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15 mars 2010 1 15 /03 /mars /2010 10:58







Et oui, nous accusera t'on cette fois de judaiser une synagogue détruite par les adorateurs des lieux saints juifs ?



OCAAM1


Hurva Synagogue, Jerusalem


Israël : La synagogue de la Hourva renaît à Jérusalem  


"Erigée une première fois en 1694 et détruite 26 ans plus tard, d'où son nom de "Hourva" ("ruine" en hébreu), cette synagogue reconstruite en 1864, était le centre de la vie juive dans la Jérusalem de la fin du 19e siècle jusqu'à sa destruction pendant la guerre d'indépendance de 1948".



http://www.lesechos.fr/
depeches/monde/afp_00237583-
israel---la-synagogue-de-la-hourva-renait-a-jerusalem.htm

   "Des centaines de juifs ont apporté dimanche des rouleaux sacrés de la Torah dans la synagogue de la Hourva, un édifice historique reconstruit dans la Vieille ville de Jérusalem, qui sera inauguré lundi en grande pompe. La foule a traversé, en dansant et chantant, le quartier juif de la Vieille ville, du Mur des lamentations à la synagogue rebâtie, a constaté un photographe de l'AFP. Le président de la Knesset (Parlement), Reuven Rivlin, des ministres et les grands rabbins d'Israël assisteront lundi à la cérémonie d'inauguration. Ces festivités surviennent alors que de nouvelles tensions politico-religieuses agitent la Vieille ville, où plusieurs milliers de policiers sont en alerte en raison de craintes de violences.
    La synagogue de la Hourva, qui a été l'un des hauts lieux de culte des Juifs en Palestine avant la création de l'Etat d'Israël en 1948, a été reconstruite complètement, 62 ans après avoir été détruite par les Jordaniens. Erigée une première fois en 1694 et détruite 26 ans plus tard, d'où son nom de "Hourva" ("ruine" en hébreu), cette synagogue reconstruite en 1864, était le centre de la vie juive dans la Jérusalem de la fin du 19e siècle jusqu'à sa destruction pendant la guerre d'indépendance de 1948.
    Construite avec l'argent de la famille Rotschild, la synagogue va accueillir plusieurs événements historiques, dont la tenue d'une prière spéciale en 1910 lors du couronnement du roi George V en Angleterre, la visite de Théodore Herzl, le fondateur du sionisme politique en 1898, et l'intronisation des premiers grands rabbins d'Israël en 1921. Lors de la chute du quartier juif en 1948 dans les combats contre la Légion jordanienne, la synagogue est abandonnée et sera détruite peu de temps après.
    En 1967, à la fin de la guerre des Six jours, Israël prend le contrôle de la Vieille ville et reconstruit le quartier juif, gardant en état l'arc de pierres, seul vestige de la synagogue détruite. La reconstruction de la synagogue a coûté 62 millions de shekels (15 millions d'euros), dont une partie provient de donateurs étrangers. Le bâtiment neuf a été construit sur le modèle exact de l'ancienne synagogue."
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13 mars 2010 6 13 /03 /mars /2010 19:36



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Le commerce parallèle du pétrole vers l'Iran
Par Julien Goldberg pour Guysen International News - Jeudi 11 mars 2010 

AP Photo/Vahid Salemi

Les acteurs du marché pétrolier ont fait part jeudi 11 mars à l'AFP de leurs doutes quant à la fin du commerce de carburants entre l'Iran et de grandes maisons de courtage suisses comme l'annonçait lundi le Financial Times, jugeant que les approvisionnements continuaient par le biais d'intermédiaires basés à Dubaï. 


Selon un article publié lundi par le Financial Times, les maisons de courtage en pétrole suisses Vitol, Glencore et Trafigura auraient cessé d'approvisionner l'Iran en carburants, bien que ce ne soit pas illégal, en raison du risque géopolitique croissant entourant les transactions avec Téhéran.

Le quotidien britannique y voit le fruit des pressions américaines. Plusieurs intervenants du secteur ont toutefois fait part à l'AFP de leurs doutes, jugeant que la rupture des relations entre les courtiers suisses et leurs clients iraniens n'était qu'une opération de relations publiques et que les affaires continuaient via des sociétés intermédiaires dont le siège est à Dubaï. 

"Conscience tranquille..."

Contactés par l'AFP, Vitol et Trafigura n'ont pas souhaité faire de commentaire sur cette allégation. "Notre position est bien telle que décrite par le Financial Times," a cependant déclaré le porte-parole de Vitol. "Une fois que les entreprises européennes et américaines ont livré leur pétrole à Dubaï, leur conscience est tranquille", a ironisé un courtier londonien sous couvert de l'anonymat.

Un autre précise même nommément qui sont les maisons qui, selon lui, ont recours à cette stratégie. Un troisième spécialiste du secteur, enfin, indique qu'il "serait surpris si les transactions avec l'Iran avaient cessé". 

"Les compagnies pétrolières oui, mais pas les maisons de courtage. Elles ont peut-être simplement adopté un profil bas" en annonçant qu'elles ne faisaient plus affaire avec Téhéran, estime-t-il. Bien que l'Iran soit l'un des premiers producteurs mondiaux de brut, il est contraint d'importer la moitié de l'essence qu'il consomme, car ses infrastructures de raffinage sont vétustes et insuffisantes pour répondre à la demande locale. 

Les parlementaires américains se font de plus en plus pressants dans leurs appels au président Barack Obama pour imposer de nouvelles sanctions à l'Iran ainsi qu'aux entreprises faisant affaire avec le régime de Téhéran, en réponse au refus de la république islamique de geler son programme nucléaire. Dans cet environnement, Shell a cessé de vendre de l'essence à l'Iran, a affirmé mercredi un porte-parole du groupe pétrolier anglo-néerlandais.

(G.I.N avec agences)



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12 mars 2010 5 12 /03 /mars /2010 10:37




Dommage, que l'Equipe technique d'Abou Dhabi ait oublié le Chef de la police de Dubai dans leurs bagages qui aurait pu ouvrir une enquête pour voir si cette même équipe n'était pas en fait des agents utilisant de faux passeports.

Quoi qu'il en soit si la police de Dubaï mène ses enquêtes comme leurs pilotes apprennent a  diriger un avion, on a vite tout compris !




Sortie de piste A340

C'est hélas une histoire vraie,Un bel Airbus 340-600, tout neuf, sur le tarmac à Toulouse, France.  L'avion n'a pas une seule heure de vol  arrive l'équipe technique d'Abu Dhabi, pour faire les premiers tests moteurs avant la livraison. Ces professionnels mettent les moteurs en marche, à fond. Les quatres réacteurs sont au maximum de leur puissance. Les techniciens n'ont pas réalisé un seul instant que l'avion est vide, donc plus léger....


  

 

  

 L'alarme retentie car les 4 réacteurs sont au maximum, comme

pour le décollage.

L'ordinateur de bord "interprète" une phase de décollage, mais

avec les ailerons mal positionnés.   

 

 

   

Intelligemment, un membre de l'équipe des techniciens décide de couper

le circuit de l'alarme.

L'ordinateur de bord "interprète" que l'avion est en vol, et

relâche les freins.

 

 

L'avion est allé s'écrasé dans un mur de protection.

 

 

 Un avion à $200 million.

   

 L'affaire n'a pas été rapportée, ni en France, ni dans 

les médias, car jugée insultante pour les Arabes.

Nouvelle preuve que nous ne sommes pas sectaires

Des photos apparaissent, et elles parlent d'elle même.

Coût d'un Airbus A340-600 :  $200'000'000

Des techniciens non formés : $300'000/an

Manuel, non lu, d'instruction :$300

et un avion qui fonce dans le mur,

en sortant de l'usine... 

 

On se demande pourquoi ils sont plus à l'aise sur des dromadaires.





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12 mars 2010 5 12 /03 /mars /2010 07:18







 

En anglais :
 
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 En hébreu : 
ICI 



ISRAELIENS - PALESTINIENS

La Ligue arabe : Non aux pourparlers / Amit Cohen – Maariv


Alors que dans le monde arabe et en Europe on condamne la validation par Israël de la construction de nouveaux logements à Jérusalem-est, la Ligue arabe a quant à elle publié une déclaration dans laquelle elle recommande de cesser les pourparlers indirects entre Israël et l’Autorité palestinienne.

Au terme d’une réunion d’urgence du comité de suivi de la Ligue arabe, qui s’est tenue hier soir au Caire, les ambassadeurs de la Ligue arabe on déclaré que l’annonce du nouveau projet de construction prouve qu’Israël n’a pas l’intention de mener des négociations sérieuses : « Les pourparlers n’auront pas la moindre signification si Israël ne cesse pas ses démarches immédiatement », a fait savoir le comité.

Il ne s’agit cependant pas d’une décision qui mettra fin sur le champ aux pourparlers mais uniquement d’une recommandation, la décision définitive devant être prise par les ministres des Affaires étrangères de la Ligue arabe. Le comité de suivi a appelé les ministres à se réunir pour débattre du sujet, mais on ignore si une telle réunion se tiendra et quand.

Quelques heures auparavant, le vice-président américain, Joe Biden, était à la Muqata de Ramallah pour y rencontrer le président de l’Autorité palestinienne, Abou Mazen. La proximité et la chaleur qu’ont manifestées les deux hommes l’un à l’égard de l’autre contrastait avec la froideur du dîner d’avant-hier à la résidence du Premier ministre Netanyahu. Au terme de leur rencontre, Joe Biden et Abou Mazen ont tenu une conférence de presse largement consacrée à la décision israélienne de construire de nouveaux logements à Beitar Ilit et à Jérusalem.

Le vice-président américain a condamné la décision, affirmant qu’elle porte atteinte à la confiance nécessaire en ces premières phases de négociation. M. Biden a indiqué que son pays serait aux côtés de ceux qui œuvreront pour la paix et que le gouvernement américain agira en faveur de la création d’un Etat palestinien viable et jouissant d’une continuité territoriale. « Ce n’est pas seulement dans l’intérêt des Palestiniens et des Israéliens mais aussi dans l’intérêt des Etats-Unis. Rien ne peut remplacer la solution de deux Etats, dans le cadre d’un plan de paix golbal », a déclaré le vice-président.

Le président de l’Autorité palestinienne a lui appelé Israël à annuler la validation du projet de construction. Selon lui, les mesures prises par Israël détruisent la confiance et portent un coup fatal aux efforts qui ont été fait ces derniers mois en vue de la reprise du processus.

Abou Mazen a cependant réaffirmé l’engagement de l’Autorité palestinienne en faveur d’un accord de paix global, y compris face au Liban et à la Syrie : « La paix est un choix stratégique de notre part. J’appelle Israël à ne pas laisser passer cette chance. Il est temps de faire la paix sur la base de deux Etats, l’Etat d’Israël vivant en paix et en sécurité aux côtés de la Palestine, qui verra les jours dans les frontières de 1967 et qui aura Jérusalem-est pour capitale ».




Netanyahu au cabinet : Le moment choisi pour annoncer le projet est « un grave dysfonctionnement » / Barak Ravid, Nir Hasson et Mazal Moualem – Haaretz


Le Premier ministre Binyamin Netanyahu a ordonné à ses ministres d’informer son cabinet avant toute décision portant sur des procédures d’urbanisme et de construction, et plus particulièrement sur des démarches sensibles d’un point de vue diplomatique telles que des projets de construction à Jérusalem-est ou en Cisjordanie. Lors de la réunion hier du cabinet restreint de sécurité, le Premier ministre a souligné que Jérusalem n’est pas concernée par la décision de geler la construction dans les colonies tout en qualifiant la publication avant-hier du nouveau projet de construction dans le quartier de Ramat Shlomo de « grave dysfonctionnement ».

En ouverture de cette réunion du cabinet, qui portait sur les évaluations annuelles des services de renseignement, les ministres travaillistes ont vivement critiqué la publication de ce nouveau projet de construction au-delà de la ‘ligne verte’ ainsi que l’attitude du ministre de l’Intérieur, Eli Yishaï, et de la commission régionale de planification et construction dans cette affaire. Selon eux, cette attitude a provoqué une grave crise avec les Etats-Unis et un affront personnel au vice-président américain, Joe Biden.

Le secrétaire du gouvernement, Zvi Hauser, a rencontré hier matin M. Yishaï et lui a indiqué que cette affaire reflète « un manque de sensibilité de premier ordre ». Il lui a demandé qu’un tel incident ne se reproduise pas. Eli Yishaï s’est lui défendu en affirmant ne pas avoir su que le projet allait être rendu public. Il a donné pour instruction au directeur général de son ministère de faire en sorte que, lors de périodes sensibles, les commissions régionales de planification et de construction ne débattent pas de projets controversés.



La prochaine crise est en construction / Ofer Petersburg – Yediot Aharonot

Ramat Shlomo n’est pas un cas unique : une enquête du Yediot Aharonot révèle que pas moins de dix-neuf projets à Jérusalem-est, comprenant 7 038 logements, sont à des étapes diverses de validation par le ministère de l’Intérieur.

Certains de ces projets sont à un stade précoce de la procédure après avoir été déposés auprès des commissions de planification et de construction. D’autres ont déjà été publiés officiellement et les citoyens sont invités à faire part de leurs réserves. Enfin, de nombreux projets sont sur le point d’être approuvés.

En outre, selon l’organisation La Paix Maintenant, pas moins de 2 193 logements ont déjà été approuvés, ce qui signifie que leur construction peut débuter à tout moment. Il s’agit notamment de 1 083 nouveaux logements dans le quartier de Ramot et de projets tels que celui de l’hôtel Shepherd, pour lequel Israël a déjà subi de vives critiques.

« Il y a une pénurie incroyable de logements dans la capitale. Il faut approuver ce genre de projets sans quoi la ville cessera de se développer », affirme un membre de la commission régionale de planification et de construction. « Nous avons été abasourdis par la tempête qui s’est déclenchée. C’est une affaire purement technique. Nous n’avons jamais tenu compte du fait que Ramat Shlomo se trouve au-delà de la ligne verte. Il s’agit d’un projet qui parcourt depuis sept ans les méandres de la bureaucratie. Il n’y avait aucune raison de ne pas l’approuver. Il n’existe aucune instruction en ce sens, quel que soit le quartier, juif ou arabe, de Jérusalem-est ».

Pour Yariv Oppenheimer, directeur général de La Paix Maintenant : « Ce n’est pas une question de moment inopportun mais de politique. On veut transformer Jérusalem en ville binationale et empêcher ainsi la solution de deux Etats. Le fait que seulement un projet ait été approuvé durant la visite de Joe Biden est un miracle »./.

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10 mars 2010 3 10 /03 /mars /2010 17:16
Décès de l’imam Tantaoui, figure de l'islam sunnite

Par RFI

Cheikh Mohamed Sayed Tantaoui, grand imam d'al-Azhar (Egypte), la plus haute institution d'enseignement de l'islam sunnite, est décédé mercredi 10 mars en Arabie Saoudite. Âgé de 81 ans, il a succombé dans la matinée à une crise cardiaque foudroyante, alors qu'il se trouvait à l'aéroport international de Ryad pour regagner Le Caire.

Avec notre correspondant au CaireAlexandre Buccianti

Durant ses quatorze années à la tête de la plus prestigieuse mosquée et université islamique, le cheikh d’al-Azhar aura prôné la modération. Une modération qui lui aura valu de violentes attaques de la part des islamistes et des conservateurs.

La première controverse du 45ème grand imam d’al-Azhar a été la question de l’excision. Le cheikh Tantaoui a décrété que cette pratique n’avait rien à voir avec l’islam et qu’elle devait être interdite si la médecine la jugeait nocive.

Celui qui était à la tête de la plus haute autorité morale de l’islam sunnite s’était aussi prononcé en faveur du « Khole’ » une pratique permettant à la femme de divorcer même si le mari s’y oppose.

Mais la controverse la plus retentissante a été celle sur le voile. On se rappelle du cheikh Tantaoui affirmant à un Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur, que le voile n’était pas indispensable en Occident et tout récemment sa sortie contre le niqab. Le cheikh Tantaoui avait obligé une jeune étudiante à enlever son voile intégral en affirmant qu’il n’était pas islamique. 



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10 mars 2010 3 10 /03 /mars /2010 15:41
Ahmadinejad s'en prend aux alliés

 mercredi 10 mars 2010 

































radio-canada.ca 
avec agences

Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a rencontré son homologue afghan Hamid Karzaï, mercredi, à Kaboul.
Mahmoud Ahmadinejad et Hamid Karzaï avant leur conférence de presse conjointe au palais présidentiel de Kaboul.

Photo: AFP/Massoud Hossaini

Mahmoud Ahmadinejad et Hamid Karzaï avant leur conférence de presse conjointe au palais présidentiel de Kaboul.

Il a profité de l'occasion pour prêcher une fois de plus en faveur d'un départ des troupes alliées du territoire afghan.

Le leader iranien a entrepris sa visite au moment où le secrétaire américain à la Défense, Robert Gates, termine un séjour de trois jours dans le pays, et à la veille d'une visite du président afghan au Pakistan voisin.

« Nous ne voyons pas la présence des forces militaires étrangères comme une solution pour apporter la paix en Afghanistan », a déclaré le président de la République islamique lors d'une conférence de presse conjointe aux côtés de M. Karzaï.

M. Ahmadinejad a en outre répondu à M. Gates, qui a une fois de plus laissé entendre que les Iraniens jouent un « double jeu » en Afghanistan, en affichant d'un côté leur soutien au président Karzaï tout en sapant de l'autre côté les efforts militaires des armées alliées dans le pays.

« L'Iran ne joue pas de rôle dans l'insécurité en Afghanistan, nous avons toujours été du côté du gouvernement et du peuple afghan pour la sécurité en Afghanistan », a-t-il affirmé.

« Je crois que ce sont eux [les Américains] qui jouent un double jeu. Ils ont créé des terroristes, et maintenant ils disent combattre les terroristes », a-t-il répondu lorsqu'interrogé par un journaliste américain. « Vous êtes à 12 000 kilomètres de l'autre côté de la planète [...] Que faites-vous ici? », a-t-il poursuivi.

La solution passe par le contrôle de la situation par le gouvernement légal d'Afghanistan.

— Mahmoud Ahmadinejad

Selon le président Ahmadinejad, l'argent consacré par les alliés à la lutte contre les talibans aurait été mieux dépensé dans des projets de développement, pour l'irrigation du sol par exemple.

Malgré des déclarations qui trahissent leurs relations tendues, l'Iran et les États-Unis ont un intérêt commun à empêcher le retour des talibans dans le pays. Le mouvement des talibans, d'obédience sunnite, n'a pas de résonance ni chez les chiites afghans, les Hazaras, ni chez les Iraniens.

Il y a trois mois, le président américain Barack Obama a annoncé qu'il visait un retrait des troupes américaines en Afghanistan à compter de juillet 2011. D'ici là, 30 000 soldats américains supplémentaires auront été déployés dans le pays dans une ultime tentative pour mater l'insurrection.

Le Canada a pour sa part annoncé depuis longtemps que la mission de combat de son armée en Afghanistan se terminera en juillet 2011 et que tous les soldats seront rapatriés avant la fin de cette même année.

Radio-Canada.ca 



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10 mars 2010 3 10 /03 /mars /2010 12:11


 Nous vous présentions il y a peu :

>Photographies de conflits - Un art ?







Rares photos de la Corée du Nord




















































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10 mars 2010 3 10 /03 /mars /2010 07:44
Internet: les USA lèvent l'embargo sur l'Iran, le Soudan et Cuba
Internet: les USA lèvent l'embargo sur l'Iran, le Soudan et Cuba
11:21 09/03/2010
© SXC
WASHINGTON, 9 mars - RIA Novosti

Le ministère américain des Finances a levé  lundi l'interdiction d'exporter vers l'Iran, le Soudan et Cuba des logiciels, des services Internet, dont le courrier électronique et les réseaux sociaux.

"Des amendements ont été apportés aux restrictions frappant le commerce des sociétés américaines avec le Soudan, l'Iran et Cuba, dans le but de permettre aux citoyens de ces pays de réaliser leurs droits à la liberté d'expression et à la liberté d'information", lit-on dans un communiqué ministériel.

Selon le ministère, "les récents événements en Iran ont montré que les communications personnelles fondées sur les technologies Internet constituent des outils efficaces, alors que les logiciels autorisés à l'exportation (vers ces pays) contribueront à préserver un flux d'information libre. Le gouvernement des Etats-Unis cherchera dans le même temps (...)  à obtenir un durcissement des sanctions à l'encontre de l'Iran".

Aux termes de ces amendements, il ne sera plus interdit d'exporter vers les trois pays des services de communication Internet, dont le courrier électronique, la messagerie instantanée et les réseaux sociaux.       

La décision d'autoriser l'exportation de logiciels "facilitera en Iran, au Soudan et à Cuba l'accès à Internet, la communication entre les gens et avec le reste du monde", a déclaré le vice-ministre américain des Finances, Neil Wolin, cité par le communiqué.


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9 mars 2010 2 09 /03 /mars /2010 07:45


A ce propos chez mon collègue Lion-Ardent.info une photo bien sympa !







"L'espoir" ça va un moment...

 

reagansolution.jpg




09.03.2010

Irak: la victoire de George W. Bush

rioufol.jpgPar Ivan Rioufol


L'histoire donnerait-elle raison à George W. Bush? C'est bien sapolitique de démocratisation de l'Irak, lancée il y a sept ans après la chute de Saddam Hussein, qui s'affirme, élections après élections et en dépit de graves 'erreurs stratégiques initiales. Ce week-end, les Irakiens se sont encore massivement mobilisés pour aller voter, malgré les intimidations d'al-Qaida (38 morts dans des attentats). La minorité sunnite, qui s'abstenait jusqu'alors, a pris le chemin des urnes. Les partis islamistes confirmeraient leur recul selon les premières estimations. Comme l'écrit, ce lundi, l'envoyé spécial du Figaro à Bagdad, Adrien Jaulmes: "L'invasion américaine et l'instauration d'un nouveau régime ont propulsé le pays dans un système démocratique  sans équivalent dans le monde arabe, si l'on exclut le cas particulier du Liban".  Mais les médias se gardent, en général, de rappeler la paternité de ce succès, qui contredit leurs analyses moutonnières et anti-bushistes. Ayant été de ceux qui ont soutenu la stratégie américaine de 2003, je me réjouis d'autant plus de cette réussite, même si tout n'est pas encore parfait. Le sort desChrétiens d'Irak demeure révoltant.

A ceux qui estiment qu'il existe une incompatibilité entre l'islam et la démocratie, les Irakiens apportent, année après année, un démenti qui rejoint l'aspiration à la liberté de très nombreuxIraniens. Des reportages télévisés montraient, ces derniers jours, les affiches électorales de candidates aux législatives irakiennes, photographiées sans voile (Olivier Besancenot a-t-il conscience de sa régression, quand il défend sa candidate voilée ?). Pour ma part, j'ai en mémoire les affirmations péremptoires de ces innombrables commentateurs qui assuraient qu'une démocratie ne s'impose pas (en dépit des exemples du Japon ou de l'Allemagne) et que le recours à la force ne pouvait que consolider le terrorisme. Les adeptes du "soft-power", ces nouveaux munichois qui tiennent le haut du pavé en France, restent prêts à temporiser devant le nouvel "islamo-fascisme", ainsi désigné par Bush et les néoconservateurs. Si les "anti-guerre" avaient été suivis, la démocratie ne serait pas en Irak.

Je participerai, ce lundi, à l'émission "On refait le monde" sur RTL (19h15-20h)

Source : Liberté d'expression

bush.jpg
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8 mars 2010 1 08 /03 /mars /2010 19:39












Revue de presse en anglais :ICI
Revue de presse en Hébreu :ICI


ISRAELIENS - PALESTINIENS

Les Palestiniens acceptent d’échanger / Ben Caspit – Maariv

Les Palestiniens ont l’intention de présenter à l’émissaire américain, George Mitchell, la carte du futur accord avec Israël, selon laquelle 1,9 % de la Cisjordanie sera annexée par Israël en échange d’un territoire équivalent qui sera transféré par Israël au futur Etat palestinien.

Pour les Palestiniens, les « pourparlers de proximité » devront être consacrés aux questions des frontières et des aménagements de sécurité. En outre, ils insisteront pour obtenir un territoire « de même taille » que celui qui est compris dans les frontières de 1967, sur la base d’un échange de territoires.

De leur point de vue, l’acceptation par Binyamin Netanyahu de ce principe, qui a déjà été accepté par de précédents gouvernements et sur lequel se basent les Etats-Unis et l’ensemble de la communauté internationale, est une condition obligatoire à l’ouverture de pourparlers directs. Les Palestiniens ont ainsi l’intention de placer le Premier ministre Netanyahu dans une position de refus pour prouver aux Américains qu’il n’a pas l’intention de mener de véritables négociations.

Abou Mazen ou un autre haut responsable palestinien pourraient en outre présenter prochainement les grands principes de l’accord permanent, du point de vue palestinien : l’obtention d’un territoire équivalent à celui de 1967, l’acceptation du principe d’un Etat démilitarisé (avec une police palestinienne forte mais pas d’armée), le partage de Jérusalem, etc.

L’objectif des Palestiniens est de présenter Israël comme étant celui qui empêche un accord et d’obtenir du gouvernement américain une déclaration selon laquelle Israël est responsable de la situation de paralysie actuelle.

L’émissaire américain George Mitchell a rencontré hier le Premier ministre Netanyahu et les deux hommes se rencontreront à nouveau aujourd’hui. Sauf incident de dernière minute, le vice-président américain, Joe Biden, qui arrivera en Israël aujourd’hui, annoncera au cours de sa visite le lancement des pourparlers de proximité.

George Mitchell fera la navette entre Jérusalem et Ramallah où il s’entretiendra directement avec Binyamin Netanyahu et Abou Mazen. La tentative israélienne, soutenue partiellement par les Américains, d’écarter le négociateur palestinien Saëb Erekat et d’obtenir son remplacement a échoué. Considéré par Israël comme un élément retardateur et quelqu’un d’obstiné, Saëb Erekat est pour les dirigeants palestiniens le « Monsieur négociations » et la mémoire palestinienne de dix-sept ans de pourparlers avec Israël, un personnage dont le manque du côté israélien se fait sentir.

Hier, le comité exécutif de l’OLP a approuvé la reprise des pourparlers indirects tout en adressant une mise en garde : « Si les négociations échouent, nous nous adresserons au Conseil de sécurité pour sauver la paix », a déclaré Yasser Abd-Rabo.




Le directeur du Shabak à l’Autorité palestinienne : Calmez les émeutes ou non multiplierons les arrestations / Avi Issacharof et Amos Harel – Haaretz

Israël a adressé ces derniers jours des avertissements à l’Autorité palestinienne lui demandant d’agir pour calmer les manifestations qui ont éclaté ces dernières semaines en Cisjordanie et empêcher qu’elles ne dégénèrent en un affrontement violent. Israël demande aussi de mettre un terme à l’incitation qui accompagne depuis une semaine les affrontements violent à Jérusalem. Selon des sources palestiniennes, des responsables israéliens ont menacé que si l’Autorité palestinienne n’agit pas en ce sens, la coopération avec Israël s’en ressentira et les arrestations au cœur des villes palestiniennes se multiplieront.

Ces dernières semaines se sont déroulées plusieurs manifestations violentes contre Israël, sous l’égide de l’Autorité palestinienne et en présence de hauts responsables du Fatah, dans les villages de Bilin et Naalin, à l’ouest de Ramallah. D’autres manifestations soutenues par l’Autorité palestinienne ont eu lieu à Nabi Salah, au nord de Ramallah, et à Um Salmona, près de Bethléem. Des responsables du Fatah sont également impliqués dans les affrontements qui ont eu lieu à Jérusalem et dans la campagne contre ce que l’Autorité palestinienne appelle la « judaïsation de Jérusalem ».

Des responsables des services de sécurité affirment qu’à ce stade, il ne semble pas qu’une troisième Intifada soit sur le point de se déclencher mais que, même si l’Autorité palestinienne contrôle la situation, elle risque de laisser aux manifestants une marge de manœuvre trop importante qui pourrait mener, en fin de compte, à une perte de contrôle et à un embrasement.




INTERIEUR

Crise au sein de la coalition : Shas et Yehadout Hatora s’opposent à la proposition de loi d’Avigdor Liberman sur les conversions / Yaïr Ettinger et Mazal Moualem – Haaretz

Pour la première fois depuis la formation du gouvernement, une crise au sein de la coalition menace sa stabilité. Les partis Shas et Judaïsme unifié de la Torah ont fait savoir hier qu’ils s’opposent à la réforme du processus de conversion au judaïsme proposée par Israël Béteinou et qui devait être votée par la commission des lois de la Knesset en vue de son passage en première lecture. Au terme d’une rencontre nocturne d’urgence qui s’est tenue hier soir au bureau du secrétaire du gouvernement, il a été convenu que la proposition de loi serait débattue aujourd’hui mais qu’il n’y aura pas de vote.

Cette proposition de loi prévoit que désormais les conversions ne seront plus réservées aux tribunaux rabbiniques spéciaux mais pourront aussi être effectuées par les grands-rabbins des différentes villes, ce qui devrait simplifier la procédure.



La rébellion a échoué / Maya Bengal – Maariv

Ils hissent le drapeau blanc : Les trois derniers « rebelles » du parti travailliste, tiendront aujourd’hui une conférence de presse au cours de laquelle ils annonceront que leur tentative de créer une scission au sein du parti a échoué et qu’ils reprennent leurs activités au sein du parti.

Ce retour au bercail d’Eitan Kabel, Amir Péretz et Daniel Bensimon est loin de signifier le retour au calme au sein du parti travailliste. Après la conférence de presse, les trois députés participeront, pour la première fois depuis de longs mois, à la réunion du groupe parlementaire travailliste, mais ensuite ils ont l’intention de mener la vie dure au président du parti, Ehud Barak. « Nous constituerons une opposition combative à l’intérieur du parti. Notre but est de faire en sorte que le parti travailliste quitte le gouvernement Netanyahu-Liberman », affirment-ils.

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FRANCE - ISRAEL
 Yoram Kaniuk est le lauréat du prix de la Fondation France-Israël / Itamar Eichner – Yediot Aharonot

L’écrivain Yoram Kaniuk est le lauréat du prix littéraire 2010 de la Fondation France-Israël pour son livre Le Dernier Juif.

La traduction en français du livre, publiée chez Fayard, a eu droit à des critiques enthousiastes.

Le prix sera remis demain à Yoram Kaniuk par la ministre de la Culture, Limor Livnat, et le ministre français de la Culture, Frédéric Mitterrand, lors d’une cérémonie à laquelle seront présents l’ambassadeur d’Israël en France, Danny Shek, et la présidente de la Fondation France-Israël, Nicole Guedj.

La cérémonie se déroulera au ministère français de la Culture./.

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