de la Convention nationale palestinienne, jamais modifié ou abrogé. L'article soutient que les Juifs ne sont pas un peuple, et qu'ils ne peuvent prétendre à un pays. « Abou Mazen se base sur cet article pour refuser de reconnaître Israël en tant qu'Etat juif et revendiquer le droit au retour. Ils savent que si cela arrivait, il y a aurait une majorité d'Arabes, ce qui anéantirait Israël ».

Immigré ou réfugié ?

L'historien et professeur Yoav Gelber prétend que le récit des Palestiniens sur les réfugiés, souffre de graves lacunes. Il met en évidence la fausse identité de « réfugié palestinien » que s'est inventé le professeur Edouard Saïd, l'un des principaux idéologues des années 70 et 80. Il s'avère que Saïd a immigré au Caire avec sa famille à l'age de deux ans.

Il pense que cela reflète le sentiment de culpabilité, éprouvé par l'élite palestinienne, pour avoir abandonné son peuple dès le début de la guerre. « Le récit palestinien parle d'expulsion, mais cela est démentie par les preuves. Une grande partie des élites est partie du fait de la détérioration de la situation économique. Un autre groupe, composé de dizaines de milliers d'Arabes venus du Liban, de Syrie et d'Egypte, pour la plupart commerçants et professionnels, est reparti avant la guerre. Un autre groupe, qui avait immigré des villages vers la ville, est simplement retourné dans les villages. Enfin, un autre groupe bédouin, ayant établi son camp dans des régions juives, ou aux frontières, est reparti. Personne n'a été expulsé ».

Le professeur Gelber précise : « Au début de la guerre, 70 000 Arabes habitaient Haïfa, et en avril 1948, avant que la « Haganah » n'entre à Haïfa, il ne restaient que 37 000 arabes. La moitié de la population est partie avant même que les véritables combats ne débutent. La direction juive a supplié ceux qui restaient de ne pas partir, mais ils ont refusé ».

« La plupart des Arabes sont partis par peur de la guerre, influencés par les rapports de propagande arabe sur des massacres perpétrés par Tsahal et le Lehi ».

Selon Gelber, ceux qui se sont enfuis ont voulu légitimer leur fuite, en accusant d'autres personnes.

Benny Morris parle de deux mensonges inventés par la propagande palestinienne : « Premièrement, les Palestiniens omettent totalement de parler de la guerre civile entre les communautés palestinienne et juive, entre novembre 1947 et mai 1948, guerre initiée par les Palestiniens.

Le second mensonge porte sur le fait que le départ est la conséquence d'une expulsion organisée ».

Selon lui, se sont les « commissions locales et les commandants des différentes milices, qui ont encouragé les habitants des villages et des quartiers fortement peuplés, à évacuer les habitants ».

Les Palestiniens soutiennent que le fameux « Plan Dalet » de la Haganah, était à l'origine de l'expulsion des Arabes d'Israël. Morris explique : « Le plan Dalet avait pour objectif de sécuriser le pays, ses frontières et ses routes. Il devait empêcher l'ennemi de couper le Néguev de la Galilée, d'envahir la plaine côtière et d'isoler Tel Aviv, Haïfa et Jérusalem ».

« Le plan accordait, aux divisions armées, la liberté de conquérir les villages arabes, de les détruire en cas d'opposition, et de déplacer les habitants, mais pas de les expulser d'Israël. Il n'a jamais été question de politique d'expulsion des habitants arabes ».

Kenneth Bilbi, un écrivain américain, a écrit que « le départ des Arabes, du moins au début, a reçu le soutien de nombreux dirigeants arabes et du Comité supérieur arabe… Ils pensaient que les Arabes d'Israël fuiraient vers les pays voisins et qu'une fois l'invasion arabe terminée, les Arabes pourraient revenir chez eux et recevoir, en compensations, les biens des Juifs jetés à la mer »…

Tous pensaient que les armées arabes contrôleraient rapidement le pays.

Porat, Israëli, Gelber et Morris précisent que partout ailleurs des dizaines de millions de réfugiés ont été réintégrés ou transférés sans que personne n'en parle.

Ils nous conseillent de nous en souvenir quand leurs descendants se tiendront à nos frontières; selon eux, le droit au retour est suicidaire.

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5 août 2011 5 05 /08 /août /2011 12:28

 

 

Dossier Onu et Consorts

 

 

ONU - L'ordre du jour obsessionnel du perfide "Machin"

 

Adapté par Aschkel -  © 2011 www.aschkel.info

Source - elderofziyon

 

Vous pourrez trouvez  ICI  dans ce document onusien la liste préliminaire avec des annotations des questions à inclure dans le jour du jour provisoire de la 66ème session ordinaire de l'Assemblée générale, devant se réunir en Septembre.

 

C'est un document de 215 pages et couvre a peu près tout ce dont l'ONU envisage de discuter lors de la prochaine session.

 

Ce tableau ci-dessous montre combien de fois dans ce document les différents pays/entités sont traités.

 

 

L'ONU c'est un grand monde n'est-ce pas ? Et les problèmes du monde sont nombreux ! Notamment le risque de s'en prendre une sur la tête par l'Iran ou encore, les quelques centaines de milliers de personnes qui agonisent de faim dans la Corne de l'Afrique, ou encore, encore, ou encore……..

 

Tout est centralisé sur un tout petit, tout petit pays…..Devinez lequel ?

 

De gaulle appelait l'ONU le "Machin", je rajouterai le MACHIN PERVERS et OBSEDE

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31 juillet 2011 7 31 /07 /juillet /2011 10:40

 

 

 

Vidéo/DURBAN - Comprendre  le parti-pris de l'ONU contre Israël   

Invitation à protester contre la Convention de Durban 3 le 21 septembre à New York .

Traduction Dominique Kahtan - Soous-titrage Aschkel

© 2011 www.aschkel.info

 


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Le Comité de l'ONU pour les Droits de l'Homme (UNHRC) a transformé Israël– pays démocratique – en une incessante cible de condamnation tout en négligeant son mandat, celui de défier et contrer les régimes oppresseurs du globe.

le clip ci-dessous dévoile les facteurs à l'origine du parti-pris de l'ONU contre Israël. Nous vous invitons à voir ce clip, à le partager avec vos amis et à être des nôtres pour dénoncer  et combattre  l'hypocrisie, et rétablir la verité.

Venez nous rejoindre le 21 septembre 2011. Nous organisons une manifestation pro-Israël pour rappeler l'ONU à  l'ordre et lui demander de rendre compte de ses actes. Cette manifestation se déroulera au moment de l'inauguration de la Conférence d'Examen de  Durban III contre le Racisme. La démonstration se tiendra à 11 heures devant le Dag Hammarskjœld Plaza. Nous espérons vous y voir nombreux!

 

Pour plus d’information, se reporter au site internet :

  http://www.facebook.com/Boycott.Durban.III

 

Lire aussiLe Saviez-vous ? Qu'est ce que la Sionologie ?

>Les Tchèques, les Italiens les Hollandais se retirent de la farce onusienne honteuse et abjecte : Durban III

 

et le dossier 

 

Durban-III.jpg

 

Transcription

Quelle que soit votre opinion personnelle sur l'ONU, c'est le seul endroit au monde où les nations peuvent se réunir, se parler et s'entendre.

 

D'où l'importance de leurs résolutions. Ainsi il ne serait nullement étonnant qu'en constatant que 40% des résolutions adoptées par le  Conseil des Droits de l'Homme des l'ONU, dénoncent et condamnent Israël, le grand public en déduise que ce pays est un état voyou, dirigé par un dictateur génocidaire  qui n'hésite pas à massacrer son propre peuple. Ou qu'il a affaire à un tyran qui profère des menaces d'extermination sans fin  à l'encontre d'un autre pays.

 

Or, il se trouve qu'Israël, le pays qui a fait l'objet de plus de condamnations que tous les états oppresseurs réunis, est un pays démocratique, la seule vraie démocratie au Moyen-Orient.ISRAEL

 

On peut aussi comprendre que face à ce flot continu de résolutions anti-israéliennes, la communauté internationale, pour la plupart, considère Israël comme étant la cause majeure de tous les problèmes du monde.

 

Ces résolutions sont-elles vraiment justifiées? Que vous soyez d'accord ou pas sur la manière dont Israël fait face à ses multiples problèmes, il vous suffira de comparer le nombre de décés attribués à Israël, soit 46.000 morts  (victimes de guerre inclues) et le nombre de condamnations avec ceux attribués aux autres pays pour vous rendre compte qu'il s'agit bien ici de deux poids deux mesures.

 

Comment s'expliquer  cet énorme déséquilibre?

      Bref rappel historique :

 

Cuba en 1975 recherchait des alliés pour s'opposer aux USA, la puissance démocratique la plus importante, la reine de la cour de récréation internationale!

S'etant rendu compte que les Nations-Unies étaient controlées en grande partie par les super-puissances démocratiques, Cuba, avec d'autres nations communistes, trouva le moyen de rétablir l'équilibre sur l'aire de jeux.

 

En effet, au même moment, un nombre de pays musulmans étaient à la recherche de nouveaux moyens pour se liguer de plus belle contre Israël.

 

Les communistes réalisèrent alors qu'en faisant cause commune avec le clan  anti- Israël, ils formeraient un bloc de votes imbattable au sein de l'ONU.

 

Ainsi, chaque résolution votée contre Israël jetait aussi le discrédit sur les Etats-Unis,  les alliés d'Israël.

C'est ainsi qu'en 1975, le nouveau bloc de votes islamo-communiste lança et mena une campagne qui aboutit au vote de la résolution assimilant officiellement le sionisme au racisme.  

 

Le sionisme? oui le sionisme! le mouvement-même, qui essaie de trouver les moyens de protéger les Juifs contre le racisme, a été redéfini comme mouvement raciste ; ce qui équivaudrait à assimiler les Mouvement pour les Droits Civils à du racisme et à qualifier Martin Luther King de raciste.

C'est ainsi que de 1975 jusqu'à nos jours, les résolutions contre Israël ont été votées sans problèmes, à l'ONU, les unes aprés les autres.

 

Or maintenant, avec la Conférence  de Durban de l’ONU  sur le Racisme, ce bloc dispose  d'un nouveau moyen pour attaquer Israël, la cause, soit-disant, de tous les problèmes.

 

Durban a pour mission de trouver la vraie origine du racisme et lors de la conférence précédente, celle du 20 avril 2009, l'intervenant principal ne fut  autre qu'Ahmadinejad, le champion des Droits de l'Homme, autrement dit, l'individu qui a ouvertement appelé à la destruction d'Israël et a déclaré que le sionisme n'était pas seulement un mouvement raciste, mais était  aussi à l'origine du racisme mondial.

 

Or que nous a appris l'histoire ? que se passe t’il lorsqu'un groupe ethnique est accusé d'être la cause de tous les problèmes du monde?

 

Ce qui se passe à Durban est une vraie catastrophe, non seulement pour les juifs, mais aussi pour le globe. Et cette catastrophe va s'amplifiant, gagne en crédibilité grâce à Durban.

 

Ainsi, cette année, les représentants de plus de 140 pays vont débarquer dans la ville de New York pour participer à Durban III avec des intervenants qui se sont donné pour tâche de leur révéler la cause secrète du racisme juif mondial et de les convaincre de la véracité de leurs propos.

 

Sachons tirer les leçons de l'histoire; cette fois-ci, il nous faut agir avant que les fausses accusations puissent engendrer la violence. Nous ne pouvons ignorer le message. Nous nous devons de le réfuter. Et pour ce, nous avons besoin de votre soutien. Nous vous demandons donc, à vous, vos amis, vos familles, vos voisins et vos communautés religieuses de venir tous nous rejoindre à New York pour dénoncer cette menace, affronter ce mensonge, cette calomnie avant qu'ils puissent se répandre et influencer de nouveau plus de la moitié du globe.

 

Notre rassemblement aura lieu le 21 septembre 2011 à 11heures du matin au Dag Hammarskjoeld Plaza. Durban3NYC.

 

Dominique Kahtan pour © 2011 www.aschkel.info

 

Lire plus .....

 

Dossier Onu et Consorts

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29 juillet 2011 5 29 /07 /juillet /2011 05:34

 

Le Conseil de Sécurité de l’ONU débat du règlement du conflit israélo-arabe et de la reconnaissance d’un état indépendant de Palestine

 

Le Conseil de sécurité a examiné hier la situation au Moyen-Orient, y compris la question palestinienne, au cours d’un débat dont la trentaine de participants ont axé leurs commentaires sur la résolution du conflit israélo-arabe et la création d’un État palestinien. Les situations politiques en République arabe syrienne et au Liban ont également été évoquées. 

M. RON PROSOR (Israël) a affirmé que des tentatives ont lieu pour trouver un cadre permettant la relance du processus de paix entre Israéliens et Palestiniens, ces efforts devant être « consistants » et devant prendre en compte les intérêts vitaux des deux parties. Il a ensuite noté que « ceux qui défendent les intérêts des Palestiniens étaient toujours moins prompts à reconnaître à l’État d’Israël le droit d’exister à l’intérieur de frontières sûres ». « La sécurité et la reconnaissance d’Israël sont absolument essentielles pour assurer à notre État un avenir viable », a-t-il insisté, indiquant que depuis le retrait israélien de Gaza et du Sud-Liban, le Hamas et le Hezbollah avaient tiré pas moins de 12 000 roquettes en direction d’Israël.

« Pas besoin d’avoir inventer la poudre pour savoir que lorsque des roquettes s’abattent sur vos villes, vos écoles et vos citoyens, votre Gouvernement a le droit de se défendre », a ensuite déclaré M. Prosor. Le représentant a ainsi estimé que sans accords de sécurité clairs entre les parties, il ne peut y avoir de garantie que « les terroristes, leurs armes et leurs munitions n’entreront pas en Cisjordanie après l’éventuelle création d’un État palestinien, comme aujourd’hui les armes parviennent à Gaza ». Ron Prosor a estimé qu’une paix durable dans la région sera conditionnée par la démilitarisation de tout futur État palestinien, « où l’éducation à la paix devra remplacer l’enseignement de la haine, de la violence et du martyr ».

Le représentant israélien a ensuite reconnu les progrès réalisés par l’Autorité palestinienne en Cisjordanie sur les plans économique et de la sécurité, avant d’estimer qu’en dépit de ces avancées réelles « l’Autorité ne contrôle pas la totalité de son territoire et n’a pas le monopole de l’usage de la violence ». L’organisation « terroriste » du Hamas contrôle de facto Gaza, a-t-il estimé avant d’interpeller directement l’Observateur permanent de la Palestine. « Au nom de qui présenterez-vous une résolution en septembre prochain, au nom de M. Abbas ou au nom du Hamas ? », lui a-t-il demandé.

Mme ROSEMARY DICARLO (États-Unis) a rappelé que le Président des États-Unis, M. Barack Obama, a souligné les éléments sur lesquels devraient être basées les négociations palestino-israéliennes selon la vision qu’il a de la paix au Moyen-Orient. Elle a estimé que les questions concernant le statut permanent de la Palestine « ne peuvent être réglées qu’au cours de négociations entre les parties et non pas dans des enceintes internationales comme les Nations Unies ». Elle a mis l’accent sur l’importance de la reprise des négociations directes. Elle a appuyé le désir qu’a l’Autorité palestinienne de renforcer ses capacités, tout en appelant le Hamas à mettre fin aux actes de terreur. Le Hamas doit notamment libérer sans condition, Gilad Shalit, le soldat israélien détenu depuis plus de cinq ans, a-t-elle estimé.

La représentante a indiqué que les États-Unis « n’appuieront pas de campagnes unilatérales en septembre prochain », soulignant qu’un accord de paix n’est possible que s’il y a un accord entre les parties elles-mêmes. Elle a réitéré l’objectif de parvenir à deux États vivant côte à côte, en paix et en sécurité avec leurs voisins. Elle a appelé les parties à reprendre des mesures constructives, afin d’encourager le retour à la paix. Comme tout Gouvernement des États-Unis depuis des décennies, nous n’acceptons pas la légitimité des activités israéliennes de construction de colonies de peuplement, cette question devant être traitée comme les autres, a-t-elle dit. S’agissant de Gaza, elle a souligné les attentes légitimes qu’a Israël en matière de sécurité et a appelé la communauté internationale à fournir une assistance essentielle aux habitants de Gaza.

Passant à la Syrie, la représentante a estimé que le Président Assad ne pourra pas arrêter la « transition en cours » et indiqué que les États-Unis « soutiennent pleinement le peuple syrien ». Nous demandons au Gouvernement d’arrêter la violence et de respecter les droits de l’homme, en particulier la liberté d’expression. Le Conseil de sécurité a des responsabilités dans ce domaine, si la violence continue en Syrie, a-t-elle dit. S’agissant du Liban, elle a demandé au Gouvernement libanais d’appuyer l’action des tribunaux spéciaux créés sur des questions affectant le pays.

un.org

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26 juillet 2011 2 26 /07 /juillet /2011 15:02

 

 

 

 

 

La résolution 273

Victor Perez

 

Lire aussiONU - La résolution 242 : pomme de discorde Israélo-palestinienne Par le Dr Claude TENCER 

   

Les ‘’Palestiniens’’, par la voix de Saëb Arekat, affirment que la résolution 181de novembre 1947 fut celle qui reconnut l’état d’Israël comme membre à part entière de l’ONU.  

   

Cette assertion, comme beaucoup d’autres de leur part, ne tient pas la route après une petite vérification.

 

En effet ! Seule la résolution 273  (1) de Mai 1949 faisant office de loi a décidé d’admettre Israël au sein de l’Organisation internationale. Une décision qui fut prise par l’Assemblée générale suite au rapport du Conseil de sécuritérecommandant son admission et avisant que ce pays est un « état pacifique », «capable et disposé à remplir les obligations de la charte »,.

 

Outre que l’état de « Palestine » en devenir n’est en rien pacifique, ne serait-ce que par son refus de reconnaître Israël comme nation du peuple juif, larésolution 273 établit sans conteste le fait que celle souhaitée en septembre prochain n’aura aucune incidence juridique tant que le Conseil de Sécurité ne le recommandera pas. La seule finalité de celle-ci n’est autre que de faire monter la pression pour plier l’état juif aux conditions ‘’Palestiniennes’’ qui le conduiront peu à peu vers sa propre éradication.

 

Les pays, notamment européens, participant à cette farce seront comptables des malheurs à venir dans cette région.

 

Victor PEREZ ©

 

Liens :

 

(1) : http://www.un.org/french/documents/view_doc.asp?symbol=A/RES/273(III)&TYPE=&referer=http://www.un.org/french/documents/ga/res/3/fres3.shtml&Lang=F

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24 juillet 2011 7 24 /07 /juillet /2011 18:04

 

 

Durban-III.jpg

 

 

Les Tchèques, les Italiens les Hollandais se retirent de la farce onusienne honteuse et abjecte  : Durban III

 

Adapté par Aschkel -  © 2011 www.aschkel.info

http://www.weeklystandard.com/blogs/durban-circulates-draft-resoltuion_577321.html?nopager=1

 


Lire également

 Conférénce parallèle à Durban III, menée par UN Watch 

 FRANCE - NOTRE POLITIQUE ETRANGERE EST DANGEREUSE. - Gabriel Lévy 

 LA CONFERENCE «DURBAN 3» SOUS LE SIGNE DE LA RESOLUTION 3379 Par 'Haim OUIZEMANN 

 A l'ONU, par son vote d'abstention sur la conférence Durban 3, la France a coupé l'Europe en deux 

 La farce de DURBAN III The Jerusalem Post par Edith Brenner

 ENCOURAGEZ LES ETATS DE L’UNION EUROPÉENNE À DIRE NON À L’ORGANISATION PAR LES NATIONS UNIES DE DURBAN III

Le texte onusien ICI

 

Malka Marcovich : Je ne pense pas que Durban 1 ait fait couler beaucoup d’encre. Les attentats sur les tours jumelles se sont déroulées quatre jours aprés la fin de la conférence rendant d’autant plus difficile une prise de parole sur l’ensemble des événements. Dans le forum des ONG, on a assisté à une flambée de violence antisémite invraissemblable dans une conférence organisée sous l’égide de l’ONU. Distribution de Mein Kampf, des protocoles des sages de Sion, exposition antisémite, appel au meurtre des juifs dans un stade en délire à l’issu d’un discours de plusieurs heures de Fidel Castro.

Certains ont même été jusqu’à parler du « pogrom de Durban ». Sans l’intervention de la police sud-africaine lors d’une manifestation hors de l’enceinte du forum qui se dirigeait vers le club juif de Durban, il y aurait eu certainement des blessés, voir des morts. Certes la violence antisémite était la plus visible, mais il y a eu d’autres violences dont il a été tout simplement impossible de parler. Les femmes ont été mises à silence, et le caucus (regroupement) des ONG d’Europe de l’Ouest a été putché pour avoir voulu se démarquer du langage de haine et condamner l’adoption du texte final des ONG en dehors de toutes procédures démocratiques. 

.....Malka Marcovich : Mais les choses sont déjà aussi graves, plus diluées, confinées dans certains lieux. Je ne sais pas ce qui se passe dans les différents Forum Sociaux mais il me semble que l’esprit de Durban règne en maître. A l’ONU, la prose de Durban 1 en pire s’écrit tous les jours. On entend des diatribes de l’Organisation de la Conférence Islamique soutenue par Cuba, le Venezuela, la Chine et la Russie. L’ONU est devenue la machine de propagande totalitaire, un véritable rouleau compresseur, une machine à broyer les droits universels

malkamarcovich



La République Tchèque  la Hollande et l'Italie ont décidé de ne pas participer (comme les Etats-Unis, le Canada et Israël) à cette farce ignominieuse qu'est la tenue de la conférence onusienne de Durban III, organisée à New York le 22 Septembre, alors que les Américains commémoreront le 10ème du 11 septembre, l'ONU pour elle aussi commémorera le 10éme anniversaire de la première conférence "antiracisme" de Durban – Une effusion d'intolérance, de xénophobie et du pire des cynismes.

 

La décision de ces pays vient trois jours après que des négociateurs de l'ONU aient fait circuler un projet de déclaration finale qui sera adoptée à l'Issue de Durban III.

La déclaration politique se concentre en particulier sur la Déclaration de Durban en Afrique du Sud, d'où sont nom, qui fait du seul Etat au monde un agresseur raciste – c'est dire Israël, et les victimes du racisme -  les palestiniens.

Depuis des décennies ce mantra, cette formule de Durban est la pierre angulaire de l'effort visant à délégitimer l'Etat juif et de minimiser toute politique meurtrière qui ne le concerne pas.

Ces jours-ci ce groupe de travail siège à l'Assemblée générale des Nations-Unies et est chargé de réaffirmer le message méprisable de la Déclaration de Durban I sous un charabia parlant de "droits humains".

Les diplomates des différents pays peuvent lire que le projet actuel de la déclaration finale de Durban III doit "intégrer la mise en œuvre de la Déclaration de Durban, dans le système des droits humains des Nations-Unies" et demande une intensification des efforts au niveau local, national et international des moyens pour  une application pleine et effective de la dite déclaration.

De plus, L'organisation de la Conférence Islamique (constituée des pires violateurs des droits humains de la planète) a réussi à insérer une demande sur "la diversité culturelle, la solidarité et l'harmonie", une prescription typique de l'ONU pour étouffer toute réprobation, et éviter toute action notamment pour arrêter les bouchers syriens par exemple, et évidemment soustraire de toutes critiques les pays islamiques qui bafouent sans relâche les droits de l'homme.

Les 115 pays du mouvement des non-alignés ont également fait incorporer dans cette déclaration politique, une réclamation qui stipule que la pauvreté, le sous-développement et les disparités économiques sont étroitement liés au racisme et à la discrimination raciale.

C'est en quelque sorte une forme familière de chantage et d'extorsion qui commence par l'étiquetage des pays donateurs comme racistes.

 

La république Tchèque a décidé à juste titre qu'elle en avait assez de voir les états Occidentaux manipulés par les responsables du racisme venant du monde islamique et ce groupe de travail qui tient siège à l'ONU jusqu'au 28 Juillet

D'autres pays occidentaux cependant ont une attitude très différente tels la Norvège et la Suisse qui se font même les promoteurs du projet, prennent les devant dans toutes les manifestations de type Durban et tombent dans le verrouillage des priorités arabes et islamiques.

D'autres pays comme la Grande-Bretagne et la France couvrent le projet en empruntant une gymnastique verbale qui défie l'imagination.

Quels que soient les dispositifs rhétoriques qui sont ménagés derrière les porte closes, la ligne de fond demeure.

Durban III commémore un événement qui est entaché d'antisémitisme, d'intolérance et de cynisme. La décision de la République Tchèque, de la Hollande et de l'Italie est un appel au réveil pour les autres démocraties.

 

Dossier Onu et Consorts

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22 juillet 2011 5 22 /07 /juillet /2011 06:06

 

Dossier Onu et Consorts

 

 

bukova-et-Ashton.jpg

 

Chers Lecteurs,

 

Nous vous parlons souvent de L'ONU, trop souvent même malheureusement, cette organisation s'est fait un devoir de mettre Israël tout en haut de ses préoccupations pour chaque problème concernant le monde.

Une fixation malsaine, qui fait de l'organisme des Nations-Unies, le principal maître d'oeuvre de la déligitimation du seul état démocratique de la région.

Entre, le Conseil des droits de l'homme qui réunit les pires violateurs des droits de l'homme, les conférences de Durban contre le racisme, dont la seule cible est Israël, L'Unrwa, agence onusienne qui entretient le conflit proche-oriental depuis plus de 60 ans, l'Unesco, qui oeuvre depuis des années pour déposséder les juifs de leur patrimoine, les fameux rapports tels que celui de Goldstone.....

En Septembre c'est encore l'ONU qui au mépris des règles qui l'a régisse et du droit international, devra se prononcer au sein de son Assembkée générale (Acquise aux pourfendeurs de l'Etat Juif) sur la déclaration unilatérale d'un "Etat palestinien.".....

L'Unesco quand à elle oeuvre depuis des décennies a nier, déposséder, les juifs de leur histoire millénaire sur la Terre d'Israël, et ne ressent aucune gène à transferer le patrimoine juif à d'autres.

Nous avions découvert sur ce site il y a quelques mois que cet organisme avait fait de Maimonide, un des pilliers du Judaisme, un musulman.....

ALERTE - Un cas de falsification de l'histoire dans le rapport sur la science publié par l'UNESCO.........encore !

Une pétition avait été lancée en partenariat avec europe-israel à l'adresse de Mme Irina BUKOVA directrice de l'UNESCO, qui n'a pas daigné répondre

 

Aschkel

 

 

UNESCO - retour sur le "patrimoine" antisémite de l'organisation onusienne.

Par Gulio Meotti

http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-4097506,00.html

Adapté par Danilette

 

 

L'organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) a adopté une décision demandant à Israël de cesser immédiatement tous les travaux archéologiques dans la vieille ville de Jérusalem.

 

L'Unesco, l'un des organismes les plus importants et influents de l'ONU attaque particulièrement la rénovation du Pont des maghrébins qui relie l'esplanade du mur occidental [le mur des lamentations] et le Mont du temple.  

 

La décision, initiée et promue par les états arabes, a été adoptée par un consensus des membres occidentaux de la commission. En effet, ce vote est la dernière initiative antijuive lancée par le bureau de l’ONU, destinée à promouvoir la culture, l’'éducation et la science dans le monde entier. En fait, ces parrains voleurs de l'Unesco sanctifient la campagne mondiale actuelle visant à liquider la légitimité du régime israélien.  

 

En  2009, l 'Unesco a désigné Jérusalem comme « capitale de la culture arabe », en coordination avec les fonctionnaires de l'Autorité palestinienne et les personnalités arabes les plus importantes pour protester contre ce qu'ils décrivaient comme « l'occupation israélienne d’Al Qods,  la Sainte (Jérusalem) ». Les autres villes à avoir reçu ce titre précédemment sont Alger, Hamas, le Caire, Tunis, Amann, Beyrouth et Khartoum.  

   

Les arabes auront des difficultés à être convaincants quand ils décrivent Israël comme usurpateur tant que le monde croit au lien important entre le peuple de  la Bible  et la terre de  la Bible. L'UNESCO  nie ce lien et décrit l'histoire juive du Moyen-Orient comme rien de plus qu’un bref épisode insignifiant de colonisation arrogante.  

 

L'Unesco nie le fait que les racines du Peuple juif en Israël remontent à plus de 4000 ans, ou que 1000 ans avant Jésus-Christ, le roi David avait fait de Jérusalem la ville juive par excellence, qui n'a jamais été totalement abandonnée même dans les périodes de persécutions meurtrières.  

 

La cité de David à Jérusalem, une des principales cibles de la furie antijuive de l'Unesco, est maintenant le site archéologique le plus chaud du monde avec des découvertes de vestiges bibliques, d'anciennes sépultures et de sceaux royaux. Et c’est là que l'Unesco utilise l'archéologie pour frapper Israël et traiter les archéologues israéliens de chicaneurs nationalistes.  

 

Ces dernières années, l'UNESCO a accru sa collaboration avec l'ISESCO, l'organisme culturel de l'Organisation de   la Conférence  Islamique.  Selon la propagande de l'ISESCO, l'histoire biblique et les Temples juifs ne sont que fiction, les monuments juifs sont des trésors islamiques volés par les sionistes et les travaux archéologiques des Israéliens sont des actes criminels contre les Musulmans.

 

L'idéologie de l'Unesco dépeint les Juifs comme des envahisseurs colonisateurs tandis que les musulmans qui ont envahi le pays et l'on ravagé au VIIème siècle sont par un saut dans le temps inexplicable, les descendants de ceux qu'on nomme les « Cananéens autochtones ».

En 2010, l'Unesco a décidé que le tombeau de Rachel et le Caveau des Patriarches à Hébron sont des mosquées musulmanes. Les pays occidentaux n'ont pas bronché. L'Unesco n'a jamais mentionné qu'en plus du fameux Caveau des Patriarches bibliques, Hébron contient aussi le tombeau du premier Juge (Otniel Ben Kenaz), le tombeau des généraux et confidents de Saül et David et les tombeaux de Ruth,  l'arrière-grand-mère de David et de Jesse, le père de celui-ci. L'Unesco ne dit mot non plus du fait que le tombeau de Rachel est unanimement vénéré comme le lieu de sépulture d'une des grandes femmes de la Bible, la femme de Jacob, la matriarche juive bénie.

 

Pendant la deuxième intifada, l'Unesco a condamné Israël pour « la destruction et les dommages causés au patrimoine culturel dans les territoires palestiniens » en tant que « crime contre le patrimoine culturel commun de l'humanité ». Toutefois, l'Unesco est resté silencieuse quand une foule palestinienne a détruit le tombeau de Joseph, un important sanctuaire religieux juif, et quand une mosquée a été construite sur ce même site.

Dès le début de la deuxième intifada, des terroristes palestiniens ont attaqué également le tombeau de Rachel et pendant 41 jours les Juifs en ont été interdits d'accès. Il n'y a pas eu de condamnation de l'Unesco. Récemment, des dizaines de tombes du cimetière du Mont des Oliviers à Jérusalem ont été vandalisées, dans la dernière d'une longue série d'attaques sur le plus vieux cimetière juif ou des Juifs ont été enterrés depuis les temps bibliques. À nouveau, l'Unesco est resté silencieuse.

 

L'Unesco a également promu une longue liste de décisions pour boycotter et isoler l'État juif. Le 7 novembre 1974, l'Unesco a émis un vote excluant Israël de son assistance dans les domaines de l'éducation, de la science et de la culture en raison de l'altération persistante des caractéristiques historiques de Jérusalem ». Le 20 novembre 1974, l'Unesco a émis un vote excluant Israël de son groupe régional européen. Cet ostracisme antijuif n'a été abandonné qu'en 1978 après le gel par les États-Unis de leur versement de 40 millions à l'organisation, comme mesure de protestation.

 

La guerre de l'Unesco contre Israël et l'Occident a continué et a été si flagrante qu'en 1984, les États-Unis, la Grande-Bretagne et d'autres pays occidentaux ont quitté l'organisation. En 1989, l'Unesco a allégué que « l'occupation israélienne de Jérusalem était en train de détruire la ville sainte au moyen d'actes d'ingérence, de destruction et de transformation » (Tedi Kollek, le maire de Jérusalem de l'époque a exprimé « son profond dégoût pour l'attitude de l'Unesco »).

 

En 1990, l'Unesco a attaqué ce qu'elle décrit comme « des modifications irréversibles du patrimoine architectural de Jérusalem résultant de l'occupation israélienne ». Les apparatchiks de l'Unesco ont dénoncé la beauté perdue de la ville. En 1993, le Directeur général de l'Unesco, Frédéric Mayor a boycotté une conférence internationale de la science à Jérusalem en dépit de l'histoire brillante de progrès d'Israël, comme par exemple le plus grand nombre de publications scientifiques et de musées per capita dans le monde.

En 1996, l'Unesco a organisé un symposium sur Jérusalem au siège de l'organisation à Paris. Mais aucun groupe juif ou israélien n'a été invité. Quand, en 1998, une délégation de l'Unesco a visité Jérusalem, elle a refusé de rencontrer les responsables israéliens. Dans le passé, l'Unesco a également appelé à des sanctions financières contre Israël et passé des centaines de résolutions critiquant les activités d'Israël en Judée et Samarie.

 

En 2001, l'Unesco a promu le « document de la déclaration du Caire pour la préservation des antiquités de Jérusalem », qui accuse faussement Israël de détruire des antiquités islamiques sur le Mont du temple et dans la vieille ville de Jérusalem, dans une tentative pour détourner l'attention des crimes palestiniens contre l'archéologie et l'histoire. Lorsque les Nations Unies ont célébré son 50e anniversaire, l'Unesco a refusé de mentionner la Shoah dans sa résolution sur la deuxième Guerre Mondiale, ignorant volontairement la demande d'Israël d'inclure une référence à la destruction du judaïsme européen.

 

Dans une note finale d’un récent rapport de l'Unesco sur la science, le médecin et théologien juif Maïmonide est classé comme musulman sous le nom de "Moussa Ben Maimoun". Donc le Rambam (acronyme pour Rabbi Moshe Ben Maimon) a été contraint de se convertir à l'Islam par les historiens révisionnistes de l'ONU.

Pendant le Moyen Âge, l'inquisition française a confisqué et brûlé les livres de Maïmonide. Depuis les élégants boulevards parisiens, des inquisiteurs de l'Unesco sont donc en train de suivre la même voie terrible afin de rendre l'histoire et la Terre Sainte "judenrein".

 

 

Voici quelques autres articles

 

 

Pont des Maghrébins : L’UNESCO condamne sévèrement Israël

Que se passe-t-il à l’UNESCO ? - Lettre ouverte de Seta Papazian

 Lieux saints juifs transformés en mosquées - A.Palestinienne - Unesco, même combat

ALERTE - Un cas de falsification de l'histoire dans le rapport sur la science publié par l'UNESCO.........encore !

A l’attention de Madame Irina Bokova Directrice générale de l’UNESCO

Le tombeau de Rachel - lieu-saint juif et non une mosquée - Nadav Shragai

De l’UNESCO et ses majorités R. ROSSIN

Tombeau de Rachel - B.Netanyahou à Ban Ki Moon "N'effacez pas 4000 ans d'histoire et ne déformez pas des faits historiques simplement par intérêt "

Quand l’Unesco remonte le temps et change le passé sur 3000 ans??? Alain RUBIN

Tombeau de Rachel, colloque de philosophie à Téhéran : R.Prasquier du CRIF écrit a Irina

Bokova,la directrice générale de l’Unesco

Israël n'a pas rompu avec l'UNESCO, mais n'appliquera pas 5 de ses décrets.

Netanyahou attaque la décision de l’UNESCO

L'unesco déclare aussi Mosquée le tombeau des patriarches et le tombeau de Rachel-et le

Saint Sépulcre ?

La honte pour l'Unesco qui veut condamner Israel pour ses sites historiques.

L'OCI appelle l'UNESCO à enquêter sur l'annexion de sites "islamiques"

L'ONU veut faire annexer le tombeau des Patriarches et de Rachel par les Palestiniens

 

 


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