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16 novembre 2009 1 16 /11 /novembre /2009 16:01
Retrouvez les deux articles sur le calendrier hébraique
http://www.aschkel.info/article-32340534.html  
http://www.aschkel.info/article-32426915.html


Le meilleur spécialiste à mon avis dans ce domaine : Roger STIOUI >http://roger.stioui.free.fr/

L’essence de Roch ‘Hodech
L’être du paraître


Lorsque D.ieu fit le choix de Son monde, Il y instaura des débuts de mois et d’années. Lorsqu’Il fit le choix de Jacob et de ses enfants, Il y instaura des nouveaux mois de délivrance.

Midrache Chémot Rabbah 15:11

La signification de « Roch ‘Hodech »

Le sujet général du Roch ‘Hodech est le renouvellement (‘hodech vient de ‘hadach, « nouveau »), la renaissance de la Lune après qu’elle ait achevé de décroître jusqu’à disparaître totalement. Et, bien qu’elle n’apparaisse en cet instant que comme un point lumineux, elle inclut déjà potentiellement toute son évolution ultérieure, de même que la naissance de l’homme porte en elle toute sa vie. Cet instant est donc appelé roch, la « tête » du mois, car il est comme la tête qui inclut en elle tout le corps.

Or, la Torah compare le peuple juif à la Lune, et, comme celle-ci, il connaît un renouvellement à chaque Roch ‘Hodech. En effet, le Roch ‘Hodech est le moment où se révèle dans l’âme de chaque Juif l’étincelle de Machia’h qu’elle contient, le niveau de Yé’hida, qui est une parcelle de l’âme du Machia’h (dont l’âme est la Yé’hida collective du peuple juif).En imprégnant toute les facettes de la personnalité du Juif avec la profondeur de la Yé’hida, cette révélation engendre un renouveau de tout son être, à même d’entraîner la révélation et la venue du Machia’h.

Pourquoi seulement le début ?

Il faut néanmoins comprendre pourquoi c’est précisément la renaissance de la Lune qui évoque la Délivrance messianique et non le moment de la « pleine lune ». Nos Sages ont en effet enseigné que l’âge d’or de l’Histoire juive, au temps du roi Salomon et du premier Temple, fut comparable à la pleine lune : de la même façon qu’il faut quinze jours pour que la Lune soit pleine, il fallut quinze générations depuis Avraham notre père jusqu’à Salomon pour atteindre cette plénitude. Or, sachant que l’ère messianique sera marquée par une perfection encore plus poussée, il semble plus logique de la comparer à une situation de « pleine lune », quand celle-ci brille de toute sa lumière, plutôt que de « nouvelle lune », dans laquelle on commence à peine à en percevoir l’éclat.

Cette apparente incohérence nous mène à conclure qu’il existe une qualité, un avantage inhérent à la « nouvelle lune » qui ne se trouve pas dans la situation de « pleine lune ». C’est cette qualité qui se révélera au sein du peuple juif lors de la Délivrance messianique et c’est pourquoi celle-ci est précisément comparée à la « (re)naissance » de la Lune.

La prière d’un petit enfant

Pour comprendre la nature de cette qualité, il est utile de se pencher sur la notion de naissance et de renouveau telle qu’elle apparaît au sein du peuple juif lors de la naissance d’un enfant :

Du fait qu’il est proche de sa naissance, un petit enfant possède en effet une supériorité par rapport à une « grande personne ».

Un Juif adulte est conscient qu’il existe différents degrés chez le Créateur : D.ieu est appelé « Sage », « Tout-puissant », etc. Et même lorsqu’il envisage D.ieu tel qu’Il existe au-delà de toutes ces qualités, la grandeur de D.ieu réside à ses yeux dans le fait de dépasser lesdites qualités et se mesure donc à leur aune.

En revanche, l’enfant, qui ignore ces subtilités théologiques, prie D.ieu en toute simplicité. Il s’adresse tout simplement à « D.ieu Lui-même », dont il n’est pas nécessaire de préciser les « qualités ». Et pour cette raison l’enfant appelle D.ieu « Hachem », « le Nom ».

Cette différence est également illustrée dans la façon dont l’homme s’attache à D.ieu :

L’adulte, qui sait que D.ieu dépasse toutes les qualités, l’appréhende de façon « négative », en ressentant que la grandeur de D.ieu est de ne pas être limité par ces définitions. Son attachement à D.ieu passe donc par la négation de soi, de ses conceptions, etc ;

A l’inverse, pour l’enfant, c’est à travers la perception de soi qu’il est en contact avec D.ieu, car il Le ressent dans toute chose. D.ieu l’accompagne à chaque instant de son existence, dans son repas, dans ses activités, etc.

En d’autres termes, l’adulte s’attache à D.ieu à travers ses propres facultés révélées, son intelligence, sa sensibilité, etc. Et, même lorsqu’il s’élève jusqu’à se lier à D.ieu avec les parties les plus profondes de son être, sa force de volonté, de désir, jusqu’à sa yé’hida elle-même, cela demeure dans un projet de sortir de soi et de ses limites pour s’unir avec le Créateur.

Le petit enfant, lui, s’unit à D.ieu de par l’essence de son âme (qui est au-delà de tout nom – c’est-à-dire de toute définition – que l’on peut donner à l’âme, de toute « qualité » que l’on peut reconnaître à celle-ci).

Avant le « Modé ani »

Ces deux degrés de la relation avec D.ieu, celui de « l’adulte » comme celui de « l’enfant », se retrouvent dans la vie quotidienne de chaque Juif :

Le début de la journée d’un Juif, immédiatement dès son réveil, est marqué par la récitation du Modé ani, l’expression de reconnaissance à D.ieu pour la restitution de son âme. Dans cette phrase, on mentionne l’action de reconnaissance (le verbe « Modé ») avant de mentionner sa propre existence (le pronom personnel « ani » , « je »). Cette attitude d’effacement total de soi devant D.ieu est l’expression de l’essence de l’âme (au-delà du ressenti de celle-ci).

Or, cette révélation de l’essence de l’âme est liée avec le moment même du réveil. En effet, la récitation du Modé ani est en elle-même une démarche d’humilité, c’est-à-dire de sortie de soi. En revanche, l’instant même du réveil (lors duquel on est une « nouvelle créature », comme un enfant qui vient de naître) marque la révélation de l’essence de l’âme dans toute sa vérité. Il n’y a, en cet instant, rien d’autre que la révélation de son existence. Et comme l’essence de l’âme est une avec l’Essence Divine, il y a donc dans cet instant la révélation de l’Essence Divine telle qu’Elle se trouve en soi.

Et cette révélation de l’essence de son âme au réveil constitue la base sur laquelle le Juif va servir D.ieu tout au long de la journée : tout de suite en récitant le Modé ani, puis la prière disant « l’âme que Tu as mise en moi est pure, Tu l’as créée, Tu l’as formée, Tu me l’as insufflée » qui fait allusion aux quatre autres niveaux de l’âme, et ensuite son action au sein du monde matériel dans le cadre de sa profession, etc.

La lumière est seulement une conséquence

Nous pouvons maintenant comprendre pourquoi la Délivrance messianique est liée à la (re)naissance de la Lune plutôt qu’à la pleine lune :

La plénitude atteinte par la Lune le quinzième jour du mois ne concerne que sa lumière, alors que l’existence même de la Lune est révélée le jour du Roch ‘Hodech, lorsque, après avoir totalement disparu, elle surgit de nouveau. Par la suite, cette existence pénètre elle-même la lumière de la Lune.

C’est de cette même façon que se déroulera la Délivrance messianique : les Enfants d’Israël sont amenés à « se renouveler comme la Lune » lors de l’avènement messianique par la révélation de « l’essence de leur existence », l’essence de leur âme, qui imprégnera toutes les dimensions de la vie, jusqu’à révéler concrètement que l’âme et l’Essence Divine ne font qu’un.

Révéler l’essence de l’âme

Étant donné que la Délivrance résultera de nos actions en exil, il convient de s’y préparer en s’employant dès maintenant à la révélation de l’essence de son âme, telle qu’elle dépasse même le degré de Yé’hida :

En effet, au-delà de l’enseignement ‘hassidique connu selon lequel la Délivrance se fera par le fait que chaque Juif révélera l’étincelle du Machia’h qui est en lui (son niveau de Yé’hida), il faut ajouter et préciser que l’objectif essentiel est de révéler l’essence de son âme, l’essence d’Israël qui dépasse même la Yé’hida, ce qui constitue le véritable sujet du Machia’h.

Tel est le sens du verset « J’ai trouvé mon serviteur David, Je l’ai oint de Mon huile sainte » : « J’ai trouvé » fait référence à l’existence même du Machia’h et « Je l’ai oint de Mon huile sainte » enseigne que cela doit pénétrer toutes les dimensions, à l’instar de l’huile qui s’infiltre dans tous les matériaux.

Cela signifie que lorsqu’un Juif se réveille, avant même d’exprimer sayé’hida en se vouant entièrement au service de D.ieu, il ressent sa propre existence, c’est-à-dire l’essence de son âme. Et la prise de conscience de cela (son « réveil ») entraîne à sa suite tous les éléments du service de D.ieu qui jalonnent la journée, en les imprégnant de la révélation de l’essence de l’âme.

Tel est véritablement le sujet de la venue du Machia’h : la révélation effective de l’essence du peuple juif.

« Tous les jours de ta vie »

Telle est également le sens profond de l’injonction de la Michna, « Tous les jours de ta vie, pour amener les jours du Machia’h » : à chaque instant que l’homme est en vie et qu’il respire, il a le devoir de faire venir le Machia’h. Au-delà de toutes les actions qu’il entreprend en ce sens, l’essence même de son existence est de faire venir le Machia’h ! Et cela amènera « les jours du Machia’h », au pluriel, ce qui fait allusion aux deux périodes de l’ère messianique ainsi qu’aux innombrables élévations successives qui la caractériseront.

Ainsi, dès l’instant de son réveil, au moment de la révélation de l’essence de son âme, un Juif ressent dans sa première respiration consciente le sujet du Machia’h : il respire, si l’on peut dire, « l’air du Machia’h ». « L’air du Machia’h » représente l’existence même du Machia’h, la révélation de son existence en tant que Machia’h, qui est la première étape suite à laquelle commencera sa révélation aux yeux de tous à travers ses actions (« la lumière du Machia’h »).

Ainsi donc, le fait de révéler la nature profonde et divine de notre vie (« ta vie ») est ce qui amène aux « jours du Machia’h » – à la Délivrance concrète du monde entier – car ceux-ci sont inclus dans la révélation de son existence.

Adapté des discours du Rabbi du 28 ‘Hechvan,
Roch ‘Hodech Kislev et Chabbat (2 Kislev) Toldot 5752


Le Molad
Définitions et horaires

Au moment de bénir le nouveau mois à la synagogue le Chabbat qui précède Roch ‘Hodech, il est de coutume d’annoncer l’heure à laquelle se fera lemolad (la naissance de la nouvelle lune) à Jérusalem, afin de l’avoir à l’esprit en récitant la bénédiction.

Traditionnellement, cet horaire est annoncé en heures, minutes et ‘halakim, soit par exemple : « Le molad aura lieu dimanche soir à sept heures du soir, huit minutes et six ‘halakim. » Un ‘helek est un 1080èmed’heure, ou encore 3,33 secondes. Dans le tableau ci-après, nous avons inscrit le moment du molad en heures, minutes et secondes (par ex. : 7:08:23). Nous avons aussi noté le nombre de ‘halakim, pour l’annonce traditionnelle à la synagogue.

Tous les horaires indiqués sont ceux de Jérusalem. Ce sont ceux annoncés dans toutes les synagogues, où qu’elles se trouvent.

Pour plus d’information sur le molad, voir plus bas Qu’est-ce que le molad ?

Horaires du Molad pour 5770 (2009-2010)

Molad pour le mois de

Jour de la semaine

Date Civile

Date Hébraïque

Horaire

Tichri

Chabbat

 19 septembre 2009

1er Tichri 5770

10:47:23 (7'halakim)

'Heshvan

Dimanche

18 octobre 2009

Veille du 1er'Hechvan 5770

23:31:26 (8'halakim)

Kislev

Mardi

17 novembre 2009

30 'Hechvan 5770

12:15:30 (9'halakim)

Tevet

Jeudi

17 décembre 2009

30 Kislev 5770

00:59:33 (10'halakim)

Chevat

Vendredi

15 janvier 2010

29 Tevet 5770

13:43:36 (11'halakim)

Adar

Dimanche

14 février 2010

30 Chevat 5770

2:27:40 (12'halakim)

Nissan

Lundi

15 mars 2010

29 Adar 5770

15:11:43 (13'halakim)

Iyar

Mercredi

14 avril 2010

30 Nissan 5770

3:55:46 (14'halakim)

Sivan

Jeudi

13 mai 2010

29 Iyar 5770

16:39:49 (15'halakim)

Tamouz

Chabbat

12 juin 2010

30 Sivan 5770

5:23:53 (16'halakim)

Av

Dimanche

11 juillet 2010

29 Tamouz 5770

18:07:56 (17'halakim)

Eloul

Mardi

10 août 2010

30 Av 5770

6:52:00 AM

Qu’est-ce que le molad ?

Le calendrier juif est basé sur le cycle de la lune, chaque mois représentant un cycle, soit le temps qu’il faut à la lune pour faire le tour de la terre.

Le molad est le moment de la « naissance » de la lune. Il y a en effet un point de l’orbite de la lune auquel celle-ci est positionnée exactement entre le soleil et la terre, la rendant invisible à ceux qui se trouvent à la surface de la terre. Le molad intervient lorsque la lune s’est suffisamment éloignée de ce point pour qu’un mince croissant de sa surface éclairée devienne visible, ce qui marque le début d’un nouveau mois juif.

Le temps qu’il faut à la lune pour accomplir une révolution autour de la terre – calculé par les Sages du Talmud et confirmé par l’observation astronomique – est de 29 jours, 12 heures et 793 ‘halakim (il y a 1080‘halakim ou « parties » dans une heure, de sorte qu’un ‘helek équivaut à 3,33 secondes). Ceci représente la durée moyenne qui s’écoule entre unmolad et le suivant. Toutefois, le moment exact auquel la lune devient visible varie légèrement du molad moyen en fonction des positions de la terre, de la lune et du soleil les unes par rapport aux autres à chaque nouveau mois, de l’endroit de la terre où se tient l’observateur, de la durée du crépuscule propre à la saison de l’année et encore d’autres variables astronomiques.

Pour cette raison le calendrier juif est « ajusté » de sorte que Roch ‘Hodech, le premier jour du mois, soit aussi proche que possible du moment où la lune serait vue à Jérusalem si nous nous appuyions encore sur l’observation directe de la lune pour établir le début d’un nouveau mois (comme cela se faisait jusqu’au cinquième siècle de l’ère commune). En outre, dans la mesure où un mois doit être composé de jours entiers, la durée des mois juifs alterne entre 29 et 30 jours. C’est pourquoi il arrive souvent que Roch ‘Hodech tombe un jour ou plus après le molad moyen


Les lois de Roch 'Hodech Le début – la « tête » – du mois juif

• Il ne convient pas de jeûner le Roch ‘Hodech, même si on a l’intention de jeûner seulement quelques heures.

• Bien qu’il n’y ait pas d’obligation de prendre un repas en l’honneur de Roch ‘Hodech, il convient de s’efforcer de le faire, si possible avec du pain.

• Il ne convient pas de se couper les cheveux le Roch ‘Hodech, même s’il s’agit d’un vendredi et que l’on veut se couper les cheveux en l’honneur de Chabbat.

• Il faut également éviter de se couper les ongles le Roch ‘Hodech.

• Si un garçon atteint l’âge de trois ans le jour de Roch ‘Hodech, leOpshérénish (coupe de cheveux à l’âge de trois ans) devrait avoir lieu immédiatement à l’issue de Roch ‘Hodech et non le jour même.

Action de grâce après les repas – Birkat Hamazone

• Dans les Actions de grâce après les repas, nous ajoutons le passageYaalé véYavo – « Puisse s’élever... » dans la troisième bénédiction. Si l’on a oublié de dire le Yaalé véYavo et qu’on s’aperçoit de son erreur avant de dire le nom de D.ieu  à la fin de Ouvenei Yérouchalaïm – « Et reconstruit Jérusalem... », on peut encore dire le Yaalé véYavo. Si toutefois on a prononcé le nom de D.ieu, on termine cette bénédiction et on ajoute les mots suivants :

Translittération : Baroukh ata Ado-naï E-loheinou Melekh haolam chénatane rachei ‘hodachim lé’amo Yisrael lezikarone.

Traduction : Béni sois-Tu, Éternel notre D.ieu, Roi de l’univers, qui a donné des jours de Roch ‘Hodech à Son peuple Israël, pour le souvenir.

• Si on a déjà prononcé le premier mot de la quatrième bénédiction, on poursuit l’Action de grâce et on ne la recommence pas.

Les prières

• L’ordre de la prière le jour de Roch ‘Hodech est le suivant :

  • Prière normale jusqu’à la Amidah, (en omettant les passages que l’on ne dit pas les jours où le ta’hanoun n’est pas récité).
  • Amidah avec Yaalé veYavo
  • Demi Hallel, suivi de véAvraham zakène...
  • Cantique du jour (Chir chel yom), suivi du Psaume 104 (Barekhi nafchi). (Le premier jour de Roch ‘Hodech Eloul on ajoute le Psaume 27 : LéDavid Hachem ori.)
  • Lecture de la Torah : Nombres 28, 1-15. Quatre personnes sont appelées à « monter » à la Torah.
  • Achrei – Ouva leTsione Goel
  • On enlève les Téfilines de Rachi et on met les Téfilines de Rabbénou Tam.
  • Moussaf de Roch ‘Hodech (sans Téfilines)
  • Ein K’Elokeinou
  • Alénou
  • Pour ceux qui en ont la coutume : Téhilim (Psaumes) du jour, précédés du Psaume 20.

• Les jours de Roch ‘Hodech, nous récitons le « demi Hallel ». L’officiant prononce la bénédiction au début et à la fin du Hallel de Roch ‘Hodech et acquitte tous les fidèles présents. Ceux-ci doivent répondre Amen de sorte à être inclus dans cette bénédiction. Si une personne prie seule, sans minyan, la coutume ‘Habad est qu’elle récite la bénédiction du Hallel.

• Nous insérons Yaalé véYavo dans la Amidah (prière silencieuse) des offices de Cha’harit, Min’ha et Maariv de Roch ‘Hodech. Il est inséré dans la bénédiction de Retsé.

Si on a oublié de dire le Yaalé véYavo et que l’on s’en aperçoit avant de prononcer le nom de D.ieu à la fin de la bénédiction Hama’hazir chékhinato leTsione, on revient à Yaalé véYavo et on le dit.

Si toutefois on s’est aperçu de son erreur après avoir prononcé le nom de D.ieu, les règles suivantes s’appliquent pour Cha’harit et Min’ha :

A) Si on s’est aperçu de l’omission immédiatement après avoir prononcé le nom de D.ieu, on dit les mots lamdeini ‘houkeikha et on revient àYaalé véYavo.

B) Si on a déjà commencé Hama’hazir mais qu’on n’a pas encore ditModim, on peut dire Yaalé véYavo juste avant Modim.

C) Si on a déjà commencé Modim et que l’on s’aperçoit de l’omission avant de terminer Yihiou leratsone à la fin de Elokaï netsor, on reprend àRetsé.

D) Si on a déjà dit le Yihiou leratsone avant Ossei Chalom, même si on n’a pas fait les trois pas en arrière, on doit reprendre au début de la Amidah.

• À Maariv, toutefois, une fois que l’on a prononcé le nom de D.ieu dans la bénédiction Hama’hazir, on ne peut plus rattraper Yaalé véYavo. On termine simplement la Amidah.

Source : http://www.fr.chabad.org/ 

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commentaires

A
<br /> Que chaque matin que D' fait nous sous sentions nouveaux, et que notre âme qui nous est insufflée chaque jour nous rende meilleur.<br /> <br /> Que la terre vive chaque jour un nouveau souffle le bon.<br /> <br /> <br />
Répondre
G
<br /> L'insufflation m'a littéralement soufflé.<br /> <br /> <br />
Répondre

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