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14 juin 2010 1 14 /06 /juin /2010 08:09

 

Le témoignage aux Nations-Unies d’Hillel Neuer contre une diffamation antisémite de la Syrie

Par Marc Brzustowski

Pour Aschkel.info et Lessakele

 

 


 

 

 Comité du Conseil des Droits de l’homme de l’ONU, Sujet 4 de l'Ordre du jour.
Débat sur une "requête sur la situation des Droits de l’homme à l’attention du Conseil," 8-9 juin 2010

République arabe de Syrie,  Premier secrétaire Rania Al Rifaiy 

[
Israël] est un état fondé sur la haine, la discrimination, l’oppression et un sentiment paranoïaque de supériorité. On y répand la haine et on l’enseigne même aux petits enfants, qui apprennent à utiliser des armes, et auxquels on dit de mettre leur signature sur des missiles qui seront ensuite tirés contre des Arabes.



Permettez-moi de citer les paroles d’une chanson, telle qu’elle a été interprétée par un groupe d’enfants, à bord d’un bus scolaire, alors qu’ils se rendaient tout simplement à l’école. Je cite : «Avec mes dents, j’arracherai ta chair. Avec ma bouche, j’aspirerai ton sang ! » 

Les violations systématiques des droits de l’homme et l’occupation illégitime israéliennes ont déstabilisé la région entière, la menant au bord de la guerre en de si nombreuses occasions ! Nous appelons la communauté internationale à mettre un terme à l’impunité israélienne, ainsi qu'à ses politiques extrémistes et
  extrêmement violentes à l’intérieur et à l’extérieur des territoires arabes occupés »



Merci, Mr. Le Président.
 


  
Président du Conseil des Droits de l'homme, ONU,  Amb. 
Alex Van Meeuwen de Belgique):  Merci

[Le Président du Conseil, qui avait auparavant, fustigé   Un Watch (L'Observatoire de l'ONU) pour avoir critiqué le rapport Goldstone, n’a pas jugé bon de réprimander la représentante syrienne. Les délégations des différents pays sont également demeurées silencieuses. UN Watch est donc entré en scène.] 


L'observatoire de l'ONUHillel Neuer, Directeur exécutif

 


Mr. le Président, 

Nous avions préparé un discours concernant les violations [des droits de l’homme] partout dans le monde. Mais, je me trouve dans l’obligation de répondre à une violation des droits de l’homme qui vient de se dérouler ici-même, au sein de cette assemblée.

Je veux faire référence aux remarques qui violent les lois anti-racistes de la Déclaration Universelle des Droits de l'homme.

Je fais référence aux déclarations syriennes qui accusent à tort Israël d’être un Etat qui, non seulement serait « construit sur la haine… et entretiendrait un sentiment paranoïaque de supériorité », mais également, qui glorifie le déchiquement de chair et l’ingestion de sang (humain). 

Mr. Le Président,

Ce langage codé et cru fait écho à une précédente diffamation proférée par la Syrie, le 8 février 1991, devant la Commission des Droits de l’homme de l’ONU, lorsque le délégué avait accuse les Juifs de tuer des Chrétiens afin d’utiliser leur sang, citant alors le livre “Matzot de Sion”, rédigé par l’ancien Ministre de la Défense syrien, Mustafa Tlas.Ce discours avait alors été officiellement condamné à l’époque, par 29 pays. 

Nous rappelons à la Syrie que la définition appliquée par l’EUMC de l’antisémitisme comprend « l’utilisation de symboles et d’images associés à l’antisémitisme classique, c’est-à-dire la diffamation pour de supposés rituels sanguinaires afin de caractériser Israël ou les Israéliens. 

Mr. Le Président,

Les remarques d’hier, de façon flagrante, aussi mensongères que haineuses, sont des formes historiques d’incitation au préjugé et à la violence. Ils n’ont aucune place dans l’enceinte des Nations Unies , et nous appelons toutes les parties prenantes à les condamner [de la façon la plus ferme]. 

Malheureusement, ces termes ne sont pas apparus sur une terre vierge. Durant la semaine passée, lors du débat d'urgence de ce Conseil, au sujet de la flottille, nous avons pu entendre des assertions similaires, telles que celles décrivant Israël, de manière tendancieuse, comme l’agresseur d’innocents humanitaires – lorsqu’en vérité, il s’était défendu contre des Jihadistes violents aspirant au martyre. 

Une fois encore, Israël se retrouvait ainsi isolé par ceux-là même qui cherchent à le délégitimer. Une résolution était adoptée, condamnant Israël, afin de créer encore une nouvelle enquête dans laquelle le verdict de culpabilité avait été prononcé par avance. 

Nommément, nombreux furent ceux qui ont accusé l’Etat Juif d’être inhumain, dont le Pakistan, au nom de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI), le Bangla Desh, l’Arabie Saoudite et le Nicaragua.

Mr. Le Président,

Le mot génère l’action. L'histoire enseigne que lorsque les nations s’adonnent à la déshumanisation et à la diabolisation, le Monde ne demeure silencieux qu'à ses risques et périls.

Merci, Mr. le Président.

 

 

 

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7 juin 2010 1 07 /06 /juin /2010 21:26

PAR DAVID

 

 

blocus

Voici les 5 pays qui ont fait l’objet du plus grand nombre de résolutions des Nations-Unis depuis 2003 (date à laquelle les statistiques ont commencé à être compilées):

Antisémite
Source: EYE on the UN

De voir les Nation-Unis s’acharner sur la seule terre de liberté du Moyen-Orient, c’est la démonstration la plus éloquente de l’échec de cette organisation.

Autrement, comment peut-on justifier le fait qu’Israël ait été l’objet d’un plus grand nombre de résolutions que le total cumulé par: le Soudan, l’Iran, la Corée du Nord, le Myanmar, le Turkménistan, Cuba, le Sierra Leone, l’Ouzbékistan, la Lybie, l’Arabie Saoudite, la Chine, la Russie et la Syrie…

 

 

Le blocus israélien dirigé contre Gaza aurait fait de ce territoire un « camp de concentration » et il serait à l’origine d’un désastre humanitaire.  C’est du moins la version des gauchistes.

Mais dans la réalité, voici comment on vit à Gaza et au Darfour…

À Gaza Au Darfour
Gaza Darfour
Gaza Darfour
Gaza Darfour
Gaza Darfour
Gaza Darfour
Gaza Darfour
Gaza Darfour
Gaza Darfour

Gaza est probablement le premier « camp de concentration » de l’histoire de l’humanité avec des écrans plats, des cafés internet et des boutiques qui débordent d’aliments,  on est très loin de la réalité du Darfour…  Pendant que l’ONU perd son temps à dénoncer le blocus israélien, des gens souffrent véritablement ailleurs,  mais ils sont contraints de le faire en silence parce que les Palestiniens ont le monopole de la souffrance.  Ce qui compte pour l’ONU et les médias ce n’est pas de protéger les innocents, mais plutôt de diaboliser Israël.

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6 juin 2010 7 06 /06 /juin /2010 20:44

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Merci à  UN.WATCH- et HILLEL NEUER

www.unwatch.org

 

04/05/2010

Ebauche littérale : Aestelli Ellie, revue et corrigée par Marc Brzustowski

 Aschkel.info et Lessakele  

Sous titrage-vidéo Danilette

 


 

 

Goldstone II : le Conseil des droits de l'Homme de l'ONU déclare d'abord Israël coupable et réclame ensuite une enquête

 

 

HILLEL NEUER - UN WATCH - Une voix contre tous

 

 

 

 

 


  

GENEVE, le 2 juin 2010 – Le Conseil aux Droits de l'Homme de l'ONU a adopté aujourd'hui une résolution arabe sur "l'Intifada en haute mer" qui applique la même formule qui a été utilisée dans le rapport Goldstone. Elle consiste à inverser les termes de toute procédure judiciaire : Premièrement, Israël est déclaré coupable -- cette fois d'une "attaque  scandaleuse" et seulement après, une enquête doit être lancée pour collecter les faits. Le texte sous entière commandite (NDLR : Pakistan, Soudan et Autorité Palestinienne) et dont le contenu est extrêmement tendancieux, a été adopté à une majorité de 32 voix, malgré l'opposition des Etats-Unis, de l'Italie et des Pays-Bas alors que 12 pays se sont abstenus ou  absentés. Voir les détails complets ici.

  

Dans un discours devant les 47 membres du Conseil des Nations Unies, l'Observatoire des Nations Unies attaque l'imposture qui consiste à faire passer un convoi politique sous un camouflage "humanitaire"

  

  

           

 

 

 

  

l'Observatoire des Nations Unies

"Débat urgent sur le Raid de la flottille" 

  

Ci-jointes, les grandes lignes du débat devant le Conseil des Droits de l'homme des Nations Unies qui s'est tenu hier et aujourd'hui, suivies par la réponse de l'Observatoire des Nations Unies.

  

Navi Pillay, Haut Commissaire aux droits de l'homme pour l'ONU a ouvert le débat en disant qu'elle était "choquée" qu' "une aide humanitaire puisse être confrontée à une telle violence",  et a condamné sans équivoque l'usage inapproprié de la force par Israël.

 

Le représentant palestinien a accusé Israël de "se croire au-dessus des lois". La Turquie a déclaré qu'Israël comme "avait ouvert une grande brèche dans [l'application des] lois internationales". L'Egypte, pour le Mouvement des Non-Alignés a dit que l'incident était "un nouvel exemple du contournement total des lois internationales par Israël  et de son mépris pour les normes internationales." L'Autriche, l'Islande, le Panama et le Salvador ont exigé une enquête. Cependant, le Canada a enjoint tous les Etats à "ne pas tirer de conclusions hâtives avant que tous les faits ne soient connus".

 

Le Canada a exprimé sa préoccupation pour les conditions de vie des habitants de Gaza mais "comprend totalement les préoccupations d'Israël à cause du terrorisme à Gaza, qui met en péril sa sécurité nationale."

 

L'Espagne a exprimé, au nom de l'Union Européenne, "sa plus grande préoccupation concernant les évènements". Le Pakistan a protesté, au nom du Groupe Islamique,contre "les attaques scandaleuses et injustifiées sur des bateaux chargés d'aide humanitaire... Israël ne devrait plus être autorisé à poursuivre son emprise terroriste sur les Palestiniens". "Le crime atroce" d'Israël  est “un rappel brutal de son indifférence totale et continue pour les droits de l'homme et les lois humanitaires."

  

Les Etats-Unis ont été "profondément troublés" par les violences récentes et "regrettent la perte tragique de vies humaines et les blessures infligées." L'administration Obama a"recommandé fermement  à Israël d'enquêter en profondeur sur l'incident". Les Etats-Unis restent "profondément préoccupés par les souffrances des civils à Gaza". Parallèlement, la contrebande et l'engagement du 'Hamas dans le terrorisme "sapent la sécurité et la prospérité aussi bien des Palestiniens que des Israéliens."

 

Le Soudan a affirmé, au nom du Groupe Arabe, que "Cette attaque israélienne contre la flotille de la liberté est, à la fois, une violation des lois maritimes et des lois relatives aux droits de l'homme."

 

Cuba a déclaré que "Les puissances internationales qui fournissent à Israël une couverture pour se protéger et se défendre (-NDLR : contre ces accusations-) devront en répondre devant le tribunal de l'Histoire."

  

La Chine a qualifié les évènements de "choquants". Le Yémen a condamné les actions d'Israël en dénonçant "Toutes les formes de terrorisme international et de piraterie". Le Liban a qualifié l'action d'Israël comme représentant un nouvel épisode dans "la longue liste des actes terroristes perpétrés par les israéliens"

  

Intervention de l'Observatoire des Nations Unies

transmise par Hillel Neuer, 2 juin 2010

  

 


 

 

 

 

 

"M. le Président, ce débat tourne autour d'une seule question : La flottille avait-elle réellement un caractère humanitaire ou pas ?

  

Pour répondre à cette question, examinons les objectifs des organisateurs, ainsi que les moyens qu'ils ont employés.

  

On peut trouver la preuve de ce qu'était l'objectif véritable des organisateurs dans la démarche qu'ils ont suivie et, en contrepartie, dans celle qu'ils ont rejetée.

  

Israël, qui au cours de ces 18 derniers mois, a délivré plus d'1 million de tonnes d'aide à Gaza, a proposé d'accueillir le cargo de la flottille dans le port tout proche d'Ashdod, et, après inspection, de livrer l'aide à Gaza. Les organisateurs, cependant, ont rejeté cette offre. Parce qu'ils ont voulu créer une provocation politique; ils recherchaient une confrontation physique

  

M. le Président, est-ce là une démarche humanitaire ?

  

On peut déceler une autre preuve de leur état d'esprit, qui est directement rapportée dans leurs propres paroles

  

Avant que les bateaux ne prennent la mer, les partisans ont chanté "Intifada, Intifada" et "Khaybar, Khaybar, Ô Juifs, l'armée de Muhammed reviendra". L'un d'eux a déclaré que le but de la flottille était  "double :... l'accomplissement du martyr et atteindre Gaza."

  

M. le Président, est-ce là un état d'esprit humanitaire ?

  

Examinons aussi les moyens qu'ils ont utilisés : des barres métalliques, des couteaux, des hâches et même des pistolets

  

M. le Président, sont-ce là des moyens humanitaires ?

  

Non. Cette opération était organisée par un groupe extrémiste, l'IHH, qui entretient des relations vastes et documentées avec des groupes terroristes. Leur but et leurs moyens n'ont rien à voir avec une démarche humanitaire.

  

A l'heure qu'il est, sont assis autour de moi les représentants des quelques-unes des principales organisations humanitaires dans le monde : (ceux) du Comité International de la Croix Rouge, de l'Agence des Réfugiés des Nations Unies et de l'Office de Coordination des Affaires Humanitaires des Nations Unies. Demandons-leur : Sont-ce là des comportements humanitaires ?

  

Non, M. le Président, la résolution qui est exposée devant nous aujourd'hui -présentée par des pays tels que l'Iran, la Lybie, l'Arabie Saoudite et le Soudan, - est une insulte au travail des véritables humanitaires à travers le monde.

  

Merci, M. le Président."

  

(script du discours de l'Obsevatoire des Nations Unies, tel qu'il a été présenté aux Nations Unies au cours de son enregistrement officiel)

  

  

CLIQUEZ ICI POUR LA VIDEO

           

           

Pour soutenir le travail vital de l'Observatoire des Nations Unies, merci de contribuer ici.

  

tel: (41-22) 734-1472 • fax: (41-22) 734-1613

www.unwatch.org

 

   
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4 juin 2010 5 04 /06 /juin /2010 09:20

 

 

 

L'ONU s'inquiète de la fermeture d'ONG par le Hamas à Gaza

un.org

 

3 juin 2010 – Le coordinateur spécial de l'ONU pour le processus de paix au Proche-Orient s'est inquiété jeudi de la fermeture ces derniers jours de plusieurs organisations non-gouvernementales par le Hamas au pouvoir dans la Bande de Gaza.

 

 

 

 

 

« Je suis profondément préoccupé par les informations en provenance de Gaza selon lesquelles le Hamas aurait dévalisé un certains nombre de bureaux d'organisations non gouvernementales (ONG) à Gaza Ville et Rafah ces derniers jours et les aurait fermés, confisquant au passage leur matériel et leurs équipements », a déclaré Robert Serry dans un communiqué publié de Jérusalem ce jeudi.

 

 

 

 

 

"Prendre ainsi pour cible des ONG, y compris des organisations partenaires des Nations unies, est inacceptable, bafoue les normes d'une société libre et nuit à la population palestinienne", a-t-il ajouté.

 

 

 

 

 

Selon la presse, le Centre palestinien pour les droits de l'homme, dont le siège est à Gaza, a constaté que les forces de sécurité du Mouvement de résistance islamique (Hamas) étaient intervenues le 31 mai et le 1er juin pour fermer les locaux de six ONG, dont plusieurs centres de protection maternelle et infantile.

 

 

 

 

 

"Les autorités de fait doivent faire cesser semblables mesures de répression et autoriser la réouverture sans tarder de ces institutions de la société civile", a demandé le responsable de l'ONU.

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26 mai 2010 3 26 /05 /mai /2010 12:18

 

 

Le président de la conférence internationale du Traité de non-prolifération de l’arme nucléaire a rédigé un document résumant les décisions prises lors des réunions, qui durent depuis trois semaines. Le texte ne mentionne pas l’Iran mais présente Israël comme un pays récalcitrant.

Les représentants de 150 Etats signataires du traité de non prolifération de l’arme nucléaire, se réunissent depuis trois semaines au siège de l’Onu à New York afin de réviser le texte de sa charte, qui date de 1968. Les débats seront clos vendredi prochain par une déclaration officielle conjointe de  tous les participants.

Le président de cette conférence, Libran Cabactulan, des Philippinesa rédigé un document de 29 pages qui servira de base au communiqué final. Dans le texte qui est parvenu à la presse, l’Iran n’est pas mentionné. En revanche, il serait question d’Israël, du Pakistan et de l’Inde, qui « refuseraient de coopérer » dans le domaine nucléaire, et également la Corée du Nord, qui s’est retirée du traité en 2003.

Il leur est demandé de signer la charte mise à jour et de permettre aux inspecteurs de l’Onu de visiter leurs installations. Une requête est adressée par ailleurs au secrétaire général des Nations unies pour qu’il réunisse une assemblée spéciale sur la dénucléarisation du Proche-Orient avant 2012.


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25 mai 2010 2 25 /05 /mai /2010 06:42
Dossier: Nucléaire iranien
Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon
Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon
21:08 24/05/2010
© UN Photo/Mark Garten
NEW YORK (Nations unies), 24 mai - RIA Novosti

 

Je rappelle a nos lecteurs que la Turquie ne dispose pas d'infrastrutures pour accueillir la moindre particule d'uranium venant d'Iran comme expliqué dans notre EDITOV

La semaine passée, la Syrie, secondée par la Turquie et le Brésil de Mr Lula ont donc sorti un nouveau lièvre du chapeau diplomatique. L’uranium devait être exporté d’Iran vers la Turquie, qui ne dispose pas d’infrastructures pour le convertir à des fins civiles. Mais ce n’est là qu’un détail technique ! Le double-jeu mollachique proclamait, dans le même temps, poursuivre son enrichissement au-delà des 20% qui lui suffisent à atteindre la bombe.

 

 

L'accord sur le nucléaire intervenu récemment entre l'Iran, la Turquie et le Brésil doit contribuer à l'instauration d'une atmosphère de confiance dans le règlement diplomatique du problème nucléaire iranien, a estimé lundi le secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon.

"Cet accord est capital, et j'espère qu'il ouvrira la voie d'un règlement négocié du problèmes nucléaire iranien. J'apprécie beaucoup l'initiative diplomatique du Brésil et de la Turquie et j'espère qu'elle aboutira à un règlement négocié si elle est suivie de démarches appropriées dans le cadre de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA)", a indiqué M.Ban lors d'une conférence de presse au siège new-yorkais de l'Onu.

Il a annoncé avoir téléphoné au directeur général de l'AIEA Yukiya Amano qui a lui aussi espéré le règlement du problème iranien.

Hier, l'Iran a envoyé à l'AIEA une lettre exposant la procédure de transfert de l'uranium en échange du combustible nucléaire.

"Cette proposition doit être examinée par l'AIEA et toutes les parties intéressées. Si elle est adoptée et mise en application, elle pourrait renforcer la confiance et ouvrir la voie du règlement du problème nucléaire iranien", a estimé le secrétaire général de l'Onu.

Les pays occidentaux, Etats-Unis en tête, accusent Téhéran de chercher à se doter de l'arme nucléaire sous couvert d'activités civiles, ce que l'Iran ne cesse de démentir. Les Occidentaux tentent d'obtenir du Conseil de sécurité une nouvelle résolution pour renforcer les sanctions internationales contre l'Iran.

La Russie, qui estime nécessaire de régler le problème par des moyens diplomatiques, cherche à éviter les sanctions bien qu'elle reconnaisse que le programme nucléaire de Téhéran manque de transparence.

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24 mai 2010 1 24 /05 /mai /2010 15:44
Soudan: l'ONU sera présente à l'investiture d'Omar el-Béchir

L'ONU a indiqué vendredi qu'elle serait représentée aux cérémonies d'investiture, la semaine prochaine à Khartoum, du président soudanais Omar el-Béchir, objet d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes de guerre.

 

 

darfour

 

http://www.sauverledarfour.eu/appel.php


| 21.05.2010 | 23:52

http://www.tdg.ch/depeches/monde/soudan-onu-presente-investiture-omar-el-bechir

Darfur mapfr.png

 

environ 300 000 morts et 2,7 millions de déplacés dont 230 000 réfugiés au Tchad

Le 4 mars 2009, la Cour pénale internationale (CPI) a émis un mandat d'arrêt international à l'encontre d'Omar el-Bechir, accusé de crimes contre l'humanité etcrimes de guerre3. Bechir devient le premier chef d'État en exercice à être sous le coup d'un mandat d'arrêt international. Le 26 avril 2010, il est réelu à la tête du Soudan

Omar al-Bashir, 12th AU Summit, 090202-N-0506A-137.jpg

 

 

L'ONU a indiqué vendredi qu'elle serait représentée aux cérémonies d'investiture, la semaine prochaine à Khartoum, du président soudanais Omar el-Béchir, objet d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes de guerre.

"Les représentants spéciaux du secrétaire général (Ban Ki-moon) au Soudan, Haïlé Menkerios et Ibrahim Gambari, assisteront" à ces cérémonies, prévues le 27 mai, a déclaré Marie Okabe, porte-parole adjointe de l'ONU.

"En tant que plus hauts responsables de l'ONU sur le terrain, ils sont régulièrement en contact avec le gouvernement du pays hôte sur des questions opérationnelles, afin d'assurer que leurs missions puissent fonctionner efficacement et de faire face aux problèmes d'intérêt mutuel", a-t-elle précisé.

Jeudi, Human Rights Watch (HRW) avait appelé les pays membres de la CPI à boycotter l'investiture du président Béchir.

"Béchir, qui fuit la justice, devrait être arrêté et non célébré", avait affirmé Elise Keppler, une responsable du Programme justice internationale à HRW, dans un communiqué. "Assister à l'investiture de Béchir enverrait un message terrible aux victimes du Darfour, et dans le monde", avait-elle estimé.

"Les Etats parties à la CPI sont contraints de coopérer avec la Cour selon le Statut de Rome, qui a créé la CPI, et ils devraient manifester leur soutien à son travail", indiquait HRW.

"Les diplomates assistant à l'investiture de Béchir tourneraient en dérision le soutien de leurs gouvernements à la justice internationale", avait poursuivi Mme Keppler.

HRW avait également lancé cet appel à l'adresse d'Etats non parties au statut de Rome comme les Etats-Unis.

Omar el-Béchir fait l'objet d'un mandat d'arrêt émis le 4 mars 2009 par la CPI pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité au Darfour (ouest du Soudan).

Sa réélection à la présidence en avril s'est déroulée lors d'élections générales, le premier scrutin multipartite depuis 1986 qui a été boycotté par une grande partie de l'opposition.

Le Darfour est en proie depuis 2003 à une guerre civile qui a fait 300.000 morts et 2,7 millions de déplacés, selon l'ONU. Khartoum parle de 10.000 morts.

Haïlé Menkerios est le représentant spécial de M. Ban au Soudan et le chef de la Mission de l'ONU au Soudan (Minus), qui supervise la paix entre le gouvernement et l'ex-rébellion du sud-Soudan. Ibrahim Gambari est le représentant spécial de M. Ban au Darfour et le chef de la Mission conjointe ONU-Union africaine dans la province (Minuad).

 

 


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24 mai 2010 1 24 /05 /mai /2010 12:43

 

 

L'Onu critique la ''loi Shalit'' d'Israël

 

Sans commentaires sur l'attitude abjecte de cette organisation !!!

 

 

Un haut responsable de la Commission des droits de l'homme de l'Onu s'est dit ''inquiet'' de la loi Shalit adoptée dimanche en Israël et qui stipule le durcissement des conditions carcérales des détenus Hamas. Préférant rester dans l'anonymat, il a indiqué qu'Israël sera entendu devant la commission en juillet et devra fournir des explications sur cette loi.

RAPPEL

Le Conseil des ministres a approuvé la proposition de loi visant à durcir les conditions de détention des prisonniers membres du mouvement terroriste du Hamas. Le projet a été présenté par le député Danny Danone, dans le but de modifier ces conditions tant que Guilad Shalit sera séquestré par les criminels. Le texte de cette nouvelle loi sera rédigé en collaboration avec les ministères de la Justice et de la Défense, pour en permettre la lecture préliminaire mercredi. La mise en matière de cet amendement stipule:

Le texte de cette nouvelle loi sera rédigé en collaboration avec les ministères de la Justice et de la Défense, pour en permettre la lecture préliminaire mercredi. La mise en matière de cet amendement stipule: «Ce projet de loi vient mettre fin à cette situation absurde où des organisations terroristes qui enlèvent des citoyens israéliens pour faire du chantage, leur interdisant tout droit de visite, jouissent de ce même droit quand ses membres sont en prison. Cet amendement leur interdira le droit de visite.

Ils pourront toutefois s’entretenir avec un avocat et un représentant de l’organisation internationale de la Croix rouge une fois tous les trois mois.» Dimanche, le Conseil a approuvé également un autre projet de loi concernant, lui aussi, ce sujet brûlant. Il s’agit du projet présenté par le président de la Commission de la Knesset, Yariv Levin (Likoud), et les députés Moshé Matalon (Israël Betenou) et Yoël Hasson (Kadima).

Il vient annuler les prérogatives et les avantages attribués aux prisonniers du Hamas en Israël. «L’objectif de cette loi est de donner au gouvernement les moyens d’exercer des pressions sur les organisations terroristes lors de transactions concernant la libération de soldats ou de civils israéliens enlevés, et aussi d’améliorer la position d’Israël en cas de pourparlers avec ces mêmes organisations.

Pareillement, ce projet est une recherche de justice qui cherche à mettre un terme à cette situation absurde qui veut que les soldats et/ou civils israéliens sont séquestrés dans des conditions inhumaines, quand les prisonniers pour des raisons sécuritaires profitent de conditions très avantageuses, alors qu’ils sont eux-mêmes impliqués dans des attaques qui ont coûté la vie à des civils innocents», précise le texte de loi.

Le ministre Daniel Herskovits, citant un dicton des Sages d’Israël, a affirmé que le Hamas ne comprend que le langage de la force: «Tous ceux qui ont pitié pour les gens cruels se montrent cruels envers ceux qui méritent la pitié». gouvernement, hamas, levin

par Yéochoua Sultan

israel7


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21 mai 2010 5 21 /05 /mai /2010 05:43

DOSSIER-ONG.PNG

 

Source : Philosémitisme
 
 
Jeudi 10 mai 2010
 
 
Source: ¿Quién bloquea Gaza?, par Jorge Marirrodriga repris du blog Sobre Israel opinamos todos

L'ONG italienne
 Secondo Protocollo a rédigé un rapport intituléGaza 2010 qui met en lumière de façon claire le silence honteux de ceux qui dénoncent à grands cris le blocus et récoltent un maximum d'argent public au nom du peuple palestinien sur les conditions réelles de vie dans la bande de Gaza . [Les journalistes se taisent tout autant dans la mesure où la parole des ONG valide leur propre parole anti-israélienne ...]

Le document de 20 pages (un peu moins en version PDF) a été envoyé à la fois aux Nations-Unies, à l'Union européenne et à certains pays donateurs, dans le but qu'ils sachent ce qu'on fait avec leur argent (en d'autres termes avec notre argent).  L'association dépeint un tableau de collusion généralisée avec le Hamas.  En une période de compressions budgétaires, telle que celle nous connaissons aujourd'hui, il conviendrait que les gouvernements reconsidèrent ce qu'on appelle "l'aide au développement".

Ainsi, le rapport
 Gaza 2010 expose que le total des biens entrés dans la bande de Gaza en 2009 a augmenté de 900% par rapport à 2008. Ce n'est pas une erreur : il s'agit bien de 900%. Concrètement 5.300 ça se traduit par camions d'aide humanitaire contre 606 l'année précédente. Ces chiffres vont à l'encontre de l'antienne du "blocus israélien hermétique et inhumain".  Toute amélioration, même modeste, des conditions de vie à Gaza torpille la stratégie du Hamas qui, comme toutes les dictatures, à intérêt à ce que les gens vivent dans un état d'urgence permanent.

L'administration du Hamas (pardonnez l'expression) contrôle la distribution de la plupart de cette aide. Le Hamas a créé un double circuit économique à Gaza qui sépare nettement ses favoris du reste de la population, et c'est précisément cette population délaissée que nous montrent inlassablement certaines ONG qui curieusement ne pipent mot sur les bénéficiaires du système. Et elles ont intérêt à se taire car elles dépendent entièrement du bon vouloir du Hamas pour pouvoir fonctionner dans la bande de Gaza. En outre, l'organisation terroriste a le dernier mot sur la mise en œuvre de projets de développement dans la bande de Gaza et ce n'est pas Israël qui s'y oppose. Quand le Hamas met son véto contre certains de ces projets, les ONG blâment le blocus israélien, bien sûr.


Gaza 2010 rapporte un fait curieux, mais pas surprenant - le Hamas a introduit une taxe sur les commerçants de la bande de Gaza qui n'est pas très différente de celle qu'imposaient les bandes de Chicago des années 30. C'est purement et simplement de l'extorsion. Et ici encore, les ONG gardent le silence.

Pour ceux qui lisent l'italien voici le lien vers le rapport
 Gaza 2010 - il serait bien qu'on le traduise en français et, pourquoi pas, en d'autres langues.
 
 
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20 mai 2010 4 20 /05 /mai /2010 04:52
Le projet de résolution de l'ONU contre l'Iran

 

lepoint.fr

 

Le projet de résolution sanctionnant Téhéran pour son programme nucléaire controversé, déposé mardi par les États-Unis au Conseil de sécurité de l'ONU, vise les investissements de l'Iran, ainsi que ses activités maritimes et bancaires. 

PRÉAMBULE 


Le préambule souligne la non-application par l'Iran des précédentes résolutions qui lui enjoignaient de suspendre l'enrichissement d'uranium, ainsi que sa non-coopération avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Il note "le rôle joué par des éléments du Corps des Gardiens de la révolution islamique (IRGC) dans les activités nucléaires potentiellement proliférantes de l'Iran" et "le développement de vecteurs pouvant transporter des armes nucléaires". Sont également notés les faits que l'Iran a construit une usine d'enrichissement à Qom "en violation de ses obligations", qu'il a "enrichi de l'uranium à 20 %" et qu'existe "un lien potentiel entre les revenus tirés par l'Iran de son secteur énergétique et le financement de ses activités nucléaires sensibles". 

ACTIVITÉS SENSIBLES 

Le projet réaffirme que "l'Iran ne doit pas construire de nouvelles unités d'enrichissement d'uranium". Il lui interdit "d'investir à l'étranger dans des activités sensibles comme l'extraction d'uranium, l'enrichissement ou les activités liées aux missiles balistiques". En retour, les autres États doivent "interdire de tels investissements dans leurs entreprises ou sur leur territoire" par l'Iran. 

VENTES D'ARMES 

Le document interdit de vendre à l'Iran huit nouvelles catégories d'armes lourdes : chars de combat, véhicules blindés de combat, systèmes d'artillerie de gros calibre, avions de combat, hélicoptères d'attaque, navires de guerre, missiles et systèmes de missile. Les États sont "appelés à la vigilance et à la retenue" concernant les ventes de n'importe quelle arme à l'Iran.

INSPECTIONS DE NAVIRES 

Le texte élargit à la haute mer le champ des inspections de cargaisons maritimes suspectes en provenance ou à destination de l'Iran, qu'une précédente résolution n'autorisait qu'à quai. Les États se verraient obligés de saisir les cargaisons et auraient interdiction de fournir aux navires concernés leurs services portuaires. 

GEL DES AVOIRS 

Le projet allonge la liste des particuliers et entités liés aux programmes nucléaire et balistique iraniens qui sont frappés d'un gel de leurs avoirs à l'étranger et, pour certains, d'une interdiction de voyager. Des sociétés associées aux Gardiens de la révolution seraient ajoutées à cette liste, s'il apparaît qu'elles sont liées aux activités proliférantes de l'Iran. 

Les négociations se poursuivent entre les États-Unis et leurs partenaires sur l'identité des personnes et entités à placer sur ces listes. 

LUTTE CONTRE LA PROLIFÉRATION 

Le projet interdit à l'Iran toute activité relative à des missiles balistiques capables de transporter des armes nucléaires et aux autres États de lui fournir de l'aide ou de la technologie en rapport avec ces activités. Les États sont appelés à bloquer toute transaction financière liée à la prolifération. Ils sont aussi appelés à refuser l'autorisation d'opérer sur leur territoire aux banques iraniennes qui auraient un lien potentiel avec la prolifération. Ils doivent également interdire à leurs banques d'ouvrir des succursales en Iran s'il y a un lien potentiel avec la prolifération. 

CONTRÔLE DES SANCTIONS 

Le projet prévoit la création au sein de l'ONU d'un groupe d'experts pour surveiller la manière dont la résolution sera mise en oeuvre. 
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