Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
11 février 2011 5 11 /02 /février /2011 10:41

 

 

Pendant que les yeux du monde sont braqués sur l'Egypte......

 

Asie-Pacifique

Petite sélection par Aschkel

© 2011 www.aschkel.info

 

 

Résumé 

Les petites fourmis chinoises travaillent, travaillent, travaillent

accords

- Chine/Guinée

- Chine/Canada (investissement chinois de 5.3 milliards de dollars dans le secteur energétique canadien)

- Chine/Zimbabwe

- Chine/Gabon (les chinois au coeur des grands chantiers gabonais)

- Chine/Togo

french

 

L'Iran qui adore la diversion et fier de semer la pagaille partout, continue de travailler son nucléaire-

CONTINUE DE TRAVAILLER SON NUCLEAIRE !!!

 

Un général taiwanais a transmis des données sensibles à la Chine

Grosse affaire d’espionnage à Taïwan. Le général Lo Hsieh-che a été arrêté puis placé en détention pour avoir transmis à la Chine des informations confidentielles, portant notamment sur le système de communications et de contrôle Bo Sheng, lequel permet de coordonner des actions avec le commandement militaire américain pour le Pacifique (US PACOM).

Selon les autorités taïwanaises, le général Lo Hsieh-che, commandant le département de l’information et des communications électroniques, aurait été « retourné » par les services chinois au cours d’une affectation en Thaïlande entre 2002 et 2005.

Du côté du ministère taïwanais de la Défense, l’on évalue pour le moment les conséquences de la trahison de l’officier félon. Mais compte tenu la nature de ses fonctions, il est possible que des informations relatives à la coopération militaire entre Taïwan et les Etats-Unis aient été transmises aux services chinois.

Cette affaire, qui est la plus importante depuis celle qui avait impliqué un vice-ministre de la Défense taïwanais dans les années 1960, intervient alors que les relations entre Pékin et Taïpeh sont dans une phase de rapprochement, grâce à l’arrivée au pouvoir du président Ma Ying-jeou. Un accord commercial « historique » a été signé en 2010 entre les deux capitales et les liaisons aériennes ont été établies entre les deux pays il y a un peu plus de deux ans.


Les capacités militaires chinoises inquiètent le pentagone

Le temps où l’espace était le domaine privilégié des Etats-Unis et de l’Union soviétique n’est plus qu’un lointain souvenir. Et la multiplication des acteurs a conduit Washington à se doter du stratégie de sécurité nationale dans ce domaine (NSSS).

Pour illustrer la nécessité de renforcer la protection des systèmes spatiaux, le secrétaire américain à la Défense adjoint pour l’espace, Gregory Schulte, a mis en avant la capacité de certains pays à bloquer le fonctionnement de satellites commerciaux. Parmi ceux qu’il a cité, l’on trouve l’Iran et… l’Ethiopie.

Pour ce dernier, la nouvelle était passée pratiquement inaperçue en juillet dernier. Mais le fait est, Addis-Abeba a été accusé par Ethiopian Satellite Television (ESAT), une compagnie indépendante basée à Amsterdam, d’avoir bloqué les signaux passant par son satellite.

Mais l’attention des Etats-Unis se porte davantage vers la Chine. Outre les armements que l’Empire du Milieu développe actuellement (avion furtif J-20, missile anti-navire supersonique), ses capacités militaires spatiales préoccupent le Pentagone, très dépendant des satellites pour le renseignement, la géolocalisation et les télécommunications. L’on peut imaginer ce que cela pourrait donner dans le cas, par exemple, d’une attaque chinoise contre Taïwan…

Depuis janvier 2007, l’on sait que la Chine fait désormais du cercle très fermé des pays disposant de cette qualité étant donné elle en a donné une démonstration en envoyant un missile balistique de portée intermédiaire sur l’un de ses satellites d’observation météorologique. Et quelques mois auparavant, un engin espion américain de passage au-dessus du territoire chinois avait été aveuglé par un puissant rayon laser.

Pour Pékin, le développement de capacités militaires spatiales est aussi une façon de répondre au bouclier antimissile américain, qui, utilisant des satellites pour détecter les lancements de missiles, décrédibilise la dissuasion nucléaire chinoise.

Selon Gregory Schulte, la Chine travaillerait sur des brouilleurs de signaux satellitaires ainsi que sur des armes à énergie dirigée, ce qui fait qu’elle est « à la pointe du développement des capacités » militaires spatiales, bien qu’officiellement, elle plaide pour prévenir la militarisation de l’espace, comme l’a fait son ministre des Affaires étrangères, en août 2009, devant la Conférence du désarmement des Nations unies à Genève.

Aussi, et comme l’a expliqué Gregory Schulte, les Etats-Unis « se réservent la possibilité de répondre en légitime défense aux attaques dans l’espace » et cette réponse pourrait ne pas concerner seulement le domaine spatial.

Pour mémoire, le Traité de l’Espace, signé le 27 janvier 1967 par 98 pays, limite les activités militaires en dans l’espace extra-atmosphériques aux seules tâches défensives et interdit l’usage d’armes de destruction massive.


Les insurgés afghans enrôlent leurs enfants

 

Pakistan - 31 soldats d'une caserne tué par un adolescent de 12 ans qui a fait exploser sa bombe. Les Talibans revendiquent fièrement

Le 30 janvier, le ministre afghan des Affaires étrangères, Zalmai Rassoul, et le représentant spécial du Secrétaire général et le chef de de la mission d’assistance des Nations unies en Afghanistan (MANUA), Staffan de Mistura, ont signé un accord devant mettre fin au recrutement d’enfants par les forces de sécurité afghanes.

Bien que elle soit aidée, pour la formation de ses personnels, par la coalition internationale, la police nationale afghane avait été inscrite en 2010 sur la liste des organisations parties prenantes à un conflit qui recrutent des mineurs.

Cela étant, les insurgés afghans en font de même. Les enfants sont non seulement utilisés pour surveiller les mouvements des troupes de la coalition et porter de l’armement mais aussi pour combattre.

L’ONU l’a mis en évidence dans le même rapport dans lequel la police afghane avait été épinglée, en faisant état de « cas d’enfants menant des attaques suicide ou utilisés (…) pour mettre en place des explosifs, parfois à leur insu ».

Et selon les services de renseignement afghans, « plus de 80% des kamikazes capturés » avant leur passage à l’acte « au cours des neuf derniers mois étaient des garçons mineurs, généralement âgés de 13 à 17 ans ».

En 2010, et d’après des chiffres donnés par l’UNICEF, 35 enfants soupçonnés d’activité au profit des taliban dans le sud de l’Afghanistan ont été arrêtés. Généralement, la motivation première de ces mineurs n’est pas idéologique mais financière.

Et les talibans ne se privent pas de les envoyer au combat contre les troupes de l’Otan, comme l’a expliqué un officier américain basé à Kandahar et dont le témoignage a été repris par l’AFP. « On voit l’ennemi. Ce sont des enfants, âgés de 15-16 ans » a-t-il affirmé. Et tirer sur des gamins, « c’est très dur pour le moral » a-t-il confié.

opex360


Iles Kouriles - Tensions entre la Russie et le Japon

MOSCOU, 11 février - RIA Novosti

La Russie veut éviter toute escalade de la tension dans ses relations avec le Japon, a déclaré vendredi à RIA Novosti le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Alexandre Loukachevitch.

"Nous estimons qu'il est nécessaire de nous concentrer sur la normalisation de la situation en mettant en avant un agenda positif, de travailler ensemble pour promouvoir nos relations avec un accent sur la coopération économique et commerciale", a indiqué M.Loukachevitch.

Selon lui, Moscou juge inacceptables les déclarations de certains responsables japonais, faites lors de la soi-disant "Journée des territoires du Nord", quatre îles russes des Kouriles revendiquées par Tokyo. Le premier ministre japonais avait notamment qualifié "d'outrage inadmissible"  la visite du président russe sur l'une d'entre elles en novembre dernier.

Néanmoins, la Russie reste persuadée que "les émotions négatives ne contribuent pas à la formation d'une atmosphère stimulante dans les relations bilatérales", a déclaré le porte-parole de la diplomatie russe.

Le 11 février, le ministre japonais des Affaires étrangères, Seiji Maehara, arrive à Moscou où il mènera des pourparlers avec son homologue russe, Sergueï Lavrov.

 

Renforcement militaire Russe aux Kouriles


C’est un archipel de quatre îles, appelées Habomai, Shikotan, Etorofu et Kunashiri par les Japonais. Pour Moscou, ce sont les Kouriles du Sud. En 1855, la question de leur appartenance avait été réglée par le traité de Shimoda : l’Empire russe, qui revendiquait ces territoires cédait au Japon, lequel y avait alors établi sa souveraineté et l’Empire.

Du moins le croyait-on puisqu’après la défaite du Japon lors de la Seconde Guerre Mondiale, Staline annexait ces îles, en vertu des accords de Yalta. Pour l’Union soviétique, et maintenant la Russie, ces territoires ont une importance stratégique puisqu’ils verrouillent l’accès à la mer d’Okhotsk. Pour autant, le Japon n’a jamais renoncé à cet archipel, riche en ressources halieutiques, en soufre et en minéraux polumétalliques.

Depuis, l’affaire des Kouriles empoisonnent les relations entre Moscou et Tokyo, au point qu’elle a toujours empêché, jusqu’à présent, la signature d’un accord de paix entre les deux capitales.

Aussi, quand le président, Dmitri Medvedev, s’est rendu sur l’archipel en novembre dernier (une première pour un chef d’Etat russe), la réaction du gouvernement japonais a été vive, le Premier ministre Naoto Kan ayant, dans un premier temps, qualifié cette visite de « très regrettable », avant de parler « d’outrage impardonnable » le 7 février dernier, quelques jours avant le voyage programmé à Moscou de son ministre des Affaires étrangères, Seiji Maehara.

D’où la réponse ferme du président Medvedev, qui n’entend pas transiger sur la question de ces îles, contrairement à ce qu’avait été tenté de faire Boris Eltsine dans les années 1990. « Tous doivent comprendre que les îles de l’archipel des Kouriles sont un territoire de la Fédération de Russie, sur lequel s’étend sa souveraineté » a-t-il affirmé. Et de promettre de « mettre en oeuvre tous les efforts nécessaires pour y renforcer » la présence « stratégique » russe. Autrement dit, il s’agit d’y renforcer les moyens militaires déjà présents sur place.

« Les armements qui sont là-bas doivent être suffisants et modernes pour garantir la sécurité des îles, en tant que partie inaliénable de la Fédération de Russie » a encore précisé le maître du Kremlin.

Selon Igor Korotchenko, membre du conseil social auprès du ministère russe de la Défense, ce renforcement des capacités militaires pourrait passer par le déploiement de « deux batteries de missiles antiaériens S-400, d’un système de DCA Pantsir S1, d’une batterie de défense côtière avec des missiles antinavires Iakhont, ainsi que plusieurs radars susceptibles d’assurer un contrôle aérien total ».

Pour compléter le tout, des avions SU-35 pourraient être également mis en oeuvre à partir de ces territoires contestés, de même que des appareils de lutte contre les sous-marins, des vedettes lance-missile et « 2 à 3 corvettes ».

opex360


Affrontements Thaïlande-Cambodge : 3 Thaïlandais tués et 22 autres blessés, selon un bilan officiel thaïlandais
Publié le 2011-02-10 20:07:05 | French. News. Cn



 
 

BANGKOK, 10 février (Xinhua) -- Trois Thaïlandais ont péri et 22 autres ont été blessés au cours de trois jours (du 4 au 6 février) d'affrontements transfrontaliers entre les armées thaïlandaise et cambodgienne, a annoncé jeudi un responsable du gouvernement thaïlandais.

Parmi les trois décès figurent deux soldats et un civil, tandis que parmi les 22 blessés sont dénombrés 14 soldats et 8 civils, a précisé Wiboon Sanguanpong, chef du Département de la prévention des désastres.

Les bombardements transfrontaliers ont détruit totalement sept maisons et causé des dégâts à 28 autres, ainsi qu'à des plantations de caoutchouc.

Au total 21.720 villageois et huit bonzes ont été évacués dans 37 centres d'accueil installés dans 10 districts de la province de Si Sa Ket, précise un rapport du département.

Environ 5.650 habitants de la province de Surin et 3650 de la province d'Ubon Ratchathan, situées toutes près de la frontière avec le Cambodge, ont également été évacués, selon le rapport.


Echec des entretiens militaires entre la Corée du Nord et la Corée du Sud
Partager cet article
Repost0

commentaires

Traducteur/translator

 

 

France  ISREAL  English

Recherche

logo-lien-aschkel-copie-1.jpg

 

France  ISREAL  English
Traduire la page:
By
retour à l'acueil

------------------------------------- 

 

Communication and Information

 

Vous souhaitez 

- proposer un article ?
 - communiquer une info ?

Contactez la rédaction

bOITE-a-mail.jpg

-------------------------------

 

Nous remercions par avance tous ceux

qui soutiendront le site Aschkel.info

par un don

icone paypal

Paiement sécurisé


Consultez les dossiers

Archives

Mon livre d'or

 

 Livre_dor

 


 

Visites depuis la création du site


visitors counter

Catégories