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28 avril 2010 3 28 /04 /avril /2010 14:56
Les cinq grands mensonges d’Obama à propos d’Israël

Daniel Greenfield - sultanknish.blogspot.com | Adapté par danilette

mercredi 28 avril 2010


Publié par desinfos

Obama est en train de diffuser une série de mensonges sur Israël dans les médias et par les déclarations de ses porte-paroles, en vue de préparer sa tentative d’imposer une solution définitive à Israël. Et en analysant ces mensonges, nous pouvons mieux découvrir la vérité.

 

1. Netanyahu doit choisir entre Obama et son aile droite

Ce que l’entourage d’Obama voudrait vous faire croire c’est qu’il suffirait à Netanyahu de rejeter les extrémistes et de faire ce qu’Obama lui dit de faire pour rétablir de bonnes relations avec l’administration américaine.

En réalité, la grande majorité des Israéliens soutient la position de Netanyahu sur le fait que les juifs ont le droit de vivre partout à Jérusalem et s’oppose à la position d’Obama sur le fait que des juifs n’ont pas le droit de vivre ou de construire des maisons dans certaines parties de Jérusalem qui ont été saisies par la Jordanie en 1948 et ont subi un nettoyage ethnique des juifs.

Le choix réel de Netanyahu se trouve entre Obama et la vaste majorité des électeurs de son pays. En exigeant qu’il leur tourne le dos et fasse ce qu’on lui dit de faire, ce qu’on demande en fait c’est que Netanyahu fasse totalement abstraction de la démocratie israélienne, trahisse son propre électorat et institue un apartheid à Jérusalem. Cela est censé apporter un apaisement. Tout ce que Netanyahu a à faire est de ne pas tenir compte de la volonté du peuple israélien pour se soumettre à la volonté d’Obama.

Donc Netanyahu doit choisir entre Obama et la démocratie. Et les médias le blâment parce qu’il a choisi la démocratie plutôt qu’Obama.

2. Obama veut que la coalition de droite de Netanyahu soit plus centriste

Plus centriste. Vraiment ? L’actuelle coalition de Netanyahu comprend le parti travailliste de gauche, un parti qui défend les droits des immigrants et le parti des Juifs séfarades. Il comprend même un ministre arabe musulman.

Alors qu’elle est la conception d’Obama d’un gouvernement israélien centriste ? Un gouvernement qui tourne le dos à Shass, le parti des réfugiés juifs des pays musulmans et à Israël Beitenou, le parti des réfugiés juifs de l’URSS, en faveur deKadima, un parti créé illégitimement et dirigé par Tzipi Livni, un ancien membre du propre parti de Netanyahu, le Likoud. Pourquoi une coalition avec Kadima serait-elle plus centriste qu’une coalition incluant le parti travailliste et les partis qui représentent les différentes minorités d’Israël ? La réponse est qu’elle ne serait pas plus centriste. La seule chose de centriste à propos de Kadima est que Tzipi Livni approuve d’avance chaque proposition d’Obama, ce qui ne l’a pas vraiment rendue populaire dans son pays. Mais cela a fait son succès auprès d’Obama qui veut de force la faire entrer dans une coalition avec Netanyahu.

Si vous croyez les paroles des dirigeants de Washington, Tsipi Livni rendrait la coalition de Netanyahu plus centriste que l’ancien Premier ministre travailliste Ehud Barak. Ceci malgré le fait que les responsables de Kadima ont déclaré à maintes reprises qu’ils n’entreraient pas dans une coalition dirigée par Netanyahu.

Permettez-moi de souligner à nouveau ceci. L’entourage d’Obama tente de forcer Netanyahu a abandonner deux partis, celui des réfugiés juifs des pays musulmans et celui des réfugiés juifs des pays communistes (il n’est pas trop difficile de comprendre pourquoi Obama n’aime ni les uns, ni les autres) afin de former une coalition plus centriste avec un ancien membre de son propre parti.

3. Les tensions entre Obama et Israël ont été causées par l’insulte de Netanyahu envers Biden

La vérité est que la relation entre Obama et Israël a toujours été mauvaise. Et ce n’est pas surprenant. Obama a longtemps été membre d’une église dont le pasteur, le révérend Jeremiah Wright dépeint Israël dans des termes qui rappellent la propagande nazie. Il était ami avec Rashid Khalidi, un porte-parole de l’OLP, organisation terroriste. Son expérience d’enfant s’est faite dans le monde musulman où Israël est considéré comme rien de moins que le diable.

Une fois élu, Obama a passé son premier appel téléphonique au chef de l’OLP, le négationniste Mahmoud Abbas. Et il n’a pas fallu longtemps pour que l’administration commence à faire des demandes à Israël et refuse d’accepter tout compromis. Cela s’est passé longtemps avant que Joe Biden effectue une visite en Israël et fasse semblant d’être scandalisé par un projet de construction sur un terrain vide à Jérusalem qui avait été approuvé à la suite d’un long processus de plusieurs étapes.

Biden a-t-il pu être offensé par cette démonstration de la souveraineté israélienne à Jérusalem ? C’est peu probable étant donné que Biden a lui-même proposé pas moins de trois résolutions au Sénat pour soutenir une Jérusalem unifiée sous domination israélienne. Si nous devons croire que Biden a été offensé, il a alors été offensé par une politique qu’il a lui-même soutenu.

La vérité c’est que l’administration Obama cherchait un prétexte et attendait un incident qui fasse croire à une provocation israélienne. Israël n’a pas insulté l’Amérique, ni Biden, ni Obama en approuvant un projet de construction à Jérusalem. C’est plutôt Obama avec son aversion pour Israël qui a saisi ce prétexte en prétendant être la victime.

4. Netanyahu doit revenir à la table des négociations

Quelle table de négociations ? Israël a passé près de deux décennies à la table des négociations. Il a abandonné des terres et même mis sa propre capitale sur la table avec le Premier ministre Barak (actuellement membre de la "coalition de droite" de Netanyahu). Les Arabes palestiniens n’ont rien mis sur la table. Ils n’ont fait que prendre et prendre.

Netanyahu a déjà accepté de geler la construction de maisons en Judée Samarie. Des postes de contrôle ont été démantelés malgré le fait que cela permet aux terroristes de passer et d’assassiner des Israéliens. Israël a, à plusieurs reprises, proposé de revenir à la table des négociations. C’est Abbas, le premier dirigeant étranger à qui Obama ait téléphoné, qui refuse de négocier. En plus M. Abbas a demandé à Obama d’imposer une solution.

Si Abbas veut qu’Obama impose une solution et si Obama veut imposer une solution, alors que reste-t-il à négocier ? L’endroit exact où Obama imposera sa solution. Cet argument est un stratagème cynique pour blâmer Israël de ne pas vouloir négocier alors qu’en fait Israël est le seul parti dans ce conflit qui veut négocier et qui a constamment essayé de négocier.

Mais ni Obama ni Abbas ne sont intéressés par des négociations. Ils veulent seulement qu’Israël obéissent à leurs exigences.

5. Israël coûte aux États-Unis du sang et de l’argent

Les États-Unis ont livré trois guerres depuis la guerre du Vietnam, chacune de ces guerres a été combattu au nom des musulmans ou contre eux. Dans la Guerre du Golfe, les États-Unis ont répondu à l’invasion de leur allié, le Koweït. En Yougoslavie, les États-Unis sont intervenus en faveur des Kosovars albanais musulmans. En Afghanistan et en Irak, les États-Unis ont renversé des dictatures musulmanes et essayé de stabiliser les deux pays.

C’est l’Islam qui a coûté aux États-Unis une fortune incalculable en sang et en argent. Ce sont les musulmans qui ont entraîné des États-Unis dans trois guerres. Dans la guerre du golfe, les États-Unis ont répondu à une invasion du Koweït musulman. En Yougoslavie, les États-Unis ont répondu au supposé nettoyage ethnique des albanais musulmans. En Afghanistan et en Irak, les États-Unis ont riposté à une attaque d’Al Qaïda, motivée par la présence d’une base américaine en Arabie Saoudite et en Irak contre le mépris continu de Saddam Hussein envers les sanctions.

Des milliers d’Américains morts et des centaines de milliards de dollars. C’est ça le vrai trésor en sang et en argent. Et le bilan ne cesse de grimper. Mais en vérité, la première ponction en sang et en argent de la part de musulmans a précédé l’État moderne d’Israël. Elle a eu lieu sur les rivages de Tripoli quand le président Thomas Jefferson a choisi de faire la guerre aux pirates musulmans qui lançaient des raids contre les bateaux américains et prenaient les marins américains comme esclaves parce qu’ils les considéraient comme des infidèles, des sous-hommes.

Évidemment, l’administration Obama qui a interdit toute mention du terrorisme islamique, est dans l’impossibilité d’aborder ces sujets. Tout ce qu’elle peut faire c’est émettre de fausses accusations à l’encontre d’Israël.

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