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21 mai 2011 6 21 /05 /mai /2011 22:17

 

 

 

Remise en ligne de cette lettre des dirigeants de Judée-Samarie à Ban Ki-Moon, lettre qui devrait être lue par Obama, Ashton, Sarkozy, Cameron, et autres...

 

Ôter les gants avec ceux qui se dressent contre Israël, aussi puissants qu’ils soient, voilà ce que doivent faire les Juifs aujourd’hui. Un certain nombre de dirigeants de Judée-Samarie ont adressé un avertissement au Secrétaire général de l’ONU Ban ki-Moon, le sommant « de ne plus utiliser l’expression de ‘territoires occupés’ lorsqu’il parle de la Judée-Samarie, sous peine de le poursuivre devant un tribunal ».
Ces responsables, conseillés par l’excellent avocat Elyakim Haetzny, ne font pas les choses à la légère. Ils se basent sur un document officiel de l’ONU, qui date de 1945, sorte de « constitution » dans laquelle l’article 80 est consacré à « Eretz Israël » et mentionne « les droits éternels du peuple juif sur la terre d’Israël, qui ne peuvent être remis en cause sans l’accord du peuple juif ». Ce document oblige aussi juridiquement l’ONU à respecter les décisions de son ancêtre la « Société des Nations », qui en 1920, à San Remo, avait donné à la Grande Bretagne le mandat sur la Palestine (des deux côtés du Jourdain !) « afin de mettre en application la Déclaration Balfour ».
Dans leur lettre à Ban ki-Moon, les responsables de Yesha écrivent notamment : « L’exigence qu’Israël cède aux Arabes des territoires qui ont été promis par D.ieu au peuple juif, et qui sont protégés par le droit international (cf. article 80), équivaut à une demande de suicide national… ». Les signataires préviennent : « Monsieur Ban ki-Moon, si vous persistez à ignorer ces vérités historiques et juridiques, et que vous poursuiviez votre politique injuste et illégale dans le cadre de l’ONU, nous nous sentirons libres d’agir en fonction des intérêts du peuple juif, et nous adresserons notamment à une instance judiciaire au nom du peuple juif…»
Par ailleurs, ces même responsables ont adressé une lettre au Premier ministre israélien en visite à Washington, lui demandant expressément, lors de son discours devant le Congrès, « d’évoquer les droits historiques du peuple juif sur la Judée-Samarie, et ne plus se réfugier derrières les arguments de sécurité ». « Vous avez-là une occasion unique de clamer devant le monde entier que les Juifs ne sont pas des occupants en Erets Israël », concluent-ils dans leur lettre 
Par Shraga BLUM

 

A Diffuser au maximum 

 

 

Lettre adressée par les dirigeants des localités de Judée-Samarie au Secrétaire général des Nations Unies

 http://www.israpundit.com/archives/35767

Traduction par Occam

 

pour  © 2011 www.aschkel.info 

Article reproductible et à diffuser largement à la seule condition de mentionner le nom du site et de ne faire aucune modification.

Si vous souhaitez partager cet article - en voici le lien

http://www.aschkel.info/article-lettre-adressee-par-les-dirigeants-des-localites-de-judee-samarie-au-secretaire-general-des-nations-73671287.html

 


Au secrétaire général des Nations Unies

M. Ban Ki-Moon

 

Cher Secrétaire général,

 

Par cette lettre nous souhaitons respectueusement attirer votre attention, entre autres, sur les références répétées de la part des Nations Unies aux territoires libérés par Israël lors de la guerre des Six Jours de 1967 – territoires jusqu’alors illégalement occupés par le royaume de Jordanie – en tant que « territoire palestinien occupé » (TPo) dans les communiqués de l’ONU.

 

Pour votre usage le plus récent du terme, voir UN News Service, 23 mars 2011, « Un Chief condemns bomb attack in West Jerusalem ». En vous référant de manière répétée au « territoire palestinien occupé » (ou « territoires palestiniens occupés » comme dans UN News Service, 1er avril 2011), vous dissimulez involontairement au public le véritable statut légal des territoires auxquels vous faites références, et provoquez une douleur injustifiée au peuple juif.

 

Nous rapportons ci-après, de manière concise, les faits pertinents sur le sujet :

 

Les territoires libérés en 1967 de l’occupation jordanienne illégale, qui avait duré de la signature de l’accord d’armistice israélo-jordanien en 1949 à la deuxième semaine de juin 1967, sont des territoires appartenant de toute éternité, légalement et sans ambiguïté au peuple juif, ainsi que ceci le montre clairement :

 

1. La terre entière d’Israël avait été promise et garantie au peuple juif, descendants des Patriarches, Abraham, Isaac et Jacob, par le tout-puissant de tous les temps, ainsi qu’il est répété encore et encore dans les cinq livres de la Bible hébraïque (par exemple Genèse 15:21, Deutéronome 1:8 et autres), acceptés par les fidèles de la foi chrétienne dont la Bible inclut les livres mentionnés, et confirmés en plusieurs endroits du livre saint de l’Islam, le Coran (par exemple sourate 2 et autres).

Ce précepte fondamental de la foi juive est renforcé par divers exposés dans un autre livre saint du judaïsme, le Talmud, dont l’étude est commune non seulement dans les écoles juives mais aussi dans celle de la Corée du Sud.

 

2. Malgré la destruction du Temple de Jérusalem et l’expulsion par la force du peuple juif de sa terre par l’empire romain au début de notre ère (70 après J.C.) après plus de mille ans de présence juive continue sur cette terre, les diverses communautés juives à travers le monde ont maintenu leur connexion spirituelle et historique avec la terre sainte, et cette connexion a été reconnue par l’entière communauté internationale depuis novembre 1917 (la déclaration Balfour), dans les années 1920 lorsque la Grande Bretagne se voit confier le Mandat de la Palestine et enjointe à implémenter la déclaration Balfour, et de 1922 (avec 52 Etats membres de la Ligue des Nations confirmant le Mandat) à décembre 1925 (quand la Convention anglo-américaine relative au Mandat de Palestine signée un an plus tôt était proclamée devant le Congrès par le président Coolidge).

 

Ainsi était confirmée de jure la souveraineté du peuple juif sur toute sa terre, que les nations ont appelé « Palestine », tandis que les attributs de souveraineté étaient délégués au Royaume Uni afin qu’il puisse préparer les Juifs du monde à l’administration réussie de son Etat juif naissant, destiné à l’établissement prochain sur toute la terre sainte, c’est-à-dire des deux côtés du Jourdain – ainsi que les principales Puissances alliées de la Première guerre mondiale l’avaient déterminé lors de la Conference de San Remo en 1920 et formalisé dans le Mandat pour la Palestine.

Durant toute la période mandataire, la Grande Bretagne entreprit inlassablement de ruiner l’implémentation du Mandat au moyen d’une série de « Livres blancs » qui travestissaient l’objectif originel du Mandat.

 

3. Même lorsque la Ligue des Nations fut dissoute, les fondateurs de l’organisation des Nations Unies, nouveau corps destiné à remplacé la défunte Ligue et à la tête duquel vous, M. le Secrétaire général, êtes désormais placé, ont garanti la continuité des droits juifs légaux sur la terre d’Israël par l’article 80 de la Charte des Nations Unies.

L’Assemblée générale de l’ONU, toutefois, a écarté cet article et recommandé la partition de la « Palestine » (1947), une recommandation illégale rejetée par les Arabes de ces territoires et par les dirigeants des Etats arabes qui ne souhaitaient pas même concéder ne serait-ce qu’un pouce de terre pour le retour du peuple juif. Cette résolution de l’Assemblée générale n’a jamais été légale, n’a jamais eu de valeur contraignante, fut enterrée pendant plus de 63 ans et ne peut plus être ressuscitée.

C’est l’opposé même qui est requis aujourd’hui des Nations Unies : reconnaître la continuité des droits juifs légaux sur toute la terre d’Israël d’après l’article 80 de la Charte des Nations Unies !

 

4. La guerre qui suivit (1947-1949) lancée à l’encontre d’Israël par les armées d’invasion de cinq Etats arabes se termina par la signature d’accords d’armistice destinées à perpétuer, jusqu’à l’obtention de la paix, les lignes militaires tenues par les différents camps lorsque le cessez-le-feu prit effet, et ces accords établissaient explicitement que ces lignes ne devaient pas être considérées comme des frontières définitives ni ne devaient influencer en quelque manière le tracé de ces futures frontières lorsque celles-ci devraient être déterminées par des accords de paix.

Ceci, M. le Secrétaire général, est la fameuse Ligne Verte, que les Nations Unies semblent considérer sans raison comme une frontière (« les frontières de 1967 ») entre Israël et les Arabes vivant en Judée-Samarie, lesquels ne furent jamais partie des accords d’armistice et ne se sont jamais considéré eux-mêmes comme un peuple distinct désireux d’exercer ou même de demander un théorique droit à l’auto-détermination – ainsi qu’il fut démontré par leur silence assourdissant pendant les 18 années d’occupation et d’annexion illégale jordanienne (1949-1967).

Ce silence fait encore écho de manière significative à travers les couloirs du temps et sert à l’interprétation des manœuvres « palestiniennes » consécutives.

 

5. En 1967, une guerre – la guerre des Six Jours – était une fois de plus lancée contre Israël par quatre Etats arabes : Egypte, Syrie, Jordanie et Irak, comme conséquence inévitable du renvoi égyptien de la petite force des Nations Unies qui avait, pendant la décennie précédente, maintenu le fragile cessez-le-feu entre l’Egypte et Israël ; du blocus naval imposé par l’Egypte à l’encontre du port israélien d’Eilat ; de la réticence internationale à intervenir ; et de la réunion des forces armées égyptienne, syrienne et jordanienne sous un commandement unifié.

Un des spectaculaires résultats de cette guerre fut l’expulsion des forces jordaniennes des régions de Judée et Samarie (les régions que la Jordanie avait appelé « Cisjordanie ») et la fin soudaine de l’occupation jordanienne illégale de ces territoires pendant 18 ans.

 

6. Espérant naïvement que les Etats arabes, après leur impressionnante défaite, réaliserait qu’il n’y avait pas d’alternative rationnelle sinon de parvenir à un accord avec Israël et de signer des traités de paix en échange des territoires perdus pendant la guerre, le gouvernement israélien s’est imprudemment retenu d’incorporer la Judée-Samarie à l’Etat d’Israël – ainsi qu’il était légalement contraint de faire, le peuple juif s’étant vu reconnaître la souveraineté de jure sur ce territoire à San Remo depuis longtemps (1920), ceci ayant été confirmé par le Conseil de la Ligue des Nations en 1922 – et, plutôt que d’appliquer la loi israélienne aux territoires libérés, a volontairement appliqué les recommandations humanitaires des Lois de la Guerre, ainsi que le stipule la Quatrième Convention de Genève.

Ce fut une démarche entreprise par Israël, M. le Secrétaire général, non pas sous contrainte légale (ce qui aurait été le cas si les territoires avaient été conquis sur un souverain légal), mais simplement une mesure de protection des habitants de Judée-Samarie pour ce qu’on considérait naïvement comme une courte période.

Cela démontre clairement, M. le Secrétaire général, l’absurdité de qualifier cette terre d’« occupée », malgré les interprétations contraires fournies même par certains des juristes israéliens de réputation internationale, qui sont, en un sens, devenus rien moins que les Mouammar Kadhafi du peuple juif.

 

7. Même un étudiant de première année dans l’histoire du Moyen-Orient sait parfaitement que les Arabes ont répondu d’un « NON ! » retentissant à la paix, « NON ! » aux négociations et même « NON ! » à la possibilité d’une reconnaissance arabe de l’Etat juif.

 

8. Ce ne fut qu’en 1979 que l’Egypte signa un traité de paix avec Israël et bien plus tard, en 1994, que la Jordanie en fit de même.

Les Arabes vivant sur la terre d’Israël ont refusé jusqu’à ce jour de mettre fin aux hostilités, à l’incitation à la haine et au terrorisme criminel contre les Juifs et contre l’Etat juif ; en fait, certaines factions « palestiniennes » ont engagé des négociations avec Israël, mais n’ont jamais été prêtes à conduire ces négociations vers une conclusion réussie, malgré les concessions douloureuses offertes par Israël afin d’obtenir la paix.

 

9. Le temps est indubitablement venu – en fait, cela aurait du être le cas depuis longtemps – pour la communauté internationale représentée par les Nations Unies de reconnaître le fait que les Arabes de la terre d’Israël ne veulent pas leur propre Etat ni ne veulent conclure un accord de paix avec l’Etat d’Israël ; tout ce qu’ils souhaitent est la destruction d’Israël ; le temps est en effet venu de réaffirmer la reconnaissance internationale des droits immuables du peuple juif à la totalité de leur foyer historique.

 

10. Considérons deux cas de l’histoire moderne, M. le Secrétaire général, [1] celui de la Namibie et [2] celui de la Jordanie :

 

[1] Tout comme les principales Puissances alliées de la Première Guerre mondiale avaient accordé un Mandat pour la Palestine à la Grande-Bretagne à San Remo en 1920, ils ont accordé à l’Union d’Afrique du Sud un mandat pour l’Afrique du Sud-ouest.

A l’inverse des britanniques, qui informèrent les Nations Unies en 1947 de leur désir de se débarrasser eux-mêmes des charges de leur mandat, l’Afrique du Sud refusa d’abandonner le mandat qui leur avait été confié.

Tandis que les Nations Unies – plutôt que de faire du Mandat pour la Palestine un territoire sous tutelle administrative, ainsi que la Charte des Nations Unies l’exigeait – recommandèrent par la voix de l’Assemblée générale la partition illégale de la Palestine, contrairement aux stipulations expresses de la Charte du Mandat et entraînant une violation grossière des droits du bénéficiaire national du Mandat – le peuple juif, dans le cas de la Namibie les Nations Unies ont fait pression sur l’Afrique du Sud jusqu’à ce que le pays abandonne son mandat, et la nouvelle République de Namibie finalement vint au jour en 1990.

 

M. le Secrétaire général, l’injustice flagrante de la position des Nations Unies relativement à la terre d’Israël se révèle clairement lorsqu’on la compare avec la position des Nations Unies relativement à la Namibie.

Dans le cas de la terre d’Israël / Palestine, le bénéficiaire national du Mandat – le peuple juif – a été privé par la force de ses droits, tandis que dans le cas de la Namibie, les Nations Unies ont agi par contrainte afin de s’assurer que l’objectif du Mandat pour l’Afrique du Sud-ouest soit complètement accompli.

Il ne fait aucun doute, M. le Secrétaire général, que l’ONU – l’organisation dont vous êtes à la tête – est largement considérée comme une organisation biaisée, injuste et même antisémite.

 

[2] Le royaume de Jordanie existe sur 75% de la Palestine mandataire. Sa classe dirigeante, la famille hachémite soutenue par les tribus nomades bédouines, ne représente pas plus de 30% de la population, peut-être même moins.

Les 70% restants de la population de ce pays sont constitués d’Arabes « palestiniens », que les Arabes de la terre d’Israël considèrent comme du même peuple. Il est ainsi faux que les Arabes de la terre d’Israël soient sans Etat ; au contraire, dans le royaume voisin de Jordanie ils sont une inébranlable majorité de la population vivant sur le sol « palestinien ».

Si les Arabes séjournant à présent sur la terre d’Israël préfèrent vivre dans leur propre pays plutôt que dans un Etat juif, ils sont libres de rejoindre leurs frères à l’est du Jourdain, où ils peuvent vivre dans la paix et la tranquillité parmi les gens de même chair et sang, et encore plus important, des gens de même culture.

 

11. Nous devons aussi considérer les ramifications de l’établissement illégal d’un autre Etat arabe au cœur de la terre d’Israël, M. le Secrétaire général.

Nous avons pu apprendre de la rhétorique du Hezbollah libanais et de celui du Hamas de Gaza quel destin est réservé pour les 600.000 Juifs environ vivant légalement en Judée, en Samarie et à « Jérusalem-est », mais il n’est nul besoin d’aller si loin : les représentants de l’Autorité palestinienne ont été abondamment explicites sur le fait que le territoire qu’ils espèrent contrôler un jour devra leur être offert judenrein – sans aucun habitant juif quel qu’il soit.

Réalisez-vous, M. le Secrétaire général, ce que signifierait le déplacement illégal de plus d’un demi-million d’hommes, de femmes et d’enfants ?

Israël trouve difficile de fournir des habitations permanentes pour les huit ou neuf mille personnes expulsées de leurs maisons et de leurs moyens d’existence en 2005, quand Israël s’est retiré unilatéralement et imprudemment du district de Gaza.

Avez-vous conscience de la catastrophe subie dans les années 1920 par les millions de Bulgares, de Grecs et de Turcs contraints d’abandonner leurs foyers et de se réinstaller ailleurs ?

L’Autorité palestinienne a même voté l’imposition de la peine de mort contre quiconque de sa propre population vendrait une propriété à des Juifs.

 

De plus, nous savons d’avance quels rapports un Etat soi-disant « palestinien », bien qu’illégal, entretiendrait avec l’Etat juif, que jusqu’à ce jour il refuse de reconnaître en tant que tel.

En demandant à Israël de céder son propre territoire aux Arabes, vous ne faites pas que condamner près d’un demi-million de Juifs au déplacement dans des camps de réfugiés, mais vous condamnez aussi le Moyen-Orient à une autre féroce guerre d’agression arabe, dont les résultats éventuels sont trop graves pour êtres mentionnés.

Est-ce en fait votre intention, M. le Secrétaire général ?

Comment pouvez-vous concilier cela avec le Droit humanitaire international ?

 

Voilà, M. le Secrétaire général, les faits historiques et légaux. Il faut en conclure que demander à Israël de céder aux Arabes tout territoire appartenant au peuple juif par promesse divine et par le droit international équivaut à exiger d’Israël de commettre un suicide national et de rendre nuls et non avenus les droits légaux et territoriaux reconnus aux Juifs sur leur patrimoine national.

Il est ainsi de votre responsabilité de conseiller et de guider votre organisation pour réaffirmer la reconnaissance par la communauté internationale de ces droits juifs légaux sous l’article 80 de la Charte des Nations Unies, tout en cherchant à offrir aux Arabes vivant à présent sur la terre des Juifs une solution simple à leur désir d’exercer des droits politiques dans leur propre pays – i.e. dans le royaume de Jordanie.

 

Si vous deviez décider, M. le Secrétaire général, pour quelque raison que ce soit, d’ignorer les faits historiques et légaux mentionnés dans cette lettre, et de poursuivre les présentes politiques injustes et illégales de l’ONU, nous nous sentirons libres d’agir en accord avec les meilleurs intérêts du peuple juif.

Cela entraînera en dernier recours l’avancement de notre cause devant une autorité judiciaire internationale appropriée, et la poursuite judiciaire pour dommages envers les personnes responsables de cette illégalité.

 

Voir aussile dossier - Chantage et "Etat palestinien"

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commentaires

A
<br /> <br /> Shavouah tov oumévourah' a toi a tous les lecteurs et à tou Am Israël<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre
A
<br /> <br /> Shavoua tov<br /> <br /> <br /> <br />
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A
<br /> <br /> Tu as raison Alef, j'ai compris ce que Shraga veut dire mais il vaut mieux que je rajoute le ne plus utiliser<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Shavouah tov<br /> <br /> <br /> <br />
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A
<br /> <br /> J'ai du mal à comprendre la phrase du début "Un certain nombre de dirigeants de Judée-Samarie ont adressé un avertissement au Secrétaire général de l’ONU Ban ki-Moon, le sommant « d’utiliser<br /> l’expression de ‘territoires occupés’ lorsqu’il parle de la Judée-Samarie, sous peine de le poursuivre devant un tribunal »"... Ne serait-ce pas plutôt l'inverse : il somment "de ne pas utiliser<br /> l'expression de "territoires occupés" " ou "de cesser d'utiliser l'expression de "territoires occupés" " ?<br /> <br /> <br /> <br />
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