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9 mai 2011 1 09 /05 /mai /2011 13:21

 

Banniere Freres musulmans

 

Le prochain défi d’Israël : la proximité d’Obama à l’égard des Frères Musulmans 


DEBKAfile  Reportage exclusif  9 mai 2011, 8:49 AM (GMT+02:00)

 

Adapté par Marc Brzustowski

Pour © 2011 lessakele  et © 2011 aschkel.info

 

Tags:  Barack Obama      Binyamin Netanyahu    Muslim Brotherhood    Egypt  Palestinians 

 

La prochaine rencontre pourrait marquer le carrefour des chemins qui se séparent.

 

Les Israéliens célèbrent dans la bonne humeur le 63ème anniversaire de leur indépendance cette semaine. Leurs dirigeants, pas plus en paroles que par allusion, n’ont mentionné le défi auquel le pays sera confronté dans l’année à venir : Barack Obama, le Président du pays, meilleur ami et allié d’Israël, cherche à ce que le mouvement des Frères Musulmans du Moyen-Orient devienne son partenaire privilégié, afin de promouvoir les intérêts américains dans le monde arabe, à la place de ses dictateurs qui ont été ou vont être renversés.  Selon les sources de Debkafile à Washington et du contre-terrorisme, la cour qu’il fait à cette organisation, qu’il considère comme « modérée », a été la justification de la décision grave d’en finir avec Osama Ben Laden. C'est une étape que ses prédécesseurs, George W. Bush et Bill Clinton, se sont abstenus de franchir, bien qu’ils sachent pertinemment où il se trouvait.

 

Beaucoup ont oublié la promesse faite par Obama, au Caire, le 4 juin, de réparer les ponts en direction du monde musulman, mais il pensait vraiment chaque mot qu’il a prononcé. La Maison Blanche, sous sa férule, a forgé un pacte entre les Etats-Unis et les Frères Musulmans, afin qu’ils atteignent leurs objectifs politiques ultimes, bien qu’ils ne s’attendent pas à pouvoir les réaliser d’un seul coup.


La mort de Ben Laden s’inscrit dans le déroulement du plan ou Grand jeu du Président américain :

 

1. Il avait besoin de faire la pleine démonstration de sa résolution inébranlable d’éradiquer le danger terroriste posé par les extrémistes islamistes.


2. Il est nécessaire qu’on empêche les Frères Musulmans et leurs versions nationales de tomber dans les bras du radicalisme islamiste, si on veut qu'ils se qualifient comme la pièce maîtresse du nouveau départ de l’Amérique avec le monde arabe.

 

Une autre partie importante du grand jeu du Plan Obama a été “le Printemps Arabe”, s’agissant de paver la voie qui mène à ce nouveau départ. Il a montré que la présence au pouvoir de dictateurs régnant sans partage depuis des décennies est devenue insupportable.


C’est Hosni Moubarak d’Egypte qui devait s’en aller le premier – et, de fait, il a, par conséquent, été le seul dirigeant arabe dont le Président américain a carrément exigé le départ, et non Mouammar Kadhafi ou même Bachar al Assad – tout simplement parce que l’Egypte est le centre mondial des multiples branches des Frères Musulmans et de son Conseil de la Shura.


Plus que n’importe quelle autre parti ou organisation au Moyen-Orient, la confrérie détient de puissants leviers d’influence en Libye, en Syrie, en Jordanie, dans l’arène palestinienne et même en Arabie Saoudite, à travers son implantation au sein des institutions nationales et religieuses et plusieurs membres éminents dans leurs bureaux directeurs. C’est pourquoi elle a été si souvent réprimée par tous ces régimes, comme ce fut le cas en Egypte.

 

Les dirigeants arabes fidèles à Moubarak ont observé et remarqué de quelle façon expéditive et sans ménagement Obama l’a congédié. Ils ont alors mis en commun toutes leurs ressources pour défaire les révoltes soutenues par les Etats-Unis contre leurs régimes, avant d’être eux-mêmes renvoyés comme de vulgaires déchets.

 

Le roi saoudien Abdallah s’est battu le dos au mur depuis son divorce avec Washington. Il est amèrement hostile à l’Administration Obama – pas seulement à cause de l’humiliation subie par la chute de Moubarak, mais parce qu’il pense qu’un pacte entre l’Amérique et les Frères Musulmans menacerait la Maison royale des Saoud, en engouffrant les institutions cléricales qui confèrent au trône sa légitimité.

 

Kadhafi en Libye a tenté de se préserver en mettant l’accent sur la cause commune qu’il partageait encore avec les Etats-Unis, contre une rébellion infiltrée par Al Qaeda et d’autres musulmans extrémistes. Quand il a enfin réalisé que Washington ne partageait pas sa vision et favorisait les éléments islamistes, il a décidé de se battre contre la rébellion et de défier ses soutiens de l’OTAN.

 

Bachar al Assad en Syrie, qui représente un régime laïc, au moins en ce qui concerne son Credo, en est venu à sortir ses tanks, l’artillerie et les tirs à balles réelles, lançant une répression féroce pour mettre fin à ce qu’il perçoit comme un défi à la famille Assad et son clan dirigeant alaouite, mené par les Frères Musulmans et qui a déjà été lancé contre son père, il y a 19 ans.

 

Une nouvelle pièce du puzzle construit par Obama a été mise en place au Caire, mercredi 4 mai, par l’ancrage du pacte d’unité palestinienne, entre le Président de l’Autorité Palestinienne Mahmoud Abbas, pour le Fatah, et Khaled Meshaal, pour le Hamas.

 

Juste après que le Premier Ministre Benyamin Netanyahou ait mis en garde Abbas du fait que les Palestiniens devaient choisir entre la paix et le Hamas, les sources de Debka au Caire rapportent qu’Abbas s’est demandé, en privé, pourquoi les Israéliens venaient s'en plaindre auprès de lui : « Ils feraient mieux de s’en plaindre directement auprès d’Obama, aurait-il dit. Le Hamas n’est jamais qu’une ramification des branches égyptiennes et jordaniennes des Frères Musulmans. « Je ne fais jamais qu’agir selon ses lignes directrices, consistant à intégrer les Frères Musulmans au sein des gouvernements du Moyen-Orient ».

 

Le Président américain a pris certaines mesures pour que son projet devienne réalité. Il est encore bien loin d’avoir le vent en poupe. En Israël et dans certaines capitales occidentales, on ne s’attend pas à ce que la Junte militaire, qui a succédé à Hosni Moubarak, au Caire, ouvre toutes grandes les portes aux Frères Musulmans. Les généraux égyptiens ont repris l’initiative en canalisant les mouvements palestiniens, espérant ainsi focaliser l’attention des Frères Musulmans sur le problème palestinien, plutôt que sur leur appétit aiguisé par la conquête du pouvoir. Ce dispositif a bien fonctionné depuis Gamal Abdel Nasser, dans les années 60 et 70.


Mais, tôt ou tard, les Frères Musulmans et Washington réaliseront que les dirigeants militaires ont pleinement l’intention de se maintenir au pouvoir. Plutôt que se tenir aux côtés d’un candidat présidentiel des Frères Musulmans, ils en soutiendront un autre de leur choix. Le Président Obama sera alors confronté à devoir prendre une grave décision.


Face à cette Maison Blanche qui jongle avec les balles de sa politique fondamentale au Moyen-Orient, il n’y a pas grand-chose qu’Israël puisse faire. Par conséquent, on ne s’attend pas à ce que la rencontre du Premier Ministre Netanyahou avec Obama, le 21 mai et son discours face à l’assemblée de la Chambre des représentants du Congrès provoquent des changements capitaux. Il n’y a pas beaucoup de points qui permettraient de dévoiler quelques nouvelles propositions de paix, ou de tenter de mettre en garde Obama contre les conséquences d’un rapprochement entre les Etats-Unis et les Frères Musulmans. Alors qu’une prise de pouvoir des Frères Musulmans dans les pays arabes environnants, même si elle restait graduelle, poserait une menace directe contre la sécurité d’Israël, Obama, entraîné par le courant de ses premiers succès durant les phases initiales, il y a peu de chances pour qu'il se montre particulièrement réceptif aux arguments d’Israël. 

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8 mai 2011 7 08 /05 /mai /2011 06:44

 

 

 

 

 

Lire aussi :

Double Standard - Ben Laden contre CheickYassine par le Dr Manfred Gerstenfeld

>Obama en faveur de la mosquée à Ground Zéro ou j'irai cracher sur vos tombes..


Shameless Obama at GZAMERICA IS BACK Le Point
C’est un triomphe pour Barack Obama, qui a, comme toujours, la victoire modeste. Sa stratégie de lutte ciblée contre Al-Qaida porte ses fruits, en rupture avec la désastreuse « guerre globale contre la terreur » de son prédécesseur, George Bush. L’Amérique peut enfin, au bout de près de dix ans de travail, de deuil inachevé, tourner la page du 11-Septembre. Jean-Pierre Filiu (historien spécialiste du djihadisme, Institut d’études politiques de Paris)
Il est très important de ne pas laisser des preuves photographiques dans la nature comme un outil d’incitation (à la violence) ou de propagande. Ce n’est pas dans notre genre. Nous n’arborons pas ce genre de choses comme des trophéesObama
Quels que soient les actes attribués à Ben Laden, l’assassinat d’un être humain désarmé et entouré de sa famille constitue un acte odieux. Castro
Nous condamnons l’assassinat de tout moujahid (combattant islamique) et de tout individu, musulman ou arabe, et nous demandons à Dieu de lui accorder sa miséricorde.  Si cette nouvelle est vraie, nous pensons que c’est la poursuite de la politique d’oppression américaine fondée sur l’effusion du sang des Arabes et des musulmans. Ismail Haniyeh (Hamas, Gaza)
Les Arabes et les musulmans sont des êtres humains et l’Occident doit les traiter avec dignité, qu’ils soient des partisans ou des opposants à Oussama Ben Laden. (…) Il y a des règles morales à respecter, et l’effusion de sang arabe et musulman par des Américains ou d’autres n’est pas permise. Khaled Mechaal (Hamas, Damas)
Ben Laden était un homme, qui malgré ses défauts, a forcé les criminels à être vigilants. Al-Akhbar (quotidien proche du mouvement chiite Hezbollah) 
C’est surprenant à quel point le crime et l’assassinat se sont banalisés et comment ils sont célébrés. Avant, les gouvernements impérialistes respectaient au moins les formes. Maintenant, les chefs des gouvernements qui bombardent célèbrent la mort de n’importe quel individu, indépendamment des accusations qui pèsent sur lui. Et pas uniquement d’éléments hors-la-loi comme Oussama Ben Laden, mais aussi de présidents, de familles de présidents. (…) L’empire n’a plus d’autre issue, l’issue politique, l’issue diplomatique sont dépassées. La seule chose qui reste est l’assassinat. Elias Jaua (vice-président vénézuélien)
L’élimination de Ben Laden relance le débat et les anciens de l’équipe Bush refont surface ces jours-ci en tentant de justifier l’usage de la torture. Ils essaient de prouver aujourd’hui que leur politique était la bonne et que l’usage de méthodes d’interrogatoire poussées était justifié. Le débat fait rage, mais le New York Times, par exemple, a pris position aujourd’hui, dans un éditorial très clair : rien ne peut justifier l’usage de la torture. (…) Cela illustre bien le paradoxe américain. Les Américains, et Barack Obama en particulier, sont profondément attachés aux libertés publiques qui sont inscrites dans leur Constitution et que la Cour suprême réaffirme régulièrement. Pourtant, depuis le 11 septembre 2001, ils se sont souvent trouvés en porte-à-faux à ce sujet. Obama a en effet fait campagne sur la promesse de fermer le camp de Guantanamo, mais trois ans plus tard, il y a toujours 172 prisonniers dans ce camp militaire. Il est aussi étonnant, pour des Européens, d’entendre un président d’un pays démocratique dire que Oussama Ben Laden « a eu ce qu’il méritait », alors qu’on peut considérer qu’il a été exécuté sommairement sans autre forme de procès. C’est l’Amérique de l’après-11-septembre. Il faut aussi rappeler que dans plusieurs Etats américains, la peine de mort est toujours en vigueur et pratiquéeLe Monde
La France condamne l’action conduite contre Cheikh Ahmed Yassine qui a fait dix morts palestiniens comme elle a toujours condamné le principe de toute exécution extrajudiciaire, contraire au droit international. La pratique des exécutions extrajudiciaires viole les principes fondamentaux de l’Etat de droit sans lequel il n’y a pas de politique juste et efficace possible, y compris en matière de lutte contre le terrorisme. Cette pratique des forces armées israéliennes doit cesser. Au-delà de son caractère illégal, l’attaque d’hier risque d’être contre-productive au plan politique.Jean-Marc De La Sablière (représentant français à l’ONU, 2004)
Quand Israël a éliminé les deux chefs précédents du Hamas, le ministre des affaires étrangères britannique a déclaré:  » les éliminations ciblées de cette sorte sont illégales et injustifiées. (…) Maintenant la Grande-Bretagne applaudit l’élimination ciblée d’un terroriste qui a mis en danger ses soldats et citoyens. Quelle est la différence, si ce n’est qu’Israël ne peut jamais trouver grâce aux yeux de beaucoup dans la communauté internationale. Alan Dershowitz
Cette action a donc été minutieusement planifiée, préparée, commandée et exécutée. (…) Sauf que l’on a assisté, aussitôt après l’annonce solennelle de la part du Président Obama de la mort de l’ennemi public n°1 de l’Amérique, à une cacophonie médiatique mal orchestrée, erratique, incohérente. Des informations sporadiques essentielles filtrent dans la presse, ou pire sont présentées officiellement au compte gouttes, sans fil directeur et visiblement non préparées, par des intervenants qui semblent improviser.  (…) Les révélations médiatiques relevaient de la plus grande prudence et du plus extrême sang froid. Or, mise à part l’annonce présidentielle dans la nuit du 1er au 2 mai, manifestement bien préparée et mise en scène, la suite de la « manœuvre médiatique » américaine donne la fâcheuse impression d’avoir été improvisée, bâclée. Nous vivons à l’ère de la communication : c’est la phase finale de toute manœuvre, guerrière ou pas, qui ne doit pas être ratée, au risque de gâcher les phases précédentes. La réussite complète est à ce prix. Général Abel Pertinax (ancien haut-responsable de l’armée française)
a-t-il jamais eu de chef occulte plus pathétique ou de chef planqué ayant davantage autorisé la mise à mort de simples spectateurs? (…)  Par contre, (…)  le discours d’Obama n’aura aucune valeur s’il s’attend à ce que nous continuions à armer et financer les mêmes personnes qui ont fait de cette traque une entreprise si inutilement longue, difficile et coûteuse. Christopher Hitchens
En privant le monde de l’image d’un Ben Laden mort, les autorités américaines agissent comme si la mise à mort du leader d’Al-Qaida le privait du droit à l’image. Pourtant, dans notre « civilisation de l’image », priver une personne publique de visibilité, fusse-t-elle considérée comme négative et morte, semble nourrir l’imaginaire collectif de manière encore plus radicale que le manque de sépulture. (…) De manière étrange, le refus de l’image de ce qui semblait être un trophée de guerre pour les Américains résonne comme un aveu de culpabilité ou d’impuissance des Etats-Unis dans la gestion même de cette victoire. Comme si ce succès sonnait le départ d’une bataille encore plus terrible que la précédente. Irène Costelian

L’honneur de l’Amérique  sous Obama n’aurait-il décidément pas été assez flétri?

A l’heure où l’évidemment heureuse élimination  du cerveau diabolique du 11 septembre et de tant d’autres assassinats de masse révèle à nouveau, outre l’habituel double jeu des régimes musulmans comme un Pakistan  hébergeant depuis des années à la barbe de tous le terroriste le plus recherché de la planète, la véritable engeance des amis, du Hamas au Hezbollah et des gérontocrates cubains au bouffon vénézuélien, de nos Mélenchon et autres Besancenot …

Comment ne pas voir l’indécrottable naïveté ou plus justement l’impardonnable cynisme de ces prétendus défenseurs de la démocratie et de la liberté qui, avec l’énième réconciliation Fatah-Hamas, en sont encore à exiger des concessions à Israël devant le dernier subterfuge de ceux qui prônent ouvertement sa disparition?

Comment continuer à accorder le moindre crédit à des médias qui n’ayant toujours pas compris 10 ans après qu’un camp de prisonniers de guerre n’a jamais eu vocation à juger ses détenus mais à les empêcher de rejoindre le champ de bataille jusqu’à la fin des hostilités et après les monceaux d’insanités accumulées contre le véritable architecte de la traque enfin récompensée du tueur de masse saoudien fêtent aujourd’hui, de la part de son successeur paradant en couverture du Point, un acte qu’ils n’ont eu de cesse de condamner quand il venait de son prédécesseur ou des dirigeants israéliens ?

Comment conserver quelque respect que ce soit pour celui qui contre les victimes elles-mêmes défendait il y a quelque mois encore l’ultime défiguration de Ground Zero par les tenants de la religion au nom de laquelle l’abomination y avait été commise et se permet aujourd’hui, comme l’a bien perçu l’ancien président Bush qui a très intelligemment refusé de se joindre à lui, de venir y faire son numéro pour le seul bénéfice de sa propre réélection ?

Mais surtout comment ne pas être inquiet,  au moment où par l’incompréhensible refus, outre l’incroyable  cafouilage de l’annonce, d’en publier les images  d’un président plus calamiteusement politiquement correct que jamais …

jcdurbant

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6 mai 2011 5 06 /05 /mai /2011 09:12

 

 

 

 

al qaeda hamas meme objectif-copie-1

 

 

 

 

 

Ben Laden/Obama - Sur Playstation ou sur Nintendo ?
par Alain Legaret - le monde à l'endroit
Décidemment, après le corps, la liquidation d’Oussama Ben Laden continue de faire couler beaucoup d’encre. Il faut dire que l’administration américaine ne fait rien pour rendre les choses claires.

Tout a commencé lundi 2 mai avec l’annonce extraordinaire de la mort du numéro un d’Al-Qaïda par Barack Obama, président des Etats-Unis et candidat à sa succession, en difficulté dans les sondages.

Puis une photo truquée du cadavre fait une apparition fulgurante, et disparaît aussi vite de la circulation.

Dans la foulée, on nous annonce que le corps d’Oussama Ben Laden a été immergé en haute mer. Donc pour avoir des preuves, faut oublier. On reste confiant car on suppose que le nécessaire a déjà été fait.

En effet, les résultats de l’analyse ADN ne tardent pas à arriver, confirmant que c’est bien de Ben Laden dont il s’agit. Puisqu’on nous le dit.



Des reconstitutions sur ordinateur de l’opération se multiplient dans les rédactions, mais d’images réelles de l’assaut, rien.

Sur Google Earth, dans la ville d’Abbottabad, au moins six maisons différentes ont été signalées comme ayant été celle où habitait Ben Laden, jusqu’à ce qu’on se décide pour une seule.

On apprend enfin qu’il existe des photos, au moins une, de Ben Laden mort. Hier, l’administration Obama a décidé de ne rien publier, entretenant un mystère qui n’a pas lieu d’être.

En récapitulant donc, à l’heure actuelle, nous n'avons que des déclarations. De preuve, on n’en a aucune. On savait les Américains les as du marketing, mais tout de même.
Ca fait dix ans qu’on nous bassine avec Ben Laden, il nous appartient aussi un peu, non? Ne dit-on pas que le 11 septembre, c’est tout l’occident qui a été attaqué ? Nous aussi, nous avons besoin de fermer le dossier.

En réalité, quand je dis qu’on n’a rien, ce n’est pas tout à fait vrai.

En fait, une seule photo a été publiée, mais pas de l’assaut. On y voit le Président Obama et ses proches conseillers, les yeux rivés sur l’écran, en train de se faire une partie en live de Call of Duty, Doom, ou plutôt de Wolf 3D, ce fameux jeu où on entre dans une bâtisse, et après avoir descendu nombre d’adversaires, on se retrouve face à l’ennemi public numéro un que l’on doit éliminer.

Ca fait tout de même un peu maigre comme confirmation. D’autant plus que les témoignages des officiels sont contradictoires. Par exemple, on nous dit d’abord que ben Laden était armé et tirait. Ensuite, on nous annonce qu’il a été tué alors qu’il était désarmé.

Pourquoi une communication aussi calamiteuse ? Est-ce volontaire ? Jouaient-ils à tétris sur leur téléphone pendant la projection ? Ne savent-ils pas faire de copies d’écran à la Maison Blanche ? Tout ceci ne fait pas très sérieux.

Aujourd’hui, Barack Obama est allé se recueillir à Ground Zero.
Depuis l’opération, sa côte de popularité a bondi dans les sondages.
Le monde est devenu une grande console de jeu. Celui qui gagne la partie est vu comme le nouveau Schwarzenegger, même s’il a gagné en jouant au niveau « facile ».

Car il existe aussi un niveau « très difficile »: là où on se retrouve seul parce que les ressources sont dans l’autre camp, où les alliés retournent leur veste, où les défenseurs de la liberté oublient la votre, où les journalistes mènent une guerre sans merci contre vous, où on vous coupe le micro quand vous parlez, où on vous accuse d’être l’agresseur quand vous vous défendez, où l’UNESCO s’empare de vos biens sous vos yeux, où l’on prépare des armes pour vous rayer de la carte, et où tout le monde trouve ça excitant. Tout le monde sauf vous. L’idée n’est pas nouvelle, mais elle remporte toujours un franc succès.

Et pourtant, on dit que même le Président Obama ne peut pas accéder à ce niveau là. Sauf s'il fête sa bar-mitsva.
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4 mai 2011 3 04 /05 /mai /2011 13:31

logo arié

Obama-St Michel a terrassé le dragon-Ben Laden

Par ARIé -(A lire sans aucune modération)

Avec autorisation

© 2011 www.aschkel.info

 

Il est exact que je n’apprécie guère Obama; je crois l’avoir suffisamment démontré à travers tous mes articles. Il est également exact que j’aurais largement préféré qu’Oussama Ben Laden fut neutralisé sous l’administration Bush, mais les choses étant ce qu’elles sont, c’est à Obama qu’échoit l’honneur de nous débarrasser de ce triste sire. Ce qui nous vaudra le déplaisir de le voir réélu dans un fauteuil. Il n’empêche que je ne veux aucun mal au président des États-Unis Amérique et que je déplore, pour le moins, le prêche enflammé d’un Imam de la mosquée d’El Aqsa qui prophétise qu’Obama sera pendu haut et court en compagnie du « petit Bush ». Cette indélicatesse verbale me pose d’autant plus problème que j’ai lu quelque part que l’imam en question était citoyen israélien. Autrement dit, sur le mont du Temple, se lève un dignitaire musulman qui, par les facéties de l’hisoire, possède une carte d’identité israélienne et invite la nation arabe à pendre le Président des États Unis d’Amérique.

Quant au futur partenaire du Fatah, lire, le désormais très respectable Hamas, par la bouche de son dirigeant Hanyié, condamne sans nuance les États-Unis d’avoir assassiné un Shahid, « ce qui s’inscrit dans la continuité de la politique américaine fondée sur l’oppression et et le massacre des Arabes et des Musulmans ». Après tout ce qu’Obama aura fait pour la cause arabe en général et palestinienne en particulier, c’est faire preuve d’une grande ingratitude.

 

Quant aux Frères musulmans, désormais libres de s’exprimer, ils condamnent sans ambages la décision d’Obama de liquider Ben Laden. Il s’agit des mêmes Frères Musulmans qui avaient tout juste le droit de se taire sous Moubarak et qui aujourd’hui, grâce précisément à Obama, qui a fait le nécessaire pour éliminer Moubarak, se permettent toutes les audaces et ne manifestent aucune gratitude envers leur libérateur.

Mais, ce qui me préoccupe avant tout, c’est qu’après ce super coup médiatique: Obama-St Michel qui a terrassé le dragon-Oussama, le Président, auréole de gloire, se permette à peu près toutes les fantaisies, y compris à contraindre Israêl de se replier dans des frontières étriquées et accorder un État à ceux qui veulent le voir pendre haut et court.

Nouvelle de dernière heure: Trois Havrei Knesset(parlementaires) israéliens – tout comme l’imam de la mosquée d’El Aqsa qui veut pendre Obama – assisteront aujourd’hui au Caire à la signature de l'accord Fatah' - 'Hamas l’accord entre les Hamas et le Fata’h. Il s’agit, vous l’avez deviné, de trois parlementaires Arabes. Je veux bien qu’Israël soit une démocratie, et tout et tout, mais franchement, si j’étais pour quelque chose dans le gouvernement israélien, je les laisserais passer le reste de leurs jours en Egypte ou à Gaza et interdirais manu malitari leur retour en Israël.

Mais comme on dit dans ce Moyen-Orient compliqué, les chiens et les présidents aboient et la caravane passe; B’H

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4 mai 2011 3 04 /05 /mai /2011 06:08

 

Yéochoua a raison de poser la question, déjà sur le net les complotistes de tous poils se frottent les mains !

 

Ben Laden/Obama nous prend vraiment très au sérieux - Réaction à chaud

Par Yéochoua SULTAN  

 © 2011 www.aschkel.info


Yéochoua 2 couvyeochoua4

 

Si on a marché sur la lune sans qu'aucun témoin non-américain n'ait été invité à le constater, on peut aussi tuer Ben-Laden sans fournir la moindre preuve de son élimination. Il suffit de le dire sans sourcilier et en prenant un air inspiré pour que le faire admettre. Mais le citoyen moyen du monde trouvera peut-être que ce «chargement» (Laden en allemand), est un peut lourd à digérer. Quelle différence y a-t-il par conséquent entre l'expédition américaine sur la lune et l'élimination de Ben-Laden? Aucune, a priori. Dans les deux cas, aucun représentant, politicien, journaliste ou expert, n'a été convié à constater le fait. Les seules images, montrant un cosmonaute sautillant au ralenti ou le portrait d'un Ben-Laden «photo-choppé» ou réel, émanent des seules instances américaines. (Voir On aurait marché sur la lune)

En supposant que les Américains soient de bonne foi, pourquoi avertissent-ils le reste de la planète sans lui apporter la moindre preuve, ni même le moindre indice?

Quand Israël a éliminé Mahbou ou jugé et condamné Eichmann, personne n'a émis le moindre doute. Quand il a battu toute une coalition d'Etats musulmans assoiffés de son sang en six jours, les preuves étaient palpables.

Alors, sans se livrer en pâture aux «anticonspirationnistes» prêts à bondir et à inonder de leurs sarcasmes ceux qui se permettent de se poser des questions, pourquoi les Américains laissent-ils planer un doute quand ils veulent être pris au sérieux?

C'est trop facile de venir ensuite insulter ceux qui se permettent de douter ou tout simplement de rejeter en bloc l'information ; facile aussi de les classer avec les fanatiques et autres islamistes anti-américains.

Un homme honnête ne peut-il se dire en toute bonne foi qu'il est proaméricain, dans la mesure où l'Amérique défend la liberté et certaines valeurs inconnues ailleurs, mais remettre en question ces informations qui n'ont aucune réalité tangible?

Comment réagirait un honnête homme à qui un tiers affirmerait qu'il est diplômé des grandes écoles, mais que son diplôme a été perdu et que le professeur qui l'a suivi est mort sans rien laisser par écrit? Ou encore, est-ce qu'un individu paierait un diamant chez un supposé diamantaire qui lui affirmerait que la marchandise se trouve quelque part en Afrique?

Alors, M. Obama, avec tout le sérieux de votre affirmation, concernant cette grande nouvelle pour le monde libre, et pour tous ceux qui condamnent ce terrorisme aveugle, allez repêcher la dépouille de Ben-Laden, mais avant qu'elle ne devienne méconnaissable, et appelez des experts et des journalistes de tous les continents, laissez-les effectuer des tests, prendre des photos, et alors nous pourrons vous féliciter. Vous aurez ensuite tout le loisir de l'enterrer dans le cimetière des baleines au plus profond des abysses, pour que personne ne lui bâtisse un mausolée. Ou alors, contactez tous les centres de recherche sous-marine, indiquez-leur la position exacte de l'endroit où vous avez déposez votre chargement, et nous tiendrons compte, en tant que grand public, de leurs estimations. Il en va de votre crédibilité.  

 

 

A lire aussi

Après le choc de l'annonce, les images de joie venues d'Amérique, place à la polémique sur la véracité de cette information. Qu'est-ce qui prouve que les Américains ont bien tué Ben Laden, lui et pas un autre? La circulation d'un photo-montage datant de novembre 2010, sensé représenter Ben Laden mort, n'a fait qu'accentuer la suspicion.

La décision des autorités américaines de jeter le corps de Ben Laden dans l'océan a aussi suscité l'incompréhension. Certes, c'était pour éviter de créer une sorte de Mémorial Ben Laden. Certes, les Israéliens l'ont fait après la condamnation à mort d'Eichmann, un des dignitaires du régime nazi, dans les années 60. Mais ça manque de preuves et d'éléments concrets.

L'administration Obama a aussi indiqué avoir effectué des prélèvements ADNqui prouvent, d'après eux, qu'il s'agit bien de l'ennemi public n°1. Il suffit d'un cheveu de Ben Laden pour le comparer à celui de sa soeur, morte aux Etats-Unis d'un cancer au début des années 2000, note ABC. Une démarche, tout comme la reconnaissance faciale, aussi utilisée par les Américains, qui ne fera pas taire les sceptiques.

Contactée par Le Post, la spécialiste en terroriste Anne Giudicelli estime qu'on est en droit de rester sur notre faim: "les Américains doivent mettre fin à la théorie du complot qui se développe. Ils doivent forcément donner une version crédible pour calmer les esprits. Pour l'instant, les preuves sont largement insuffisantes."

L'administration Obama a fait savoir qu'elle disposait de photos du corps de Ben Laden, photos pas encore diffusées. Aux Etats-Unis, plusieurs parlementaires d'influence dont Joe Lieberman sont favorables à la diffusion des photos... mais quand les réactions se seront un peu calmées: "il pourrait être nécessaire de publier les photos - si épouvantables qu'elles soient, puisqu'il a été atteint à la tête - pour écarter toute idée selon laquelle il s'agirait d'une ruse de l'administration américaine" explique-t-il, cité par Canoe.ca.

Un officier américain assure à Rue89 que l'opération a été filmée.

Reste que les circonstances floues de la mort de Ben Laden vont alimenter le fonds de commerce des complotistes de tous poils. L'auteur de Complocratie, Bruno Fay, dresse un parallèle intéressant avec l'assassinat de Kennedy sur le site du Nouvel Obs: "comme pour Lee Harvey Oswald, on a le criminel qui est tué dans des conditions un peu opaques avec un corps jeté à la mer, dont on n'aura pas d'autopsie. On ne saura pas non plus s'il s'est défendu, ni par qui il a été réellement abattu. Il ne sera jamais jugé, etc. On a tous les ingrédients pour assister à une suspicion généralisée."

On remarquera quand même qu'aucun chef d'Al Qaida n'a pour l'heure contesté la nouvelle, même si on peut lire des dénégations sur les sites et les forums islamistes.Et les Illuminatis se font discrets, ces temps-ci, vous ne trouvez pas? 
lepost.fr

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1 mai 2011 7 01 /05 /mai /2011 10:55

 

 

Dossier B.H Obama

La doctrine Obama : diriger par derrière

Par Charles Krauthammer, Washington Post 28 avril 2011 | Adaptation française de Sentinelle 5771 ©

dimanche 1er mai 2011
desinfos


Obama peut s’orienter vers quelque chose ressemblant à une doctrine. L’un de ses conseillers a décrit les actions du président en Libye assimilées à : « diriger par derrière ».

— Ryan Lizza, journal ‘the New Yorker’, N° du 2 mai 2011.

Précisons : diriger par derrière c’est un style, pas une doctrine. Les doctrines impliquent des idées, mais puisqu’il n’y en n’a pas de discernables avec du sens dans la politique étrangère d’Obama – la chronique scrupuleuse de Lizza depuis deux ans la révèle au coup par coup, erratique et confuse comme elle le semble – cela devra s’adapter.

Et c’est certainement une description exacte, depuis la passivité choquante du président Obama pendant la révolution verte en Iran en 2009, jusqu’à ses tergiversations en Libye, agissant au tout dernier moment, puis passant la main à une coalition querelleuse, s’accommodant d’une impasse sanglante. Ca a été une politique étrangère d’hésitation, de retard et d’indécision, marquée d’appels plaintifs à la « communauté internationale » (fictive) à faire ce que seule l’Amérique peut faire.

Mais sous-jacent à ce style, assure ce conseiller d’Obama, il y a vraiment des idées. De fait, « deux convictions non explicites » explique Lizza : « Que la puissance relative des USA est en déclin, alors que des rivaux comme la Chine sont en ascension, et que les USA sont vilipendés en de nombreux endroits dans le monde ».

Etonnant. Ce serait pourquoi Obama diminue délibérément la présence, le statut et la capacité américaines de direction des affaires dans le monde ?

Prenez la première proposition : Nous devons « diriger par derrière » parce que le pouvoir relatif des USA est déclinant. Même si vous en acceptez les prémisses, c’est d’une totale inconséquence. Que viennent faire le PNB croissant de la Chine avec le renvoi de la balle américain en Libye, le jugement erroné en Iran, la compromission avec la Syrie ?

C’est vrai, la Chine est en croissance. Mais d’abord, c’est la seule puissance de quelque signification qui augmente militairement par rapport à nous. La Russie est en cours de rattrapage de niveaux de force militaire si bas qu’elle compte à peine au plan mondial. Et la puissance européenne est en réel déclin (voyez la performance de l’Europe – à l’exception des Britanniques – en Afghanistan et les mésaventures européennes actuelles en Libye).

Ensuite, le défi d’une armée chinoise en croissance est toujours exclusivement régional. Il affecterait une guerre avec Taïwan. Il n’a aucun effet sur rien de significatif au-delà de la côte de la Chine. La Chine n’a aucun navire de longue distance. Elle n’a pas de base étrangère. Elle ne peut pas projeter sa puissance dans le monde. Elle le pourrait dans le futur – mais selon quelle logique cela devrait-il nous paralyser aujourd’hui ?

Proposition deux : nous devons diriger par derrière parce que nous sommes vilipendés. La belle affaire ! Quand ne l’étions-nous pas ? Ou bien auparavant, sous Eisenhower ? Quand son vice-président fut envoyé en voyage de bons offices en Amérique latine, on lui cracha dessus et il fut menacé par des foules, de sorte qu’il dut abréger son voyage. Ou bien plus tard, sous le règne béni de Reagan ? Les années Reagan ont été marquées par de grandes manifestations dans les capitales de nos alliés les plus proches, dénonçant l’Amérique comme une menace belliciste conduisant le monde à l’hiver nucléaire.

« Obama est arrivé à une ère politique » explique Lizza, « au moment suivant la Guerre Froide, une époque où le pouvoir sans égal de l’Amérique a créé un ressentiment largement étendu ». Mais le monde n’a pas commencé avec la survenue de la conscience de Barack Obama. Les ressentiments de la Guerre Froide étaient déjà aussi profonds.

C’est le sort de toute superpuissance affirmée d’être enviée, dénoncée et blâmée pour tout ce qui existe sous le soleil. Rien n’a changé. De plus, pour un pays aussi profondément vilipendé, pourquoi pendant les émeutes massives en Tunisie, Egypte, Bahreïn, Yémen, Jordanie et Syrie, les manifestations anti-américaines ont-elles été d’une telle rareté ?

Qui reproche vraiment à l’Amérique son hégémonie ? Le monde dans lequel Obama a vécu et qui l’a formé intellectuellement : les élites universitaires ; son milieu à Hyde Park aux USA (y compris ses amis à ne pas citer, William Ayers et Bernardine Dohme) ; L’église qu’il fréquenta pendant deux décennies, où retentissaient les sermons anti-américains plus virulents que tout ce qu’on n’a jamais entendu dans les gorges déployées de la rue arabe aujourd’hui.

Ce sont les élites libérales qui dénigrent le colosse américain et souhaitent avec dévotion voir sa taille réduite. Diriger par derrière – en diminuant le prestige mondial de l’Amérique et son assurance en elle-même – est une réaction de leur vision de l’Amérique, pas celle du monde.

D’autres présidents ont pris l’anti-américanisme comme une donnée, plutôt qu’une preuve de la malignité américaine, croyant – comme le font la majorité des Américains – dans la légitimité de notre cause et la noblesse de nos intentions. Obama pense que l’anti-américanisme est un verdict sur l’adaptation de l’Amérique à la direction du monde. Je suggère que « diriger par derrière » est un verdict sur la capacité d’Obama à diriger.

Diriger par derrière n’est pas diriger. C’est abdiquer. C’est aussi un oxymore. Pourtant un journaliste sympathique, faisant passer le message d’un conseiller d’Obama, l’élève à une doctrine. Le président est flatté, sans aucun doute. Nous en restons tous simplement stupéfaits.


http://www.washingtonpost.com/opini...

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28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 10:43

 

 

 

 

Membres du Congrès US - Nous arrêterons l'aide à l'Autorité palestinienne par Yitzhak Benhorin

Adapté par Aschkel -

 

pour © 2011 www.aschkel.info

 

http://www.ynet.co.il/articles/0,7340,L-4061587,00.html

 

Des délégués influents  des deux camps (démocrates et républicains) ont exprimé leur colère face à la décision d'Abbas de se joindre aux forces du 'Hamas, et ont indiqué clairement que le gouvernement américain se verrait dans l'obligation de stopper l'aide financière comme le permet la loi. "L'aide ne peut pas être utilisée contre ceux qui menacent Israël"

 

Certains membres du congrès ont déclaré que si l'Autorité palestinienne selon l'accord signé hier au Caire avec le 'Hamas unissait ses forces, l'aide américaine serait stoppée en vertu de la loi car cette aide pourrait parvenir au Hamas, organisation terroriste listée par l'administration américaine.

 

Nita Lowy responsable du sous-comité à l'aide étrangère US a déclaré qu'un gouvernement d'union nationale avec le 'Hamas serait un coup mortel et mettrait et remettrait en question l'aide américaine.

 

La présidente de la Commission étrangère de la Chambre des représentants, Eliana Ross-Alitanane a également annoncé que l'accord signé entre le Fatah et le 'Hamas – organisation terroriste - qui appelle à la destruction d'Israël, ne recevra pas de fonds des contribuables américains contre ceux qui menacent la sécurité des Etats-Unis,  leurs intérêts et ceux de  leur allié Israël. Elle clairement indiqué que la législation américaine ne permet pas de soutenir l'Autorité palestinienne si le 'Hamas fait partie de cette autorité, car l'une des conditions est de reconnaître le droit à Israël d'exister, une condition que le 'Hamas refuse..

Elle a accusé Mah'moud Abbas et son administration qu'en établissant une alliance avec le 'Hamas, cela prouve une fois de plus que leur désir de paix n'est pas crédible.

Le démocrate  Gary Achkemean, haut responsable aux affaires étrangères au Sous comité pour les affaires au Moyen-Orient a déclaré que l'accord n'oblige pas le 'Hamas de reconnaître le droit à Israël d'exister de s'engager sur les accords antérieurs où même d'arrêter la violence contre Israël. Par conséquent et comme dans précédents cas les Etats-Unis seront contraints par la loi de stopper tout aide qui peut parvenir entre les mains d'entités terroristes. IL A INDIQU2 AUSSI QU4Abbas a refusé pendant plusieurs mois de rejoindre les pourparlers avec B.Netanyahu sous l'égide américaine, et il semble que maintenant il annule le partenariat même et l'assistance des Etats-Unis.


 

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23 avril 2011 6 23 /04 /avril /2011 19:36

 

Dossier B.H Obama

La politique étrangère altruiste d’Obama

par Caroline B.Glick - Jerusalem Post | Adaptation française de Sentinelle 5771 ©

samedi 23 avril 2011

 


Du fait de l’incapacité des deux parties à séparer les cibles civiles et militaires, les forces de l’OTAN tuent aussi leur quote-part de civils. Dans le seul intérêt de l’hygiène intellectuelle, il serait rafraîchissant que le gouvernement Obama cesse d’attribuer des élans moraux à sa politique étrangère.

Aujourd’hui les forces des USA sont engagées dans une guerre en ascension douce au nom des forces opposées au régime Libyen et pénétrées par al Qaïda. Il est difficile de connaître la signification du rôle d’al Qaïda dans les forces d’opposition du fait qu’à ce jour, le gouvernement rebelle autoproclamé n’a révélé que 10 de ses 31 membres.

De fait, selon le New York Times, l’opposition au dictateur Mouammar Khaddafi, soutenue par l’OTAN est si désorganisée qu’elle ne peut même pas s’accorder sur qui est le commandant en chef de ses forces.

Et pourtant, malgré le fait que le gouvernement Obama n’a aucune notion claire sur qui dirige le combat contre Khaddafi ou ce pour quoi ils se battent, cette semaine, la Maison blanche a informé le Congrès qu’il va commencer à financer directement les rebelles liés à al Qaïda, en commençant par 25 millions de $ de matériel non létal.

Cette aide, comme la zone d’exclusion aérienne empêchant Khaddafi d’utiliser ses forces aériennes, et les formateurs militaires britanniques désormais déployés en Libye pour enseigner le combat aux rebelles, finiront probablement par ne servir à aucune autre grande finalité que de prolonger l’impasse actuelle. Avec le gouvernement Obama se refusant à appliquer la zone d’exclusion aérienne avec des avions de combats américains, refusant de prendre des mesures pour déposer Khaddafi et refusant de cultiver des successeurs de celui-ci responsables et pro-occidentaux, le tyran colérique restera probablement au pouvoir indéfiniment.

En soi et au-delà, le fait que la guerre en soit déjà arrivée à une impasse constitue un échec total de l’objectif déclaré par le gouvernement de protéger du massacre les civils libyens innocents.

Non seulement les forces du régime et celles des rebelles tuent des civils chaque jour, mais du fait de la volonté des deux bords d’utiliser les civils comme boucliers humains, incapables se séparer les cibles civiles et militaires, les forces de l’OTAN tuent aussi des civils.

En décidant en faveur d’une intervention militaire sur la base d’une doctrine légale transnationale jamais acceptée selon la loi du Congrès de USA appelée « responsabilité de protéger », le président Barack Obama aurait été influencé par les arguments de sa conseillère supérieure à la Sécurité Extérieure : Samantha Power. Au cours des 15 dernières années, Power s’est façonnée une célébrité de bûcheuse de la politique en cultivant son personnage public de femme désirant empêcher un génocide. Dans un portrait de Power du dernier numéro du ‘National Journal’, Jacob Heilbrunn explique : “Power n’est pas seulement un avocat des droits de l’homme…

Elle est une croisée déclarée contre un génocide”…

Heilbrunn écrit que l’influence de Power sur Obama et son statut de célébrité a fait d’elle le chef d’une nouvelle élite de la politique étrangère des USA. « Cette élite, écrit-il, est unie par la croyance partagée que la politique étrangère américaine doit être fondamentalement transformée, passant de l’obsession des intérêts nationaux vers un projet politique plus large qui recherche la justice pour les femmes et les minorités, et promeut la démocratie quand et où il le peut – jusqu’au point d’un missile de croisière si besoin ».

Comme le massacre prolongé en Libye et l’échec prolongé attendu de la mission de l’OTAN le montre clairement, Power et sa nouvelle élite de la politique étrangère se sont jusqu’à présent distinguées surtout par leur grossière incompétence.

Mais ensuite, même si la mission libyenne était couronnée de succès, elle ne rendrait pas les prétentions morales de l’aventure américaine là-bas moins fausses. Et cela non seulement parce que les rebelles soutenus par le gouvernement incluent des combattants d’al Qaïda.

Le fait que les arguments moraux utilisés pour intervenir militairement au nom de l’opposition à Khaddafi est dérisoire en comparaison des arguments moraux pour intervenir dans de multiples conflits où le gouvernement Obama refuse de lever le petit doigt. Au minimum, cette incohérence morale rend impossible au gouvernement Obama d’adopter de façon crédible le manteau de l’acteur moral sur la scène mondiale.

Songez à la politique du gouvernement [américain] en Afghanistan.

Au cours de la semaine passée, la Maison Blanche et le département d’Etat ont tous deux reconnu que des officiels gouvernementaux conduisent des négociations avec les Taliban.

La semaine dernière, la secrétaire d’Etat Hillary Clinton a défendu la politique du gouvernement. Pendant un service au Mémorial pour l’ancien ambassadeur Richard Holbrooke, qui au moment de son décès en décembre dernier était la figure de l’administration la plus affirmée pour défendre des pourparlers avec le mollah Omar et ses partisans, Clinton a déclaré : « Ceux qui ont considéré des négociations avec les Taliban répugnantes ont obtenu une réponse très forte de Richard – la diplomatie serait très facile si nous devions seulement parler à nos amis ».

Bien sûr, les Taliban ne sont pas simplement inamicaux avec l’Amérique. Ils sont les ennemis de toute initiative humaine bonne et décente. Les USA sont partis en guerre contre les Taliban en 2001 parce que le gouvernement Bush les considérait à raison comme responsables d’Oussama bin Laden et de son armée terroriste que les Taliban parrainaient, hébergeaient et abritaient sur leur territoire.

Mais l’armée des Taliban n’est pas seulement l’ennemie de l’Amérique parce qu’elle porte la responsabilité des attaques du 11 septembre 2001 contre les USA. Elle est l’ennemie des USA parce que ce sont des monstres pleins de malignité.

Apparemment, le gouvernement Obama prétendument moral, anti-génocidaire, pro féminin doit se faire rappeler pourquoi il n’est pas seulement répugnant mais aussi immoral de parlementer avec les Taliban. C’est dans ce sens qu’il se dirige.

Sous le régime Taliban, les femmes et les filles d’Afghanistan étaient le groupe le plus opprimé, le plus terrorisé, le plus en péril des gens dans le monde. Femmes et filles se voyaient refuser le moindre droit humain. Elles étaient effectivement prisonnières dans leurs foyers, autorisées dans les rues en étant complètement couvertes et escortées par un parent mâle.

Le droit à l’éducation, au travail et aux soins médicaux leur était refusé. Les femmes qui refusaient de se plier à ces règles sans merci étaient battues, emprisonnées, torturées et lapidées à mort.

Le traitement barbare des femmes et des filles par les Taliban n’aurait pas pu justifier leur renversement par l’armée américaine. Mais il a certainement justifié le refus des USA d’envisager seulement de les traiter comme des acteurs politiques légitimes dans les 10 ans suivant la première arrivée des forces de l’OTAN en Afghanistan. Et pourtant, les champions autoproclamés des opprimés au gouvernement [américain] commettent ce qui est moralement injustifiable. Ils négocient, et légitiment ainsi la tyrannie sexuelle la plus diabolique connue dans l’humanité. Obama, Clinton, Power et leurs collègues avancent désormais sans vergogne une stratégie politique qui augmente la probabilité que les Taliban s’emparent de nouveau du pouvoir et réduisent en esclavage les femmes et les filles d’Afghanistan une fois de plus.

Et puis il y a la Syrie. Dans des actes d’un courage stupéfiant, malgré la violence massive du régime qui a tué environ deux cents personnes en trois semaines, les protestataires contre le régime en Syrie ne se couchent pas. Au lieu de cela, ils font monter constamment leurs protestations. Ils ont promis que les manifestations après les prières du vendredi réduiront à peu de choses les protestations déjà sans précédent dans tout le pays que nous avons vues jusqu’à présent.

Au milieu des appels des manifestants syriens pour la liberté contre l’un des régimes les plus répressifs du Moyen Orient, le gouvernement [américain] a pris le parti de leur dictateur meurtrier Bashar Assad, en le qualifiant de « réformateur ».

Comme Heibrunn le remarque dans sa description de Power, elle et ses collègues trouvent les préoccupations nationales des USA au mieux comme des histoires de clocher et au pire immorales. Leur objectif clair – et celui de leur patron – a été de séparer la politique étrangère américaine des intérêts des USA en les rattachant à des organisations transnationales comme l’ONU.

Etant donné le mépris de l’administration pour la politique fondée sur les intérêts nationaux des USA, ce serait trop demander que d’attendre de la Maison Blanche qu’elle prenne note que le régime d’Assad en Syrie est l’un des plus grands Etats soutenant le terrorisme dans le monde et que son renversement serait un coup très sérieux contre l’Iran, le Venezuela, le Hezbollah, le Hamas, le jihad islamique et al Qaïda et par conséquent une aide précieuse pour la sécurité nationale des USA.

L’opposition syrienne présente aux émules d’Obama et de Power ce qui devrait être un sérieux dilemme moral. D’abord, ils semblent correspondre à la définition précise du type de gens que les trans-nationalistes ont la responsabilité de protéger.

Ils sont abattus par dizaines alors qu’ils marchent avec des branches d’olivier et exigent le changement dans lequel ils croient. De plus, leur plan pour évincer Assad implique de le subordonner aux transnationalistes à l’ONU.

Selon un article paru la semaine dernière dans le Washington Times, les représentants basés à Washington de sept groupes syriens d’opposition ont demandé à l’administration de faire trois choses en soutien à l’opposition, toutes en accord avec les préférences de politique étrangère souvent déclarées par le gouvernement [américain].

Ils ont demandé qu’Obama condamne les actes meurtriers du régime devant les caméras de télévision. Ils ont demandé que le gouvernement entame une enquête sur la réponse meurtrière d’Assad aux manifestants au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU. Et ils ont demandé que le gouvernement mette en pratique des sanctions unilatérales contre quelques dirigeants syriens qui ont donné aux soldats l’ordre de tuer les protestataires.

Le gouvernement |américain] n’a pas répondu à la requête d’agir contre Assad au conseil des Droits de l’Homme de l’ONU. Il a refusé les deux autres requêtes de l’opposition.

Leurs réponses ne sont pas une surprise à la lumière du refus abject et incohérent du gouvernement Obama de prendre la moindre mesure en faveur du mouvement d’opposition en Iran appelé ‘Geen’, pro démocratie, pro-occidental, en faveur des droits des femmes durant bientôt deux années de lutte pour renverser la mollahcratie, qui fait proliférer le nucléaire, soutient le terrorisme, incite au génocide, et vole les élections.

La contribution personnelle de Power à ces faillites morales choquantes de la politique étrangère du gouvernement fait partie de sa propre hostilité à l’égard d’Israël. Cette hostilité, qui implique une inversion morale de la réalité de la guerre palestinienne contre Israël, a été démontrée au mieux lors d’un entretien en 2002. A l’époque, au zénith de la guerre terroriste palestinienne contre Israël, quand des terroristes palestiniens du Hamas aussi bien que du Fatah exécutaient des attaques quotidiennes dont l’objectif clair était le massacre d’autant que possible de civils israéliens pour la seule raison qu’ils étaient israéliens, Powell déclara dans un entretien filmé qu’elle soutenait le déploiement d’une force militaire armée « mammouth » des USA en Israël pour protéger les Palestiniens contre Tsahal.

Lors de tentatives périodiques pour convaincre les rédacteurs pro-Israël crédules qu’elle ne soutient pas vraiment l’invasion d’Israël, Power a dit que ses déclarations appelant juste à une telle invasion et les remarques supplémentaires dans lesquelles elle reprochait aux Juifs Américains le soutien des USA à Israël, étaient d’inexplicables fautes de jugement.

Mais alors il y a eu tant de défauts de jugement dans son comportement et les actes du gouvernement où elle sert, qu’il est difficile de voir où les fautes commencent et où le jugement s’achève. Libye, Afghanistan, Syrie, Iran et Israël ne sont que la pointe de l’iceberg. Partout, du Honduras au Venezuela, de la Grande Bretagne à la Russie, de la Colombie à Cuba, du Japon à la Chine, de l’Egypte au Liban, de la Pologne à la Tchéquie et au-delà, ces fautes de jugement constituent une politique qui place constamment les USA du côté des agresseurs contre leurs victimes.

En revenant à l’ère d’avant Obama, quand la politique étrangère des USA était supposée servir les intérêts des USA, on aurait pris en considération que toutes ces stratégies politiques affaiblissent les USA et leurs alliés et renforcent leurs ennemis. Mais aujourd’hui, à l’ère du gouvernment Obama purement altruiste, aucune d’elles n’importe.

Ce qui importe est que la politique étrangère purement altruiste d’Obama renforce les tyrans génocidaires, misogynes et intolérants à travers le monde.

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19 avril 2011 2 19 /04 /avril /2011 21:24

 

logo arié

Kadhafi et … Obama doivent partir et, meilleurs voeux de Pessa’h

Par ARIé

Avec autorisation

© 2011 www.aschkel.info

 

Lire aussi - Grâce à Obama, l’Iran est en passe de devenir le maître du monde

Sarkozy, Cameron et Obama, co-signent une tribune dans cinq journaux et, on est en droit de se demander, depuis quand, des Chefs d’Etat, disposant de tous les moyens que leur accorde la chose publique, éprouvent le besoin, comme de vulgaires intellectuels, d’user de ce moyen journalistique dérisoire – la tribune – réservé aux faibles et à ceux qui ne peuvent s’y prendre autrement, pour faire connaître au monde leur pensée profonde. Ils y déclarent d’une seule voix: « Kadhafi doit partir !! »

Cette injonction, sans appel, dénuée des moyens militaires et politiques qui vont avec, est un voeu pieux et sera sans effet, à l’image de caprices d’enfants gâtés qui ne veulent plus jouer dans la cour de récreation, avec les enfants issus de la zone.

 

Donc, rien ne m’empêche, à l’instar de ces trois dirigeants prestigieux, qui en fait ne s’entendent sur rien, de demander – sachant que ma demande ne sera suivie d’aucun effet, comme la leur – le départ d’Obama.

 

Donc, moi et moi et, qui m’aime me suive, demandons, non, exigeons:Obama doit partir !!

Nos arguments sont de taille;

 

- Obama est un ignare pour ce qui est de la chose économique et des équilibres géopolitiques essentiels.

 

- Obama transforme la première puissance mondiale et la garante de la bonne marche du monde en une puissance de seconde zone; à la remorque de la France gesticulante

 

- Obama est un protogauchiste dogmatique, englué dans des réflexes humanitaro-libertaires d’un autre âge, contraires aux valeurs américaines et occidentales; enfin, pour ce qui reste de l’Occident!

 

- Obama, sans être musulman lui-même (enfin, c’est ce que croient certains), est par trop favorable aux islamistes, au détriment des Juifs et d’Israël et, n’oublions pas, des Chrétiens; ce qui crée à la fois des troubles et un déséquilibre planétaire.

 

Nous demandons donc au peuple américain de ne surtout pas voter pour Obama à son second mandat et, aux Républicains de faire fissa pour dénicher, où ils veulent, un candidat crédible qui ait une chance de l’emporter.

 

C’est en quelque sorte le voeu que je forme pour cette 3322 ème commémoration de la sortie d’Egypte (5771- 2448 = 3323)

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17 avril 2011 7 17 /04 /avril /2011 05:08

 

Blague style Obama : Je conitnue de prier pour une paix entre Israël et ses voisins !!!

 

Nous nous espérons que ce Monsieur par son incompétence arrête de mettre le balagan dans la région

 

 - Obama continue "à prier" pour une paix entre Israël et ses voisins 

Le président des Etats-Unis Barack Obama a affirmé vendredi continuer "à prier" pour une paix entre Israël et ses voisins et réitéré son soutien à la sécurité de l'Etat hébreu dans un message à l'occasion de la Pâque juive.

Célébrée lundi prochain, la Pâque, "avec ses riches traditions et rites, dit à chaque génération de se souvenir de son passé, tout en appréciant la beauté de la liberté et la responsabilité qu'elle induit", a écrit M. Obama dans ce message adressé "à tous ceux qui célèbrent la fête sacrée de la Pâque".

"Cette année, ces instructions anciennes se reflètent quotidiennement dans les titres de la presse, au moment où nous sommes les témoins d'histoires modernes de transformation et de libération en train de se produire au Moyen-Orient et en Afrique du Nord", a ajouté le président, en allusion aux révoltes populaires qui ont renversé les régimes tunisien et égyptien, et font encore rage au Yémen, en Libye ou en Syrie.

"Sur fond de changement, nous continuons à prier pour une paix entre Israël et ses voisins, tout en réitérant notre engagement durable à la sécurité d'Israël", a-t-il affirmé.

Mercredi, le porte-parole du département d'Etat, Mark Toner, avait assuré que les Etats-Unis allaient "mieux se concentrer" sur leurs efforts de paix au Proche-Orient.

La dernière tentative américaine de relancer le dialogue israélo-palestinien en vue d'une solution à deux Etats est enlisée depuis septembre dernier, et le refus d'Israël de reconduire un gel de la colonisation dans les territoires occupés.

La secrétaire d'Etat, Hillary Clinton, a annoncé mardi une prochaine définition de la politique américaine dans la région par le président Obama.

M. Toner a toutefois laissé entendre qu'il s'agirait plus de "redoubler d'efforts", selon ses termes, en vue de ramener les parties aux négociations, que de prendre une nouvelle initiative à proprement parler.

.la-croix.

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